jeudi 3 mars 2011

Le Canadien amorce le dernier sprint du bon pied

http://blogues.cyberpresse.ca/gagnon/2011/03/02/le-canadien%c2%a0amorce-le-dernier-sprint-du-bon-pied/

Il faut croire que la fin du monde se fera attendre encore un peu. Comme la dernière fois. Comme l’autre d’avant…

Mais je peux aussi gagner la Loto-Max vendredi ou mieux encore la Super Ball de la loterie de la Floride. Je vous l’annonce tout de suite, si la Super Ball tombe sur mon billet chanceux, je reste en Floride après le match Canadien-
À écouter et à lire les commentaires de tous ceux, et Dieu qu’ils sont nombreux, qui dénonçaient l’immobilisme de Pierre Gauthier à la date limite des transactions, le Canadien n’allait pas en gagner une autre d’ici à la fin de la saison.

Pis encore, il s’en allait tout droit vers une exclusion des séries.
Bon! Ça peut toujours arriver. Oui! Mathématiquement c’est encore possible.
Lightning dimanche et c’est dans le sud que Maryse et les enfants viendront passer la relâche.

Même que je ne suis pas convaincu qu’on remonterait vers le nord. Mais c’est une autre histoire…

Comme pour le Canadien.

La victoire d’hier permet au Tricolore de flotter au 6e rang de l’Association avec 75 points. Cinq de plus que les Rangers de New York, six de plus que les Hurricanes de la Caroline et surtout huit de plus que les Sabres de Buffalo qui pour l’instant sont encore exclus de la course.

Vrai qu’il est trop tôt pour confirmer la place du Canadien en séries. Mais comme le chantait Joël Denis quand j’étais tour petit : «c’est pas encore faite, non, non, non, non, non, mais ça va venir…

Le Canadien a donc amorcé sa deuxième et dernière boucle dans le sud des États-Unis de l’année sur une bonne note avec une victoire de 3-1 aux dépens des Thrashers d’Atlanta.

Quoi? En tant que sceptiques convaincus vous prétendez que les adversaires d’hier n’étaient que les Thrashers, un club exclu des séries, un club qui ne cassent rien.

Je vais vous donner raison sur plusieurs points.

En autant que vous fassiez l’effort de vous souvenir que ces même pauvres
Thrashers avaient deux victoires, dont une par jeu blanc, cette saison aux dépens du Canadien.

Rien n’était donc acquis.

Et je vais vous concéder que le Canadien n’a pas offert une grosse performance. Vraiment pas.

Carey Price, avec 40 arrêts dont 31 au cours des deux dernières périodes, a encore été le meilleur de son camp.

Et de loin. Élu joueur du mois de février par le biais du scrutin populaire relié aux sélections des trois étoiles, Price a coupé court à toutes les poussées offensives des Thrashers. Sauf une…

Si les Thrashers ont été beaucoup moins menaçants que ne le laissent croire leurs 41 tirs et qu’ils sont loin d’avoir affiché l’intensité d’un club qui devait combler un recul de quatre points pour accéder aux séries, le Canadien n’a pas disputé un fort match non plus. Que non!

Peut-être à cause de la froideur d’un Philips Arena dont plus de la moitié des bancs étaient inoccupés, des nombreuses pénalités qui ont miné le rythme de la partie ou simplement du manque d’opposition, le Tricolore s’est contenté de 23 tirs pour l’emporter dans le cadre d’un match terne au possible.

Avant que Nik Antropov n’inscrive les Thrashers au pointage, les meilleurs moments de la rencontre se limitaient aux présences régulières des jeunes et jolies préposées à la patinoire et aux prévisions météorologiques du premier entracte qui pavaient la voie à trois belles journées ensoleillées dans la région d’Atlanta.

Côté hockey toutefois, c’était pas mal plus nuageux…

«C’était affreux, mais efficace», a convenu P.K. Subban. Un vrai match de route dont nous devions sortir avec deux points de plus au classement. Nous n’étions pas ici pour donner un spectacle, mais faire ce qui devait être fait pour gagner. On l’a fait. C’était sans doute très laid du haut des gradins, mais ce n’était certainement pas ennuyant au niveau de la patinoire, car nous jouions du hockey solide», a ajouté le défenseur le plus utilisé par Jacques Martin (22 :37) derrière James Wisniewski (22 :57).

Six tirs, deux buts

Le Canadien n’a eu besoin que de six tirs pour enfiler ses deux premiers buts.
Max Pacioretty, sur un tir de la pointe qui s’est faufilé entre plusieurs jambières, a surpris Chris Mason qui n’a rien vu sur le jeu. Meilleur marqueur du Canadien en février (5 buts, 9 points) Pacioretty a marqué son 12e de la saison après avoir intercepté une rondelle que l’ancien du Tricolore, Ron Hainsey, venait de dégager mollement le long de la bande.

«Nous avions étudié leurs sorties de zone et nous savions qu’ils utilisaient régulièrement la bande. Cette préparation m’a aidé à réaliser le jeu. Une fois en possession de la rondelle, je n’ai que tiré vers le filet. Il y avait pas mal de circulation et j’ai joué de chance. Ce but compense pour tous ceux que je n’ai pas été en mesure de marquer sur des occasions qui étaient pourtant de bien meilleure qualité. Ça mousse la confiance», a ajouté Pacioretty qui a récolté une passe sur le but d’assurance marqué par Brian Gionta dans un filet désert.
Il domine donc le Canadien avec six buts et 11 points depuis le début du mois de février. Scott Gomez a également obtenu une mention d’aide sur le jeu.

James Wisniewski a doublé l’avance du Canadien 34 secondes seulement après le début de la période médiane. Lors d’une attaque massive, David Desharnais a hérité de la rondelle à la gauche du filet. Il a tenté de rejoindre Wisniewski de l’autre côté du filet. «J’ai perdu la rondelle, mais un de leur joueur (Chris Thorburn) l’a fait dévier vers Andrei (Kostitsyn) qui l’a remise de l’autre côté à James. On a été un peu chanceux, mais ça compense pour les fois où ça tourne du mauvais bord», a commenté Desharnais qui revendique 14 points en 25 matchs depuis son rappel de Hamilton.

Bien qu’il ait minimisé l’impact des 41 tirs des Thrashers, Carey Price a réalisé quelques arrêts solides pour mériter sa 29e victoire de la saison. Bien posté dans l’enclave, Nik Antropov, avec un peu plus de cinq minutes à faire au match, a redirigé une passe d’Anthony Stewart pour priver Carey Price d’un 7e jeu blanc cette saison, d’un 11e en carrière.

Confiné au banc, samedi dernier, en raison d’une grippe, Carey Price a prouvé avec ses 40 arrêts qu’il était complètement rétabli.

«Il n’y a rien comme trois jours de sommeils pour se replacer. Je me sentais bien ce soir et j’ai effectué quelques bons arrêts. Mais ne vous laissez pas impressionner par le nombre de tirs. La grande majorité provenait de loin et de l’extérieur. Ça facilitait mon travail», a indiqué Price qui n’a pas suggéré à ses coéquipiers de tirer à leur tour alors qu’ils ne l’avaient fait que six fois à la mi-match.

«Je ne m’étais pas rendu compte que nous étions autant en retard. J’étais plus préoccupé par les tirs que j’affrontais. Mais ce qui compte ce n’est pas l’écart des tirs, mais l’écart au chapitre des buts. Surtout quand il nous favorise comme c’est le cas ce soir», a conclu le gardien qui a récolté la première étoile de la partie devant Max Pacioretty et Nik Antropov.

Le but d’Antropov a ravivé les espoirs des Thrashers qui ont alors affiché un peu plus de conviction.

Profitant du retour au banc de Chris Mason à la faveur d’un sixième attaquant,
Brian Gionta a scellé l’issue du match en enfilant son 23e de la saison dans un filet désert.

Sopel quitte Atlanta avec le sourire

Brent Sopel avait plusieurs raisons de sourire en quittant Atlanta mardi soir. Il venait d’abord de battre ses anciens coéquipiers et toujours copains des Thrashers, il avait pu profiter de la brève escale du Canadien pour récupérer des effets personnels et il venait de réaliser à quel point la transaction qui l’a fait passer d’Atlanta à Montréal lui permettra de vivre une expérience différente.

Sopel a d’ailleurs esquissé un large sourire lorsqu’on lui a fait remarquer qu’il avait joué devant plus de partisans, en une rencontre au Centre Bell, qu’en une saison à Atlanta.

«C’est malheureux, mais c’est la réalité. Les Thrashers comptent sur un bon groupe de gars qui tentent de tout donner et de se motiver à leur façon. Mais c’est évident que j’ai réalisé à quel point il est plus difficile de sortir sur la patinoire devant des gradins vides soir après soir», expliquait le nouveau venu du Tricolore qui a terminé sa soirée de travail avec un différentiel de plus 1. En prime, Sopel a été parfait en 4 :10 d’utilisation en désavantage numérique en compagnie de Paul Mara.

«Nous sommes des professionnels et la simple fierté de jouer dans la LNH devrait être une source suffisante de motivation même lorsqu’il y a aussi peu de gens dans les gradins qu’il y en avait ce soir», a ajouté James Wisniewski qui a inscrit hier son quatrième but (deuxième but gagnant) et récolté un 19e point en 25 matchs dans l’uniforme du Canadien.

«Ce n’était pas une partie facile et Carey nous a sortis du pétrin en plusieurs occasions. Cela dit, le hockey est une bataille d’unités spéciales et ce soir encore nous avons eu le dessus marquant une fois et blanchissant nos adversaires en cinq occasions. Quand tu gagnes ces batailles, tu maximises tes chances de victoire», a ajouté le défenseur.

Le Canadien a mis le cap sur le sud de la Floride immédiatement après la rencontre. Il s’entraînera à 11 h au domicile des Panthers, ses prochains adversaires qu’il croisera jeudi au Bank Atlantic Center.

Après avoir quitté Atlanta très tôt ce matin, je suis à Charlotte où j’attends mon vol en direction de Fort Lauderdale.

On reconnecte une fois rendu dans le sud du sud…

Canadien: un poste, trois défenseurs

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201103/02/01-4375499-canadien-un-poste-trois-defenseurs.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_canadien_427188_section_POS1


(Fort Lauderdale) À titre d'entraîneur-chef, Jacques Martin est ravi de pouvoir compter sur huit défenseurs en santé alors que son équipe entre dans le dernier droit de la course menant aux séries éliminatoires.

Comme il l'a indiqué mardi, à Atlanta, Martin accueillera même à bras ouverts le vétéran Jaroslav Spacek une fois qu'il sera remis des contrecoups de l'arthroscopie au genou droit qu'il subira d'ici à quelques jours.
À l'autre bout du spectre, les défenseurs victimes de ce trop-plein prennent leur mal en patience en attendant d'obtenir un feu vert qui ne vient pas assez souvent.

Avec l'entrée en scène de Brent Sopel qui remplit la case réservée au cinquième arrière du Canadien, tout indique que Paul Mara, Alexandre Picard et Yannick Weber se succéderont au titre de sixième arrière au sein de la formation. À moins d'une blessure, ou d'un congé occasionnel accordé aux vétérans Hal Gill ou Roman Hamrlik, cette sixième case sera la seule mise à leur disposition.

«Quand tu regardes le match de ce soir, il est clair que Paul mérite sa place. Mais je crois la mériter aussi et je sais qu'Alexandre est dans la même situation. On doit s'en remettre à la décision de coach et s'assurer de répondre adéquatement lorsqu'on a la chance de jouer», a lancé Yannick Weber croisé par La Presse dans le vestiaire du Tricolore après sa victoire de 3-1 aux dépens des Thrashers d'Atlanta.

Laissé de côté dans 10 des 16 premiers matchs disputés par le Canadien après son rappel de Hamilton le 18 novembre dernier, Weber était confiné à la galerie de presse pour la première fois en 23 rencontres mardi.
Inversement, Alexandre Picard suivait un cinquième match consécutif du haut des gradins. De fait, le défenseur gatinois n'a chaussé les patins que huit fois en 27 parties depuis le 30 décembre dernier. Malgré ces retraits répétés de la formation, il assure toutefois ne pas perdre confiance.

«Ce qui m'aide le plus, c'est que j'ai la conscience tranquille. Quand on a fait appel à mes services, j'ai disputé des bons matchs. Les coachs m'assurent qu'ils sont contents du jeu que j'ai offert. Je ne passe donc pas mon temps à tout remettre en question. Je me contente de travailler le plus fort possible lors des entraînements et d'attendre», assurait Picard tout en se disant simplement heureux d'être dans la LNH.

«Nous sommes huit défenseurs et nous serons peut-être neuf si tout le monde est en santé lorsque Spacho (Jaroslav Spacek) reviendra au jeu. L'important pour moi c'est d'être dans la LNH. Ma situation était incertaine en début de saison et la direction m'a confirmé qu'elle voulait me garder en haut. C'est parce qu'on me sait capable de remplir les mandats qu'on veut me donner. Je ne sais pas comment Jacques (Martin) va jongler avec nous. J'ai l'impression qu'il ciblera des rencontres selon les forces de nos adversaires. Mais je ne m'arrêterai pas à ça. Je vais m'assurer d'être prêt tous les soirs. C'est ma seule façon de sortir gagnant de cette situation qui n'est évidente pour personne», a conclu Picard.

Après 37 rencontres disputées cette saison, Alexandre Picard affiche trois buts, sept points et un différentiel de +2.
Malgré des aptitudes offensives qui lui ont valu du temps d'utilisation en avantage numérique, Yannick Weber ne compte qu'un but et 10 points en 34 parties.

Acquis il y a deux semaines des Ducks d'Anaheim, Paul Mara, en contrepartie, n'affiche qu'un but et deux maigres points en 37 rencontres cette année.

Les qualités offensives de Weber et Picard leur permettront donc de supplanter Mara lorsque le Tricolore évoluera contre des équipes moins lourdes et moins physiques.

À ce titre, il ne faudrait pas être surpris que Picard soit inséré au sein de la brigade défensive du Tricolore, jeudi, face aux Panthers dans le sud de la
Floride. À l'entraînement aujourd'hui, c'est lui qui effectuait les rotations les plus significatives à la gauche de Brent Sopel lors des exercices dirigés par Jacques Martin.

« Il n'est plus le même » - Pat Brisson au sujet de Sidney Crosby

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/il-n-est-plus-le-meme-pat-brisson-au-sujet-d-62712.html

(CKAC Sports) - Huit semaines après avoir subi une commotion cérébrale, l'attaquant étoile des Penguins de Pittsburgh, Sidney Crosby, est toujours absent du jeu et s'il faut en croire son agent, Pat Brisson, il pourrait rater le reste de la saison.
Contacté par le journaliste Richard Labbé de La Presse, Pat Brisson, l'agent de Sidney Crosby, a confirmé que la vedette des Penguins n'était pas encore en mesure de s'entraîner. Crosby souffre toujours de symptômes associés à une commotion cérébrale subie lors de la Classique hivernale du 1er janvier lorsqu'il a été frappé à la tête par l'attaquant David Steckel. Ayant tenté de revenir au jeu quatre jours plus tard, Crosby a de nouveau reçu un coup à la tête durant un match contre le Lightning de Tampa Bay quand Victor Hedman l'a plaqué.

«Pour Sidney, les symptômes persistent, et il faut être très prudent avec ça. Il progresse tranquillement, mais c'est difficile de prévoir quoi que ce soit dans son cas. Ça fait déjà huit semaines qu'il ne joue pas et on sait tous que la deuxième commotion cérébrale est toujours pire que la première», a expliqué Pat Brisson à Richard Labbé lors d'une entrevue téléphonique.

Alors qu'il connaissait l'une de ses meilleures saisons de sa carrière, Sidney Crosby doit maintenant regarder ses coéquipiers de la galerie de presse. Pour ce joueur de 23 ans, l'attente doit être difficile à vivre. Sera-t-il en mesure de revenir au jeu d'ici la fin de la saison? Comme le souligne Richard Labbé, le joueur vedette n'a même pas recommencé à patiner en solitaire, alors, rien n'est moins sûr en ce qui concerne le reste de sa saison.

«Sidney va bien, son moral est bon et il passe beaucoup de temps à lire et à s'informer sur les commotions cérébrales. Mais il n'est plus le même. Les symptômes sont encore là, il ne se sent pas comme il se sent normalement, et il le sait. Il n'est pas comme il est d'habitude», a confié Pat Brisson.

«L'équipe va s'assurer qu'il soit remis à 100 % avant de lui permettre de jouer. Il est un compétiteur hors pair. Par contre, il va faire attention et il ne va pas se mettre dans une position pour compromettre sa santé. C'est sûr qu'il veut jouer, mais le problème avec les commotions cérébrales, c'est que ce n'est jamais pareil. Ça varie de joueur en joueur. Ça peut prendre une semaine, un mois, on ne le sait jamais», a ajouté Brisson.

Pat Brisson espère maintenant que la blessure importante à son client puisse avoir un impact positif sur la Ligue afin qu'elle puisse trouver des solutions aux coups à la tête. Selon lui, la solution ne réside pas dans l'élimination complète des mises en échec. Il vise plutôt l'équipement qui est devenu trop solide et qui devient en quelque sorte une arme pouvant blesser.

(Source : texte de Richard Labbé, La Presse)

Face aux «nouveaux» Panthers

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/face-aux-nouveaux-panthers-62722.html

(CKAC Sports) - Le Canadien est en Floride pour le deuxième match de son périple de trois rencontres dans le sud des États-Unis.
Le match est radiodiffusé à CKAC Sports et sur les station du groupe Cogeco dès 19 heures.

Le CH affronte, jeudi soir, les Panthers qui ont procédé à une transformation complète avant la date limite des transactions. Le Tricolore tente de remporter un deuxième match consécutif.

Fiche des deux équipes
Canadien : 34-23-7 / Panthers : 26-30-7

Derniers 10 matchs
Canadien : 4-4-2 / Panthers : 3-6-1

Cette saison
C'est le quatrième et dernier duel entre les deux équipes cette saison. Le Canadien a déjà deux victoires à sa ceinture. La dernière fois que les deux formations se sont affrontées, James Wisniewski avait permis au Tricolore de l'emporter 3-2, le 31 décembre dernier, en marquant un but en prolongation.

En manchette
Depuis le début de la saison, la vedette incontestée du Canadien est Carey Price. Lors de la plus récente victoire du Tricolore, le jeune gardien a réalisé 40 arrêts pour permettre au CH de l'emporter de 3-1 contre les Thrashers d'Atlanta. Il demeure parmi les gardiens qui mènent la Ligue au niveau du nombre de matchs joués, des victoires et des jeux blancs.

Sous la loupe
Canadien: Malgré le fait d'avoir été déclassé par les Thrashers 41-23 au niveau des tirs au but, le Canadien est finalement sorti avec la victoire en poches grâce aux buts de Max Pacioretty, James Wisniewski en avantage numérique et Brian Gionta dans un filet désert. Sélectionné la première étoile de ce match, Carey Price a de nouveau été solide devant le filet des siens.

«C'était occupé, mais ce n'était pas tous des tirs puissant s, a dit Price. La plupart des tirs venaient de l'extérieur de l'enclave. Ce n'est pas difficile d'effectuer 40 arrêts lorsque les tirs viennent de loi», a insisté Price.

Panthers: Sortis de la course aux series, les Panthers ont procédé à une liquidation en règle avant la date limite des transactions, lundi dernier. Pas moins de 11 nouveaux joueurs ont fait leur arrivée dans l'organisation. Malgré leur nouvel alignement, les Panthers demeurent compétitifs, mais ils ont de la difficulté à sortir avec la victoire. Ce fut le cas, mardi, lorsque les Panthers se sont inclinés 2-1 contre les Hurricanes de la Caroline.

«Nous mettons les efforts nécessaires, a dit l'entraîneur-chef Peter DeBoer. Nous avons fait preuve de résilience et nous aurions mérité un meilleur sort.»

En feu
Max Pacioretty a inscrit six buts au cours des 10 derniers matchs. Andrei Kostitsyn a pour sa part deux buts et trois mentions d'aide en quatre matchs.

À l'infirmerie
Le vétéran défenseur Jaroslav Spacek sera absent de quatre à six semaines après avoir subu une intervention arthroscopique au genou. Mathieu Darche, blessé à l'aine manque toujours à l'appel.
Les attaquants Rostislav Olesz (genou), Jack Skille (cheville), Ryan Carter (dos), Evgeny Dadonov (main) and Shawn Matthias (cheville) sont sur la liste des blesses des Panthers.

En chiffres
Le gardien auxiliaire Alex Auld n'a joué que 11 matchs, mais il obtenu les deux victories contre les Panthers cette saison. Contre l'équipe floridienne, sa moyenne de but accordé est de 1,94 et son pourcentage d'arrêt est de ,930.

Tomas Vokoun a été le gardien partant à toutes les rencontres contre le CH et sa moyenne de but accordé est de 2,32 et son pourcentage d'arrêt est de ,946. Face au Tricolore, il a reçu 129 tirs, une moyenne de 43 lancers par match.

Avec NHL.com

Sur la glace le matin, dans les gradins en soirée...

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/sur-la-glace-le-matin-dans-les-gradins-en-soiree.-62736.html

(CKAC Sports) - Quelques heures avant d'affronter les Panthers de la Floride, seuls quatre joueurs du Canadien ont sauté sur la glace lors de la séance de patinage matinale.

Écoutez le commentaire de Dany Dubé qui accompagne l'équipe en Floride.

Il s'agit de l'attaquant Ryan White, des défenseurs Paul Mara et Yannick Weber ainsi que le gardien auxiliaire Alex Auld.

Le reste de l'équipe s'est entraîné hors glace au gymnase de l'hôtel où loge le Canadien.

Picard de retour dans la formation


Les joueurs qui ont chaussé les patins ne seront donc pas en uniforme pour le match en soirée.

On reverra donc Alexandre Picard dans l'alignement.

Le défenseur a disputé son dernier match le 17 février alors que le CH a perdu 4-1 contre les Oilers à Edmonton.

Il a été retranché par Jacques Martin au cours des cinq derniers matchs.

Carey Price sera devant le filet du Tricolore face aux Panthers.

LIRE AUSSI : Face aux «nouveaux» Panthers

Bob Probert souffrait d'une maladie dégénérative du cerveau

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/bob-probert-souffrait-d-une-maladie-degenerative-d-62800.html

NEW YORK - Bob Probert savait que les durs coups qu'il a donnés et reçus en 16 saisons dans la Ligue nationale lui pesaient au fil et à mesure qu'il avançait en âge, et c'est pourquoi il voulait qu'on examine son cerveau à son décès.
Bien que ce soit un arrêt cardiaque qui ait mis un terme à sa vie en juillet dernier, à 45 ans, Probert vivait aussi avec un cerveau endommagé.

Encéphalopathie traumatique chronique

Des chercheurs de Boston University ont dit que Probert souffrait d'encéphalopathie traumatique chronique (ETC), une condition dégénérative du cerveau. Ils en sont venus à cette conclusion après l'analyse de tissus cérébraux dont Probert a fait don.

Probert est le deuxième hockeyeur du programme du centre dédié à l'étude de cette condition (CSTE) à recevoir un tel diagnostic après son décès.

L'autre est Reggie Fleming, un dur à cuire des années 1960, soit avant que le port du casque ne devienne obligatoire.

Le CSTE est une collaboration entre la faculté de médecine de Boston University et le Sports Legacy Institute, qui s'intéressent à ce qu'ils qualifient de crise des commotions cérébrales' dans les sports.

Le centre a notamment reçu un don d'un million $ de la NFL. La famille de Dave Duerson, ancien demi de sûreté des Bears, a par ailleurs accepté de donner son cerveau à la science après que ce dernier se soit suicidé à 50 ans, le mois dernier.

Des bagarres et la bouteille...

Probert a récolté 3300 minutes de punition en carrière - le cinquième plus haut total de l'histoire de la LNH. Il était le plus redouté des batailleurs de son époque, et aussi celui qui se battait le plus souvent.

Probert, qui composait aussi avec des problèmes d'alcool, a joué avec Detroit de 1985 à 1994, puis avec Chicago de 1995 à 2002.

Nous commençons à peine à comprendre les conséquences des traumatismes au cerveau dans le sport, a dit Chris Nowinski, le cofondateur et chef de la direction du Sports Legacy Institute. À ce point-ci, les données nous font dire que la décision de ne pas avoir de politique contre les coups à la tête a été une énorme erreur. Nous espérons que des changements musclés continueront d'être apportés pour protéger les athlètes, surtout au niveau du sport amateur.»

L'exemple de Sidney Crosby

Plusieurs vedettes de la LNH, notamment Sidney Crosby des Penguins, ont raté des matches à cause de commotions cérébrales cette saison. Crosby n'a pas joué depuis qu'il a été solidement mis en échec dans deux matches de suite, au début de janvier.

Bien que la ligue s'est dotée d'un nouveau règlement rendant illégal les coups à la tête quand le fautif s'amène sans être vu par le joueur frappé, les combats sont depuis longtemps un incontournable du hockey professionnel.

Les directeurs généraux vont se rencontrer, plus tard ce mois-ci, pour voir si la mesure doit être resserrée. Les résultats sont intéressants et s'ajoutent à un éventail de connaissances encore beaucoup plus grand, a dit le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly.

«Mais nous n'allons pas procéder à des changements en se basant sur un seul cas, surtout quand il est impossible d'identifier ou d'isoler l'une des nombreuses variables qui pourraient avoir contribué aux conclusions.»

La famille partage le diagnostic

Les résultats détaillés des tissus cérébraux de Probert ne seront pas connus avant qu'on les soumettent à une publication médicale académique. Sa famille a toutefois voulu faire connaître le diagnostic pour sensibiliser aux dangers des traumatismes au cerveau dans les sports, et pour en appeler à ce que plus d'efforts soient faits pour rendre les sports plus sécuritaires pour le cerveau.

Dani Probert dit que son mari a commencé à décliner au niveau mental à partir de la quarantaine. Des problèmes ont surgi puis ont empiré au niveau de la mémoire à court terme, de l'attention et de l'humeur - des symptômes compatibles avec ceux observés chez d'autres athlètes atteints d'ETC.

Pendant la dernière année de sa vie, Probert a dit à son épouse qu'il avait eu trois ou quatre quatre commotions cérébrales d'importance. Dani dit toutefois que si on incluait les fois où il a solidement été sonné, d'une manière correspondant à la définition du CSTE d'une commotion cérébrale, le total passait à plus d'une douzaine.

65 cas à l'étude


Plus de 300 athlètes, dont 100 joueurs actifs et à la retraite de la NFL, sont inscrits au registre du CSTE pour le don de leur cerveau. Un total de 65 cas sont actuellement à l'étude.

L'encéphalopathie traumatique chronique, que l'on soupçonnait à l'origine d'être limitée aux boxeurs, est une maladie dégénérative du cerveau que l'on croit causée par des traumatismes répétés comme des commotions cérébrales.

On croit aussi que certains facteurs non déterminés, comme une prédisposition génétique, amènent un plus grand risque de développer la maladie.

Keith Primeau, ancien joueur étoile forcé de prendre sa retraite en 2006, à la suite des commotions subies en 15 saisons dans la LNH, est parmi ceux qui ont accepté de donner leur cerveau à la science lors de leurs décès.

Depuis l'arrivée de Sopel - Le Canadien avare en désavantage

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/03/20110303-012140.html

SUNRISE, Floride - Faut-il y voir un rapport de cause à effet ou une simple coïncidence ? Les prochaines parties nous le dirons, mais il reste que l’unité de désavantage numérique du Canadien s’est requinquée depuis l’entrée en scène du dernier venu à la ligne bleue, Brent Sopel.
Bien sûr, le vétéran défenseur n’a encore participé qu’à deux matchs depuis que ses services ont été acquis des Thrashers. Toutefois, durant ceux-ci, on a été parfait avec un homme en moins : aucun but et seulement 12 tirs accordés en neuf infériorités.
Dans les trois rencontres précédentes, le Tricolore avait cédé à sept reprises en 17 occasions. Il y a de quoi faire mal…
D’ailleurs, alors que c’est traditionnellement l’inverse, le jeu de puissance du Canadien (19,4 % – 8e) figure mieux dans les classements de la LNH que son désavantage numérique (83,6 % – 9e).
« En infériorité, nous avons, parfois, été excellents, et, parfois, rien n’a réussi. Dans un segment de 20 matchs, on pouvait ne rien donner dans les dix premiers, puis se faire compter plusieurs fois dans les dix autres », a observé Jacques Martin.
Deuxième paire
L’arrivée de Sopel « aide certainement », a-t-il reconnu, en soulignant le bon boulot accompli contre Atlanta, à quatre contre cinq.
« On avait remarqué que notre deuxième paire de défenseurs déployés en désavantage faisait compter plus souvent. Avoir du nouveau semble fonctionner », a expliqué Martin.
Tomas Plekanec, qui, lui-même, excelle dans son mandat d’écouler les punitions, estime également que Sopel a eu un impact à cet effet.
« C’est un gars d’expérience qui fait peu d’erreurs. Il intercepte aussi beaucoup de passes ; c’est un bel ajout à notre équipe », a-t-il souligné. Il aurait également pu dire que l’arrière de 34 ans bloque aussi sa part de lancers (132 – 12e dans la LNH).
Une autre raison pour laquelle l’unité de désavantage numérique a retrouvé son efficacité, selon Plekanec, c’est qu’elle se montre plus agressive.
« On était trop passif dernièrement. On regardait les joueurs adverses aller, et on leur offrait la chance de nous battre », signale- t-il.

Desharnais de plus en plus efficace

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/03/20110303-012252.html

SUNRISE, Floride - David Deshar nais n’aura pas mis trop de temps à s’habituer aux trucs déployés par les meilleurs centres de la LNH pour s’accaparer la rondelle lors des mises en jeu.
La recrue du Canadien est même en train de s’imposer drôlement à ce chapitre. Mardi, face aux Thrashers, il a gagné 85 % de ses duels. Ces deux derniers matchs, il n’a aussi perdu que cinq mises au jeu sur 23.
Si on tient compte des 12 dernières parties, il ne lui est arrivé que trois fois d’en perdre plus qu’il n’en gagnait, mais six fois a-t-il maintenu un taux de réussite de 70 % et plus.
« C’est un aspect de mon jeu que je tente d’améliorer de match en match ; je dois continuer de bien figurer, a réagi Desharnais, quand on lui a fait part de ses statistiques surprenantes. Je m’impressionne chaque jour », a-t-il blagué.
Plus sérieusement, le jeune attaquant a convenu qu’il avait dû procéder à des ajustements en faisant le saut dans la Ligue nationale : « Tu es plus nerveux, tu bouges plus vite et tu te fais sortir par l’arbitre, a-t-il raconté, ou tu essaies d’en faire trop et tu laisses la technique de côté ».
Professeur Halpern
Desharnais a souligné qu’il pouvait compter sur les conseils d’un maître en Jeff Halpern. Ce dernier figure effectivement au huitième rang des meilleurs centres du circuit.
« Il m’aide beaucoup ; j’essaie d’apprendre de lui », a dit le Québécois.
Jacques Martin a d’ailleurs à saluer ses progrès, depuis son rappel de Hamilton.
« C’est un joueur compétitif, très responsable et il s’améliore de match en match. Sa progression n’est pas surprenante lorsqu’on connaît David. C’est une personne qui est motivée, qui est engagée et qui le démontre par sa façon de jouer », a-t-il dit.
Sa belle prestation n’est d’ailleurs pas étrangère, a-t-il mentionné, au fait qu’on tente l’expérience d’utiliser Plekanec à la pointe sur le jeu de puissance : « Avec David dans l’alignement, ça nous donne le luxe d’avoir deux centres et ça nous permet de positionner Tomas ailleurs ».

Du gaz dans le moteur

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/les-remparts/201102/28/01-4374825-du-gaz-dans-le-moteur.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_les-remparts_4708_section_POS4



(Rouyn-Noranda) Ayant mis fin samedi à leur première séquence de quatre défaites de la saison, les Remparts espéraient pouvoir transporter les éléments positifs tirés de cette victoire contre l'Océanic dans la série de deux matchs qu'ils disputent aujourd'hui et demain, en Abitibi. Pour l'entraîneur Patrick Roy, le retour au jeu de nombreux blessés sera enfin l'occasion de revenir à une rotation de quatre trios, ce qui, à ses yeux, constitue la meilleure façon d'optimiser son alignement.

Après Joé Dubé, Brendan Duke, Ryan Bourque et Tomas Filippi, ce sera au tour du dernier Diable rouge encore sur le carreau, le centre Matthew Brown, de reprendre sa place dans la formation, aujourd'hui, à Rouyn-Noranda. Un ajout qui enchante Roy.

«Avec Brown, qui devrait être en mesure de jouer pendant ces deux matchs-là, ça va aider encore plus. On va enfin avoir quatre lignes... C'est qu'on prend des notes. On analyse des choses. Et on se rend à l'évidence qu'on a besoin de jouer à quatre trios pour performer à notre mieux.»
Avec le retrait d'un trio complet, l'entraîneur avait dû surutiliser ses autres attaquants la semaine dernière, ce qui a eu un impact important sur les performances de l'équipe face à Gatineau, Montréal, Drummondville et Victoriaville.

«Dans une séquence de cinq matchs en huit jours, il est clair que si tu joues à trois lignes, tu vas finir par manquer de gaz. Et je pense que c'est ce qui est arrivé. Surtout qu'on a joué quatre de ces cinq matchs-là sur la route. Par contre, le match contre Victoriaville, je pense qu'on manquait un petit peu de confiance. La confiance est un élément excessivement important dans le rendement d'un joueur de hockey. Mais au moins, le lendemain [contre Rimouski], on a fait des modifications à notre avantage numérique, et ç'a porté fruit. Les gars ont bien bougé la rondelle. Mais on se rend à l'évidence qu'on a besoin de tout notre personnel.»

Joueur sous-estimé

L'absence de Brown a, entre autres, permis à certains de ses coéquipiers de mieux mesurer l'importance du centre de 19 ans au sein de la formation. «On ne prend jamais les blessures comme excuse, mais c'est sûr que lorsqu'un gars comme Ryan n'était pas là, que Brownie n'était pas là, il nous manquait quelque chose. Brownie, c'est une grosse partie de cette équipe-là. Il est solide en désavantage numérique. Ce gars-là, il travaille. Et c'est une super bonne personne. C'est un joueur sous-estimé, qui amène beaucoup à cette équipe-là. Je pense qu'il a montré qu'en désavantage numérique, on avait besoin de lui», a affirmé Frédérick Roy, ajoutant toutefois que la défensive était l'affaire de «20 joueurs».

Contre des Huskies croupissant dans la cave de la LHJMQ, il sera essentiel pour les Remparts de ne pas connaître de relâchement, aujourd'hui. «C'est important de respecter tous nos adversaires, mais il ne faut pas non plus se fixer des attentes. Il faut rester dans le présent. C'est ça qui va faire en sorte que, lorsqu'on va arriver en séries éliminatoires, on va être capables d'avoir un match très émotif et de revenir le lendemain et de rebondir avec une autre bonne performance», a pour sa part estimé le paternel.

Quebecor gestionnaire de l'amphithéâtre: un choix qui réjouit Patrick Roy

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/vers-un-nouveau-colisee/201103/01/01-4375133-quebecor-gestionnaire-de-lamphitheatre-un-choix-qui-rejouit-patrick-roy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_les-remparts_4708_section_POS3




(Rouyn-Noranda) Copropriétaire des Remparts, Patrick Roy a accueilli avec enthousiasme la sélection de Quebecor Media à titre de gestionnaire du nouvel amphithéâtre de Québec. Par la bande, l'homme de hockey a salué l'initiative du maire Régis Labeaume, qui s'est assuré que l'entente entre la Ville et le géant médiatique prenne en compte les intérêts de son équipe junior.

«On est content que le maire ait pensé à nous, en nous permettant de négocier avec M. Péladeau pour le loyer des Remparts. Au moins, il a pensé de nous protéger là-dedans et de s'assurer que l'on continuerait à avoir une place, soit dans le Colisée actuel ou dans un nouvel amphithéâtre», a-t-il laissé entendre.
Même s'il ne s'engage pas directement dans la gestion financière de son équipe, Roy a confiance que le grand patron de Quebecor Media constituera un bon interlocuteur lorsque viendra le temps de reconduire les ententes avec les Remparts.

«Ce n'est pas moi qui va être dans les discussions par rapport au loyer, mais je n'entrevois pas de problèmes. Je suis convaincu que s'il fait ça, c'est parce que Pierre Karl Péladeau a à coeur les gens de Québec et parce qu'il a le goût de s'impliquer dans la communauté.

«Nous, les Remparts, on ne les a pas inventés. Ça existe depuis 1969. C'est une organisation qui est bien implantée dans la communauté. Il est donc important de continuer dans le même sens. Je pense que M. Péladeau a avantage à conserver cette bonne entente. En tout cas, c'est ce que nous, on fera», a-t-il indiqué, ajoutant que le président des Remparts, Claude Rousseau, avait déjà eu une première conversation à ce sujet avec le principal intéressé, mardi.

Garder le cap

Conscient que l'arrivée éventuelle d'une équipe de la LNH aura des répercussions sur sa formation, Roy soutient que les Remparts ne changeront pas de cap sur le plan des affaires. La direction familiale prise il y a quelques années demeurera.

«Ça ne change rien pour nous autres. Est-ce qu'on va continuer d'avoir des moyennes d'assistance de 11 000 ou 12 000 personnes, advenant qu'une équipe de la Ligue nationale arrive à Québec? Ça, c'est une autre histoire. Mais on est confiant qu'il y a une clientèle pour nous à Québec. [...] Et en ayant un partenaire comme André Desmarais, qui vient de se joindre à nous, ça nous permet d'avoir un groupe plus solide, plus fort», a affirmé l'entraîneur, notant que le coût d'un match de la LNH en famille se monte «pratiquement à l'équivalent de nos billets de saison».

Aux yeux de Roy, les Remparts remplissent un rôle bien à eux dans le développement du hockey dans la région. «Dans les huit dernières années, le hockey mineur a augmenté à Québec. Je ne dis pas qu'on en est la raison, mais à quelque part, on pense qu'on a bien fait notre travail et on en est bien fier.»
Des efforts qui ne sont pas passés inaperçus et qui, visiblement, ont marqué des points auprès d'autres hommes d'affaires de premier plan. «On est content de voir des gens comme M. Desmarais et M. Péladeau investir dans notre ville. On est content de voir que depuis le Championnat mondial de hockey, il y a un engouement extraordinaire pour la ville de Québec. Ça nous réjouit au plus haut niveau.»

Tomas Vokoun est-il dans les plans de Dale Tallon?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8194/rumeurs/de/transactions/tslh/florida%20panthers/2011-03-03/tomas-vokoun-est-il-dans-les-plans-de-dale-tallon/

The Miami Herald : Barry Jackson rapporte que le directeur général des Panthers, Dale Tallon, a décidé de ne pas transiger son gardien de but lors de la date butoir maintenant il est à savoir si l'équipe voudra lui offrir un nouveau contrat au premier juillet lui qui sera joueur autonome à ce moment.

Vokoun a été questionné sur le sujet et a mentionné qu'il est certes pas facile de ne pas participer aux séries éliminatoires mais que malgré tout, il aime être avec les Panthers et qu'il souhaite y demeurer.

Le cerbère n'a eu aucune confirmation de la part de la haute direction à savoir si l'équipe compte ou non lui offrir une nouvelle entente. Dale Tallon lui aurait mentionné qu'il prendrait sa décision à la fin de la présente saison. Vokoun tient également à évaluer les options qui pourraient se présenter à celui-ci.

Vokoun a touché un salaire annuel cette saison de 6,3$ M et pourrait être le meilleur gardien de but disponible sur le marché des joueurs autonomes.

Note : Le jeune gardien de but de l'organisation,Jacob Markstrom, pourrait bien faire son entrer en règle dès l'an prochain et chasser ainsi Vokoun de la Floride. L'équipe est en construction de toute manière et il serait bénéfique pour le jeune d'obtenir du temps de glace de qualité sans avoir la pression d'un vétéran.

Des Leafs coriaces

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/03/02/004-lnh-penguins-maple-leafs.shtml

Toronto n'a pas dit son dernier mot. Les Maple Leafs sont demeurés au plus fort de la course aux séries avec un gain de 3-2 en prolongation sur les Penguins, mercredi, devant leurs partisans.
Grâce à son huitième match de suite avec au moins un point, la troupe de Ron Wilson s'est approchée à seulement 4 points des Hurricanes de la Caroline, qui occupent le 8e rang du classement de l'Association de l'Est avec 69 points.
Mikhail Grabovski a procuré la victoire aux siens dès la 42e seconde de la période supplémentaire avec son 25e but de la saison. Laissé sans surveillance devant le filet de Marc-André Fleury, il a mis la touche finale à l'échange inspiré entre Dion Phaneuf, Carl Gunnarsson et Phil Kessel.
Ce même Kessel et Nikolai Kulemin ont inscrit les autres buts des Leafs.
Matt Niskanen et Chris Conner ont répliqué pour les Penguins.
Lightning 1 - Devils 2
À Newark, les Devils ont poursuivi leur spectaculaire remontée au classement avec un triomphe de 2-1 sur le Lightning de Tampa Bay, leur 18e en 22 matchs.
Ils devancent maintenant les Panthers de la Floride avec 60 points et n'accusent que 9 longueurs de retard sur les Hurricanes.
Après avoir participé au but de son coéquipier Henrik Tallinder en deuxième période, Ilya Kovalchuk a marqué le filet gagnant au troisième engagement, son cinquième en 11 rencontres.
À l'autre bout de la patinoire, Dominic Moore a privé Martin Brodeur de son 115e blanchissage.

À Chicago, Jonathan Toews a récolté ses 24e et 25e buts de la saison dans un gain de 6-4 des Blackhawks sur les Flames de Calgary.

À Uniondale, Blake Comeau a réussi un doublé dans une victoire de 4-1 des Islanders de New York sur le Wild du Minnesota.

Au sommet du monde

http://www.radio-canada.ca/sports/ski/2011/03/02/001-kershaw-harvey-relais.shtml

Photo: AFP/DANIEL SANNUM LAUTEN
Devon Kershaw et Alex Harvey, euphoriques après leur victoire

Alex Harvey et Devon Kershaw ont mis la planète ski de fond à leurs pieds. Les Canadiens ont triomphé au sprint par équipe des mondiaux de ski de fond à Oslo, en Norvège.
Harvey s'est imposé dans une fin de course spectaculaire, mercredi, pour donner au Canada son premier titre et sa première médaille masculine à des mondiaux. Sara Renner avait remporté le bronze au sprint classique en 2005.
Harvey mord dans l'or à l'endroit même où son père Pierre a célébré sa dernière victoire en Coupe du monde, en 1988.
« Les Norvégiens doivent avoir une centaine de médailles aux mondiaux et nous venons de décrocher la première du Canada (chez les hommes), s'est réjoui Harvey, 22 ans. De le faire à l'endroit où est né ce sport, c'est incroyable! »
Le fondeur de Saint-Ferréol-les-Neiges a littéralement tiré le duo canadien.
À la mi-course, il a pris le relais de Kershaw en 7e position. Dans le tour suivant, Harvey a remonté jusqu'en tête. Kershaw n'a pu maintenir le rythme, se faisant dépasser par le Norvégien Petter Northug et le Finlandais Sami Jauhojaervi, qui a réussi à se détacher considérablement du peloton.
Harvey a donc pris d'assaut le sixième et dernier tour en 3e position.
« Je voulais rester derrière Hattestad (Ola Vigen, le Norvégien), qui est imposant physiquement. Le vent était fort et je savais que je pourrais économiser de l'énergie comme ça », a commenté Harvey, le sourire aux lèvres, sur les ondes d'Eurosport.
« J'avais l'impression que je laissais Alex dans la meilleure position possible. Hattestad a fait le travail pour combler l'écart avec le Finlandais et Alex a pu se faufiler à la fin », a ajouté Kershaw, 28 ans.
harveyoslo
Photo: AFP/ODD ANDERSEN
Alex Harvey à Oslo
Harvey s'est effectivement glissé en tête dans les derniers mètres. Le duo canadien a bouclé les 9 km en 19 min 10 s.
Les Norvégiens, favoris pour l'épreuve, ont terminé 2es (19:10,2). Les Russes Alexander Panzhinskiy et Nikita Kriukov (19:10,5) sont montés sur la dernière marche du podium.
Les Finlandais Jauhojaervi et Ville Nousiainen, quant à eux, ont dû se contenter de la 5e position.
Le repos a bien servi Harvey et Kershaw. Ils avaient déclaré forfait pour l'épreuve du 15 km classique, mardi, pour se préserver pour le sprint par équipe. La stratégie a été payante.
Les Canadiennes 6es
Chez les femmes, les Canadiennes Perianne Jones et Daria Gaïazova ont terminé 6es de la finale du sprint par équipe.
Elles ont franchi les 7,8 km de l'épreuve en 20:11,9.
Les Suédoises Ida Ingemarsdotter et Charlotte Kalla ont décroché l'or (19:25,0), suivies par les Finlandaises Aino Kaisa Saarinen et Krista Lahteenmaki (19:28,3).
Les favorites locales Maiken Caspersen Falla et Astrid Uhrenholdt (19:29,1) ont pris le bronze.

Daniel Alfredsson pourrait-il demander une transaction?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8193/rumeurs/de/transactions/tslh/ottawa%20senators/2011-03-03/daniel-alfredsson-pourrait-il-demander-une-transaction/

Sportsnet.ca : rapporte que l'attaquant et capitaine des Sénateurs d'Ottawa, Daniel Alfredsson, a mentionné ne pas avoir trouvé facile le départ de certains joueurs avec qui cela faisait longtemps qu'il jouait à leur côté mais approuve la direction qu'a entrepris Bryan Murray.

Alfredsson a mentionné ne pas vouloir remporter la coupe Stanley outre qu'avec les Sénateurs c'est donc dire que celui-ci devrait terminer sa carrière dans la ville reine.

Le capitaine se dit vouloir faire les mentors pour les jeunes recrues qui se joindront à l'organisation

Mike Smith ou Dwayne Roloson?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8191/rumeurs/de/transactions/tslh/tampa%20bay%20lightning/2011-03-02/mike-smith-ou-dwayne-roloson/

TBO.com : Erik Erlendsson rapporte que le directeur général du Lightning, Steve Yzerman, devra prendre une décision d'ici le premier juillet prochain à savoir qui de Mike Smith ou Dwayne Roloson sera de retour avec l'équipe l'an prochain. Les deux portiers seront joueurs autonomes au premier juillet prochain.

Le journaliste note que Yzerman pourrait régler la situation via une transaction ou se tourner vers le marché des agents libres.

Note : Roloson ne se fait plus jeunes et Mike Smith n'a guère prouvé depuis son arrivée à Tampa Bay qu'il peut être le gardien numéro un de l'équipe. Yzerman pourrait donc se tourner vers le marché des joueurs autonomes. Tomas Vokoun et Ilya Brygalov sont les deux gros noms sur le marché des UFA. Yzerman devra composer par contre avec une masse salariale quelque peu réduite car Steve Stamkos sera à la recherche d'une nouvelle entente cet été ce qui pourrait venir mêler les cartes dans l'obtention d'un cerbère de premier plan.

Curtis Glencross à la recherche d'un contrat à long terme... Demeura-t-il avec les Flames?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8192/rumeurs/de/transactions/tslh/calgary%20flames/2011-03-02/curtis-glencross-a-la-recherche-dun-contrat-a-long-terme-demeura-t-il-avec-les-flames/

Calgary Sun : Steve MacFarlane rapporte que lors de la journée de la date limite des transactions, plusieurs formations se sont informées de la disponibilité de l'attaquant Curtis Glencross or les Flames ont décidés de garder celui-ci avec l'équipe malgré le fait qu'aucune entente entre les deux parties est près de survenir.

Le clan Glencross serait à la recherche d'une entente de quatre à cinq ans selon les propos du principal intéressé.

Note : Il est évident que Glencross avec son style robuste en plus d'être capable de contribuer aux succès offensifs d'une équipe sera très convoité au cours du premier juillet prochain alors que celui-ci sera à ce moment, joueur autonome sans restriction.

Les Sénateurs d’Ottawa pourraient prolonger le contrat de Craig Anderson

http://www.hockeyexpress.ca/les-senateurs-dottawa-pourraient-prolonger-le-contrat-de-craig-anderson/#more-13629

Don Brennan du Ottawa Sun rapporte que le directeur général des Sénateurs d’Ottawa, Bryan Murray, a eu des discussions avec l’agent du gardien de but Craig Anderson. Anderson devra prouver qu’il est capable de bien performer durant le reste de la saison pour que les Sénateurs envisagent prolonger son contrat.

Est-ce que les Canadiens ont tenté d’échanger Andrei Kostitsyn ?

http://www.hockeyexpress.ca/est-ce-que-les-canadiens-ont-tente-dechanger-andrei-kostitsyn/#more-13633

Elliotte Friedman de Cbc.ca rapporte que les Canadiens de Montréal auraient tenté d’échanger l’attaquant Andrei Kostitsyn à la date limite des transactions. Cependant, les offres pour Kostitsyn n’étaient pas géniales, donc la direction a décidé de le garder. Rappelons qu’il deviendra joueur autonome avec restriction le 1er juillet prochain. Il ne serait pas surprenant que les Canadiens ne le resignent pas pendant l’entre-saison si l’équipe est capable d’obtenir un autre ailier de qualité pour le remplacer.

Omark et la fusillade

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2559:omark-et-la-fusillade&Itemid=18

Mercredi, 02 Mars 2011
Par HOCKEY30.com
Décidément, Linus Omark sera peut-être reconnu comme le meilleur franc-tireur en fusillade de l'histoire du hockey... Hier encore, il nous réservait un but des plus originaux.
 
 

Les mains de Dawes

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2557:les-mains-de-dawes&Itemid=18

Mardi, 01 Mars 2011
Par HOCKEY30.com
Nigel Dawes aurait-il un certain talent? À le voir déculotter Chris Pronger, on est en droit d'espérer...
 
 

Négos et contrats

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2561:négos-et-contrats&Itemid=18

Mercredi, 02 Mars 2011
Par HOCKEY30.com
- Le directeur général des Bruins de Boston, Peter Chiarelli, veut signer Tomas Kaberle avant le 1er juillet. Cela tombe bien, le défenseur semble vouloir rester à Boston. L'agent de Kaberle serait allé voir Chiarelli le jour où son client est arrivé à Boston pour entamer les discussions préliminaires. "Pour l'instant, la priorité est de gagner la Coupe Stanley. Après, nous aurons tout le temps de trouver une entente" a affirmé Chiarelli.
- Shea Weber est-il honnête lorsqu'il affirme vouloir rester à Nashville? Le défenseur a réitéré son désir de demeurer avec les Predators, mais que l'important était de se qualifier pour les séries éliminatoires. Le défenseur ne veut pas parler de nouveau contrat avant la fin de la saison.
- Les Flames de Calgary ont pris une chance en n'échangeant pas Curtis Glencross à la date limite des transactions. Joueur autonome sans compensation l'été prochain, l'équipe a décidé de le garder en espérant de tout coeur pouvoir le convaincre de signer un nouveau contrat à Calgary. Glencross est la recherche d'un contrat de 4 ans avoisinant les 16 M$. Selon nos infos, l'attaquant adore vivre en Alberta et son premier choix serait de rester.
- Ryan McDonagh impressionne à New York. Le défenseur défensif affiche un différentiel de +8 et a amassé 5 points en 24 matchs. McDonagh est toujours calme sur la glace, prend les bonnes décisions dans son territoire et joue avec confiance. Bob Gainey doit regretter son geste de l'avoir échangé...
- Les Sénateurs veulent absolument signer le gardien Craig Anderson avant la fin de la saison. Anderson et son agent sont ouverts aux discussions. Les Sens auraient-ils enfin trouvé un vrai gardien numéro un.
- Ian White, tout juste échangé des Flames aux Sharks, a déclaré vouloir signer une prolongation de contrat avec sa nouvelle équipe. Joueur autonome sans compensation cet été et empochant un salaire de 3 M$ cet saison, le défenseur serait prêt à accepter une diminution de salaire pour rester à San Jose.

Martin lève le ton à l'entraînement

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/martin-leve-le-ton-a-l-entrainement-62564.html

(CKAC Sports) - Insatisfait de l'exécution de ses joueurs, Jacques Martin a levé le ton à l'entraînement, mercredi matin, à Sunrise en Floride.

Martin a dirigé une séance de plus d'une heure axée sur la stratégie.

«C'est important d'être sur la même page et de comprendre la façon qu'on veut jouer, a "résumé" l'entraîneur du Canadien. Ce matin (mercredi), on a eu une bonne opportunité de travailler sur certains aspects de notre jeu.»

Selon notre collaborateur, Martin McGuire, l'entraîneur du Canadien a manifesté son mécontentement à plusieurs reprises, dont la plus "vocale" lors d'un manque de cohésion dans des exercices de transition de jeu.

Une famille présente a même dû éloigner ses enfants en proximité de la patinoire en raison du "langage" employé par le patron du CH», a dit le descripteur des matchs à CKAC Sports.

«Il n'y a aucun problème. Les gars comprennent de la façon qu'on veut jouer.»

Eller parmi les fautifs

Parmi les joueurs qui ont "bénéficié" d'une rencontre personnalisée de l'entraîneur, Lars Eller a bien compris le message et il s'est donné à fond par la suite.

Les unités spéciales ont pu s'exécuter durant de longues minutes en prévision du duel de jeudi face aux Panthers.

La séance s'est complétée par une discussion ouverte et vive entre l'entraîneur-adjoint Kirk Muller et des joueurs comme Michael Cammalleri et Tomas Plekanec concernant les différents schémas de jeu expliqués par le personnel d'entraîneurs au cours de l'entraînement.

Détails et réactions à suivre.

Alfredsson pourrait devoir être opéré

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/alfredsson-pourrait-devoir-etre-opere-62629.html

OTTAWA - Daniel Alfredsson n'écarte pas la possibilité d'effectuer un retour au jeu cette saison.
Le capitaine des Sénateurs d'Ottawa est à l'écart en raison de maux de dos depuis le 7 février, mais il ne désespère pas de rejouer, même si ce n'était que pour quelques matchs.

«Je ressens encore du mal, des raideurs au dos», indique Alfredsson, qui a patiné à quelques reprises cette semaine.

Différent cette saison

Alfredsson souhaite que du repos additionnel lui permette de régler le problème. L'attaquant âgé de 38 ans voudrait jouer quelques matchs afin de mieux comprendre ce qu'il devra faire comme rééducation, au terme de la saison. Il n'écarte pas la possibilité d'avoir à subir une opération.

Alfredsson a déjà été aux prises avec des maux semblables, mais il parvenait habituellement à s'en départir à l'aide de traitements.

«C'est quelque peu différent cette saison. La douleur m'affectait pendant les matchs, surtout dans les batailles individuelles. J'essayais de compenser et je me retrouvais hors d'équilibre.»

Deux ans de contrat

Le Suédois a encore deux années à écouler à son contrat et personne ne le blâmerait s'il manifestait le désir d'aller poursuivre sa carrière ailleurs, compte tenu que l'équipe est en mode reconstruction. Mais ce n'est pas ce qu'il souhaite.

«Je suis très enraciné ici, a-t-il dit. Je ne me vois pas ailleurs. J'aimerais gagner la Coupe Stanley, mais pas avec une autre équipe.»

Alfredsson a même dit être à l'aise avec la possibilité qu'il puisse terminer sa carrière à Ottawa sans remporter la Coupe Stanley.

«J'aimerais la gagner, mais pas en allant jouer dans une autre équipe.»

Au lieu de cela, le vétéran ailier se dit prêt à s'acquitter de la tâche de grand-frère auprès des jeunes de la relève des Sénateurs, dès la saison prochaine.

«C'est un défi différent mais, avec l'expérience que je possède, je pense que je peux apporter beaucoup aux jeunes et, du coup, permettre à l'équipe de progresser plus rapidement.»

LNH à Québec: Pas si vite, déclare Gary Bettman

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/lnh-a-quebec-pas-si-vite-declare-gary-bettman-62703.html

MONTRÉAL - Les gens de Québec ne devraient pas sauter aux conclusions et croire que le moment est proche où la ville obtiendra une nouvelle équipe de la LNH, affirme le commissaire Gary Bettman.
Au cours d'une entrevue accordée à l'émission radiophonique Hockey Night in Canada au réseau CBC, mercredi, Bettman a commenté l'annonce de mardi concernant l'entente entre la ville de Québec et Quebecor.

Le commissaire a rappelé que Québec n'est pas, pour l'instant, candidate à un déménagement d'équipe. Ni aucune autre ville, a-t-il ajouté. Selon Bettman, des projets sont des projets jusqu'à ce qu'ils deviennent la réalité.

Le commissaire a ajouté qu'à un certain moment, quand le contexte sera le bon, il aimerait revenir aux endroits où la LNH était avant. M. Bettman a dit savoir qu'il y a d'excellents partisans à Québec mais il s'inquiète de voir les attentes s'accroître trop.