samedi 30 juillet 2011

Parise ne deviendra pas agent libre en 2012 et les news du samedi

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=3153:parise-ne-deviendra-pas-agent-libre-en-2012-et-les-news-du-samedi&Itemid=18


Samedi, 30 Juillet 2011
Par HOCKEY30.com
- Même s'il n'a signé qu'un contrat d'une année, Zach Parise devrait s'entendre avec les Devils sur les termes d'une prolongation à long terme au cours de la saison.
- Lamoriello et l'agent de l'attaquant sont sur la même longueur d'ondes. Parise est le noyau du futur de cette équipe et il veut absolument rester au New Jersey.
- En fin renard, Lamoriello a évité l'arbitrage, tout en promettant à Parise que sa prolongation de contrat faisait partie des priorités de l'équipe.
- Mike Modano refuse de confirmer sa retraite. Il faudrait dire au grand Mike que parfois, il est temps de s'arrêter, même pour une légende...
- Les Jets de Winnipeg ne seraient plus intéressés à Nikolai Zherdev.
- Le Russe pourrait continuer sa carrière dans la KHL (ses droits appartiennent à l'équipe d'Atlant Mytishchi).
- Les Red Wings seraient toujours intéressés à l'énigmatique attaquant.
- L'agent de Sergei Samsonov a contacté le directeur général des Capitals, Georges McPhee, pour lui offrir les services de son client.
- Samsonov rêve de porter les couleurs des Caps.
- Ces Russes aiment jouer ensemble. Parions qu'Ovechkin et Semin seraient d'accord avec l'arrivée de Samsonov à Washington.
- Toutefois, McPhee semble moins enthousiaste. Pour l'instant du moins...

Le nouveau gourou de la LNH

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/le-nouveau-gourou-de-la-lnh-89173.html

(CKAC Sports) - Qu'ont en commun Steven Stamkos, Michael Del Zotto et Jeff Skinner? En plus d'être d'excellents jeunes joueurs de hockey, ils s'entraînent tous durant la saison estivale avec l'ancien ailier gauche des Flames de Calgary, Gary Roberts.
Au cours de sa carrière de 20 saisons dans la LNH, Gary Roberts - qui avait été sélectionné au 12e rang de la séance de repêchage de 1984 par les Flames de Calgary - a joué pour six équipes différentes : les Flames de Calgary, les Hurricanes de la Caroline, les maple Leafs de Toronto, les Panthers de la Floride, les Penguins de Pittsburgh et le Lightning de Tampa Bay.

En 1224 parties de saison régulière, il a marqué 438 buts, récolté 471 mentions d'aide pour un total de 909 points. Il a également purgé 2560 minutes de pénalité. En 130 matchs de séries, il a inscrit 32 buts et 61 passes. En 1989, il a remporté la Coupe Stanley avec les Flames de Calgary.

Qualifié de joueur robuste, Roberts a éprouvé sa part de problèmes de santé au cours de sa carrière. Aux prises avec des maux de cou sérieux et des engourdissements aux bras, il rate pratiquement toute la saison 1994-1995 afin de soigner ses blessures. Mais en vain puisqu'il devra se faire opérer la saison suivante, lui faisant rater une grande partie de la saison 1995-1996 et toute celle de 1996-1997. S'en suit un long parcours de réadaptation qui lui permettra d'effectuer un retour dans la LNH avec les Hurricanes de la Caroline.

Gourou de la mise en forme et de la nutrition
C'est peut-être en raison de tous ses problèmes de santé et tous les efforts qu'il a mis pour revenir au jeu qu'il est si convaincu que son programme d'entraînement et d'alimentation est efficace pour les jeunes joueurs de la LNH.

Depuis qu'il a pris sa retraite à la fin de la saison 2008-2009, Gary Roberts est devenu l'un des entraîneurs en conditionnement physique le plus convoités. Il supervise l'entraînement et l'alimentation de près de 40 joueurs de hockey élite dont Steven Stamkos du Lightning de Tampa bay et Jeff Skinner des Hurricanes de la Caroline.

Le journaliste du Toronto Star, Dave Feschuk, l'a rencontré récemment et voici ce qu'il avait à dire au sujet des méthodes d'entraînement des joueurs de la LNH :

Comment vous êtes-vous aperçu de l'importance de la nutrition?
«J'ai réalisé l'importance de la nutrition et du conditionnement physique notamment lorsque j'ai effectué un retour au jeu après avoir subi une grave blessure au cou à l'âge de 30 ans. J'ai pu jouer 13 saisons par la suite. J'aurais aimé par contre avoir toutes ces informations lorsque j'avais 18 ou 19 ans. C'est donc très gratifiant de pouvoir informer ces jeunes joueurs et de voir qu'ils excellent par la suite.»

Comment êtes-vous devenu un expert en conditionnement physique?
«J'ai beaucoup appris et étudié lorsque j'étais moi-même aux prises avec mes blessures et que je tentais de revenir au jeu à l'âge de 30 ans. J'ai aussi embauché Charles Poliquin qui est un entraîneur en conditionnement physique très réputé. J'ai passé toute une année avec lui. Je lui ai versé un très bon salaire pour qu'il me transmette pendant un an toutes ses connaissances. J'ai vécu avec lui pendant 10 mois. Pour l'entendre parler maintenant, il faut débourser 5000$ pour un séminaire de deux jours.»

Quels sont vos souvenirs de votre premier camp d'entraînement dans la LNH?
«J'étais un gros grand mince! Non seulement j'étais mince et faible, j'avais aussi un pourcentage de gras très élevé. Je ne faisais pas de musculation à cette époque et je n'avais pas une bonne alimentation. J'étais par contre très bon sur le cardio, car je jouais au hockey et à LaCrosse. Je croyais que j'étais en bonne forme physique, car j'avais 18 ans. Au camp des Flames, j'ai seulement été capable de faire un pull-up et demi, j'étais très gêné de ça.»

Comment trouvez-vous les jeunes joueurs de hockey?
«Malheureusement pour plusieurs d'entre eux, ils s'entraînent uniquement pour passer les tests de conditionnement du camp de leur équipe. Ils ne s'entraînent pas pour être capable de disputer 100 parties en saison régulière et en séries. Aujourd'hui, l'important c'est la récupération. Que puis-je faire pour être à ma forme maximale pour le prochain match? C'est ça la clé. Et pour ce faire, le corps a besoin de massage, d'étirement, d'une bonne alimentation et de repos.»

Regardez-vous encore des matchs de la LNH?
«Je n'encourage pas une équipe en particulier. J'encourage les joueurs que j'entraîne durant la période estivale. Je garde contacte avec eux en leur envoyant des messages textes. Je leur donne du feedback. Si j'en vois un qui me paraît léthargique, je l'appelle pour voir comment va son entraînement.»

Comment motivez-vous les jeunes joueurs?
«Quelques fois je dois être sévère avec eux, mais pour la plupart du temps, ils sont très motivés, surtout lorsqu'ils voient à quel point le programme est efficace. Quand il voit un gars comme Steven Stamkos tirer des charges, ça les encourage.»

Quels sont les conseils que vous donnez aux jeunes athlètes en matière d'alimentation?
«Lorsque je vois un jeune qui ne s'améliore pas au niveau de sa force musculaire, je sais qu'il ne mange pas assez. Il ne réalise pas en quoi consiste 4000 ou 5000 calories par jour. Et c'est ce dont ils ont besoin. Je leur fais livrer des repas organiques chaque jour. Je suis d'avis que ces athlètes doivent manger à toutes les deux heures et demie. Ils doivent toujours avoir des collations saines à portée de main. Ils ne doivent jamais ressentir la faim. C'est de cette façon qu'ils peuvent mieux récupérer. C'est de cette façon qu'ils peuvent performer soir après soir.»

(D'après un article de Dave Feschuk, Toronto Star)

Colin Campbell peut enfin sourire

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/colin-campbell-peut-enfin-sourire-89186.html

(CKAC Sports) - Il est une règle non écrite dans la Ligue nationale mais à laquelle Colin Campbell doit obligatoirement se plier.
« Ne jamais sourire à un match de séries éliminatoires quand vous êtes dans l'édifice, particulièrement en finale, a expliqué le vice-président exécutif de la LNH. Si l'une des équipes vous voit le faire après qu'elle ait perdu, elle va probablement se mettre à croire que vous riez à cause de quelque chose qui lui est arrivé durant le match. »

Cependant, Campbell a enfin pu déroger à cette règle pour la première fois en dix ans lorsqu'en juin, il a décidé de se récuser de ses responsabilités de chef de la discipline et de la vidéo quand son fils, Gregory, disputait la finale de la Coupe Stanley avec les Bruins de Boston face aux Canucks de Vancouver. Se trouvant en conflit d'intérêts, il ne pouvait s'imaginer une seconde ne pas soutenir son fils dans sa quête de succès.

« Tout ce que Gregory a dû endurer parce que je suis qui je suis et que je fais ce boulot... Il y a vraiment eu des abus tout au long des années. Cette année encore, avec les courriels, les blogueurs, les gens qui propagent des rumeurs... »

Mais qu'importe ce que les gens allaient dire, il s'est aventuré sur la glace pour célébrer avec son fils après la victoire des hommes de Claude Julien, même s'il avait déjà été accusé à de très nombreuses reprises de favoriser les Bruins.

« Je me suis dit "tant pis", j'y vais avec ma femme. C'était une embrassade que je ne voulais pas manquer », a-t-il raconté.

Lui-même sait à quel point il est difficile de soulever la Coupe, puisqu'il a fait partie des Canucks qui ont échoué en finale face aux Islanders en 1981, avant de la remporter en tant qu'entraîneur-adjoint en 1994 avec les Rangers.

« Mais en tant que père, c'est encore plus difficile. Vous voulez que votre fils connaisse la joie suprême. Vous savez très bien à quel point il est difficile d'y arriver. »

Campbell continuera d'officier avec le même titre l'an prochain, mais les responsabilités disciplinaires seront passées à Brendan Shanahan.

(Avec le Toronto Star)

Tricolore D, Coaching, Powerplay vs désavantage numérique

http://www.hockeybuzz.com/blog/Eric-Engels/Habs-D-Coaching-Powerplay-vs-Penalty-Kill/82/37318



TRADUCTION GOOGLE
Eric Engels Canadiens de Montréal Blogger • RSSArchivesCONTACT

1) Poser une question simple sur le réseau CTV, ce matin, la volonté du Tricolore de la défense soit meilleure qu'elle ne l'était l'année dernière? . 2) il faut aimer l'idée d'avoir Randy Cunneyworth et Randy Ladouceur à venir sur le banc de Montréal.
 
 Ils ont déjà eu un peu juste de l'influence sur le développement de David Desharnais, Max Pacioretty, Yannick Weber et Ryan White. Ils peuvent probablement avoir un impact fort sur ​​le développement rapide de Emelin et Diaz. 3) la perte de Kirk Muller aura probablement le plus grand impact sur ​​les vétérans du Canadien. Il était un excellent entre aller pour Jacques Martin et les joueurs, et il n'est pas question qu'ils vont s'ennuyer de ses séances de stratégie rapide sur le banc.
 
Cela dit, Martin peut communiquer mieux que de lui donner le crédit pour. À la fin, Muller ne se vendait pas autre chose que la stratégie de Martin, les changements donc pas beaucoup avec Muller disparu. 4) Les Avantages numériques haut de cinq ans dans la ligue la saison dernière ont tous été dans la Conférence Ouest. Tampa Bay a été le meilleur jeu de puissance classé l'Est, et juste derrière eux, malgré quelques pointes rocheuses toute la saison, ont été le Canadien de Montréal.
 
Buffalo a été la seule autre équipe de l'Est avec un avantage numérique top-10. Aucune équipe en séries éliminatoires d'autres de l'Est, à l'extérieur de Montréal, Tampa et Buffalo a terminé dans le Top-15 Avantages numériques dans la ligue. 5) tuant peine est plus importante. Seulement deux des meilleures équipes-10 tuant penalty manqué les séries éliminatoires la saison dernière: Ottawa et en Floride. Trois des équipes de haut-5 désavantage terminé la saison avec avantage de la glace. Nashville au 5e rang dans l'Ouest, et à Los Angeles a terminé un point derrière au 7ème. 6) Ne les Canadiens ont assez de peine de tuer les spécialistes? Avec Pyatt, Halpern et Hamrlik allé le vide peut être comblé par d'autres joueurs de l'équipe.
 
Mais comme il est de ces acteurs sont de contribuer à la PK: Plekanec, Gomez, Gionta, Moen, Darche, Blanc, Gorges, Gill, Emelin, Spacek. Avec ce mélange, vous devez penser à Plekanec et Gionta vont jouer plus de minutes en désavantage numérique cette année. 7) Est-ce que Peter Budaj obtenir plus de jeux dans plus Alex Auld a fait l'année dernière? Je suppose que cela dépend de comment il joue. Ou s'agit-il dépendra de la façon prix joue? 8) j'ai avancé les suivantes D-couples sur le blog ce matin: Markov-Gorges Subban-Gill Emelin-Spacek * Je pense que Diaz ou Weber va supplanter Spacek à un certain point, si ce n'est dès la sortie de camp. 9) Qu'est-ce que vous attendez de Andrei Kostitsyn cette année? Une chance d'être une UFA, j'ai du mal à croire que vous serez en mesure de le garder hors des six meilleurs, si votre régime est d'avoir Max Pacioretty patiner à sa place.
 
La concurrence entre les deux sera féroce. Du point de vue d'un entraîneur, il est assez clair que le joueur sera une partie de l'avenir de l'équipe. Mais la motivation Kostitsyn a effectuer est aussi élevé qu'il peut être, et je pense que vous faire ressortir le meilleur en lui. Non loin de prendre la motivation de Pacioretty. Il a des mots forts à sauvegarder, et veut de toute évidence pour prouver sa carrière n'a pas été gêné par des blessures dévastatrices de l'année dernière. 10) Et puis vous avez David Desharnais. Vous obtenez le sens ce gars pourrait exploser à tout moment.
 
Donc beaucoup de compétence. Peut-il rester en bonne santé? Peut-il tirer des peines plus? Cela pourrait être une saison exceptionnelle pour lui. Lars Eller doit être prière il sera prêt pour le début de la saison.

Michel Therrien - Le rôle de commentateur lui plaît

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/archives/2011/07/20110730-014733.html

On reverra probablement Michel Therrien à l’antenne du Réseau des sports à compter de l’automne.

« Le domaine des communications m’intéresse, dit-il.
« Ça me permet de demeurer impliqué dans le hockey et j’ai beaucoup à donner dans le rôle de commentateur.
« Je peux faire part de mes expériences dans le monde du hockey et transmettre mes connaissances aux amateurs.

« C’est un rôle qui me plaît beaucoup. »
Therrien se sent bien dans sa peau.
« Je suis content aussi de revenir au Québec, continue-t-il.
« Je viens de m’établir à Lorraine après avoir vécu aux États-Unis durant huit ans. »

Ses enfants Élisabeth, 19 ans, et Charles, 17 ans, sont aux études. Il prend bien soin aussi de sa mère, qui habite avec la famille.
Quand on lui demande s’il ferait un pas en arrière pour relancer sa carrière d’entraîneur,

Therrien répond n’en avoir aucune idée.
« Ça voudrait dire laisser les enfants seuls, dit-il.
« Le travail, c’est beau, mais je dois m’occuper aussi de ma vie. L’aspect familial, c’est important pour moi. »

Ordinairement, un entraîneur de son statut ne retourne pas dans la Ligue américaine une troisième fois, encore moins dans les rangs juniors.
Mais le métier d’entraîneur oblige parfois à prendre des décisions qu’on ne souhaite pas toujours par rapport à sa vie.

Un début à tout

On ne sait pas si on doit parler d’une tendance, mais cinq des six entraîneurs nommés à leur poste depuis la fin de la dernière saison en seront à leur première expérience à titre d’entraîneur en chef dans la Ligue Nationale.
De ce nombre, quatre proviennent de la Ligue américaine, les plus jeunes étant Mike Yeo (43 ans) et Kyle Gulutzan (39 ans).

Therrien ne sait pas si ces deux embauches ont quelque chose à voir avec les succès remportés par Guy Boucher à sa première saison avec le Lightning de Tampa Bay.
« Ce sont des gars qui ont fait leurs devoirs, explique-t-il.
« La plupart des entraîneurs qui s’amènent dans la Ligue nationale ont passé par la Ligue américaine.

« Moi aussi j’étais jeune quand j’ai eu ma première chance avec le Canadien (37 ans). Il faut bien commencer quelque part.
« Ce n’est sûrement pas moi qui vais cracher sur les jeunes entraîneurs qui sont promus dans la Ligue nationale. »
De toute façon, Therrien est encore jeune. À 47 ans, rien n’est perdu. Il suffit parfois d’un seul appel.

Kovalev retourne en Russie

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/07/20110729-124753.html


MONTRÉAL – Alex Kovalev a finalement tiré un trait sur la Ligue nationale de hockey. L’ancien attaquant des Canadiens de Montréal s’est entendu avec une équipe de la Ligue continentale de hockey (KHL), vendredi.

La nouvelle a été confirmée sur le site internet de l’Atlant de Mytichtchi, près de Moscou, équipe avec laquelle Kovalev poursuivra sa carrière.

«Nous nous sommes battus longtemps pour obtenir les services de Kovalev et nous sommes très heureux de pouvoir compter sur un attaquant avec autant de talent, a déclaré le directeur général de la formation russe, Andrew Ropes. Nous espérons qu’Alex aidera l’équipe à batailler pour les plus hauts sommets de la ligue.»

Selon ce que rapportait le site internet russe Sport Express, le joueur de 38 ans a paraphé un contrat de deux saisons.
La saison dernière, Kovalev a connu une campagne difficile. Avec les Sénateurs d’Ottawa et les Penguins de Pittsburgh, il n'a récolté que 16 buts et 18 mentions d’aide.

L’ancien numéro 27 des Canadiens a pris part à 1302 rencontres dans la LNH, amassant 428 buts et 596 passes, pour 1024 points. Le natif de Togliatti, en Russie, a remporté la coupe Stanley avec les Rangers de New York en 1994.


Chronique de Paul Rivard - Ce qui se passe à Vegas…

http://fr.canoe.ca/sports/chroniques/paulrivard/archives/2011/07/20110728-085604.html




Ce qui se passe dans le vestiaire, RESTE dans le vestiaire.

Therrien se considère tout de même privilégié

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/07/20110730-014705.html


Pour la première fois en 14 ans, Michel Therrien n’est affilié à aucune organisation de la Ligue nationale. Vous pensez bien qu’il n’est pas sans être déçu. On connaît le dicton : entraîneur un jour, entraîneur toujours. Mais l’ancien entraîneur du Canadien et des Penguins n’est pas en colère. Il se considère même chanceux.
« Il ne faut pas oublier que c’est un privilège de diriger dans la Ligue nationale », dit-il sur un ton philosophe.
C’est vrai.
Les entraîneurs en herbe et les gérants d’estrades se comptent par milliers, mais une trentaine d’hommes seulement ont la chance de faire ce travail dans la meilleure ligue de hockey du monde.
À moins d’être à l’emploi des Sabres de Buffalo (Lindy Ruff) ou des Predators de Nashville (Barry Trotz), le poste n’offre aucune sécurité, quoique certains aient neuf vies.
Therrien a été congédié moins d’un an après avoir mené les Penguins à deux victoires de la coupe Stanley, il y a trois ans.
À son arrivée à Pittsburgh, les Penguins étaient une équipe moribonde, malgré l’arrivée de Sidney Crosby.
Tout était à refaire.
La saison suivante, les Penguins prenaient part aux séries pour une première fois en cinq ans.

Cinq ans auparavant, Therrien avait conduit le Canadien à une première présence aux séries en quatre ans, sans Saku Koivu, qui combattait un cancer.
Certes, José Théodore avait connu une saison extraordinaire, mais cela n’enlève rien au mérite de Therrien, au contraire.
Le Canadien traversait l’une des pires périodes de son histoire. Therrien disposait d’une formation peu talentueuse.
Rencontre avec Fletcher
Avec six postes disponibles à la fin de la dernière saison, Therrien était en droit de penser qu’il reprendrait du service derrière le banc d’une formation de la LNH.
En mars, il a décliné une offre de l’équipe de Fribourg, de la Ligue nationale A de Suisse, circuit dans lequel son bon copain et ancien patron Bob Hartley a décidé de réorienter sa carrière.
« Je ne voulais pas m’engager pour deux ans et on me demandait de donner une réponse tout de suite, dit-il.
« J’étais confiant d’avoir le poste au Minnesota ou au New Jersey. »
Le Wild a arrêté son choix sur Mike Yeo, son ancien adjoint à Pittsburgh, tandis que les Devils ont embauché Peter DeBoer. Pourtant, Therrien faisait partie de l’organisation du Wild, à titre d’éclaireur des ligues professionnelles, et il connaissait bien le directeur général Chuck Fletcher, qu’il avait côtoyé dans l’organisation des Penguins.

Il a eu droit à une rencontre avec Fletcher.
« C’était la première fois que je passais une entrevue pour un poste d’entraîneur, quoiqu’on ait plus jasé qu’autre chose, raconte-t-il.
« Au niveau junior, Bob Hartley m’avait amené avec lui à Laval. J’ai suivi ensuite la famille Morissette à Granby.
« À Montréal, Réjean Houle m’a offert le poste en plein milieu de la nuit alors que je revenais d’un match à Hamilton avec les Citadelles de Québec. »
Enfin, Therrien dirigeait la filiale des Penguins, à Wilkes-Barre, lorsqu’il a succédé à Ed Olczyk au cours de la saison 2005-2006.
Lamoriello lui a expliqué
La semaine dernière, le dernier poste vacant était comblé avec l’embauche de DeBoer au New Jersey.
« Lou Lamoriello m’a appelé pour me dire qu’il avait décidé de prendre une autre direction », confie-t-il.
C’est donc dire qu’il était dans la mire du directeur général des Devils.
Therrien accepte son sort.
« Je n’y peux rien, c’est hors de mon contrôle, dit-il.
« Mais je ne suis pas convaincu que les portes sont fermées. »

Interprétation de journalistes
Or, certains journalistes new-yorkais se demandaient, dans les jours précédant la nomination de DeBoer, si son style corrosif pourrait plaire aux joueurs des Devils.
Cette remarque le fait sourire.
« À Montréal, j’étais un player’s coach et, à Pittsburgh, j’étais trop tough ! », réagit- il en pouffant de rire.
« Je suis un entraîneur qui croit aux vertus des sacrifices et de la discipline. À mon arrivée à Pittsburgh, j’ai hérité d’une équipe dont il fallait changer les habitudes et la culture. Un choc culturel s’imposait.
« De plus, l’équipe comptait plusieurs jeunes. C’est une chose de leur inculquer des choses inhérentes au jeu, mais il faut les guider aussi dans la vie.
« Il faut instaurer une structure et une discipline pour qu’une équipe joue au maximum. »
Therrien est bien conscient qu’il n’a pas plu à tous les joueurs qu’il a dirigés, mais il ne pense pas avoir mauvaise réputation.
« Les médias interprètent souvent à leur manière et ça déborde avec l’Internet et les médias sociaux, estime-t-il.
« Je prends ça avec un grain de sel. Plusieurs joueurs des Penguins me font l’accolade quand on se voit. »
Ainsi va la vie d’un entraîneur professionnel.
Drôle de métier quand même.

Affaire Fraser : les Kings ont déposé un grief

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/affaire-fraser-les-kings-ont-depose-un-grief-89113.html


(CKAC Sports) - Nouveau rebondissement dans l'affaire Colin Fraser.Ra
Rappel des faits : désireux de respecter la volonté de Ryan Smyth de retourner à Edmonton, les Kings avaient accepté de prendre l'attaquant Gilbert Brulé en retour. Cependant, après s'être aperçus que le joueur n'avait pas reçu le feu vert pour revenir au jeu à la suite d'une commotion cérébrale, ils avaient dû faire machine arrière. En remplacement, Los Angeles acceptait finalement de prendre le joueur de centre Colin Fraser et un choix de septième ronde en 2012. Mais une fois le joueur arrivé dans la Cité des anges, les médecins du club s'étaient rendus compte que Fraser n'était absolument pas remis de sa fracture de la cheville, et qu'il avait même besoin d'une chirurgie en raison de la présence d'un kyste et d'un problème sanguin.

Furieux, le d.g. des Kings n'avait pas mâché ses mots. « En fin de compte, j'aurais préféré avoir investi mon argent avec Bernie Madoff plutôt que de l'avoir fait à Edmonton », avait-il dit dans un rare accès de colère.

Fraser est passé sous le bistouri plus tôt cette semaine pour réparer sa fracture de la cheville, et il restera à l'écart du jeu pour une durée indéterminée - ce qui aurait tendance à donner raison aux Kings, qui soutiennent que les Oilers ont menti sur l'étendue de la blessure du joueur au moment de l'échange.

Finalement, les Kings ont décidé de passer à l'étape supérieure et ont déposé un grief auprès de la Ligue nationale, selon Helene Elliott, du Los Angeles Times.

La saga Fraser ne fait que commencer...

Lou Lamoriello apporte son soutien à Charles Wang

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/lou-lamoriello-apporte-son-soutien-a-charles-wang-89097.html


(CKAC Sports) - Le président et directeur général des Devils du New Jersey, Lou Lamoriello, a publié un communiqué aujourd'hui concernant le vote important qui va concerner les Islanders de New York.
En effet, les démarches visant la construction d'un nouvel aréna pour les Islanders à Long Island pourraient faire un pas de plus, si les citoyens votent en faveur du projet de 400 millions de dollars, lundi.

« Les Islanders de New York sont une organisation fière avec une riche histoire, remplie de succès. Le vote de lundi pour un nouveau Colisée est vital pour s'assurer que la tradition de ce club perdurera.

Depuis l'ouverture en 2007 du Prudential Center, nous avons vu nous-mêmes l'impact incroyable qu'un nouvel édifice peut avoir sur nos partisans et pour la communauté environnante. Une enceinte de classe mondiale est fondamentale pour obtenir du succès dans le paysage du sport moderne, et nécessaire à la fois pour les partisans et les joueurs.

Le propriétaire Charles Wang et le d.g. Garth Snow ont rassemblé un noyau de jeunes joueurs talentueux dont le futur dépend d'une nouvelle maison à Long Island. Nous espérons pouvoir continuer à entretenir notre rivalité dans la division Atlantique pour encore beaucoup d'années.

Les Devils soutiennent les Islanders dans leur quête pour un nouvel aréna, et pressent les résidents du comté de Nassau de voter oui lundi. »

Un geste fort qui sera sûrement très apprécié du côté des Islanders.