mercredi 28 septembre 2011

Cette fois, Jaroslav Halak sera au sommet de sa forme

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/cette-fois-jaroslav-halak-sera-au-sommet-de-sa-fo-98826.html


(98,5 Sports) - Les Blues de St. Louis ont fait état de leurs inquiétudes au gardien Jaroslav Halak. Les dirigeants voulaient s'assurer qu'il serait prêt physiquement à assumer une dure saison de 82 matchs.
Halak n'a pas chômé cet été en abordant un programme spécial de mise en forme.

Le vélo à la rescousse

L'ancien gardien du Canadien a passé la saison estivale chez lui en Slovaquie. Il a toutefois passé beaucoup de temps sur son vélo à courser sur les routes passablement vallonnées autour de Bratislava.

Selon Halak, la forme physique lui permettra d'assumer son rôle de numéro un avec confiance, mais que ce n'est pas toujours là où réside la clé du succès.

«Je ne crois pas qu'il y ait un régime pour se préparer mentalement à une saison de la LNH. Ce qui est bien, c'est que j'ai maintenant l'expérience. Je sais à quoi m'attendre, le défi est important, mais je suis très motivé.»

Cette fois dois être la bonne

Àgé de 26 ans, Halak est la pièce maîtresse des Blues qui vise une participation aux séries.

L'équipe ne s'est qualifiée que deux fois en séries depuis 2004 (2004 et 2009). Les Blues n'ont pas franchi le premier tour éliminatoire depuis la saison 2001-2002.

* Jaroslav Halak porte le numéro 41 avec les Blues. Le numéro 38 derrière son masque (voir photo) est en honneur de Pavol Demitra, son coéquipier de l'équipe nationale slovaque décédé récemment dans un accident d'avion en Russie.

Avec le St. Louis Post Dispatch

Jagr voit en Giroux, un petit Mario Lemieux

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(98,5 Sports) - Jaromir Jagr se fait à son nouvel environnement et à son nouvel uniforme des Flyers de Philadelphie. Et il ne semble pas s'en faire pour son avenir immédiat.
Jagr a inscrit cinq points en deux matchs préparatoires des Flyers aux côtés, entre autres de Claude Giroux.

«Avec Giroux au centre, c'est facile de jouer. Il est bon à ce point. Giroux est un génie, un petit Mario Lemieux. Ne vous en faites pas pour moi. L'avenir s'annonce prometteur, a dit le patineur de 39 ans au terme de la victoire des Flyers, 5-3 devant les Rangers de New York, lundi soir à Philadelphie.

Jagr a souvent retrouvé les partisans des Flyers au cours de sa carrière, mais en tant que rival juré que ce soit avec les Penguins de Pittsburgh, les Capitals de Washington ou les Rangers de New York.

«Chaque fois, que je jouais ici, on me conspuait, se souvient Jagr. Ce fut bien différent ce soir. Espérons que ce sera toujours comme ça.»

Avec philly.com

Tampa Bay redevient une destination de choix

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/tampa-bay-redevient-une-destination-de-choix-98927.html


(98,5 Sports) - Après un camp d'entraînement entamé sous le soleil de la Floride, le Lightning de Tampa Bay a déménagé ses pénates à Mont-Tremblant en vue de ses duels face au Tricolore.

Et avec le contingent de joueurs québécois au sein de la formation, plusieurs se sont sentis à la maison.

Lors de son premier entraînement depuis son arrivée en sol québécois, les joueurs de Guy Boucher ont foulé la glace de l'aréna du Mont-Tremblant pendant près d'une heure.

Devant un public très jeune, et conquis à l'avance, les patineurs du Lightning ont déployé beaucoup d'efforts, mais aux dires du capitaine Vincent Lecavalier, ce n'était pas suffisant pour satisfaire les standards du groupe d'entraîneurs. « C'était intense, et même si on a augmenté notre tempo depuis deux jours, ce n'était pas suffisant aux standards de Guy (Boucher). »

Justement, Boucher n'a pas caché que les années se suivent et se ressemblent, malgré la courte mémoire des joueurs. « J'ai appris avec le temps que les joueurs oublient pendant l'été, a-t-il ironisé. Ils pensent qu'ils se souviennent, mais ce n'est pas toujours le cas. Pour le moment, nous avons joué seulement une seule bonne période sur 12. Mais il nous reste deux matchs afin de bien se préparer pour le début de la saison. »

Malgré la perte de certains joueurs, dont Simon Gagné et Sean Bergenheim, le Lightning n'a pas eu à chercher longtemps pour combler certains postes lors de l'ouverture du marché des joueurs autonomes, car la réputation de l'organisation est en hausse aux dires du joueur de 31 ans originaire de l'Île-Bizard. « C'est le jour et la nuit si on compare la situation avec deux ans. Et ce n'est pas parce qu'on gagne. L'organisation en est vraiment une de première classe. Selon moi, pour les agents libres, c'est LA place où il faut aller », a-t-il précisé, sans vouloir causer une nouvelle saga.

Et les propos du grand numéro 4 ont été repris sans hésiter par le pilote de la formation, Guy Boucher. Et il n'a pas mis de temps pour illustrer à quel point la réputation de l'équipe floridienne est aux antipodes d'il y a deux ans. « Lors d'un sondage anonyme réalisé à la fin de la saison, nous sommes arrivés cinquièmes parmi les destinations favorites, alors que l'année précédente, nous étions 30es. »

Cependant, à l'image de ses patrons Steve Yzerman et Jeff Vinik, et de son bras droit Julien BriseBois, Guy Boucher se qualifie comme un homme qui se satisfait rarement d'un résultat, visant toujours à s'améliorer. Et il croit qu'avec les gens en place à Tampa Bay, tout est possible en raison de la qualité de tous les employés.

Scott Hartnell retourne au jeu

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/scott-hartnell-retourne-au-jeu-98961.html


(98,5 Sports) - Scott Hartnell a reçu le feu vert du cardiologue de l'équipe, mardi, pour retourner au jeu. L'attaquant des Flyers de Philadelphie a dû être examiné par le spécialiste en raison de son rythme cardiaque anormalement élevé.
Les premiers symptômes sont apparus entre la deuxième et la troisième période lors du match préparatoire des Flyers, vendredi, contre les Red Wings de Detroit. L'athlète de 29 ans avait alors averti les soigneurs de l'équipe que son bras droit était engourdi.

C'est à ce moment qu'on a découvert que son rythme cardiaque était anormalement élevé. On lui a alors suggéré de se reposer dimanche et de ne pas jouer lundi contre les Rangers de New York, ce qu'il a fait.

Après avoir passé d'autres tests médicaux plus précis mardi, Hartnell a pu rejoindre ses coéquipiers sur la patinoire et il a indiqué qu'il devrait être prêt pour le match de jeudi contre les Devils du New Jersey.

«Je me sens mieux. Au dernier match, mon rythme cardiaque ne revenait pas à la normale comme d'habitude. Mes bras tremblaient un peu. On a voulu être plus prudent et je suis resté loin de la patinoire pendant quelques jours», a commenté Hartnell à LNH.com lundi.

(Source : LNH.com)

«SVP Drew reviens. Nous t'aimons!» - Tim Leiweke des Kings de LA

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/svp-drew-reviens.-nous-t-aimons-tim-leiweke-d-98967.html


(98,5 Sports) - Alors que les négociations entre les Kings de LA et le défenseur Drew Doughty n'aboutissent pas, le gouverneur de l'équipe, Tim Leiweke, plaide pour son retour au jeu.
Incapable de s'entendre avec le directeur général des Kings, Dean Lombardi, au sujet d'un nouveau contrat, le jeune défenseur étoile Drew Doughty a décidé de ne pas se rapporter à son équipe en début de camp d'entraînement.

Selon l'organisation, Doughty a refusé un contrat de neuf ans d'une valeur de 61M$, soit un salaire annuel de 6,8M$. Et les Kings refusent de lui offrir plus que cette somme puisqu'elle est similaire à celle qu'Anze Kopitar reçoit. Selon toute vraisemblance, Doughty serait à la recherche d'un salaire annuel de 7M$.

Tout en mentionnant qu'il approuvait la stratégie de négociation de son dg, le gouverneur des Kings, Tim Leiweke, a toutefois plaidé pour le retour au jeu de son jeune défenseur.

«Ce n'est pas une question de sauver de l'argent, a affirmé Leiweke à la journaliste Helene Elliott du LA Times, mardi. Ça n'a rien à voir. C'est une question de comment on alloue nos sommes d'argent et comment on respecte Drew. Et nous vouons un grand respect à Drew. Je le respecte beaucoup. C'est notre joueur de franchise à long terme et nous ne le laisserons pas aller jouer ailleurs.»

Leiweke a aussi confirmé qu'il n'était pas question d'échanger le défenseur de 21 ans qui la saison dernière a marqué 11 buts et récolté 40 points avec les Kings en plus d'être en nomination pour le trophée Norris l'année précédente.

«Je suis d'accord avec ce que Dean (Lombardi) tente de faire, a-t-il poursuivi. Il ne veut pas manquer de respect envers Drew, ce n'est pas une question d'être grippe-sou. C'est une question de savoir comment allouer nos différentes sommes d'argent. La plupart des joueurs semblent comprendre que nous sommes désireux de conserver assez de ressources financières pour garder l'équipe ensemble à long terme.»

«C'est certain que j'aimerais que Drew revienne au camp. SVP Drew, reviens! Nous t'aimons. On ne doit pas briser notre lien ou sa reputation et la nôtre avec de telles négociations. On doit trouver une solution. Il doit être de retour avec l'équipe le plus rapidement possible. Et il doit être prêt pour nos matchs en Europe. Il ne devrait pas rater ce voyage. Sinon, ça voudrait dire qu'on peut se passer de lui et ça c'est inconcevable.»

(Source : LNH.com)

Montréal ou la ville du milieu, Weber à l'attaque et Komisarek le gaffeur

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=3309:montréal-ou-la-ville-du-milieu-weber-à-l'attaque-et-komisarek-le-gaffeur&Itemid=18


Mardi, 27 Septembre 2011
Par HOCKEY30.com

- Ah, Montréal, Montréal...
- Cette ville qui voit son équipe championne de la Coupe Stanley avant même que la saison commence.
- Cette même ville qui panique alors que son équipe se retrouve bonne dernière dans les matchs préparatoires.
- Le CH ne gagnera pas la Coupe Stanley. Et le CH ne finira pas dernier pour autant.
- L'équipe sera tout simplement encore une bonne petite équipe de milieu de peloton, pas plus pas moins.
- Les matchs pré-saison ne veulent absolument rien dire, surtout au hockey.
- Alors pas de panique, votre équipe arrivera sûrement 7e ou 8e dans l'Est... comme d'habitude...
- Il faudrait que certains arrêtent de faire grand cas des maux de dos de PK Subban. Le défenseur a confié à notre source qu'il se sentait bien et qu'il n'avait pas lieu de paniquer.
- Yannick Weber pourrait-il jouer encore à l'attaque cette saison? Jacques Martin aurait averti le Suisse de se préparer à cette éventualité.
- Les médias de Philadelphie affirment que Brayden Schenn a de bonnes chances de percer l'alignement des Flyers.
- Du côté de Détroit, les médias affirment que Fabian Brunnstrom se méritera un contrat.
- Matthew Lombardi pourrait débuter la saison avec les Leafs. Quel vol de Brian Burke!
- Mike Komisarek continue d'être proposé à toutes les équipes de la LNH. Inutile de dire que personne n'en veut.
- Heureusement que Komisarek a refusé l'offre de Bob Gainey. Imaginez...
- On se rend compte à quel point Andrei Markov est talentueux. Bien faire paraître Komisarek "alias le gaffeur" pendant toutes ces années est digne de l'exploit.
- Comme prévu, Steve Staios a signé un contrat avec les Islanders.

La fin pour Avery? La perle des Panthers et un Québécois en feu

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Mardi, 27 Septembre 2011
Par HOCKEY30.com
- Sean Avery connaît un camp d'entraînement atroce. Plusieurs rumeurs circulent à l'effet qu'il pourrait être renvoyé dans la ligue américaine.
- Le gardien de but numéro 2 des Panthers de la Floride (si on considère que Théo est le numéro un), Scott Clemmensen, devra s'absenter en début de saison suite à une opération au genou.
- On parle de seulement de quelques matchs, mais cela va peut-être permettre à Jacob Markstrom de jouer sa première partie dans la LNH.
- Le Suédois de 19 ans continue d'impressionner.
- Du haut de ses 6'4" et de ses 185 lbs, Markstrom semble prêt à assumer le poste de gardien numéro un dans la LNH d'ici une à deux saisons selon les dépisteurs de la Floride.
- Bonne nouvelle pour Jeff Drouin-Deslauriers! Le gardien québécois est en feu au camp d'entraînement des Ducks et pourrait changer les plans des dirigeants.
- Dan Ellis était supposé être le gardien auxiliaire de Jonas Hiller, mais avec les performances éblouissantes de Drouin-Deslauriers, rien n'est moins sûr.
- Le DG des Kings, Dean Lombardi, a affirmé qu'il n'augmenterait pas son offre de 6,8 M$ par année pour Drew Doughty.
- Est-ce que pour une fois, Don Meehan pourrait perdre sa bataille?
- Ales Kotalik et Shaone Morrisonn ont été envoyés dans la ligue américaine par les Sabres de Buffalo. L'équipe respecte maintenant le plafond salarial.
- Les Sabres seront dangereux. Pourraient-ils venir inquiéter les Bruins dans la division Nord-Est? Absolument...

Tension, bagarre et homophobie

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=3307:tension-bagarre-et-homophobie&Itemid=18

Mardi, 27 Septembre 2011
Par HOCKEY30.com
Il y avait beaucoup de tension lors du match entre les Rangers et les Flyers. Sean Avery a affirmé après le match que Wayne Simmonds avait utilisé des propos homophobes à son endroit, lui qui prend la défense des mariages gays.

Perron retrouve ses coéquipiers

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/09/27/007-perron-retour-glace.shtml


David Perron a finalement retrouvé ses coéquipiers des Blues de St. Louis, lundi, après une absence de 10 mois causée par une commotion cérébrale.
L'attaquant a raté 72 affrontements la saison dernière à la suite d'une sévère mise en échec de Joe Thornton, des Sharks de San José, qui a écopé d'une suspension de deux rencontres pour son geste. Perron a eu besoin de plusieurs mois pour se débarrasser des séquelles de sa commotion cérébrale.
Le directeur général des Blues, Doug Armstrong, a indiqué que le joueur de 23 ans a commencé à faire de légers exercices et à patiner il y a 3 ou 4 semaines, une fois que les symptômes de sa commotion se sont atténués.
« Je suis vraiment heureux, a affirmé le Sherbrookois sur les ondes de Sports Extra. Je suis arrivé dans le vestiaire hier et tout le monde me regardait. Ils étaient bien contents de me voir. »
« C'est intéressant de le ravoir parmi nous, mais nous savons qu'il ne jouera pas dans un avenir rapproché », a dit Armstrong.
Pour l'instant, Perron patinera seul. Il ne sait toujours pas quand il pourra rejoindre ses coéquipiers sur la glace et recevoir des mises en échec. Il ignore encore plus l'échéancier pour son retour au jeu.
« Je ne suis pas encore prêt pour un retour au jeu, a-t-il tranché. Mais je me sens d'attaque pour commencer le processus vers ça. »
Perron a rencontré des spécialistes à Vancouver et à Boston ces derniers mois, mais il avoue que personne ne pourra lui dire quand il sera à 100 %.
« C'est moi qui ressens les symptômes. Même les médecins les plus versés en commotion cérébrale n'en connaissent pas tant que ça sur comment guérir les symptômes. »
« Avec ce genre de blessure, c'est David qui va nous dire où il en est, a ajouté Armstrong. Nous allons le mettre au défi, mais seulement jusqu'au niveau où il sera à l'aise. »

Nabokov brise la glace

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/09/27/008-lnh-resultats-mardi.shtml


Evgeni Nabokov a connu des débuts prometteurs avec les Islanders, mardi.
Le gardien russe n'a accordé qu'un but en deux périodes dans une défaite de 2-0 contre les Flames.
Nabokov a bloqué 15 des 16 tirs auxquels il a fait face. Seul Curtis Glencross l'a déjoué au deuxième tiers.
Son remplaçant, Mikko Koskinen, a quant à lui cédé une fois en six tirs. La récente acquisition Lee Stempniak a doublé l'avance des Flames au troisième engagement.
À l'autre bout de la patinoire, Henrik Karlsson a repoussé les 13 rondelles dirigées vers lui.
Rappelons que Nabokov avait refusé de se joindre aux Islanders après avoir été réclamé au ballottage la saison dernière. Le vétéran de 36 ans tente cette année d'obtenir le poste de numéro un. Al Montoya et Rick DiPietro sont les autres candidats.

Simmonds s'en sort indemne

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/09/27/001-simmonds-flyers-insultes.shtml


Wayne Simmonds a été épargné par la LNH pour les propos homophobes qu'il a tenus à Sean Avery.
L'attaquant des Flyers de Philadelphie, victime d'un geste raciste il y a quelques jours, n'a pas été suspendu pour avoir lancé des insultes durant le match de lundi soir contre les Rangers de New York.
La LNH a indiqué dans un communiqué que ces agissements n'ont pas leur place, mais qu'ils ne seront pas punis, faute de preuves. Colin Campbell se réserve toutefois le droit de rouvrir le dossier s'il accumule des preuves supplémentaires.
Dans le vestiaire après la rencontre, Avery a affirmé être déçu pour Simmonds. « D'être là maintenant à devoir répondre à des questions à propos de ce qu'il a fait me déçoit », a dit l'attaquant reconnu pour ses nombreuses frasques sur la glace.
De son côté, Simmonds n'a pas nié avoir peut-être dépassé les limites de la décence, mais il a ajouté ne pas se rappeler exactement tout ce qu'il a dit à Avery dans le feu de l'action.
Il a aussi accusé Avery de lui avoir assené un coup vicieux plus tôt dans la rencontre.

« Je ne me rappelle pas tout ce que je lui ai dit, mais il m'a dit des choses que je n'ai pas aimées, et peut-être que je lui ai aussi dit des choses qu'il n'a pas aimées, a-t-il soutenu. Je ne me souviens pas de chaque mot que j'ai prononcé. »
Simmonds, qui est Noir, a été la cible d'un geste raciste la semaine dernière dans un match hors-concours à London, en Ontario. Un spectateur lui a lancé une banane pendant la séance de tirs de barrage.

Avery, qui a souvent participé à des évènements dans la communauté gaie, a refusé de dire si la LNH devait sévir à l'endroit de Simmonds.
La Gay & Lesbian Alliance Against Defamation (GLAAD), une organisation de défense des droits des gais, n'a évidemment pas fait montre d'autant de retenue. Des porte-parole de l'organisme ont non seulement réclamé des excuses de la part de Simmonds, mais aussi une campagne dans laquelle les Flyers et la LNH expliqueraient pourquoi ce genre de propos est inacceptable.

Des blessés de retour à l'entraînement

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/09/27/002-canadien-entrainement-blesses.shtml


L'infirmerie du Canadien se vide tranquillement. P.K. Subban, David Desharnais et Lars Eller ont retrouvé leurs coéquipiers, mardi, à l'entraînement.
Pierre Gauthier l'avait dit en conférence de presse, lundi, avant la rencontre contre les Bruins de Boston. À l'exception de Brendon Nash et d'Hunter Bishop, deux joueurs des Bulldogs de Hamilton, la situation des nombreux blessés ne l'inquiétait pas.
« Je me sentais très bien pour un premier entraînement avec l'équipe, a dit Desharnais. Je devrais être capable de jouer jeudi contre le Lightning de Tampa Bay. J'ai subi une petite blessure typique d'un camp. »
Le petit centre n'a pas voulu le dire, mais il se rétablit d'une blessure à l'aine. À l'entraînement, il pivotait un trio complété par Andrei Kostitsyn et Aaron Palushaj.
Blessé à l'épaule droite au premier tour des séries face aux Bruins, Eller devra encore patienter avant d'enfiler l'uniforme du CH pour un match.
« Je n'ai pas encore le feu vert des médecins pour le contact complet, a expliqué le Danois. Je devrais l'obtenir d'ici les prochains jours après une consultation avec les médecins. »
David Desharnais et P.K. Subban
Photo: La Presse Canadienne /AP/Geneviève Ross
David Desharnais et P.K. Subban

L'ancien des Blues de St. Louis regardera les deux derniers matchs préparatoires de la passerelle de presse. Mais il n'écarte pas la possibilité d'un retour pour l'ouverture de la saison à Toronto, le 6 octobre.
« C'est encore possible, mais je ne souhaite rien bousculer, a précisé Eller. C'est parfois mieux d'être prudent surtout avec une longue saison de 82 matchs. »
Subban avec son mentor
Il y avait deux défenseurs de plus à l'entraînement avec le retour de Subban et la présence du nouveau venu Chris Campoli.
Subban était jumelé à son partenaire de fin de saison et des séries, Hal Gill, alors que Campoli faisait équipe avec Josh Gorges.
Signe d'un mauvais camp, le défenseur Yannick Weber s'est entraîné dans un rôle d'ailier droit.
Raphael Diaz se retrouvait avec Jaroslav Spacek, Alexei Yemelin était avec Jeff Woywitka et Alex Henry complétait le groupe des défenseurs avec Frédéric St-Denis.
Des congés et du ballottage
Après une série de quatre matchs en quatre soirs, le Tricolore a offert des repos à quelques joueurs. Le jeune Brendan Gallagher n'a pas patiné. Idem pour Michael Blunden, Brian Willsie et le gardien Nathan Lawson.
Willsie et Lawson se dirigeront par contre vraisemblablement très bientôt vers Hamilton, puisque leurs noms ont été soumis au ballottage.
Brock Trotter, lui, a franchi le ballottage sans être réclamé.

Dumont part la tête haute

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/09/27/004-habs-dumont-bulldogs.shtml


BROSSARD - Gabriel Dumont a vu son séjour avec le Canadien prendre fin après l'entraînement matinal de mardi. Le centre de 20 ans retournera avec les Bulldogs de Hamilton avec le sentiment du devoir accompli.
« J'ai vraiment tout donné, j'espérais encore mieux, mais je suis content de mes performances », a dit Dumont à Radio-Canada Sports quelques heures après l'annonce de son renvoi dans la Ligue américaine.
« C'est décevant de partir, a ajouté le Québécois. Quand tu viens à un camp, tu veux toujours faire l'équipe. Je ne suis pas différent des autres joueurs. »
Dumont n'a absolument pas à rougir de son camp. L'ancien des Voltigeurs de Drummondville a participé à quatre des six matchs préparatoires du Tricolore. Il n'a pas obtenu de point, mais il a fait sentir sa présence avec son intensité et sa fougue.
« Je quitte pour Hamilton dans un bon état d'esprit et je souhaite forcer un rappel pour Montréal en jouant du bon hockey avec les Bulldogs », a dit Dumont.
Avec le renvoi de Dumont à Hamilton, le Suédois Andreas Engqvist se rapproche de plus en plus de Montréal.
Il reste ainsi encore 39 joueurs présents au camp du CH, dont 11 sont blessés : Andrei Markov, Travis Moen, Hunter Bishop, Brendon Nash, David Desharnais, Lars Eller, Olivier Fortier, Louis Leblanc, Joonas Nattinen, Ryan White et Ian Schultz.
À sa première saison chez les professionnels l'an dernier, Dumont a amassé 18 points (5 buts, 13 passes) en 64 matchs avec les Bulldogs. Il a ajouté 9 points (6 buts, 3 passes) en 20 matchs en séries.
Les Bulldogs ont quant à eux ouvert leur camp, mardi, au Complexe sportif de Brossard. L'équipe de Clément Jodoin jouera deux matchs préparatoires en sol québécois, un à Victoriaville et un autre à Drummondville.
Des contrats pour DeSimone et Dame-Malka
Auteur d'une passe sur le seul but du Canadien, lundi soir, le joueur invité Philip DeSimone a signé son premier contrat professionnel.
Grand ami de Max Pacioretty, DeSimone a joué à l'Université du New Hampshire ces quatre dernières saisons.
Son contrat est d'un an et comporte deux volets, pour la Ligue américaine et la Ligue de la côte est.
Le défenseur Olivier Dame-Malka a paraphé le même genre de contrat que celui de DeSimone. À 21 ans, il était trop vieux pour être retourné dans les rangs juniors.
L'an dernier, il a amassé 55 points (16 buts, 39 passes) en 64 matchs avec les MAINEiacs de Lewiston.

Gallagher: quelques vrais matchs juste pour voir

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/francois-gagnon/201109/27/01-4451719-gallagher-quelques-vrais-matchs-juste-pour-voir.php



Soyez honnêtes: combien d'entre vous savaient qui était Brendan Gallagher avant que le Canadien ne le repêche en cinquième ronde (147e sélection) à Los Angeles en 2010?
Combien d'autres ont poussé un long soupir de dépit lorsqu'ils ont réalisé que leur club venait de mettre la main sur un autre ailier haut comme trois pommes? Que ses 5'7'' et 174 livres jetaient beaucoup d'ombre sur ses 41 buts et 81 points récoltés en 72 matchs avec les Giants de Vancouver dans la Ligue de l'Ouest?
Vous n'avez pas à rougir, car vous étiez très nombreux au sein de ce groupe.
Deux ans plus tard, la situation est inversée. Totalement! Tout partisan du Canadien qui se respecte connaît non seulement Gallagher, mais souhaite qu'on lui fasse une place au sein de la formation dès cette année.
S'il avait marqué en milieu de deuxième période hier au lieu de frapper le poteau à la droite de Tuukka Rask, la grande vedette du camp aurait eu droit à ses premiers «Gallagher! Gallagher! Gallagher!»
Âgé de 19 ans seulement, donc obligé de retourner dans les rangs juniors si le Canadien ne lui ouvre pas les portes de son vestiaire, Gallagher n'est pourtant pas plus grand et à peine plus lourd qu'il ne l'était lors de sa sélection bien obscure en 2010.
Pourquoi cette volte-face?
Parce que Gallagher est, pour le moment, le meilleur joueur du Canadien. Pas le meilleur espoir. Le meilleur, point!
Bien qu'il n'affichait qu'une passe avant d'affronter les Bruins hier, Gallagher a été au centre de presque toutes les poussées dangereuses du Tricolore lorsqu'il était en uniforme. Il est aussi au centre des commentaires élogieux qui résonnent dans le vestiaire. Des commentaires repris par l'entraîneur-chef Jacques Martin et son patron Pierre Gauthier.
Brendan Gallagher, la surprise du camp du Canadien.... (Photo: Hugo-Sébastien Aubert, La Presse) - image 2.0
Brendan Gallagher, la surprise du camp du Canadien.
Photo: Hugo-Sébastien Aubert, La Presse

Un beau risque?

À elles seules, les performances de Gallagher militent amplement en faveur d'un début de saison avec le grand club. En ajoutant les blessures qui se multiplient au point d'inquiéter le plus optimiste des partisans, on se demande comment le Canadien pourrait se passer d'un joueur aussi bon, peu importe son âge, sa taille, son inexpérience.
Mais attention! Les noms de Guillaume Latendresse et Mike Ribeiro vous rappellent-ils quelque chose?

Portés par une vague de passion semblable à celle dont profite Gallagher cette année, Latendresse et Ribeiro sont les derniers attaquants à avoir fait directement le saut des rangs juniors à la LNH avec le Tricolore. Ces expériences sont loin d'avoir servi la cause du Canadien, puisque Ribeiro a quitté Montréal en disgrâce avant d'éclore à Dallas et que Latendresse n'a jamais été en mesure de répondre aux attentes.

Les expériences négatives de Ribeiro et Latendresse ne signifient pas que Gallagher en sera victime lui aussi. Ça non! Elles invitent toutefois à un brin de prudence. Le genre de prudence qu'on écarte souvent du revers de la main lorsque la passion prend le dessus.
Pour offrir son plein rendement, Gallagher doit évoluer au sein des six premiers attaquants. Il l'a clairement démontré en matchs préparatoires. Il est toutefois utopique de croire qu'il puisse chasser Gionta, Cammalleri, Cole ou Pacioretty dès cet automne.
Gallagher pourrait aussi compléter un troisième trio pourvu que ce trio ne se voie pas confier strictement des missions défensives. On gaspillerait alors un immense talent. Avec Lars Eller ou David Desharnais au centre et Andrei Kostitsyn sur l'autre aile, Gallagher pourrait permettre au Canadien de compter sur ce genre de troisième trio capable de remplir des missions offensives.
Quant au quatrième trio, de grâce: oubliez ça!

Neuf matchs

Le Canadien n'a pas la réputation de prendre des risques avec ses jeunes. Au contraire! Le directeur général Pierre Gauthier n'est pas du genre non plus à faire des paris dangereux avec l'avenir de son club. Il l'a démontré hier en retournant Nathan Beaulieu, son premier choix l'été dernier, dans les rangs juniors d'où il ressortira encore meilleur qu'il ne l'est déjà.
Brendan Gallagher sortirait-il lui aussi grandi d'une année supplémentaire dans les rangs juniors? Sans doute.
Mais est-il déjà assez bon pour aider la cause du grand club? Jusqu'à maintenant, la réponse est oui.
Qu'est-ce qu'on fait alors?

On prolonge l'expérience le plus longtemps possible. Comme l'expliquait l'ancien capitaine du Canadien Vincent Damphousse qui a aidé à élaborer la dernière convention collective des joueurs de la LNH, Gallagher devra signer un contrat avec le Canadien avant le 2 octobre si Pierre Gauthier veut prolonger son camp.
Une fois le contrat signé, le Canadien pourrait donner un essai au jeune homme en début de saison. Si l'essai est concluant, on le garde à Montréal. Si des doutes s'installent, on le retourne à son club junior avant qu'il n'ait disputé une 10e partie. Pourquoi 10 matchs?

Parce que si Gallagher atteint ce plateau, une année complète sera comptabilisée dans sa quête d'un statut de joueur autonome sans restriction.
Un pensez-y-bien dans une LNH où les préoccupations économiques sont presque aussi importantes que les résultats sur la glace. Mais voilà: Gallagher mérite de voir ses efforts et ses performances récompensés.
Que fera le Canadien? Pierre Gauthier n'en a pas soufflé mot. La logique veut qu'il cède Gallagher à son équipe junior. D'ici là, il aurait avantage à prolonger l'expérience le plus longtemps possible.

Un rêve d'enfant réalisé pour Michaël Bournival

http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/sports/201109/27/01-4451667-un-reve-denfant-realise-pour-michael-bournival.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_hockey-junior_1607706_section_POS1

Steve Turcotte
Le Nouvelliste

(Montréal) C'est le rêve d'enfant de Michaël Bournival qui se réalisait lundi soir lorsqu'il a posé les patins sur la surface glacée du Centre Bell. 20 000 fans dans le building, le maillot de la plus prestigieuse équipe de hockey au monde sur le dos, le capitaine Brian Gionta comme compagnon de trio et un duel contre les ennemis de l'équipe, les Bruins de Boston.
Quoi demander de plus? Peut-être marquer le but égalisateur, ce que le capitaine des Cataractes a bien failli réussir en fin de troisième lorsqu'il a pris un bon tir sur réception de l'enclave, que Tuukka Rask a réussi à maîtriser. Bournival avait aussi cogné à la porte du gardien des Bruins sans succès, qui a donc réservé ses deux plus beaux arrêts de la soirée pour le Shawiniganais...

«C'est sûr que j'aurais aimé créer l'égalité. Mais je suis content de mon match, je voulais montrer aux entraîneurs ce que j'étais capable de faire et je pense que ça s'est bien passé. Plus le match avançait, plus je me sentais en confiance sur la glace. J'ai fait mon travail, à partir de maintenant ce n'est plus entre mes mains. Je vais accepter le verdict du Canadien.»
Bournival confessait sans gêne avoir été pas mal nerveux en début de match. Pas pour rien qu'il s'est concentré à bien faire son travail en zone défensive lors de ses premières présences. «C'est pas mal plus gros que le Centre Bionest ici! Il y avait beaucoup de bruit en début de match, c'est impressionnant quand tu sautes sur la glace. Ça m'a pris une présence ou deux pour entrer dans ma bulle.»
L'athlète de 19 ans disait avoir apprécié d'être jumelé à Gionta et Brian Willsie.

«Ça facilite les choses de jouer avec deux vétérans. Gionta m'a aidé à me positionner sur la glace», confiait Bournival. «Les vétérans sont vraiment gentils avec les jeunes. Je les ai beaucoup observés depuis le début du camp, je veux copier leur éthique de travail qui est impresionnante», ajoutait celui qui a été utilisé pendant près de 15 minutes hier.
Des parents fiers
Le grand sourire aux lèvres affiché par Bournival ressemblait à s'y méprendre à ceux de ses parents Jean et Céline, fiers de voir leur fils patiner aux côtés de quelques-uns des meilleurs joueurs au monde. «Il rêve à ce jour depuis qu'il a trois ans. J'avais des papillons dans l'estomac en début de match. On le voit jouer junior mais ici, ce n'est pas pareil. En arrivant dans le Centre Bell, je regardais les photos des légendes de l'équipe accrochés sur les murs et je trouvais ça incroyable que mon fils puisse porter le même chandail...», témoignait son papa.
«C'est beaucoup d'émotions pour Michaël, c'est beaucoup d'émotions pour nous aussi!», reprenait sa maman, qui a parlé à son fils hier midi. «Il avouait être nerveux, ce qui est normal. Je lui ai dit de profiter du moment présent, de s'amuser et de rester lui-même.»

Quatre amis de Bournival ont également tenu à être sur place. «Nous étions dans un cours à l'université cet après-midi (hier) quand nous avons appris qu'il jouait en soirée. On a décidé de tenter notre chance même si nous n'avions pas de billets. Nous avons été chanceux, on a pu se procurer des billets à 20 $», souriait Vincent Bellemare. «C'est spécial de voir Michaël jouer avec Gionta, on le regardait jouer pour les Devils quand nous étions jeunes», signalait de son côté William Hould.
Parlant du capitaine des Glorieux, il a été élogieux envers son jeune coéquipier. «Il a travaillé fort, il a gardé les choses simples. Il est encore jeune et il progresse très bien.»
Mais le vrai bulletin de Bournival, il est venu de Jacques Martin en fin de soirée, qui a décidé de le garder avec le grand club même s'il a procédé à des coupures au terme du match. «Ce n'est pas facile de revenir ainsi après une blessure. Il a bien travaillé. J'ai bien aimé sa performance. Il va poursuivre le camp d'entraînement.»
Lefebvre retranché
Malheureusement, le Trifluvien Philippe Lefebvre n'a pas eu le même privilège, lui qui se rapportera aux Bulldogs d'Hamilton aujourd'hui. Lefebvre a quand même bien fait à son deuxième match avec le Canadien lundi, lui qui a totalisé près de 11 minutes de jeu et trois lancers au but.

Shanahan fait du bon boulot, selon Darche et Gorges

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Marc Tougas
La Presse Canadienne
Brossard

Brendan Shanahan fait de l'excellent travail jusqu'ici, estiment Mathieu Darche et Josh Gorges.
Et ces vétérans du Canadien n'applaudissent pas seulement parce qu'ils savent qu'ils pourraient un jour subir les foudres du nouveau préfet de discipline de la LNH!
«Brendan Shanahan est en train de mettre ses culottes, si vous me pardonnez l'expression. C'est un bon départ», a affirmé Darche, mardi, après l'entraînement du Tricolore à Brossard.
«C'est un pas dans la bonne direction, a quant à lui déclaré Gorges. (Shanahan) envoie un message clair, selon lequel les coups à la tête et les contacts illégaux ne seront pas tolérés.
«Toutes ces suspensions sont une bonne chose, a fait remarquer Darche. Elles sont sévères, mais c'est bien si les gars comprennent le message. Que si un joueur se trouve dans une position vulnérable, il faut lever le pied.
«De toute manière, si le joueur se trouve dans une position vulnérable, il ne sera pas capable de te contourner, ni de compléter un jeu. Alors tu n'a pas besoin de le traverser et de lui faire mal. Espérons que les gars vont apprendre.
«Je pense que ce sera le cas, a aussitôt ajouté le vétéran attaquant. Ça n'arrivera pas du jour au lendemain, ça va prendre du temps. Mais j'aime ce que je vois. Surtout qu'il est plus sévère avec les récidivistes, alors si ça peut amener les joueurs à prendre conscience de certaines choses...»
«Si les gars n'ont pas encore réalisé ce qu'il est interdit de faire à ce stade-ci, ce sera de leur propre faute, a noté Gorges. Les joueurs doivent reconnaître et accepter qu'il s'agit là des nouveaux standards en vigueur dans la LNH et je pense que c'est une bonne chose. Ça va réduire le nombre de blessures et les absences de longue durée, à cause de commotions cérébrales par exemple.
«Le hockey demeure un sport physique et il va toujours y avoir des blessures. Il faut s'y préparer, a par ailleurs indiqué le défenseur. Mais si on se débarrasse des coups salauds et des coups intentionnels à la tête, je pense que c'est bon pour les joueurs et la LNH.»
Gorges est également d'avis qu'il faudra quelques mois avant que les joueurs ne s'ajustent aux nouvelles normes.
«Au début, il va falloir y penser deux fois parce que tu n'y seras pas encore habitué, a-t-il dit. Mais je pense qu'au fur et à mesure de la saison, ça va devenir quelque chose de naturel. Les joueurs ne lèveront plus les bras, ils frapperont avec le corps et c'est tout.»
Selon Darche, les circonstances ont bien servi Shanahan.

«Je pense que ça aidé que ce soit des joueurs plus marginaux au début (qui commettent des gestes illégaux). Ça lui a permis d'établir un précédent. Si ç'avait été d'abord un joueur vedette qui avait commis une infraction, peut-être aurait-il été aussi sévère, mais ç'aurait été plus difficile de l'être. Maintenant, le précédent est bien établi et il n'aura pas le choix d'agir de la même manière, peu importe qui c'est.»
Gorges, lui, s'est dit d'accord avec la méthodologie de Shanahan, qui explique et illustre chacune de ses décisions à l'aide d'une vidéo. C'est ainsi que dans le cas de la suspension de James Wisniewski, imposée lundi, la LNH montre le jeu dans tous ses angles, à répétition, dans le but de nous faire voir des éléments qui n'étaient pas nécessairement évidents lors des quatre ou cinq premiers coups d'oeil.
«Ça lance un message clair, a dit Gorges des vidéos qui ont beaucoup fait jaser depuis une semaine. Il n'y a pas à deviner quelles sont les raisons qui motivent une décision, si c'était un geste clair ou non. C'est clair et précis. Tout le monde sait quelles sont les raisons qui motivent la suspension. C'est bien.»

Présumée insulte homophobe: la LNH ne sévira pas à l'endroit de Simmonds

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Associated Press
Philadelphie

Un match préparatoire de la LNH a pris une autre tournure désolante, lundi soir, alors qu'une insulte homophobe aurait été proférée au cours d'une rencontre ponctuée de nombreuses pénalités entre les Flyers de Philadelphie et les Rangers de New York.
Les grands rivaux de la section Atlantique ont écopé d'un total de 77 minutes de pénalités dans la victoire de 5-3 des Flyers. Et la Ligue nationale pourrait imposer d'autres mesures disciplinaires.
C'est Wayne Simmonds des Flyers qui a lancé cette présumée insulte à l'endroit de Sean Avery des Rangers.
Avery et Simmonds se chamaillaient à la première période, et les caméras de télévision ont montré Simmonds s'adressant à Avery avec ce qui semblait être une insulte homophobe.
La Ligue nationale a répondu à l'incident par communiqué, mardi soir.
«Tous les joueurs, entraîneurs et officiels de la LNH méritent le respect de leurs pairs, et ont le droit absolu d'évoluer dans un milieu de travail où il n'y a pas de sous-entendus ou de dérision liés à la race ou de nature sexuelle, a dit Colin Campbell, le vice-président exécutif senior des opérations hockey de la ligue.
«Comme il y a des versions contradictoires de ce qui est arrivé sur la glace, nous n'avons pas réussi à vérifier avec la certitude nécessaire qui a dit quoi, et à qui. Il en résulte qu'en ce moment, nous ne pouvons pas imposer de mesures disciplinaires à la suite de ces événements.»
Lorsque Avery a été questionné après le match, à savoir si Simmonds l'avait qualifié de «ce que nous pensons qu'il vous a appelé», il a répondu: «Oui, oui.»
Avery a déclaré qu'il n'avait «aucune idée» pourquoi Simmonds lui avait lancé une telle remarque.
Il s'agit d'une deuxième controverse en deux semaines pour Simmonds, un Noir. La semaine dernière, un spectateur dans les gradins a lancé une banane sur la patinoire pendant un match préparatoire présenté à London, en Ontario.
Simmonds n'a pas nié avoir fait usage d'une insulte à l'endroit d'Avery.
«Honnêtement, je ne me souviens pas de tout ce que je lui ai dit, mais il m'a dit certaines choses qui m'ont déplu. Et peut-être que j'ai dit certaines choses qu'il n'a pas aimé.
«Je ne me souviens pas de chacun de mes mots.»
Simmonds a été questionné sur ce que Avery avait dit et s'il avait dépassé les limites.
«Je n'ai pas l'intention de rapporter ses propos.»
L'entraîneur Peter Laviolette des Flyers n'a pas voulu commenter l'incident. Quant à ce qu'il a vu, Laviolette a mentionné: «C'était deux gars se disputant.»
L'entraîneur John Tortorella a pris l'affaire plus au sérieux.
«Je n'ai rien entendu. Je ne crois toutefois pas que Sean Avery ment, a-t-il précisé. Je vais laisser la ligue s'en occuper. Je n'ai pas entendu, mais je suis certain que Sean Avery ne va pas mentir à ce sujet.»
Juste avant cet incident, Tom Sestito des Flyers a écopé de 20 minutes de pénalités après avoir frappé par derrière Andre Deveaux des Rangers contre la bande derrière le filet. Ce geste vaudra probablement une autre suspension aux Flyers.
Après le jeu, Sestito et Stu Bickel ont jeté les gants, valant aux deux joueurs une inconduite. Bickel a également reçu une pénalité pour avoir été l'instigateur de la bagarre.

Billet de François Gagnon: Campoli devant Weber

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Embauché par le Canadien à titre de joueur autonome, Chris Campoli est un défenseur honnête qui présente de belles aptitudes offensives. Croisé sur la galerie de presse hier, un dépisteur professionnel proche des Blackhawks assurait d'ailleurs que les champions de la Coupe Stanley en 2010 voulaient le garder à Chicago. Ils n'étaient toutefois pas prêts à lui verser les 2,5 millions accordés par un arbitre l'été dernier. Ils n'étaient pas prêts non plus à lui verser le 1,75 million que le Canadien lui donnera cette année.
Cela dit, le fait que Campoli sorte du salon où il attendait un contrat encore hier, qu'il arrive au camp d'entraînement aujourd'hui et qu'il tente d'atteindre un niveau de forme physique suffisant pour amorcer la saison le 6 octobre à Toronto représente une mauvaise nouvelle pour le Canadien.
Pas que Campoli soit mauvais. Il a connu sa meilleure saison 9 buts et 34 points en 80 matchs à sa première année dans la LNH en 2005-2006. Depuis, ses statistiques et surtout le nombre de matchs disputés ont fluctué à la baisse. Il est aussi précédé par la réputation de ne pas compter que des amis dans les vestiaires des Islanders de New York et des Sénateurs d'Ottawa avec lesquels il a joué avant d'être échangé aux Hawks à la date limite des transactions.
Le fait que Campoli débarque sans crier gare et qu'il puisse se retrouve au sein de la brigade défensive régulière attise les soupçons selon lesquels l'absence d'Andrei Markov pourrait se prolonger bien au-delà du début de la saison. Sans oublier que P.K. Subban a déclaré forfait une fois encore hier et qu'il n'a disputé qu'un match préparatoire jusqu'à maintenant. Une autre source d'inquiétude que le Canadien est loin d'apaiser en imposant la loi du silence quant à l'état de santé de ses nombreux joueurs blessés.
Sur le strict plan du hockey, l'arrivée de Campoli démontre aussi que le Canadien est moins bien nanti qu'on le croyait en relève. Yannick Weber, qui croyait peut-être avoir un poste assuré ce qui expliquerait, sans l'excuser, son manque d'intensité depuis le début de camp, se retrouve derrière Campoli. Comme Woywitka et Diaz embauchés au cours des derniers mois.
Cette embauche démontre aussi que Roman Hamrlik aurait été bien utile à Montréal cette année. Il y serait d'ailleurs toujours s'il n'avait pas exigé un contrat de deux ou trois saisons. Et le salaire? 1,75 million, c'est beaucoup d'argent pour un gars qui attendait un contrat à la maison. Mais Pierre Gauthier a dépensé de l'argent qu'il pouvait se permettre de dépenser sans avoir à offrir un espoir ou un choix au repêchage comme il aurait été contraint de le faire s'il avait transigé une fois la saison commencée.

Gabriel Dumont cédé aux Bulldogs

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La Presse Canadienne

Le Canadien de Montréal a retranché mardi l'attaquant Gabriel Dumont, qui poursuivra le camp d'entraînement avec les Bulldogs de Hamilton.
Le joueur de centre de 21 ans a participé à quatre des six matchs préparatoires de l'équipe.
Le Tricolore compte toujours 39 joueurs à son camp d'entraînement des Canadiens, dont 11 joueurs blessés: Andrei Markov, Travis Moen, Hunter Bishop, Brendon Nash, David Desharnais, Lars Eller, Olivier Fortier, Louis Leblanc, Joonas Nattinen, Ryan White et Ian Schultz.
Les Bulldogs de Hamilton ont entamé leur camp d'entraînement mardi, au Complexe sportif Bell, de Brossard.

Chris Campoli s'entraîne avec ses nouveaux coéquipiers

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Marc Tougas
La Presse Canadienne

Chris Campoli a dû fouiller dans sa mémoire pour retrouver un peu du français qu'il a appris à l'école. Mais il a bien entrepris son séjour à Montréal, mardi, en y allant d'un premier effort dans la langue de Molière.
«Salut!», a-t-il lancé avant de continuer en anglais.
«Je vais commencer par ça aujourd'hui, en espérant que je pourrai ajouter de nouveaux mots à mon vocabulaire de jour en jour», a-t-il expliqué avec le sourire.
Michael Cammalleri, lui aussi un Italo-Torontois, avait bien averti d'avance le défenseur de 27 ans.
«Il m'a dit que j'allais aimer ça à Montréal, et qu'il valait mieux que je me familiarise de nouveau avec le français», a raconté celui que le Canadien a embauché pour un an, lundi, à raison d'un salaire de 1,75 million $ US.
Cammalleri et Campoli ont grandi dans la même région de Toronto et ont eu le même agent pendant un certain temps, Mike Gillis. Celui-ci est maintenant le directeur général des Canucks de Vancouver.
Campoli s'est entraîné pour la première fois avec ses nouveaux coéquipiers, mardi, à Brossard. Celui qui portera le numéro 17 avec le Canadien a été jumelé à Josh Gorges.
Campoli a dit avoir eu une «une bonne discussion» avec Jacques Martin, mardi.
«Pour l'instant, il veut juste que je m'intègre à l'équipe, que je retrouve mon synchronisme», a indiqué l'ancien des Blackhawks de Chicago.
Celui-ci a indiqué que c'est seulement plus tard qu'il commencera à s'inquiéter de la bataille pour une place parmi les six premiers défenseurs du CH.
«Actuellement, je me concentre sur ce que j'ai besoin de faire pour aider l'équipe», a-t-il dit.
Joueur autonome depuis la mi-juillet, les Blackhawks ayant décidé de ne pas aller jusqu'au bout dans le processus d'arbitrage salarial, Campoli gardait la forme avec les joueurs de l'équipe junior ontarienne des Majors de Mississauga St. Michael's.
«Je patinais depuis un bon moment, alors mes jambes devraient revenir assez vite», a affirmé celui qui s'est également aligné avec les Islanders de New York et les Sénateurs d'Ottawa au fil de ses 397 matchs dans la LNH.
«Le synchronisme va revenir en jouant des matchs.»
Campoli a dit avoir eu l'appel de quelques équipes pendant qu'il était libre. Il a fait savoir que le Canadien lui a fait part de son intérêt lorsqu'il a été libéré par les Blackhawks, puis est revenu à la charge plus récemment.
«J'avais le sentiment que je retrouvais ici le meilleur contexte pour moi, a-t-il dit pour expliquer son choix. Il n'y a pas de meilleur endroit où jouer au hockey, l'organisation veut gagner et je devrais bien m'insérer dans le groupe de défenseurs.»
Campoli a reconnu que ce n'était pas l'idéal de devenir joueur autonome sur le tard, une fois la frénésie du marché passée. Il estime avoir été victime des circonstances.
«Malheureusement, c'est ce qu'on voit parfois en cette ère du plafond salarial, a-t-il dit de la décision des Hawks de le libérer pour des raisons financières. Ça rend la vie difficile aux joueurs qui font un salaire de milieu d'échelle.»
Comme Martin l'a fait la veille, Gorges a indiqué que l'embauche de Campoli permettra au CH de miser sur une plus grande profondeur à la ligne bleue. Il a dit espérer que les jeunes défenseurs de l'équipe n'y verront pas un manque de confiance à leur endroit.
«Ce n'est pas nécessairement un message, a dit Gorges. C'est une occasion pour l'organisation d'ajouter un vétéran de la LNH à la formation sans avoir à céder quoi que ce soit. Ça va rendre l'organisation meilleure, et c'est ça qui compte.
«Nous sommes tous là pour la même chose, soit gagner la Coupe Stanley. Le but n'est pas de jouer une minute de plus que l'autre. Quand une équipe a de la profondeur, chaque joueur doit être à son meilleur pour garder sa place et c'est là un contexte qui amène tout le monde à s'assurer d'être prêt.»
N'empêche que Yannick Weber, lui, a peut-être vu un message dans le fait que Martin l'a invité à s'entraîner comme attaquant, mardi.
Sauf qu'il ne faut pas nécessairement y voir là une démotion, du moins pas encore. Le prochain match préparatoire du Tricolore n'aura lieu que jeudi, face au Lightning de Tampa Bay.
Un groupe réduit
Malgré la présence mardi de David Desharnais et de P.K. Subban, de retour sur patins après avoir soigné de légères blessures, Martin a pu travailler avec des effectifs réduits à Brossard. Parce que 15 joueurs avaient été retranchés la veille, mais aussi grâce au congé de glace accordé à des joueurs tels que Brendan Gallagher, Michael Blunden, Brian Willsie et Nathan Lawson. Travis Moen était également absent.
Gabriel Dumont a participé à la séance, puis a été cédé aux Bulldogs de Hamilton en après-midi.
Desharnais a indiqué qu'il devrait être en mesure de jouer jeudi.
Lars Eller a également participé à l'entraînement même s'il s'attend à recevoir seulement vendredi le feu vert pour s'entraîner avec contacts.
L'attaquant danois ne s'attend pas à disputer les deux derniers matchs préparatoires du camp, mais il vise toujours d'être prêt à temps pour le début du calendrier régulier, le 6 octobre prochain à Toronto.
«On y va une journée à la fois. Pour l'instant je me sens bien, a dit Eller. J'ai besoin de regagner un peu de force et aussi, je veux être prudent afin d'éviter de revenir trop vite.»
Par ailleurs, l'attaquant Phil DeSimone, qui a été affecté lundi soir aux Bulldogs de Hamilton, aurait signé un contrat professionnel avec le Canadien, mardi.
Le club-école du CH a entamé son camp d'entraînement sous les ordres de Clément Jodoin, mardi matin.

Les Blues reviennent de l’arrière

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/09/20110927-232050.html


ST. PAUL, Minnesota (Sports Network) - Carlo Colaiacovo a inscrit le but victorieux avec 1:09 à écouler en troisième période, mardi et les Blues de St. Louis ont défait le Wild du Minnesota 4-3.
L’ancien joueur des Canadiens de Montréal, Matt D'Agostini, avait précédemment créé l’égalité avec 7:30 à faire à l’engagement. Scott Nichol et Patrik Berglund ont également touché la cible pour les visiteurs. Le gardien Jaroslav Halak a bloqué 17 des 20 lancers dirigés vers lui.
Marek Zidlicky, Mikko Koivu et Brett Bulmer ont fait scintiller la lumière rouge pour le Wild. Les nouveaux venus de l’équipe, Devin Setoguchi et Dany Heatley, ont chacun récolté deux mentions d’aide. Niklas Backstrom a réalisé 22 arrêts.
 

Pas de retraite pour Steve Bégin

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/09/20110927-235447.html


MONTRÉAL - L'ancien porte-couleurs des Canadiens de Montréal, Steve Bégin, écarte la possibilité de prendre sa retraite prochainement.
Le Québécois de 33 ans a déclaré sur les ondes de TVA Sports, à l'émission «Le Match», qu'il préférait se laisser une porte ouverte.
«Je ne veux pas dire que j'envisage prendre ma retraite, a-t-il confié. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Présentement, je dois me faire opérer à une hanche et après, je verrai ce qui adviendra de ma situation.»
Ennuyé par plusieurs blessures, Bégin a seulement disputé deux rencontres avec les Predators de Nashville et 36 matchs avec les Admirals de Milwaukee, de la Ligue américaine, la saison dernière.
Sans assurance ni contrat avec les Predators, Bégin s'est vu offrir une chance en or alors que les Canucks de Vancouver l'ont invité à leur camp d'entraînement.
«Je me suis présenté au camp en bonne santé, les résultats de mes tests étaient super bons, a-t-il spécifié. Ma chance était là, l'organisation m'avait même révélé que je bataillais pour un poste au sein de la quatrième ligne.»
Celui qui tentait de mériter une place avec les finalistes de la coupe Stanley a toutefois été retranché du camp d'entraînement dimanche dernier.
Ses chances sont tombées à l'eau lorsqu'il a reçu une rondelle dans le bas du dos la semaine passée.
«Je n'étais même pas capable de me pencher pour attacher mes souliers. J'ai reçu des traitements pendant trois jours, a-t-il affirmé.
«Je voulais me dire que j'avais essayé jusqu'au bout et que j'avais encore mes chances d'évoluer dans la LNH. Je ne veux pas aller jouer en Europe, alors c'est certain que j'espérais connaître un bon camp.»
Steve Bégin sera maintenant un panéliste régulier à l'émission «Le Match», ainsi qu'à «L'Esprit d'équipe».

Campoli, un partisan des Leafs?

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/09/20110928-023907.html


Chris Campoli a grandi dans la région de Toronto. Était-il un partisan des Maple Leafs?
« J’aime autant ne pas répondre à cette question! » a-t-il lancé en riant.
Il connaît Michael Cammalleri depuis plusieurs années et ils ont d’ailleurs eu le même agent.
« Nous serons deux Italiens de Toronto, en plus de Brian Gionta et de Max Pacioretty, qui sont de descendance italienne eux aussi. Ça va être agréable de se retrouver ensemble. »
Campoli s’attend à bien cadrer au sein de la brigade défensive du Canadien.
« L’équipe désirait obtenir mes services, et ça, c’est important, a-t-il dit. D’autres clubs m’ont contacté au cours des dernières semaines, mais je crois que l’environnement était plus favorable ici. »
Un défenseur complet
Il se décrit comme étant un défenseur complet.
« Je transporte bien la rondelle, je peux contribuer à l'attaque et je suis responsable défensivement », a résumé celui qui a disputé près de 400 matchs dans la LNH avec les Islanders, les Sénateurs et les Blackhawks.
Campoli, qui s’entraînait avec une équipe junior à Mississauga ces dernières semaines, a mentionné qu’il se sentait très bien sur la patinoire du complexe de Brossard hier matin. Il formait une paire avec Josh Gorges.
« J’espère que ça ne me prendra pas trop de temps afin de retrouver mon synchronisme et de rejoindre le niveau de forme physique de mes coéquipiers. Je m’attends à être prêt pour amorcer la saison en même temps que tout le monde », a indiqué Campoli.
Gorges a été surpris à l’annonce de la nouvelle lundi.
« Campoli représente toutefois une bonne acquisition, a-t-il commenté. Une équipe n’a jamais trop de défenseurs d’expérience. Il faudra s’habituer rapidement à jouer ensemble, si c’est ce que l’entraîneur désire. On devrait bien se compléter, car Chris aime se porter à l’attaque. »

Bruno Gervais: retour à la case départ

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/09/20110928-024256.html

MONT-TREMBLANT | Arrivé à la dernière saison d’un contrat de trois ans, Bruno Gervais souhaitait impressionner suffisamment les Islanders pour mériter une augmentation de salaire.
Malheureusement pour lui, le défenseur de 26 ans a rapidement déchanté.
Loin d’être dans les bonnes grâces de Scott Gordon, il a été laissé dans les gradins lors de neuf des 17 premiers matchs des Islanders.
Une fois Jack Capuano derrière le banc des Islanders, ce sont les blessures qui se sont mises de la partie.
Victime d’une fracture de l’os de la joue lors d’un combat, Gervais a raté quatre matchs. Il a également été mis sur la touche pour les six dernières rencontres en raison d’une blessure à un pied.
Résultat: il a déménagé ses pénates à Tampa, se contentant d’une entente d’une seule saison qui lui rapportera 525 000 $, le salaire minimum dans la LNH.
«C’est un nouveau départ, lance-t-il à propos de son arrivée chez le Lightning. D’ailleurs, même si je ne suis pas ici depuis longtemps, je considère que j’ai déjà énormément appris.»
En quête d’un nouveau rôle
À un peu plus d’une semaine du début de la saison, Gervais ignore toujours de quelle façon Guy Boucher compte l’utiliser.
« On verra ce qu’il adviendra à la fin du camp. Guy m’a dit de me concentrer sur mes forces : aller chercher la rondelle, bien la contrôler, utiliser mon coup de patin et exécuter des sorties de zone. Ici, il y a tellement de talent que tout ce que tu as à faire, c’est de sortir la rondelle et laisser aller leur magie. »

Appelé à indiquer s’il croyait Gervais capable de se faufiler au sein du groupe des six défenseurs partants de son équipe, Boucher n’a pas osé se mouiller.
«Difficile à dire puisque parfois, j’utilise sept défenseurs. De toute façon, je n’aime pas mettre des étiquettes sur les joueurs. Selon moi, une équipe de hockey, c’est comme une entreprise: si tu offres des possibilités de promotions à tous tes employés, ils seront beaucoup plus motivés.»
Une leçon que certains employeurs devraient retenir.

Des alliés dans le vestiaire

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MONT-TREMBLANT | Il n’y a pas que les décisions prises dans les hautes sphères de l’organisation qui ont permis au Lightning de gagner une bonne dose de crédibilité. Celle qu’a prise Steve Yzerman en donnant les guides de sa formation à Guy Boucher en juin 2010 y est également pour beaucoup.
Sous la gouverne de l’entraîneur de 40 ans, le Lightning est passé d’une équipe incapable de participer aux séries éliminatoires au cours de leurs trois saisons précédentes à une formation se retrouvant parmi les quatre dernières en lice dans la course vers la Coupe Stanley.
Tout ça en proposant un style de jeu innovateur et une philosophie nouvelle. Un pari risqué pour un entraîneur recrue. Si son succès était d’abord tributaire de sa capacité à convaincre les vétérans, il peut aujourd’hui compter sur eux pour vendre ses idées aux nouveaux venus.
« L’an dernier, on a acheté la vision de Guy. Par conséquent, c’est également notre responsabilité de montrer le chemin aux gars qui arrivent, de leur faire comprendre de quelle façon on joue », a soutenu Martin Saint-Louis, le meilleur marqueur du Lightning, la saison dernière.
« De toute façon, ils (les nouveaux) ne tombent pas nécessairement de leur chaise en arrivant ici. Ils nous ont vu jouer et ils ont entendu parler de notre système de jeu. Ils ont une bonne idée de ce qui les attend », a-t-il ajouté.
Approche humaine
S’ils avaient une idée des plans de match qu’ils auraient à adopter, les nouveaux visages du Lightning ignoraient cependant tout de l’approche personnalisée que préconise Boucher avec chacun de ses joueurs.
« J’adore sa façon de faire : celle d’approcher l’individu avant le joueur de hockey. Ce n’est pas du tout commun aux autres entraîneurs.
« C’est vrai qu’il est exigeant et qu’il nous défie constamment. Mais lorsque tu constates qu’il s’en va dans la bonne direction, tu n’hésites pas à embarquer dans le bateau », a souligné Bruno Gervais.
D’ailleurs, même si les changements de personnel seront peu nombreux cet automne, l’entraîneur du Lightning constate que certains principes ont été oubliés au cours de l’été.
« Avec le temps, j’ai appris que, tous les ans, il faut recommencer. Les joueurs pensent qu’ils se souviennent, mais on s’aperçoit rapidement qu’ils ont oublié certains détails. Jusqu’à maintenant, nous n’avons joué qu’une seule période à mon goût sur 12 ; la dernière contre les Panthers. Il nous reste deux matchs pour tout rentrer dans l’ordre. »
Et Guy Boucher compte bien atteindre cet objectif. Voilà pourquoi il a déjà augmenté le niveau d’intensité de ses entraînements à son arrivée en sol québécois.
De bouche à oreille
Ce n’est pas un hasard si le Lightning a choisi la région des Laurentides pour fignoler les derniers détails de sa préparation. Adjoint du directeur général Steve Yzerman, Julien Brisebois faisait partie de l’organisation du Canadien lorsque celle-ci a choisi la même destination pour regrouper ses joueurs à la veille d’amorcer les saisons 2007-2008 et 2008-2009.
« J’en ai beaucoup entendu parler, a déclaré Guy Boucher qui, à l’époque, dirigeait les Voltigeurs de Drummondville. Il nous a beaucoup vanté l’endroit, son environnement et ses installations. »
À l’image du Tricolore, qui se rendra à Collingwood, en banlieue de Toronto, la semaine prochaine, le Lightning profitera de ce séjour dans la Belle Province pour renforcer l’esprit d’équipe.
« C’est une semaine qui sera très importante pour la chimie. C’est une belle occasion de se retrouver en équipe, d’apprendre à connaître les nouveaux venus. Ce qui aurait été moins évident à faire à la maison, surtout pour les gars qui ont des familles », a souligné Martin Saint-Louis.

Marc-André Bergeron: enfin en pleine santé

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MONT-TREMBLANT | Les années se suivent et, enfin, ne se ressemblent plus pour Marc-André Bergeron.
Pour la première fois en trois campagnes, le défenseur originaire de Trois-Rivières aura enfin la chance d’amorcer sa saison dès le jour un du calendrier régulier.
« Ça fait du bien de pouvoir commencer en même temps que les autres. La LNH, ce n’est pas un niveau dans lequel il est facile de rattraper le temps perdu. »
Rappelons qu’au cours des deux dernières saisons, des blessures aux genoux ont forcé Bergeron à lever le pied au cours de la saison morte.
Tant et si bien qu’il a dû, à chaque reprise, attendre qu’une formation subisse plusieurs pertes au poste de défenseur pour recevoir un coup de fil.
D’abord du Canadien à l’automne 2009, puis du Lightning, l’hiver dernier.
« Enfin, je suis au sommet de ma forme. Je n’ai aucun bobo, a-t-il assuré. Cet été, je me suis entraîné fort. Je voulais m’assurer d’arriver au camp d’entraînement en pleine forme. »
Enfin de la stabilité
Malgré les embûches des dernières saisons, Bergeron a refusé de baisser les bras. Une persévérance que le Lightning a récompensée, le 28 juin, en lui accordant un contrat de deux saisons.
« Uniquement du point de vue mental, ça fait une énorme différence. Lorsque tu as une famille, ce n’est pas évident de vivre constamment dans l’inconnu », a fait remarquer l’arrière de 30 ans.
Et de la façon dont la saison s’est terminée pour le Lightning, qui est venu à un seul gain de prendre part à la finale de la Coupe Stanley, le meilleur pourrait bien être à venir.
Une situation qui s’ajoute aux raisons qui expliquent pourquoi le clan Bergeron n’a pas voulu tester le marché des joueurs autonomes.
« Obtenir un contrat de deux ans, en Floride, dans une organisation de premier plan, ça faisait partie de mes priorités. »

«Maintenant, on a du fun» - Vincent Lecavalier

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MONT-TREMBLANT | Il n’y a pas si longtemps, Tampa Bay était une région à éviter pour tout joueur de hockey qui aimait encore son métier.
Même le chaud soleil floridien ne parvenait pas à contrebalancer les effets pervers de la chicane de couple mettant aux prises Oren Koules et Len Barrie, les deux anciens propriétaires du Lightning.
Vincent Lecavalier, qui amorcera sa 13e saison dans cet uniforme, se souvient que l’incertitude provoquée par ce vaudeville avait eu des répercussions jusque dans le quotidien des joueurs
« C’était devenu lourd. Les meetings étaient moins plaisants, l’enthousiasme était à son plus bas, les gars se promenaient les épaules basses. »
Après quelques rebondissements, les intérêts de l’équipe ont finalement été vendus à Jeff Vinik. Une transaction qui a littéralement sauvé cette concession.
« Du jour au lendemain, c’est devenu une organisation de première classe. Il y a eu d’énormes investissements (45 M$) dans l’amphithéâtre et l’implication dans la communauté est plus grande que jamais. C’est maintenant une fierté de porter le chandail du Lightning », a assuré Lecavalier
« C’est le jour et la nuit, a-t-il ajouté. Maintenant, on a du fun. Et pas seulement parce qu’on gagne. »
Autre preuve que les temps ont changé, les joueurs autonomes placent désormais le Lightning en haut de leur liste lorsque vient le temps de choisir une nouvelle destination.
« Dans un sondage effectué auprès des joueurs, à la fin de la saison, nous étions la cinquième équipe la plus populaire. Considérant que l’été précédent, nous arrivions en dernière place, c’est un bond assez impressionnant », a révélé Guy Boucher.
Garon a été séduit
D’ailleurs, Mathieu Garon ne s’est pas fait tirer l’oreille bien longtemps lorsque le Lightning lui a fait signe dès l’ouverture du marché des joueurs autonomes.
« On est tous au fait que beaucoup de choses ont changé depuis l’arrivée des nouveaux propriétaires. Je savais que le Lightning était une bonne équipe. Je voulais avoir une chance de gagner et je sais que c’est possible ici », a raconté celui qui a gravé son nom sur la coupe Stanley avec les Penguins en 2009.
Pour Bruno Gervais, qui arrive de Long Island, là où rien ne va depuis plusieurs années tant au deuxième étage que sur la glace, il s’agit d’un contraste assez évident.
« Je ne veux pas rien de dire de mauvais contre l’organisation des Islanders, mais ici, on travaille chaque jour pour devenir une bonne équipe. »
Voilà qui dit tout.
Un accueil chaleureux
Les joueurs du Lightning ont fait languir les amateurs venus assister à leur premier entraînement initialement prévu à 10 h 30. Guy Boucher et sa bande ont finalement sauté sur la patinoire quinze minutes plus tard.
Vincent Lecavalier, Steven Stamkos et Martin Saint-Louis ont été les joueurs les plus acclamés par les quelque 500 spectateurs, majoritairement des adolescents, entassés à l’intérieur du petit aréna.
« Que ce soit n’importe où au Québec, l’accueil est toujours excellent pour une équipe de la LNH », a indiqué Saint-Louis.
« C’est bien certain qu’il s’agit à la base de partisans du Canadien, mais ils sont heureux de voir une équipe professionnelle chez eux. D’autant plus, qu’on est plusieurs Québécois dans cette organisation. »
Par ailleurs, il aurait été intéressant de connaître le taux d’absentéisme des cours matinaux de la Polyvalente Curé- Mercure, située tout juste de l’autre côté du stationnement. Par chance, la période des examens est encore loin.

De mauvais augure pour Weber...

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On se doutait bien que l’arrivée de Chris Campoli ne constituait pas une bonne nouvelle pour Yannick Weber.
Le défenseur suisse s’est retrouvé à l’entraînement hier matin dans un rôle... d’attaquant!
Ça ne faisait sûrement pas son bonheur, mais il a été impossible de lui parler après l’exercice. Weber a toujours dit qu’il tient à être un défenseur à temps plein.
C’est son compatriote Raphael Diaz qui formait une paire avec Jaroslav Spacek.
Les autres duos de défenseurs étaient les suivants: Subban-Gill, Gorges-Campoli, Yemelin-Woywitka et Henry-Saint-Denis.
Diaz complimenté
Après le match de lundi, Diaz a eu droit à des compliments de la part de Jacques Martin.
« C’est bon à entendre mais il n’y a rien d’acquis, at- il dit. Je commence à me sentir plus à l’aise. La compétition est vive au camp, notamment entre Yannick et moi, même si nous sommes des amis. C’est ça, le sport. Personne ne se verra offrir un poste en cadeau ici. »
L’arrivée de Campoli est une bonne nouvelle pour l’équipe, s’est contenté de dire Diaz à ce sujet.
Desharnais est prêt
David Desharnais, remis d’une légère blessure à l’aine, a repris l’entraînement avec ses coéquipiers.
« Je me sens mieux et je devrais être en mesure d’affronter le Lightning jeudi (demain) », a fait savoir Desharnais, qui pivotait un trio avec Andrei Kostitsyn et Aaron Palushaj. Il n’a pris part qu’à un seul match jusqu’à maintenant.
Quelques joueurs avaient obtenu congé hier, dont Brendan Gallagher.
Scott Gomez formait un trio avec Brian Gionta et Max Pacioretty tandis que Tomas Plekanec était entouré de Michael Cammalleri et d’Erik Cole.

Canadien - Dumont: «Ce n'est que partie remise...»

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Lars Eller et Ryan White soignant des blessures, on croyait que le combatif Gabriel Dumont avait des chances de se tailler un poste avec le Canadien en début de saison, mais ce ne sera pas le cas puisqu’il a été retourné aux Bulldogs de Hamilton hier après-midi.
Le style fougueux et hargneux de Dumont, qu’on compare souvent à celui de Maxime Talbot, aurait bien cadré, il nous semble, au sein d’un quatrième trio.
L’attaquant de 20 ans originaire de Ville Dégelis venait tout juste d’apprendre la nouvelle lorsqu’on l’a joint au téléphone.
« Oui, c’est très décevant, a admis Dumont. Je voulais mériter un poste avec l’équipe et je croyais avoir suffisamment bien fait lors des quatre matchs préparatoires auxquels j’ai pris part.

« J’ai tout donné. J’ai joué comme je le voulais.
« Jacques Martin a formulé des commentaires positifs à mon endroit et j’ai eu une bonne discussion avec l’entraîneur des Bulldogs, Clément Jodoin », a-t-il ajouté.
« Je retourne avec le club-école avec l’intention d’être le premier attaquant qui sera rappelé par le CH.
« Max Pacioretty, David Desharnais et Ryan White ont tous trois été retranchés à pareille date l’an dernier et ils se retrouvent aujourd’hui dans la LNH, a-t-il rappelé. Ce n’est que partie remise pour moi. »


Dumont se concentrera donc à connaître un gros début de saison.
« J’ai bien terminé la dernière saison à Hamilton, en marquant six buts durant les séries, et je devrai reprendre là où j’ai laissé. »
Les Bulldogs disputeront des matchs préparatoires à Victoriaville et à Drummondville cette semaine.
Palushaj ou Enqvist?
Eller s’est entraîné hier pour la première fois avec ses coéquipiers, mais il est encore loin d’un retour au jeu.
« Les gars avaient ordre de ne pas me frapper, a fait savoir le Danois, qui a été opéré à l’épaule gauche il y a 20 semaines. J’espère obtenir le feu vert des médecins plus tard cette semaine afin de pouvoir reprendre l’entraînement avec contact. Je devrai ensuite retrouver mon synchronisme. »
Eller ne sera pas prêt à temps pour le match inaugural de la saison le 6 octobre à Toronto.
Tout indique qu’Andreas Engqvist figure encore dans les plans de Martin. Palushaj semble avoir une longueur d’avance pour se tailler un poste dans les troisième ou quatrième trios. Il faudra voir aussi si Travis Moen sera remis de sa blessure à temps pour le début de la saison.
Philip DeSimone, qui a bien fait lors du match de lundi, a signé un contrat avec les Bulldogs, tout comme le défenseur montréalais Olivier Dame-Malka.