jeudi 16 juin 2011

Méchanceté et mépris

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2974:méchanceté-et-mépris&Itemid=18




Mercredi, 15 Juin 2011
Par HOCKEY30.com

- Le journaliste du Vancouver Province, Iain MacIntyre, est un être humain de la pire espèce,

- Notre informateur travaillant pour ce journal ne peut sentir ce journaliste,

- Prétentieux, mesquin, désagréable, voire méchant, MacIntyre a certes un talent d'écriture, mais n'est pas du tout apprécié par la communauté des médias.

- Ce dernier a la réputation de détruire la réputation des joueurs, de façon malhonnête et souvent méprisante. Encore une fois, le journaliste a sauté une coche en s'en prenant à Roberto Luongo hier.

- «Honnêtement, il n’aurait pas pu se la fermer ? Tout comme son trou entre les jambes ? Roberto Luongo pourrait mourir en raison de ses paroles et si c’est le cas, il va entraîner les Canucks avec lui. Luongo s’est aspergé de kérosène et il joue avec le feu. En critiquant le meilleur gardien de la LNH en série, la même semaine qu’il a accordé 12 buts en 2 matchs à Boston, il se place dans une position pour échouer. On parle du gars qui a parlé aux médias presqu’à tous les jours, dans les 8 derniers mois, et qui s’est assuré de ne rien dire pendant tout ce temps. Mais après le match 105 des Canucks et à une victoire de la coupe, il a décidé d’enfin dire quelque chose. Il n’avait pas besoin de plus de pressions. Pas maintenant. Pas dans ce marché. Au lieu de s’assurer de mettre cette déclaration derrière lui et d’éteindre l’incendie, Luongo a rajouté de l’huile sur le feu. ‘Je n’ai pas arrêté de dire de bonnes choses sur Thomas depuis le début de la série, mais je n’ai rien entendu de positif sur moi sortant de sa bouche’. Ka-boum ! Peut-être que Roberto va rire de tout ça dans une semaine. Ou peut-être qu’il jouera ailleurs la saison prochaine. Si les choses tournent mal mercredi, si on tient compte du bagage qu’il a accumulé, c’est difficile d’imaginer qu’il va survivre à marché qui ne pardonne pas qu’est celui de la Colombie-Britannique.’’

- On peut comprendre le fait de critiquer un joueur, mais là, MacIntyre est allé trop loin.

- On compare ce journaliste au Réjean Tremblay de la Colombie Britannique. En d'autres mots, un journaliste qui semble subtilement apprécier les déboires de son équipe. Comme si la défaite et l'échec lui permettaient de s'inspirer. Bizarre...