samedi 19 mars 2011

Le Red Bull Crashed Ice fait vibrer Québec

http://fr.canoe.ca/sports/dossiers/archives/2011/03/20110311-130707.html

Réputé à travers le monde pour être l’un des parcours les plus rapides, sinon le plus rapide sur la planète, la piste du Red Bull Crashed Ice de Québec met à l’avant-plan la puissance des patineurs, cette année, en raison des quelques modifications apportées au tracé.

Sous une intense chute de flocon, le président et directeur général de Gestev, Patrice Drouin, a offert une visite du parcours que prennent d’assaut les casse-cou des glaces entre le 17 et le 19 mars.

Technique et puissance des patineurs sont au rendez-vous tout au long du parcours de 580 mètres entre le Château Frontenac et la Place de Paris, en passant par une Côte de la Montagne piégée par de nombreux sauts.

D’entrée de jeu, l’impressionnante rampe de lancement érigée au pied du Château Frontenac laisse sa place à une structure beaucoup plus docile. «Cette année on se donne comme objectif de maximiser les patineurs et patineuses qui sont puissants. C’est une chance pour ceux qui se sont faits dépasser dans les premiers instants du parcours de revenir dans la course», a indiqué Patrice Drouin, qui a récemment assuré la présence de l’événement dans les murs de la Vieille-Capitale jusqu’en 2013.

Virage corsé

Autre changement majeur, l’ajout d’un virage à 360 degrés juste avant d’entamer la descente de la Côte de la Montagne, dans le parc Montmorency.
«C’est une boucle complète qui amène les patineurs à passer sous le parcours.
Les patineurs devront recommencer à patiner. Ça va les amener à la vitesse zéro dans l’extrémité du virage. Il vont recommencer à patiner pour pouvoir se dépasser dans la Côte de la Montagne», a-t-il ajouté à propos de l’événement qui représente l’équivalent de 70 000 heures de travail par 120 employés sur une période de six semaines.
 
La descente de la Côte de la Montagne n’en est pas une de tout repos, puisque plusieurs sauts ainsi qu’une bosse de chameau ont été semés un peu partout.
«C’est le résultat de l’expertise de Christian Papillon, l’ancien athlète du Red
Bull Crashed Ice, qui travaille maintenant pour Red Bull. Il a le mandat notamment d’ajuster la piste pour donner un meilleur spectacle», a ajouté le grand manitou de Gestev.
 
L’arrivée à Place Royale se fait un peu plus doucement que par les années passées, alors qu’une abrupte pente y menait. La structure a été rapprochée de la fresque du Petit-Champlain, donnant ainsi un virage serré et incurvé. L’ère d’arrivée a également été repensée à la Place de Paris.

Sur trois jours

Trois jours de compétition, au lieu de deux, sont à l’horaire. Le jeudi devait permettre aux patineurs et patineuses du Canada de gagner leur place pour les qualifications du vendredi soir, qualifications qui se font à quatre patineurs.
La course principale est quant à elle prévue le samedi soir.

Un congé qui vient à point

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2011/03/20110319-154901.html

L’entraîneur-chef Jacques Martin a accordé une journée de repos aux joueurs des Canadiens de Montréal, samedi, au lendemain du cuisant revers de 6-3 encaissé contre les Rangers de New York.

 
Une petite pause qui vient à point pour la formation décimée par les blessures, qui disputera son dernier match d’une éprouvante semaine dimanche soir, au domicile du Wild du Minnesota.
 
Privés de Tomas Plekanec et Jeff Halpern – entre autres -, les Canadiens tenteront de terminer cette séquence de quatre rencontres en six soirs par une victoire contre le Wild, qui occupe le 11e rang dans l’association de l’Ouest.
 
La formation du Minnesota est à six points du huitième rang, dernière place donnant accès aux séries éliminatoires, présentement occupée par les Flames de Calgary.
 
Même si elle a perdu deux de ses trois derniers matchs, la troupe de Jacques Martin demeure bien ancrée en sixième place dans l’Est, cinq points devant les Rangers. Les Sabres de Buffalo, huitièmes, sont à neuf points du Tricolore.

Jacques Martin n’a pas précisé qui de Carey Price ou d’Alex Auld défendra le filet des Canadiens, dimanche. Contre les Rangers, Price a cédé cinq fois sur 12 lancers en première période, avant de laisser sa place au gardien substitut. Ce dernier a accordé un seul but en 19 tirs.

La saison de Plekanec terminée?

http://www.gohockeygo.com/site/?p=632

Tout bon journaliste se doit d’avoir au minimum 2 sources distinctes avant de publier une nouvelle. Comme je ne suis pas journaliste, mais bien un simple blogueur, je ne me souscris pas à cette règle.
L’une de mes sources les plus solides me mentionne que Tomas Plekanec pourrait passer sous le bistouri la semaine prochaine, pour une blessure au bas du corps. Ouch! Oui, Desharnais et Eller jouent du bon hockey, mais Tomas Plekanec est le meilleur joueur de centre du Canadien!
Et ne me parlez pas de Scott Gomez SVP…
Inutile de vous dire que si la saison de Plekanec est terminée, ce sera difficile de faire un long bout de chemin durant le tournoi printanier!
Si quelqu’un a une confirmation de cette rumeur, n’hésitez pas à la publier ici ou à m’envoyer un courriel : info@gohockeygo.com
Pendant ce temps, Tom Pyatt se réconcilie avec la position de joueur de centre…

Accueil » Hockey » LNH - Ligue Nationale de HockeyLes Sens ralentissent de nouveau les Devils

http://www.fanatique.ca/lnh/les-sens-ralentissent-de-nouveau-les-devils+8217.html

publié le 18 mars 2011 à 12h04 par Christopher Pellerin





Chris Neil a inscrit deux buts dans une victoire de 3-1 des Sénateurs d'Ottawa sur les Devils du New Jersey, qui demeurrent à six points d'une participation en séries éliminatoires.
Neil a d'abord doublé l'avance des siens 2-0 au troisième tiers, mais on a eu recours à la reprise vidéo avant que les officiels n'accordent le but. Le numéro 25 a complété la marque dans une cage déserte, avec moins d'une minute à faire au match.
Chacune des deux équipes a profité d'un avantage numérique. Ryan Shannon avait ouvert le pointage à 1-0 Ottawa, faisant dévier le tir frappé de Jason Spezza. Brian Rolston avait quant à lui profité de la circulation devant Curtis McElhinney pour réduire la marque à 2-1 Sénateurs.
 Les Sénateurs ont prolongé à cinq leur séquence de matchs avec un but en avantage numérique. Le tout a pris vie lorsqu'Erik Karlsson a inscrit son deuxième du match, dans une victoire de 2-1 des Sénateurs sur les Panthers, à Sunrise, le 10 mars 2011.
Curtis McElhinney a obtenu un deuxième départ en moins d'une semaine, en remplacement de Craig Anderson, qui est incomodé par une petite blessure qui l'avait empêché de prendre part à l'entraînement matinal de mercredi. Ce dernier agissait tout de même à titre de secondeur à McElhinney, qui a réalisé 33 arrêts dans la victoire.
 Acquis par Ottawa le 28 février, via le ballotage, McElhinney est parvenu à effectuer l'arrêt du match, lorsqu'il a habilement frustré Ilya Kovalchuk en échappée.
Les Devils perdent un autre point précieux à leur fiche. Les hommes de Jacques Lemaire demeurent ainsi à six points des Sabres et du huitième rang dans l'Association de l'Est - donnant automatiquement accès aux séries d'après-saison. Ils acceuilleront les Capitals demain soir.
À noter que les défaites du 8 mars dernier et de ce soir auront fait perdre 4 points aux Devils. Des gains aux pareilles dates les auront rapprochés à deux points d'une place en séries.

Gerry Cheevers des Bruins de Boston

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201103/19/01-4381067-gerry-cheevers-des-bruins-de-boston.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4381055_article_POS3

Il y a de ces histoires qui relèvent du mythe, trop belles pour être vraies et souvent bonifiées avec les années. Mais l'histoire du masque de Gerry Cheevers n'est pas une légende. Elle est véridique du début à la fin.
Ce fameux récit met en scène un jeune Cheevers qui déteste les entraînements et qui décide, un beau matin, de feindre une blessure au visage après avoir été atteint par un tir faible «qui n'aurait pas brisé un oeuf», selon ses propres mots. Sommé de retourner sur la glace par l'entraîneur Harry Sinden, Cheevers remarque alors que le préposé à l'équipement des Bruins de Boston, «Frosty» Forristall, est en train de dessiner des points de suture sur son masque, comme pour faire croire qu'il avait été sérieusement blessé.
Le reste fait partie de l'histoire avec un grand H, comme on dit.

«Après ça, on s'est mis à faire une évaluation du nombre de points de suture que j'aurais dû recevoir si je n'avais pas porté le masque, raconte l'ancien gardien des Bruins. Au bout du compte, après toutes ces années, je pense que notre estimation était assez précise!»

En tout, Cheevers a disputé un grand total de 418 parties dans la LNH. Des rondelles dans la figure, il en a reçu. Souvent. Résultat? Plus ça allait et plus le masque se couvrait de ces petites traces noires. «Mais à l'époque, personne ne me faisait le moindre commentaire sur mon masque, précise-t-il. Ce masque est probablement devenu le plus connu de toute l'histoire de la LNH, mais sur le coup, on ne pensait pas à ça.» Cheevers affirme avoir porté seulement deux versions du masque durant toute sa carrière de 1965 à 1980,
chez les Bruins de Boston et chez les Crusaders de Cleveland, dans la défunte Association mondiale de hockey.

«J'ai eu le même masque pendant tous les matchs de saison régulière, sauf pour une saison, alors que j'ai porté l'autre... J'ai refusé plusieurs offres d'achat pour ces masques, vous savez. Je ne vais jamais les vendre.»

Les deux masques de Gerry Cheevers sont entre bonnes mains. Une version se trouve au Musée de St. Catharines, en Ontario. L'autre version est accrochée à l'un des murs de la chambre de son petit-fils.

Bernie Wolfe des Capitals de Washington

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Certains gardiens font surtout parler d'eux à cause de leur masque. C'est le cas de Bernie Wolfe. Gardien ordinaire pour une équipe ordinaire, Wolfe n'a disputé que quatre petites saisons dans la Ligue nationale de hockey, de 1975 à 1979, avec les Capitals de Washington. Mais on se souvient encore de lui.
«On m'envoie constamment des cartes de hockey par la poste, affirme-t-il. Les gens me demandent toujours de les signer. Je dois en recevoir chaque jour!
C'est bien, parce que je ne me suis jamais pris au sérieux.»
Les fans, eux, le prennent au sérieux. Pourquoi? À cause de son masque.
«Quand j'ai commencé dans la LNH, j'avais un masque tout blanc, simple, un peu comme celui du personnage de Jason dans les films d'horreur de la série Friday the 13th. J'avais subi quelques coupures près des yeux avec ce masque-là, alors en 1977, j'ai demandé à Greg Harrison de me fabriquer un autre masque et d'y peindre quelque chose qui allait bien représenter la ville de Washington. Et c'est là que Greg m'a parlé du drapeau américain...»
Le résultat, aussi spectaculaire qu'efficace, est un masque qui cadre parfaitement avec l'équipe et sa ville. Au fil des ans, plusieurs gardiens ont, eux aussi, eu l'idée de s'approprier le drapeau américain, mais c'est Bernie Wolfe, pourtant un Montréalais de naissance, qui l'a fait en premier. Il ne l'a jamais regretté. En fait, ce masque lui a permis d'être invité chez le président américain!
«C'est exact. En 1988, j'ai reçu un appel de la Maison-Blanche. On m'a dit que le Président Reagan avait vu une affiche avec mon masque lors des Jeux olympiques de Calgary et qu'il avait été très impressionné. Le chef de cabinet voulait acheter une copie de l'affiche pour la Maison-Blanche! Alors, ils m'ont invité pour y prendre un repas. J'y suis allé, mais le président n'était pas là...»
Le fameux masque de Bernie Wolfe est aujourd'hui accroché à un des murs du Temple de la renommée, à Toronto. «Et ce n'est pas en raison de mon jeu sur la glace!», précise-t-il en riant.

Les masques au fil du temps

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Même après toutes ces années, je n'ai jamais complètement pardonné à Scotty Bowman.

C'était un soir glacial de janvier 1978, au vieux Forum de Montréal. Le
Canadien accueillait les Kings de Los Angeles, un club qui, contrairement au
Canadien de cette glorieuse époque, n'avait rien d'une puissance. D'un point de vue strictement sportif, le match n'était sans doute pas d'un grand intérêt. Mais à mes yeux de petit bonhomme, il y avait là un attrait majeur: le Canadien contre les Kings, ça voulait dire Ken Dryden contre Rogatien Vachon. Les deux plus beaux masques du hockey dans le même aréna en même temps. Vous avez dit événement?

Il y a de ces moments où l'histoire avec un grand H se fait sous nos yeux. Woodstock, Expo 67, la chute du mur de Berlin... Moi, mon moment historique allait être ce Canadien-Kings du 28 janvier 1978. J'allais pouvoir dire: «J'y étais.»

Dryden, c'était bien sûr le masque bleu, blanc et rouge qui semblait former une cible (mais ce n'était pas une cible, et nous y reviendrons plus loin dans ce livre, promis). Vachon, c'était le masque au mauve des Kings avec les petites couronnes au-dessus des yeux. Bref, la soirée s'annonçait magique, rien de moins.

Je ne sais trop comment, mais du haut de mes six ans et demi (le «et demi» est toujours très important à cet âge), j'ai fini par convaincre mes parents de m'y amener.

Je revois encore mon père marchander auprès des revendeurs de rue pendant que ma mère, terrifiée, s'imaginait que cette transaction illicite allait finir très mal, possiblement au poste de police le plus proche.

Mon père a finalement trouvé des billets.
On a franchi les portes pour aller à nos sièges. Et c'est là que le drame a éclaté.

Ce n'était pas Ken Dryden devant le filet du Canadien.

On aurait pu m'apprendre que des extraterrestres étaient sur le point d'envahir la Terre que je n'aurais pas été aussi secoué. Parce que Ken Dryden était TOUJOURS devant le filet du Canadien. Même les jours fériés. Mais ce soir-là, pour une raison que la raison ignore, ce n'était pas lui. C'était plutôt son éternel substitut, Michel Larocque. Je n'ai rien contre Michel Larocque; c'est juste que lui, il portait un vulgaire casque tout blanc, avec une grille toute blanche. Qui veut se déplacer pour voir ça?

Je n'ai jamais su pourquoi, en ce soir de janvier 1978, l'entraîneur du Canadien de Montréal, Scotty Bowman, avait misé sur Larocque. Les Kings, eux, avaient bien compris la portée historique de ce match et choisi Rogatien Vachon pour défendre leur but. Mais Bowman avait laissé Dryden sur le banc et moi, j'étais resté sur ma faim.
Honnêtement, je ne m'en suis jamais vraiment remis.

Ken Dryden du Canadien de Montréal

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201103/19/01-4381061-ken-dryden-du-canadien-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_canadien_427188_section_POS2



Il y a des fois où le masque est aussi connu que le gardien qui l'a porté. C'est le cas ici.

Ken Dryden, c'est les triomphes mémorables, les championnats, les arrêts acrobatiques... et le masque. Ce masque. Un masque que le gardien ontarien s'est mis à porter en 1974, après avoir été atteint en plein visage par un tir de
Dennis Hull lors de la finale contre Chicago en 1973. C'est à ce moment-là que notre héros s'est rendu compte que son vieux masque blanc plein de trous ne faisait plus l'affaire.

«Mon premier masque était en train de craquer; vers la fin, il tenait avec du ruban adhésif, c'était devenu trop dangereux, se souvient-il. J'ai alors pris contact avec Carl Lamb, qui m'avait offert de dessiner un nouvel uniforme. Je lui ai plutôt demandé de me dessiner un nouveau masque.»

On a toujours cru que le fameux masque de Dryden représentait une cible. Erreur. «En fait, ce que je désirais, c'était trois C aux couleurs de l'équipe, c'est-à-dire un C bleu, un blanc et un rouge. C'est seulement à ma retraite que j'ai appris que les gens voyaient une cible sur mon masque.»

Aujourd'hui, le masque bleu, blanc et rouge de Ken Dryden est considéré comme l'un des masques mythiques de l'histoire de la LNH. Des répliques ont été fabriquées, le peintre Serge Lemoyne en a fait un tableau et des copies en carton ont été offertes dans le cadre d'une campagne de publicité.

Pour le principal intéressé, tout ça est plutôt surprenant. «Quand j'ai porté le masque pour la première fois en 1974, les gens étaient déçus. Ils aimaient le premier masque. Ils me reconnaissaient avec le masque.
blanc à trous, et c'était comme si je changeais de visage. C'était un peu étrange pour eux. Que le masque soit encore très populaire de nos jours, c'est quelque chose que je n'aurais jamais pu deviner.»

Et où est le fameux masque de Ken Dryden aujourd'hui? Pas au Temple de la renommée à Toronto. «Ils ont appelé, mais je leur ai fait savoir que je préférais le garder. Il y a de ces objets comme ça qui sont importants. Le masque est chez moi et je ne vais pas m'en départir.»

Précédent | Latendresse le gras, Cammy blessé et les news du samedi

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2635:latendresse-le-gras-cammy-blessé-et-les-news-du-samedi&Itemid=18

- L'une de nos sources au Star Tribune affirme que Guillaume Latendresse est déjà considéré comme un joueur fini par certains dirigeants du Wild. Gras, en méforme effrayante, constamment blessé, Tender a pris des mauvaises habitudes de vie.
- Le responsable du conditionnement physique chez le Wild, Chris Pietrzak-Wegner, avait confié à notre informateur qu'il n'avait jamais vu joueur aussi peu en forme en revenant de l'été. Peut-être que le Québécois s'est enflé la tête après sa belle saison? Toujours est-il qu'il n'a pas pris soin de son corps, n'a pas surveillé son alimentation et surtout, ne s'est pas assez entraîné en gymnase durant la saison estivale selon notre source.
- Rien ne vas plus à l'infirmerie du Canadien. Mike Cammalleri est blessé à une cheville. Voilà la raison pourquoi il semble jouer au ralenti ces temps-ci.
- Carey Price semblait tellement affecté après avoir été sorti du match qu'on a presque cru qu'il allait pleurer. Une chose est sûre, on ne peut plus accuser le gardien du CH d'être nonchalant et indifférent,
- Henrik Lundqvist était furieux après le match. Selon lui, Benoit Pouliot a fait exprès de lui rentrer dedans afin de le blesser. Honnêtement, le gardien est de mauvaise foi. À la reprise vidéo, on voit très bien Pouliot se faire pousser par le défenseur des Rangers.
- On peut maintenant comprendre l'entraîneur Todd Richards, qui avait décidé de placer Latendresse sur le 4e trio en octobre dernier parce que l'attaquant n'arrivait pas à suivre le rythme aux entraînements.
- Rien ne va plus entre Sean Avery et son entraîneur-chef John Tortorella. La peste des Rangers a encore une fois été laissé de côté lors du match d'hier.
- Selon nos sources, plusieurs vétérans seraient allés voir Tortorella pour lui dire qu'ils ne pouvaient plus sentir Avery. Ce dernier est de plus en plus isolé dans le vestiaire. On peut comprendre...
- Maxim Lapierre se sent de plus en plus à l'aise à Vancouver. Le Québécois a joué un bon match hier, malgré la défaite contre les Coyotes. Impliqué physiquement, efficace au cercle des mises au jeu (plus de 60% d'efficacité), Lappy aurait-il enfin trouvé sa place?
- Les journalistes de Phoenix affirment que Keith Yandle devrait être un sérieux candidat pour le trophée Norris.
- Nicklas Backstrom a affirmé être prêt à revenir au jeu.

Les Capitals à égalité au premier rang

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-capitals-a-egalite-au-premier-rang-65579.html

NEWARK, New Jersey - La recrue Michal Neuvirth a effectué 33 arrêts pour réussir son quatrième blanchissage de la saison, vendredi, et les Capitals de Washington ont vaincu les Devils du New Jersey 3-0.
Le défenseur Jeff Schultz a mis fin à une disette de 81 matchs sans marquer, tandis que Alexander Ovechkin mettait la table pour les deux autres filets de Mike Knuble.

Les Capitals ont dirigé seulement 12 tirs vers Martin Brodeur pour récolter leur 13e victoire en 16 rencontres. La troupe de Bruce Boudreau s'est ainsi hissée au premier rang de l'Est avec 94 points, à égalité avec les Flyers de Philadelphie. Les Flyers ont cependant trois matchs de plus à disputer, et un gain de plus à leur fiche.

Les Devils en étaient à leur deuxième défaite en autant de soirs et sont toujours à six points des Sabres de Buffalo, huitièmes dans l'Est. Les Devils, qui ont un dossier de 23-5-2 au cours des 30 derniers affrontements, ont encaissé deux défaites d'affilée pour la première fois depuis les matchs du 6 et 8 janvier.

Brodeur a alloué trois buts en 12 tirs pour les Devils.Nicklas Backstrom, qui avait raté les cinq dernières parties des Capitals en raison d'une fracture à un pouce, était de retour dans la formation. Il a cependant été blanchi de la feuille de pointage.

Les Coyotes prennent une option sur les séries

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-coyotes-prennent-une-option-sur-les-series-65600.html

VANCOUVER - Radim Vrbata et Shane Doan ont marqué à 1:18 d'intervalle au cours du même avantage numérique tard en troisième période, vendredi, et les Coyotes de Phoenix ont vaincu les Canucks de Vancouver 3-1.
Dans la victoire, le gardien Jason LaBarbera a repoussé 46 des 47 rondelles qui ont été dirigées vers lui.

Lee Stempniak a complété la marque pour les Coyotes, qui ont mis un terme à la séquence de sept gains des Canucks.

Peu après avoir écoulé un cinq contre trois devant la meilleure équipe de la LNH avec un homme en plus, les Coyotes ont eu droit à un avantage numérique d'une durée de cinq minutes. C'est l'attaquant des Canucks Alex Burrows qui a écopé d'une pénalité majeure et d'une inconduite de partie, lui qui a poussé Vernon Fiddler tête première dans la bande.

Vrbata a déjoué Roberto Luongo alors qu'il restait 6:29 à faire au troisième vingt grâce à son 18e filet de la saison. Doan a également enfilé son 18e de la campagne pour les Coyotes, qui ont remporté un cinquième match et qui se trouvent maintenant à un point des Sharks de San Jose et du sommet de la section Pacifique.

Le DG des Blue Jackets peut dormir tranquille

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/le-dg-des-blue-jackets-peut-dormir-tranquille-65621.html

(CKAC Sports) - Les Blue Jackets de Columbus n'ont qu'une seule victoire à leurs dix derniers matchs; une séquence qui leur fera fort probablement rater les séries pour une 9e fois en dix ans. Mais, malgré toutes les rumeurs qui circulent, le directeur général peut dormir tranquille.
« Il n'y a aucun doute à avoir quant au retour de Scott (Howson), a déclaré le président Mike Priest au Columbus-Dispatch. Il est le directeur général de cette équipe. Je suis conscient que certains ont lancé des rumeurs, mais Scott est notre directeur général et il sera de retour dans ses fonctions. Il n'y a rien de plus à ajouter. »

Plusieurs reprochent encore à Howson d'avoir congédié Ken Hitchcock, en 2010, moins d'un an après qu'il eut mené l'équipe à leur première participation aux séries de leur histoire.

« J'apprécie le soutien et l'occasion qui m'est donnée de poursuivre et de faire avancer cette équipe, a déclaré Howson. Nous voyons les progrès qui ont été faits et le personnel d'entraîneurs faire du bon travail. Mais nous sommes loin de notre objectif et il reste beaucoup de travail à faire. »

Scott Howson est entré en fonction en 2007.

Outre les problèmes de l'équipe sur la glace, le président devra trouver un moyen de ramener des partisans dans les estrades du Nationwide Arena. Selon ESPN, les Blue Jackets viennent au 27e rang en ce qui a trait aux assistances, avec une moyenne de 13 285 spectateurs par rencontre.

Jonathan Huberdeau fait parler de lui

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/jonathan-huberdeau-fait-parler-de-lui-65648.html

(CKAC Sports) - L'ailier gauche des Sea Dogs de Saint John continue de faire parler de lui. Le quotidien USA Today - l'un des plus lus aux États-Unis - lui a consacré quelques lignes samedi matin.
Quelques jours après qu'il eut inscrit son 100e point de la saison - il en a maintenant 102 - le journaliste Kyle Woodlief affirme qu' Huberdeau « est devenu le meilleur espoir de la LHJMQ » en vue du prochain repêchage.

Woodlief estime qu'il a maintenant « dépassé » Sean Couturier, un joueur qui en est pourtant à sa troisième saison dans la LHJMQ et qui est physiquement plus développé.

« Huberdeau, à sa deuxième saison dans la LHJMQ, apparaît plus affirmé et plus agressif, indique-t-il. Nous croyons qu'il est à un niveau supérieur, en ce moment, que Couturier l'était l'an dernier à pareille date lorsqu'il a gagné le championnat des pointeurs. »

Woodlief estime que Courturier « ne joue pas nécessairement mal », mais qu'il joue à un niveau moins élevé que ce à quoi il s'attendait

80% des Canadiens veulent bannir les coups à la tête

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/80-des-canadiens-veulent-bannir-les-coups-a-la-te-65650.html

(CKAC Sports) - Suite de la controverse qui a suivi l'affaire Chara-Pacioretty et qui s'est prolongée à Boca Raton cette semaine, lors de la réunion des directeurs généraux : 80% des Canadiens souhaitent bannir les coups à la tête du hockey, selon un sondage réalisé Angus-Reid pour le magazine Maclean's.
Le sondage en ligne, effectué auprès de 1000 Canadiens adultes entre le 9 et le 11 mars, demandait aux internautes de donner leur opinion sur l'état actuel du hockey.

Les résultats ont aussi montré que 60% des sondés pensent que le hockey professionnel est devenu plus violent au cours des cinq dernières années, ce pourcentage tombant à 48% parmi les gens qui se considèrent comme des fans de ce sport.

Par ailleurs, 66% des Canadiens ont trouvé que la Ligue nationale s'était montrée trop indulgente envers le défenseur des Bruins Zdeno Chara, qui n'avait pas reçu de sanction disciplinaire à la suite de sa charge sur le jeune attaquant du CH, Max Pacioretty.

Subban a besoin d'un grand frère

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/archives/2011/03/20110318-230910.html

MONTRÉAL – Un grand frère pour P.K. Subban. C’est ce que les Canadiens de Montréal devront trouver pour le défenseur recrue, estime Bob Hartley, l’ancien entraîneur de la LNH.
À l’émission «Le Match», présentée sur les ondes de LCN et TVA, vendredi, Hartley a commenté l’escarmouche survenue lors du match Canadiens-Rangers, dans laquelle Subban a été impliqué.
«Je ne suis pas convaincu que Subban pourra continuer à pratiquer ce style de jeu avec une équipe comme Montréal, d’indiquer Hartley. Les Canadiens devront lui trouver un grand frère, il faudra mieux conseiller Subban.»
Hartley pense que le vétéran Roman Hamrlik pourrait être l’homme tout désigné pour un tel mandat.
«Hamrlik a débuté jeune dans la LNH, comme Subban. Il devrait le prendre sous son aile pour éviter qu’il se retrouve toujours visé par des adversaires.»
L’ancien marqueur de 50 buts du Tricolore, Stéphane Richer, s’est dit tout à fait en accord : «Si tu mets trop souvent de la moutarde, c’est certain, tu deviendras une cible et ça va te nuire.»
Par ailleurs, Richer a indiqué que le gardien Carey Price mérite assurément le trophée Hart, remis au joueur le plus utile à son équipe, pour la saison 2010-2011.
«Aucun doute. Price est seul dans la course. Price doit gagner le Hart. Où serait le Canadien sans lui?»

Neuvirth et les Capitals blanchissent les Devils

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201103/18/01-4381011-neuvirth-et-les-capitals-blanchissent-les-devils.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_hockey_194509_section_POS1

La recrue Michal Neuvirth a effectué 33 arrêts pour réussir son quatrième blanchissage de la saison, vendredi, et les Capitals de Washington ont vaincu les Devils du New Jersey 3-0.
Le défenseur Jeff Schultz a mis fin à une disette de 81 matchs sans marquer, tandis que Alexander Ovechkin mettait la table pour les deux autres filets de Mike Knuble.
Les Capitals ont dirigé seulement 12 tirs vers Martin Brodeur pour récolter leur 13e victoire en 16 rencontres. La troupe de Bruce Boudreau s'est ainsi hissée au premier rang de l'Est avec 94 points, à égalité avec les Flyers de Philadelphie. Les Flyers ont cependant trois matchs de plus à disputer, et un gain de plus à leur fiche.
Les Devils en étaient à leur deuxième défaite en autant de soirs et sont toujours à six points des Sabres de Buffalo, huitièmes dans l'Est. Les Devils, qui ont un dossier de 23-5-2 au cours des 30 derniers affrontements, ont encaissé deux défaites d'affilée pour la première fois depuis les matchs du 6 et 8 janvier.
Brodeur a alloué trois buts en 12 tirs pour les Devils.
Nicklas Backstrom, qui avait raté les cinq dernières parties des Capitals en raison d'une fracture à un pouce, était de retour dans la formation. Il a cependant été blanchi de la feuille de pointage.

Cammalleri: «Une année difficile depuis le premier jour»

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201103/19/01-4381045-cammalleri-une-annee-difficile-depuis-le-premier-jour.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4d__476072_section_POS3


(New York) Michael Cammalleri est blessé au pied droit. Il refuse de dire jusqu'à quel point cette blessure nuit à son coup de patin, mais il reconnaît qu'il ne joue pas à la hauteur de ses moyens.
«C'est une année difficile pour moi depuis le premier jour de la saison, a-t-il confié.
«Mais si j'enfile l'équipement, je dois faire le travail. C'est juste frustrant parce que je ne joue pas au niveau que j'attends de moi-même...»

Il n'est pas le seul, remarquez, à traîner des bobos par les temps qui courent. Le problème, c'est que le Tricolore est déjà à court de soldats et qu'en situation de match, il doit souvent s'en remettre à ses joueurs de premier plan comme Cammalleri.

D'ailleurs, face aux Rangers - qui ont évité l'odieux d'être balayé en quatre matchs cette saison face au Canadien - quatre attaquants du CH ont été utilisés moins de neuf minutes.

Apprendre de ses erreurs
Dans l'espoir de combler l'écart, Jacques Martin a par exemple réuni ses meilleurs attaquants en plaçant Cammalleri à la gauche de Scott Gomez et Brian Gionta.

Cela a donné des résultats dès le début de la deuxième période: ce trio-là était sur la glace lorsque James Wisniewski a inscrit le deuxième but des siens à l'aide d'un tir frappé qui a dévié sur deux bâtons.
Mais par la suite, des punitions à Lars Eller, P.K. Subban et Benoit Pouliot ont brisé le rythme du Canadien dans ses efforts de ralliement.

«Nous avons encore écopé de mauvaises punitions, a regretté Wisniewski. Nous n'apprenons pas de nos erreurs. Il faut jouer fort entre les coups de sifflet, être actif et donner des mises en échec.

«Nous n'avons pas l'équipe pour nous battre, mais nous devons utiliser notre vitesse et notre maniement de rondelle.»

plutôt pour patiner et manier la rondelle.»
Des choses inhabituelles
Selon Gionta, les surnombres à répétition donnés en première, de même que l'écart entre les attaquants et les défenseurs qui partait de Canal Street jusqu'à Central Park, ne saurait être expliqué en regardant le temps d'utilisation.
«Ce n'est pas à cause de la fatigue que ces jeux-là arrivent. Nous avons fait des choses que nous ne faisons pas normalement», a mentionné le capitaine.
Ces jeux inhabituels, Jacques Martin les a énumérés d'un seul trait après la rencontre.
«Leur premier but a été le résultat d'un lancer bloqué qui a permis une échappée, a noté Martin.
«Sur le deuxième, nous n'avons pu sortir la rondelle de notre zone au terme d'un désavantage numérique.
«On leur a donné le troisième après une bataille perdue.
«Le quatrième est survenu sur un revirement en zone défensive. «Et sur le cinquième, un défenseur s'était compromis, ce qui a créé un autre revirement.»
Voyez-vous le nom de Carey Price dans cette énumération?
Eh ben non.
C'est pourtant lui qui en a fait les frais de cette mauvaise exécution, laissant sa place à Alex Auld avec 1:44 à faire au premier tiers.
«Je suis arrivé dans le match sans avoir rien à perdre, a raconté Auld. Je voulais seulement freiner l'hémorragie et tenter de faire tourner le vent de côté quelque peu.
«On a quand même fait en sorte qu'il y ait un match. La situation n'est pas demeurée au même point qu'en première période.
«Au moins, on pourra se dire qu'on a bien fini.»

Mike Gillis aura plusieurs décisions à prendre par rapport à sa brigade défensive

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8302/rumeurs/de/transactions/tslh/vancouver%20canucks/2011-03-18/mike-gillis-aura-plusieurs-decisions-a-prendre-par-rapport-a-sa-brigade-defensive/

The Vancouver Province : Jim Jamieson rapporte que le directeur général des Canucks, Mike Gillis, aura plusieurs décisions à prendre par rapport à sa brigade défensive d'ici le premier juillet prochain. Dan Hamhuis, Alex Edler, Keith Ballard ainsi que Aaron Rome font parties des défenseurs qui sont déjà sous contrat l'an prochain. Le journaliste note également que les Canucks pourraient également garder le jeune Chris Tanev dans l'alignement partant. Si la situation reste ainsi, tous ces joueurs toucheront un total de 13,6$ M.

Cette saison, les Canucks ont environ 21$ M qui est alloué à leur brigade défensive. Jamieson note que si les plans de l'équipe demeure semblables par rapport à la masse salariale allouée à la brigade défensive, l'équipe aura donc environ 8$ M à dépenser. Kevin Bieksa et Christian Ehroff seront deux défenseurs qui seront libres comme l'air au premier juillet et le journaliste croit que le montant de 8$ M ne sera pas suffisant pour offrir un nouveau contrat aux deux défenseurs. Il se base sur le fait que l'an dernier, Dan Hamhuis a paraphé une entente d'entente de 4,5$ et que si l'un d'entre eux demande davantage d'argent que celui-ci, il quittera sans aucun doute les Canucks.


Note : Il ne faut également pas oublier le fait que la masse salariale de la LNH devrait également augmenter pour l'an prochain soit d'environ 2$ M. Gillis pourrait utiliser cet argent afin de garder les deux défenseurs à Vancouver. Il ne faut pas également oublier que Sami Salo sera également joueur autonome sans restriction au premier juillet prochain. Gillis pourrait bien signer Salo à son salaire actuel soit 3,5$ M et choisir entre Bieksa ou Erhoff au cours de l'été. Il ne serait pas étonnant non plus de voir un défenseur quitter pour une autre formation au cours du prochain repêchage. Fait à noter, Chris Higgins, Raffi Torres, Tanner Glass, Andrew Alberts ainsi que Jeff Tambellini seront joueurs autonomes à la fin de la présente campagne tandis que V. Oreskovich, Maxim Lapierre ainsi que Lee Sweatt seront joueurs autonomes avec restriction. Gillis dispose tout de même de plusieurs options pour trouver de l'argent pour signer à peu près qui il veut dans sa formation, sa priorité sera sans aucun doute de garder sa brigade défensive intacte, mais pas à n'importe qu'elle prix.

Masacre en 1ère période

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2632:masacre-en-1ère-période&Itemid=18

La Presse Canadienne: La Canadien a laissé filer une belle opportunité de consolider sa position au classement de l'Association Est en concédant six buts aux Rangers de New York - dont trois dans un intervalle de 1:07 au premier vingt - pour finalement s'incliner 6-3, vendredi soir.

Le Tricolore n'a pu compléter le balayage de la série de quatre matchs cette saison contre les Rangers et réduire l'écart à un point derrière le Lightning de Tampa Bay (39-22-10), cinquième au classement de l'Association Est. Il devra aussi se méfier des Rangers (38-30-4), qui ne sont plus qu'à cinq points du Canadien et du sixième rang dans l'Est, avec 10 matchs à disputer.

Artem Anisimov, Dan Girardi, Ryan Callahan, Marian Gaborik, Brian Boyle - qui ont tous marqué en première période - et Vaclav Prospal ont fait vibrer les cordages pour les Rangers, qui ont savouré un troisième gain d'affilée. P.K. Subban, James Wisniewski et Brian Gionta ont riposté pour la troupe de Jacques Martin.

«Il n’y avait que les Rangers en première période, a pesté Wisniewski.  Ils ont créé beaucoup de chances de marquer et ont capitalisé. Nous savions qu'ils seraient prêts, puisqu’ils luttent pour une place en séries, tout comme nous. Nous avons disputé un long match hier (jeudi), nous devions voyager, mais ce n'est pas une excuse.»

Price a été chancelant devant son filet, cédant cinq fois sur 12 tirs seulement. Il a été remplacé pour la deuxième fois de la saison par Alex Auld - qui a complété le match avec 18 arrêts - avant la fin du premier engagement. Son vis-à-vis, Henrik Lundqvist, a maîtrisé 22 tirs dans la victoire.

«Il y avait plusieurs gars qui disputaient leur premier match en carrière au Madison Square Garden, et ça les a peut-être impressionnés», a expliqué Auld.
L'alignement du bleu-blanc-rouge était identique à celui de jeudi contre le Lightning, mais l'issue du match a été tout autre. Hal Gill, toujours grippé, ainsi que Tomas Plekanec et Jeff Halpern - ennuyés par des blessures au bas du corps - n'ont pas accompagné leurs coéquipiers à Manhattan.

Le Canadien dispose maitenant d'une journée de congé avant de se rendre au Minnesota, où il affrontera le Wild, dimanche après-midi.

Prust donne le ton

Travis Moen et Brendon Prust ont donné le ton au match en laissant tomber les gants dès la mise en jeu initiale. Le furieux combat, qui a duré plusieurs secondes, a rappelé qu'il s'agissait d'un de ces fameux matchs «de quatre points».

Ce sont cependant les Rangers qui ont profité du momentum pour ouvrir la marque. Tandis qu'il se trouvait à la ligne bleue en zone offensive, le défenseur Yannick Weber a décoché un tir frappé qui a été bloqué par Anisimov.

L'attaquant russe a alors décampé et s'est retrouvé seul devant Price, qu'il a déjoué d'une feinte du revers du côté de la mitaine à 5:28 de la première période.

Le Tricolore a créé l'égalité à 7:11 grâce à la ténacité de David Desharnais, qui a lutté avec le défenseur Bryan McCabe en entrée de territoire avant de contourner le filet des Rangers pour remettre le disque dans l'enclave. Benoit Pouliot, marqué, a toutefois fendu l'air et la rondelle s'est retrouvée sur la lame du bâton de Subban. Ce dernier a alors pris son temps et décoché un boulet de canon qui s'est faufilé au travers d'une mêlée devant la cage de Lundqvist.

Prust n'avait toutefois pas terminé son travail d'agitateur. Après un arrêt de routine de Price, Prust s'est dirigé vers le no 31 et lui a asséné un coup de genou à la tête - qui a semblé l'ébranler.

Trois buts en 1:07

Roman Hamrlik a ensuite voulu passer un message aux locaux en bousculant Lundqvist, et a écopé d'une pénalité pour double-échec. Quelques secondes après la fin de la pénalité, les Rangers ont pris les devants 2-1 grâce à un puissant lancer frappé de Girardi, qui a eu raison de la vigilance de Price.

Les Rangers ont ensuite doublé leur avance à 17:09 en bénéficiant d'un mauvais rebond dans le demi-cercle de Price. Callahan a décoché un tir de l'enclave qui a ricoché sur Wisniewski avant de voler dans les airs, tandis qu'une mêlée éclatait devant le filet du Tricolore. Le caoutchouc, qui avait été perdu de vue par la majorité des joueurs sur la patinoire, a finalement abouti derrière la ligne des buts. Une reprise vidéo a été nécessaire pour déterminer la validité du filet, qui a finalement été confirmé.

Le Canadien, encore assommé par la décision des arbitres, a cédé un quatrième but 32 secondes plus tard. Weber a tenté un dégagement par le centre qui a été intercepté par Gaborik, qui en a profité pour inscrire son 21e de la saison à l'aide d'un tir des poignets précis. Les Rangers ont ajouté l'insulte à l'injure 35 secondes plus tard en profitant d'un trois contre un face à Wisniewski, et Boyle a complété la descente pour son 21e de la campagne.

Les Rangers venaient d'inscrire quatre buts sans riposte, et sonnaient du même coup le glas de Price. Le Canadien venait aussi de concéder cinq buts au premier tiers pour la première fois de la saison, et le match était déjà à toute fin utile terminé.

Resserrer la défensive

Le premier entracte a semblé calmer les troupes. Le CH a d'ailleurs amorcé la deuxième vingt en étant plus discipliné et en offrant un peu plus de cohésion en défensive. Le Tricolore en a aussi profité pour rétrécir l'écart à 5-2.
Wisniewski, son neuvième, a fait vibrer les cordages d'un puissant lancer frappé de la pointe droite à 4:13 de la période médiane. L'arrière du Tricolore, qui disputait son septième match cette saison contre les Rangers, a trompé Lundqvist d'un tir au-dessus de sa mitaine.

Le Canadien a ensuite tenté une remontée, mais son manque de synchronisme - surtout en supériorité numérique - l'a empêché de générer suffisamment d'opportunités de marquer pour inquiéter les Rangers.

Le Tricolore s'est toutefois repris en frappant tôt au troisième tiers, tandis que Callahan purgeait une pénalité pour rudesse décernée en fin de deuxième période. Gionta a sonné la charge en faisant habilement dévier un tir de la pointe de Wisniewski derrière Lundqvist, à 0:54. Le score était alors de 5-3.

Le Tricolore a toutefois prêché par indiscipline - pour la quatrième fois du match - et brisé de nouveau le rythme qu'il tentait d'instaurer en début de troisième.

Prospal a finalement cloué le cercueil du Canadien en faisant dévier un tir de Girardi derrière Auld, à 17:15. Les Rangers se sont ensuite repliés en défensive et Lundqvist s'est assuré de fermer la porte pour confirmer sa 30e victoire de la saison.

Bryzgalov touchera le gros lot, Bieksa partira de Vancouver et Lemaire pour le Jack-Adams

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2631:bryzgalov-touchera-le-gros-lot-bieksa-partira-de-vancouver-et-lemaire-pour-le-jack-adams&Itemid=18

- Ilya Bryzgalov est considéré par plusieurs comme l'un des meilleurs gardiens au monde en ce moment. Selon les journalistes de Phoenix, le Russe devrait lui aussi être considéré pour le trophée Hart, remis au joueur le plus utile à son équipe. Bryzgalov est le principal artisan des succès des Coyotes et va encore mener son équipe en séries dans la difficile conférence de l'Ouest. Fiche de 31-17-8, une moyenne de buts alloués de 2,58 et un pourcentage d'efficacité de .920. Disons que ces chiffres son impressionnants pour un gardien évoluant dans l'Ouest,

- Les Coyotes réussiront-ils à le garder? Pour cela, il faudrait que la formation reste en Arizona, car Brizgalov n'a aucune envie d'aller jouer à Winnipeg. Avec toute l'incertitude qui place sur l'équipe, tout indique que le gardien devrait tester le marché des joueurs autonomes. Selon nos infos, son agent serait à la recherche d'un contrat à long terme avoisinant les 6 M$ par saison. Le Russe sera l'un des joueurs les plus convoités cet été. À suivre...

- Le directeur général des Canucks, Mike Gillis, aura environ 8 M$ de disponibles pour signer Kevin Bieksa et Christian Ehroff cet été (2 futurs joueurs autonomes sans compensation). Notre source du Vancouver Province nous dit qu'Ehroff signera un contrat à long terme avec l'équipe, amis que Kevin Bieksa devrait tester le marché.

- Rick Dipietro va commencer à ressembler à un mauvais romans-savon. Pour la centième fois, le gardien des Islanders tentera un retour au jeu. Espérons que cette fois, ce sera la bonne...

- Il est assuré que Jacques Lemaire remportera le trophée Jack-Adams et ce, même si les Devils ne réalisent pas l'exploit de se qualifier pour les séries.

- Le Québécois pourrait même être tenté de revenir la saison prochaine. Ses joueurs tentent de le convaincre présentement. Même Ilya Kovalchuk a prononcé un discours au sein du vestiaire pour dire à son coach à quel point il l'appréciait.

Canadien vs LNH

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2630:canadien-vs-lnh&Itemid=18

- Les dirigeants de la LNH rient dans leur barbe. Imaginez. Maintenant que l'on sait que Max Pacioretty sera en mesure de revenir pour les séries, Gary Bettman et Colin Campbell perçoivent le Canadien comme des fouteurs de trouble qui ont essayé de ternir la réputation de la ligue pour rien.

- Pourtant, ce n'est pas le résultat qu'il fallait punir, mais bien le geste. Peu importe, le CH est maintenant reconnu comme l'ennemi numéro un de la LNH.

- Quelle ligue qui se dit professionnelle peut se liguer contre la plus grande équipe de l'histoire de son sport? Voyez-vous le MLB être arrogante envers les Yankees? Imaginez-vous la NFL mépriser les Cow Boys de Dallas ou la NBA se moquer des Celtics et des Lakers? Poser la question, c'est y répondre...

- Colin Campbell a frisé le mépris avec les journalistes de Montréal lorsque questionné sur l'incident Chara-Pacioretty. Cette attitude de non-respect à l'égard des médias québécois est une tâche de plus dans le dossier noir de la LNH.

- Enfin, Bettman et compagnie seront contents: le magazine GQ a établi un classement des pires fans sportifs en Amérique du Nord et Montréal se retrouve au 11e rang. À n'y rien comprendre...

Dans la LNH

- Pauvre Manny Malhotra! L'attaquant des Canucks a subi une grave blessure à l'œil. On ne sait pas encore quand il sera en mesure de revenir au jeu.
- Pavel Datsyuk s'est blessé au bas du corps hier. Plus de détails à venir.
- Winnipeg n'a jamais été aussi proche de revoir son équipe de la LNH.

- Jonas Hiller se rapproche d'un retour au jeu.
L'Avalanche du Colorado devrait procéder à un ménage à la fin de la saison. Le directeur général Greg Sherman et l'entraîneur-chef Joe Sacco doivent mal dormir ces temps-ci.

Attitude, crampe au cerveau, reproches et hyperactivité

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2629:attitude-crampe-au-cerveau-reproches-et-hyperactivité&Itemid=18

- Décidément, Carey Price a de l'attitude... Et on aime ça!!!
- Alors que Teddy Purcell a tenté de déjouer Price avec un lobe d'enfant, Price a arrêté la rondelle tellement facilement qu'il s'est permis de regarder le joueur du Lightning d'un air supérieur.

- C'est comme si Price voulait lui dire: "Pensais-tu vraiment m'avoir avec cette petite feinte de junior?"

- Oui, le gardien du CH est en pleine confiance en se moment... et se permet même d'être arrogant. Parions que Purcell n'a pas apprécié.
- Notre informateur a tenté de trouver Vincent Lecavalier après le match pour avoir ses commentaires, mais ce dernier est allé se réfugier dans l'autobus de son équipe.

- Tout ce qu'on sait, c'est que Vinnie a lâché un bon "Tabarn..." lorsqu'il s'est fait sortir du match. Les grands-mère assis sur le bord de la bande n'ont pas semblé aimer le langage du capitaine.
- À quoi donc pensait Lecavalier?? On comprend maintenant le sens de l'expression "crampe au cerveau".

- Vinnie a seulement accepté de parler au journaliste du Tampa Tribune. Voici ce qu'il avait à dire: " "Il m’a fait trébucher par derrière à deux reprises devant le filet. Je croyais qu’il méritait d’être puni. Nous avons contourné le but et il m’a donné deux coups de bâton sur le poignet. J’ai tenté de le signaler à l’arbitre, mais je me suis ensuite retourné et j’ai répliqué. Je méritais d’être puni, mais peut-être pas d’être expulsé du match. Du moins, si c’est le sort que je méritais, il le méritait aussi."

- On ne vas pas accuser Lecavalier d'être de mauvaise foi. On peut comprendre qu'il soit frustré. Toutefois, nous lui reprochons son manque de classe. Étant québécois (et surtout le capitaine de l'équipe adverse), il aurait dû accepter de parler aux journalistes montréalais. Il s'agit d'une question de respect...

- Guy Boucher est un excellent entraîneur, aucun doute là-dessus. Mais on trouve qu'il crie un peu trop. Le coach du Lightning a semblé perdre son calme à plusieurs reprises pendant le match. Évidemment, cela fait partie de son style de coaching. On pourrait penser que Boucher est hyperactif tellement il est toujours en mouvement derrière son banc. Dans tous les cas, il est plus intéressant à observer que Jacques Martin. Est-il plus efficace pour autant? Difficile à dire. À chacun son style...
- Nous devons lancer des fleurs à Aaron Palushaj qui a connu un très bon match.

- Palushaj a même eu droit à son initiation avant la partie. " «Lors de l'échauffement, Carey (Price) m'a dit de passer devant lui, je me suis douté de quelque chose. Mais c'est après avoir contourné le but que j'ai réalisé qu'ils étaient tous demeurés au banc et qu'ils se payaient ma tête. Mon initiation est faite», a confié l'attaquant, sourire en coin.
- Dawes avait la réputation d'être redoutable en tirs de barrage. Disons qu'il n'a pas déçu...

- Enfin, il faudrait peut-être commencer à considérer Jacques Martin comme une partie essentielle à cette équipe. Son système de jeu est en train de donner des maux de tête à plusieurs entraîneurs autour de la LNH.

- Certaines mauvaises langues commencent à traiter le Canadien des "nouveaux Devils", vu la trappe que la formation exerce soir après soir. Jacques Martin vous répondra qu'il s'en fout, tant que les 2 points sont amassés au terme de la soirée...

Canadiens | Rangers - Un match à oublier...

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/03/20110318-174126.html



Les Rangers de New York n’auront eu besoin que d’une seule période pour marquer cinq buts et l’emporter 6-3 contre les Canadiens de Montréal, au Madison Square Garden de New York, vendredi.
Les attaquants Vaclav Prospal et Artem Anisimov ainsi que le défenseur Dan Girardi ont tous marqué un but en plus d’ajouter une mention d’aide. Marian Gaborik, Brian Boyle et Ryan Callahan ont également trouvé le fond du filet pour les Rangers. Marc Staal et Eric Christensen ont quant à eux obtenu deux passes chacun.
Du côté des Canadiens, P.K. Subban, James Wisniewski et Brian Gionta ont assuré la réplique. Wisniewski et Gionta ont par ailleurs ajouté une aide à leur fiche.
Devant le filet, Carey Price a connu une soirée de travail difficile alors qu’il a cédé à cinq reprises sur 12 tirs seulement. Alex Auld est venu en relève et a plutôt bien fait en repoussant 18 des 19 lancers dirigés vers lui. De l’autre côté, Henrik Lundqvist a fait le boulot en stoppant 22 tirs.
Un premier tiers désastreux
Il n’y avait qu’un peu plus de cinq minutes d’écoulées au premier engagement lorsque le gros attaquant Artem Anisimov s’est échappé. Le Russe a complètement déculotté Price à l’aide d’une série de feintes suivie d’un lancer du revers.
Le flamboyant P.K. Subban a toutefois répliqué moins de deux minutes plus tard en décochant un puissant lancer frappé qui s’est frayé un chemin à travers quatre joueurs des Rangers. C’est David Desharnais qui a mis la table pour ce but avec une belle passe du revers alors qu’il était derrière le filet.
Les Rangers ont ensuite contrôlé le jeu et Dan Girardi a redonné les devants aux siens avec un lancer frappé qui a déjoué Price dans la lucarne. La défensive du Tricolore était complètement désorganisée sur cette séquence.
Le but de Girardi a semblé ébranler la troupe de Jacques Martin qui s’est fait dominer par la suite avant de voir les Rangers marquer trois buts sans réplique en fin d’engagement.
Ryan Callahan, Marian Gaborik et Brian Boyle ont tous marqué en moins de deux minutes pour porter la marque à 5-1. C’est à la suite de ces trois filets que Price a été retiré pour laisser sa place à Auld.
La période médiane a donné droit à du jeu plutôt terne et James Wisniewski en a profité pour réduire l’écart à trois buts en déjouant Lundqvist grâce à un lancer précis de la ligne bleue.
Les Canadiens ont bénéficié d’une supériorité numérique en début de troisième et il n’en fallait pas plus à Brian Gionta pour porter la marque à 5-3. Le capitaine du CH a habilement fait dévier un lancer de Wisniewski.
Les Rangers ont par la suite fermé le jeu et Vaclav Prospal est venu planter le dernier clou dans le cercueil de la formation montréalaise avec son cinquième filet de la campagne. Il a redirigé un tir de Girardi.
Cette victoire des Rangers leur permet de s’approcher à cinq points du sixième rang dans l’association Est, détenu par les Canadiens.
Les hommes de Jacques Martin s’envoleront vers le Minnesota pour y disputer leur prochain match dès dimanche, face au Wild.
 

Cinq buts des Rangers en première période - Le réveil est venu trop tard

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/03/20110319-023919.html

NEW YORK - Le Canadien ne pourra pas toutes les gagner avec son équipe B. Non, ça ne marchera pas tous les soirs...
C'est avec la même formation qui lui avait permis de battre le Lightning 3-2 en fusillade jeudi qu'il s'est présenté au Madison Square Garden, hier soir.
Mais cette fois, il n'y a pas eu de miracle. Et c'est avec un revers de 6-3 dans ses bagages qu'il a pris le chemin du Minnesota, où il se frottera au Wild demain après-midi.
On se doutait bien que la tâche ne serait pas facile pour les troupiers de Jacques Martin, qui disputaient un deuxième match en 24 heures.
Avec sa longue liste de joueurs réguliers sur la liste des blessés, le Canadien a quand même bien bataillé après avoir vu les Rangers se doter d'une avance de 5-1 en première période.
En raison de sa défaite, le Canadien est demeuré à trois points des Bruins et de la tête de la division Nord-Est, mais il a main-tenant deux matchs de plus de joués.
Ayoye !
Les Rangers, qui avaient perdu leurs trois premiers affrontements de la saison contre le Canadien, n'ont pas pris de chance.
Ils ont vite montré qu'ils entendaient rétablir la situation.
Les Blueshirts venaient de remporter quatre de leurs cinq derniers matchs et ils ont continué à jouer du hockey de séries.
Ils ont entamé le match en lion avec cinq buts au cours des 18 premières minutes de jeu, les trois derniers en 67 secondes, pour chasser Carey Price de la rencontre.
Martin, qui avait indiqué la possibilité d'envoyer Alex Auld devant le filet, s'est donc ravisé en envoyant Price, auteur de 35 arrêts face au Lightning, pour commencer la rencontre.
«Carey va extrêmement bien dernièrement et comme ce duel contre les Rangers est très important, nous avons convenu de l'envoyer dans la mêlée», a raconté Martin pour expliquer sa volte-face.
Pauvre Carey. Il a peut-être cédé cinq fois sur les 12 premiers tirs des Rangers, mais on ne peut quand même pas lui reprocher grand-chose.
Préconisant un style de jeu très combatif, les Rangers ont mérité chacun de leurs buts.
Auld ? Il a très bien fait en relève de Price en ne cédant qu'une fois devant les 19 tirs des Rangers, alors qu'ils jouaient avec l'avantage d'un homme.
Pas long
Les deux équipes se sont d'abord échangé un but en première période (ceux de Artem Anisimov et P.K. Subban), avant que les Rangers n'explosent pour quatre autres filets en moins de huit minutes (Dan Girardi, Ryan Callahan, Marian Gaborik et Brian Boyle).
Le Canadien a connu un regain de vie pour s'approcher à deux buts des Rangers quand James Wisniewski, en deuxième période, puis Brian Gionta en troisième, se sont inscrits au pointage.
De toute façon, c'était trop peu trop tard...
Vaclav Prospal est venu planter le dernier clou dans le cercueil du CH en supériorité numérique, alors que Benoit Pouliot était au banc des punitions pour être entré en contact avec le gardien des Rangers, Henrik Lundqvist.

Ça faisait plus de 25 ans que les Rangers n'avaient pas accompli l'exploit de compter cinq buts en une période contre le Tricolore. La dernière fois remontait au 10 janvier 1986 !
Les attaquants Jeff Halpern et Tomas Plekanec, ennuyés par des blessures au bas du corps, sont restés à Montréal et ils devraient rater le match de demain. Quant au défenseur Hal Gill, victime d'un virus, il accompagne l'équipe et il n'est pas impossible qu'il affronte le Wild.

Canadiens | Jacques Martin - «Trop de revirements» - Martin

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/03/20110319-025216.html

C’était écrit dans le grand livre: le Canadien n’allait pas l’avoir facile...
Après avoir disputé un match qui a nécessité la fusillade jeudi, et avoir voyagé durant la nuit, le Tricolore se présentait avec son équipe décimée par les blessures devant des Rangers imbattables, par les temps qui courent, et dans leur amphithéâtre, de surcroît.
Une grosse commande, comme on dit.
«Les Rangers ont mis beaucoup de pression sur notre défensive, dès le départ, et nous avons commis beaucoup trop de revirements», maugréait Jacques Martin, à l’issue du match.
«Je dirais qu’ils ont compté leurs cinq premiers buts en profitant de nos erreurs.»
Dans ce contexte, on pourra comprendre que l’entraîneur du Canadien n’a pas voulu lancer la première pierre à Carey Price.
Son gardien a accordé cinq buts sur seulement 12 tirs, et il a dû être retiré du jeu au bout de 18 minutes.
Martin, qui a eu à surutiliser ses vétérans, jeudi, dans la longue confrontation contre le Lightning, a admis que certains d’entre eux avaient peut-être ressenti un peu de fatigue contre les Rangers.
«Je crois que ça a effectivement été un facteur, d’autant plus que j’ai encore eu à les employer beaucoup, vu que nous tirions de l’arrière.»
Ils n’ont pas abandonné
Pour une rare fois, Alex Auld a donc été appelé à remplacer Price. C’est une situation qui n’est sûrement pas facile quand l’écart est déjà de quatre buts en faveur de l’adversaire.
«J’ai juste essayé de bloquer des rondelles, en espérant que le momentum finisse par changer de côté», a-t-il dit.
«Nous y sommes presque parvenus, mais il faut avouer que l’écart était pas mal difficile à combler.»
Auld a raison. Avec un score de 5-3, Davis Desharnais a bien failli réduire l’écart à un but... mais il s’est littéralement fait voler par Henrik Lundqvist.
«Si David marquait là-dessus, qui sait ce qui aurait pu se produire, par la suite?», a lancé James Wisniewski.
«Les Rangers étaient partout, sur la patinoire, en début de match et, quand ils ont pris les devants, nous nous sommes écartés de notre système de jeu, a poursuivi le défenseur du Canadien. Toutefois, nous n’avons jamais abandonné. Nous avons démontré beaucoup de caractère dans les circonstances.»
Concentration perdue
Pour Brian Gionta, le point tournant du match, ce sont les trois buts rapides que les Rangers ont marqué en première période.
«À partir de là, nous avons perdu un peu de notre concentration, de notre focus.
«On a commencé à tenter des jeux qu’on ne fait pas, d’habitude. Ça nous a pris un certain temps pour nous en remettre...»
 

Wisniewski: «Il ne faut pas se trouver des excuses»

http://www.ruefrontenac.com/sports/canadiens/35149-canadien-rangers

Sports - Canadien
Écrit par Marc de Foy   
Vendredi, 18 mars 2011 23:59
Mise à jour le Samedi, 19 mars 2011 00:16
Pour reprendre une vieille expression de chez nous, les Rangers attendaient le Canadien avec une brique et un fanal, vendredi soir, dans leur château fort du Madison Square Garden.
Travis Moen l’a constaté très vite alors que Brendon Prust l’a invité à se battre dès la mise en jeu initiale.
Les Rangers étaient fermement décidé à mettre fin à la domination du Tricolore qui les avait battus dans leurs trois premiers affrontements.
«Nous avons encore écopé de mauvaises pénalités», déplorait James Wisniewski devant les médias montréalais présents au match.
James Wisniewski ne cherchait pas d'excuses après la défaite. Photo d'archives Pascal Ratthé
«Nous n’apprenons pas de nos erreurs. Nous devons jouer avec ardeur, rester en mouvement et appliquer des mises en échec. Nous n’avons pas une équipe pour se battre, mais plutôt pour patiner et manier la rondelle.
«Les Rangers étaient partout en première période. Nous avions joué la veille et nous comptons plusieurs blessés. Je ne sais pas si nous avons joué avec tout notre potentiel, mais il ne faut pas se trouver des excuses.»
Première en 25 ans
Les cinq buts des Rangers en première période était une première en 25 ans contre le Canadien. Les trois derniers ont été d’ailleurs réussis dans un intervalle de 67 secondes.
«Trois buts rapides comme ça, c’est dur à encaisser, a commenté Brian Gionta.
«Nous avons perdu notre concentration.»
Le 10 janvier 1986, les Rangers avaient connu une période de cinq buts dans une victoire de 6 à 4 contre le Tricolore sur leur patinoire.
Quatre mois plus tard, les deux équipes s’étaient retrouvées en finale de l’Est. Le Canadien l’avait emporté en cinq matchs avant de refaire le même coup aux Flames de Calgary en finale de la coupe Stanley.
La grande vedette des séries fut Patrick Roy qui en était à sa première saison dans la LNH.
Comme le temps file!
Price mal secondé
Pour revenir au présent, Carey Price n’a pas été en mesure de répéter ses exploits de jeudi contre le Lightning de Tampa Bay, mais on ne peut lui lancer la pierre.
«Nous avons été dominés en première période», a continué Gionta, dont le but marqué en période médiane était son 26e de la saison.
«Carey n’est pas à blâmer. Nous devons lui donner un meilleur appui.»
Chez les Rangers, l’attaquant Brandon Dubinsky corroborait les affirmations de Wisniewski.
«Nous étions au fait que le Canadien en était à un deuxième match en autant de soirs», a-t-il dit.
«Nous savions très bien qu’il nous fallait connaître un départ rapide. Notre amphithéâtre dégageait l’énergie habituelle. L’ambiance était électrisante et bruyante et ça nous a stimulés.
«Ça ressemblait à l’atmosphère qui règne dans les séries éliminatoires. C’est toujours motivant de jouer dans ces conditions.»

Dure soirée pour le Canadien à New York

http://www.ruefrontenac.com/sports/canadiens/35148-canadien-rangers

Sports - Canadien
Écrit par Marc de Foy   
Vendredi, 18 mars 2011 22:20
Mise à jour le Samedi, 19 mars 2011 00:25
Cette fois-ci, le Canadien n’a pas réussi à défier la logique. Disputant un deuxième match en 24 heures, toujours privé des services de neuf joueurs réguliers, le Tricolore s’est avoué vaincu par la marque de 6 à 3 devant les Rangers de New York, vendredi soir au Madison Square Garden.
Le match s’est joué en première période alors que les Rangers ont profité de lacunes défensives du Tricolore pour inscrire cinq buts à leurs 12 premiers tirs contre Carey Price, les trois derniers en seulement 67 secondes.
Cette explosion a mis fin à la soirée de travail de Price, qui a été remplacé par son acolyte Alex Auld. C’était la deuxième fois seulement qu’il voyait un départ saboté cette saison.
Lors d’un match à Tampa, le 30 décembre, il avait été envoyé aux douches avec moins de huit minutes à faire en troisième période dans un revers de 4 à 1 contre le Lightning.

«Nous avons connu un mauvais début de match et nous avons mal réagi», a dit Jacques Martin aux journalistes montréalais présents à New York après la rencontre.

«Les Rangers ont appliqué beaucoup de pression sur notre défense. Nous avons commis des revirements et ils en ont profité.»
Carey Price a été retiré du match après avoir accordé cinq buts en 19 minutes en première période. Photo Reuters
Balayage évité
Conscients qu’ils affrontaient une équipe démunie, les Rangers ont montré dès la première seconde du match qu’ils n’avaient pas l’intention de subir un balayage dans leur série de quatre matchs contre la troupe de Jacques Martin.
Le solide Brendan Prust a invité Travis Moen à jeter les gants dès la mise en jeu initiale, comme à la folle époque des Broad Street Bullies et comme cela semble encore se faire dans la Ligue nord-américaine de chez nous.
Les Rangers ont ouvert la marque lorsque Artem Anisimov a bloqué un tir de Yannick Weber à sa ligne bleue avant de s’échapper seul vers Price, qu’il a déjoué avec une belle manoeuvre.
Moins de deux minutes plus tard, P.K. Subban ramenait les deux équipes à la case départ en déjouant Henrik Lundqvist à l’aide d’un dur lancer frappé lors d’une séquence de jeu bien préparée par David Desharnais.
Le reste du premier engagement s’est toutefois transformé en un véritable cauchemar pour le Canadien.
Dan Girardi, Ryan Callahan, Marian Gaborik et Brian Boyle ont marqué tour à tour pour mettre le match virtuellement hors de portée.
Manque de punch
Les 40 dernières minutes de jeu ont donné lieu à du jeu un peu plus équilibré. James Wisniewski, en deuxième période, et Brian Gionta, au troisième vingt, ont réduit l’avance des Rangers à deux buts.
Avec de meilleures ressources sous la main, le Tricolore aurait peut-être pu faire une remontée semblable à celle qu’il avait réussie contre ces mêmes Rangers dans un match disputé au Centre Bell, il y a trois ans. Mais la logique a prévalu.
Le Canadien ne faisait pas le poids, tant physiquement qu’en talent. La combativité et l’intensité n’y étaient pas. En somme, un match à oublier.
L’écart séparant le Tricolore, toujours sixième dans l’Est, des Rangers est maintenant de cinq points, les deux équipes ayant encore 10 matchs à livrer.
Les hommes de Jacques Martin auront maintenant plus de 24 heures pour retrouver leurs esprits et rassembler leurs forces.
Leur prochain match aura lieu en fin de journée dimanche alors qu’ils rendront visite au Wild du Minnesota.
Encore là, tout indique que Tomas Plekanec et Jeff Halpern manqueront à l’appel, eux qui sont demeurés à Montréal.
Le vétéran défenseur Hal Gill devrait toutefois être en mesure de reprendre son poste après une absence de deux matchs résultant d’une grippe.

Son retour devrait permettre à Roman Hamrlik de souffler un peu.

«La fatigue a probablement été un facteur ce soir, surtout quand on s’est retrouvé avec un gros déficit en première période», a mentionné Martin.

«Si on avait été en mesure de garder la marque égale, le facteur fatigue aurait été moins grand.

«L’important est de se regrouper maintenant pour notre prochain match. On devra être prêts à combattre.»

Carey Price face aux Rangers, Hal Gill encore sur la touche

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/carey-price-face-aux-rangers-hal-gill-encore-sur-65466.html

(CKAC Sports) - Jacques Martin avait avancé que Alex Auld garderait les buts dans un des trois matchs en quatre soirs de l'actuelle séquence du Canadien. Mais ce ne sera pas ce soir à New York, face aux Rangers.
«Carey est sur une belle lancée et c'est un jeune qui a beaucoup d'énergie et d'enthousiasme, confiait Jacques Martin, à quelques heures du duel au Madison Square Garden. Considérant l'importance du match, on voulait Carey devant le filet.»

Dans une bonne zone
Price reprendra sa place, ce soir, face à des rivaux directs dans la chaude lutte pour une place de choix en séries du côté de l'Association est.

«Son physique est pour beaucoup dans ses succès, analysait Martin. Il a un physique imposant et il couvre beaucoup de son filet. Quand il est dans une bonne zone, il semble très bien se déplacer.»

Le Canadien n'est maintenant qu'à trois points des Bruins de Boston et du premier rang de la division Nord-Est. Le Tricolore devance maintenant les Rangers par sept points, avec le même nombre de matchs disputés. La troupe de John Tortorella est septième de l'Association.

Même formation que face au Lightning


Après le match face aux Rangers, les hommes de Jacques Martin se dirigeront vers le Minnesota pour un duel face au Wild, prévu en début de soirée, dimanche.

Grippé, Hal Gill a accompagné l'équipe dans la Grosse Pomme, mais il n'affrontera pas les Blueshirts. On s'attend à le revoir pour la rencontre de dimanche.

La même formation employée jeudi soir au Centre Bell par Jacques Martin affrontera donc les Newyorkais, vendredi soir.

Plekanec et Halpern : seulement la semaine prochaine

Tomas Plekanec et Jeff Halpern n'ont pas accompagné l'équipe à new York et il ne faut pas compter sur eux en fin de semaine.

Leurs blessures nécessitent plus de repos et on en saura plus long en début de semaine prochaine à savoir si leur absence se prolongera.

«Je voulais faire la bonne chose quand Jacques m'a dit d'y aller» -Nigel Dawes

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/je-voulais-faire-la-bonne-chose-quand-jacques-m-a-65494.html

(CKAC Sports) - Nigel Dawes s'est réveillé vendredi matin à New York, la ville où il a fait ses débuts dans la LNH. Dawes veut maintenant faire sa place au sein d'une autre grande organisation du circuit.

de Montréal«Ce sera mon premier match ici depuis mon départ de New York et ce sera spécial», a dit celui qui entrepris sa carrière à N.Y. lors de la saison 2006-2007 avant de faire ensuite escale à Phoenix et Atlanta.

«Il s'agit toutefois d'un match comme un autre, a spécifié Dawes. Il y a encore quelques joueurs avec qui j'ai joué lors de mon passage ici, mais il y a eu aussi beaucoup de changements. Je vais tenter d'avoir du plaisir.»

Un départ inusité avec le CH...

À ses débuts à Montréal, Dawes a joué cinq minutes et 35 secondes face au Lightning, jeudi soir. Sans faire d'étincelles à son premier match, on se souviendra toutefois du geste de Jacques Martin de faire appel à ses services pour initier la séquence du tricolore en tirs de barrage.

«Ce fut spécial de pouvoir contribuer à ma façon à la victoire, a commenté Dawes, au lendemain de son "exploit". Je voulais faire les bonnes choses quand Jacques m'a tapé sur l'épaule et m'a dit d'y aller en premier. On m'a demandé entre 25 et 30 fois en situation de tirs de barrage dans la LNH. Ma réputation m'a peut-être suivi.»

La relève


Face aux Rangers, le Canadien présentera la même formation que jeudi soir contre Tampa, un alignement que certains ont qualifié d'équipe "B". Les joueurs de la relève ont dû faire leur part et seront de nouveau appelés à le faire.

«Une bonne équipe doit pouvoir compter sur les joueurs qui attendent en coulisse. L'équipe montre du caractère en traversant avec succès une période difficile en ce qui a trait aux blessures. On doit permettre aux joueurs réguliers de pouvoir souffler un peu. On obtiendra plus de temps de jeu si l'entraîneur voit qu'on fait le travail», a conclu Dawes qui a disputé un total de 111 rencontres avec les Rangers dans la LNH.

«Benoit doit contrôler ses émotions» -Jacques Martin

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/benoit-doit-controler-ses-emotions-jacques-mart-65513.html

(CKAC Sports) - Benoit Pouliot était sûrement le joueur le plus soulagé quand le Canadien l'a emporté en tirs de barrage, jeudi soir contre le Lightning de Tampa Bay. Les nombreux blessés font peut-être en sorte qu'ils n'aient pas à sauter son tour, face aux Rangers.

Pouliot a écopé quatre minutes de pénalité sur la même séquence en début de troisième période, jeudi soir. Simon Gagné en a alors profité pour égaler la marque.

Malgré ce faux pas, l'entraîneur n'avait pas l'intention de le lapider sur la place publique. En fait, Jacques Martin a fait un "Jacques Demers de lui même", en voyant du positif dans la tenue de son grand attaquant.

«Avec les qualités et les aptitudes qu'il a, tu veux qu'un joueur comme Benoit se démarque, a commenté Jacques Martin, vendredi. Il avait apporté une bonne contribution au cours des deux premières périodes. Maintenant, il doit contrôler ses émotions et être en mesure d'évaluer ces situations-là.»

Les performances des vétérans, l'enthousiasme des jeunes

Face aux Rangers, l'entraîneur devra de nouveau se fier aux éléments qu'il avait sous la main, jeudi soir.

«On a eu de bonnes performances de nos vétérans et l'enthousiasme des jeunes s'est fait sentir. On a qu'à penser au but de Dawes en fusillade. Brian Gionta a joué un gros match et Andrei Kostitsyn a été très efficace. Ça démontre l'importance de travailler en équipe et de bien appliquer un bon système de jeu. Quand on fait ça, en général, on a du succès», a conclu Jacques Martin.

Coup à la tête : Une amende pour Patric Hornqvist

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/coup-a-la-tete-une-amende-pour-patric-hornqvist-65529.html

(CKAC Sports) - L'attaquant des Predators de Nashville, Patric Hornqvist, a évité une suspension, mais devra acquitter une amende pour le coup à la tête qu'il a asséné à Tyler Seguin, des Bruins de Boston.
Hornqvist a été détroussé de 2 500 $. Il avait reçu une pénalité majeure pour coup de coude sur la séquence qui a laissé des séquelles à l'oreille de Seguin.

Quelques points de suture ont été nécessaires pour fermer la blessure du jeune attaquant des Bruins.