mercredi 1 juin 2011

Les Panthers auraient engagé Kevin Dineen comme nouvel entraîneur

http://www.nhl.com/ice/news.htm?id=564364


Tuesday, 05.31.2011 / 9:04 PM / Nouvelles
Canadian Press
MIAMI - Une personne au courant des négociations a confié à l'Associated Press que Kevin Dineen deviendra le nouvel entraîneur des Panthers de la Floride.
La source est restée anonyme, car il n'y pas encore eu d'annonce officielle. Le club a convoqué les médias à une conférence de presse à 15h00 mercredi.
Dineen a passé plus de 20 saisons dans la LNH, s'illustrant notamment avec les Whalers de Hartford et marquant 355 buts. Il a dirigé Portland (Maine) dans la Ligue américaine lors des six dernières saisons.

http://www.rds.ca/hockey/chroniques/320517.html

Dineen, nouveau coach des Panthers?


Les Panthers de la Floride devraient annoncer mercredi la nomination de Kevin Dineen à titre de leur nouvel entraîneur-chef, selon ce que croit TSN.

Les Panthers ont déjà indiqué qu’ils présenteraient leur nouveau pilote mercredi.

Dineen, qui devrait succéder à Peter DeBoer, a dirigé les Pirates de Portland au cours des cinq dernières saisons dans la Ligue américaine de hockey.

Le vétéran de 19 saisons dans la LNH a porté l’uniforme des Whalers de Hartford, des Flyers de Philadelphie, des Hurricanes de la Caroline, des Sénateurs d’Ottawa et des Blue Jackets de Columbus.

En 1188 matchs, Dineen a amassé 355 buts et 405 aides (760 points) en plus de 2229 minutes de punition.


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Un contrat pour Jack Skille

Les Panthers ont mis sous contrat l'ailier droit Jack Skille en vue des deux prochaines saisons.

Skille a réussi huit buts et il a amassé 11 passes en 62 matchs, dans les uniformes des Panthers et des Blackhawks de Chicago, la saison dernière.

Skille n'a joué que 13 matchs en Floride, à la suite de l'échange qui l'a envoyé chez les Panthers.

Skille a fourni un but à l'équipe américaine aux Championnats du monde présentés en Slovaquie.

Milan Lucic espère être motivé de jouer devant les siens dans cette finale

http://www.nhl.com/ice/news.htm?id=564379


Tuesday, 05.31.2011 / 10:34 PM / Nouvelles
Canadian Press
VANCOUVER - De disputer la finale de la Coupe Stanley chez lui ne trouble pas Milan Lucic.
Le robuste ailier natif d'East Vancouver vit de grandes émotions alors que ses Bruins de Boston s'apprêtent à amorcer la finale de la LNH contre les Canucks de Vancouver, mercredi.
Mais l'euphorie de Lucic pourrait être problématique pour l'équipe qu'il a encouragée en grandissant, alors que les Bruins tenteront de remporter une première coupe Stanley depuis 1972.
«J'ai toujours été capable de donner le meilleur de moi-même en jouant excité et avec beaucoup d'émotions», a dit Lucic, qui a mené les Bruins avec 30 buts et 62 points en saison régulière.
«Souvent, quand les gars jouent devant leur famille et leurs amis, ils sont un peu plus tendus. Moi, je ne suis qu'excité de le faire.»
Une excitation qui ne passe pas inaperçue aux yeux de ses compagnons de trio Nathan Horton et David Krejci, qui mènent les Bruins avec 17 points chacun en séries.
«Il dégage un petit quelque chose de spécial», Horton a dit de Lucic depuis son arrivée sur la côte ouest.
Et Lucic a connu quelques très bons matchs à Vancouver.
Dans la seule rencontre de saison régulière que les Bruins y ont joué cette saison, Lucic a préparé le but égalisateur et a marqué le but gagnant dans un gain de 3-1.
En 2007, alors que le tournoi de la Coupe Memorial était joué à Vancouver, sa première présence sur la patinoire est passée à l'histoire.
Après avoir solidement mis en échec trois joueurs adverses, la boule de muscle de 6 pi 4 po, 220 lbs a terminé sa présence par un combat. Cette présence a donné le ton à une victoire de 3-1 des siens. Lucic a amassé une aide sur le but gagnant et a été nommé joueur le plus utile du tournoi. L'automne suivant, il perçait l'alignement des Bruins à 19 ans seulement.
«Quand je suis arrivé ici, c'était un joueur de grande force, qui marquait des buts à la dure, a dit le vétéran Mark Recchi. C'est un gros joueur qui peut patiner. Il a continué de s'améliorer et de gagner en confiance. Il peut être un marqueur dans cette ligue.»
Les Bruins ne peuvent pas rivaliser avec la puissance de frappe des Canucks, qui comptent sur les jumeaux Sedin et Ryan Kessler. Mais ils ont démontré qu'ils peuvent tirer leur épingle du jeu contre des clubs offensifs, comme ils l'ont fait contre le Lightning.
«La discipline est la clé, a dit Lucic. Notre jeu en désavantage a été très bon jusqu'ici, mais leur jeu de puissance a aussi été très bon. Alors parfois, vous devez être plus fort et ne pas laisser vos émotions l'emporter.»

Sans tambour ni trompette

http://canadiens.nhl.com/club/l_fr/news.htm?id=563007

dimanche, 29.05.2011 / 22 h 00 / Canadiens de Montréal - Nouvelles
canadiens.com
MONTRÉAL – Allier finesse et robustesse : tel était le nouveau mandat d’Andrei Kostitsyn.

À sa cinquième saison dans la LNH, sa deuxième sous la tutelle de Jacques Martin, Kostitsyn devait ajouter une corde à son arc. Après un bon tête-à-tête avec son entraîneur-chef en cours de saison, l’attaquant biélorusse a bien saisi les attentes de la direction à son égard : non seulement se servir de son puissant tir et de sa vitesse, mais d’utiliser davantage son gabarit, lui qui est l’un des plus imposants attaquants au sein de la formation avec ses 6’00’ et 214 livres.

Revoyez les buts de Kostitsyn
Le résultat? Sans faire trop de bruit, Kostitsyn a distribué un total de 140 mises en échec en 2010-2011 pour ainsi terminer en tête dans cette catégorie chez les Canadiens, devant Travis Moen et ses 129 coups d’épaule.

Et sans faire trop de bruit, le premier choix des Canadiens en 2003 a atteint le plateau des 20 buts pour la troisième fois en quatre saisons. Seuls Tomas Plekanec et Brian Gionta ont fait scintiller la lumière rouge plus souvent que lui chez les Canadiens en 2010-2011.  Kostitsyn avait raté le cap de la vingtaine en 2009-2010 en marquant 15 buts alors qu’il n’avait été en mesure d’enfiler l’uniforme que pour 59 rencontres.

Disputant une première saison complète sans son frère Sergei, Kostitsyn a été établi des marques personnelles en disputant 81 rencontres en plus d’inscrire six buts gagnants, un sommet qu’il a partagé avec son capitaine Gionta.

L’attaquant de 26 ans, dont le contrat de trois ans vient à échéance cet été alors qu’il pourrait devenir joueur autonome avec compensation, a également ajouté 25 mentions d’aide pour terminer la campagne avec une récolte de 45 points. Il s’agissait ainsi de sa deuxième saison la plus productive en carrière après la campagne 2008-2009 alors qu’il avait amassé 53 points en passant la totalité de l’année aux côtés de Tomas Plekanec et Alex Kovalev.

Sans compagnons de trio fixe - cette fois -, Kostitsyn aura toutefois rempli son mandat.

Alexandre Harvey écrit pour canadiens.com.

Gill serait près d'une entente d'un an.

http://canadiens.nhl.com/club/l_fr/news.htm?id=564305&navid=DL|MTL-fr|home


mardi, 31.05.2011 / 17 h 06 / Canadiens de Montréal - Nouvelles
canadiens.com
MONTRÉAL – Selon plusieurs sources, le vétéran défenseur du Tricolore Hal Gill serait près de signer un nouveau contrat d’une saison avec les Canadiens. Rien d’officiel n’a été annoncé par le club. Restez branchés au canadiens.com pour plus de développements sur cette histoire.

Comment perdre de la crédiblité en tant qu'organisation?

http://www.danslescoulisses.com/site/

Mardi, 31 Mai 2011 21:09
La réponse est simple! Mentionne sur ton compte Twitter et sur ton site officiel que plusieurs sources (reports) indique que Hal Gill aurait signé une prolongation de contrat d'un an... Sans le confirmer, tout en suggérant au lecteur de rester branché à ton site Web pour être mis au courant les prochains développements!

Le problème, c'est que DLC, Renaud Lavoie, Bob McKenzie et mon grand-père ont confirmé la nouvelle! Les droits de Hal Gill appartiendront au Canadien pour 365 jours de plus!

Même Max Pacioretty, Brian Gionta, P.K. Subban, Mike Cammalleri et Mathieu Darche ont applaudi cette signtaure via leur compte Twitter!

Quelqu'un pourrait-il réveiller l'étudiant qui est chargé de mettre à jour le site du Canadien pendant la semaine de vacances de je ne sais trop qui?

LIEN DU SITE OFFICIEL : LIENLIEN DU TWITTER OFFICIEL : LIEN

Hal Gill à Montréal pour une autre année | En rafale

Mardi, 31 Mai 2011 17:00
Salut tout l’monde! DLC vient de me lâcher un coup de fil afin que je publie cette nouvelle : Hal Gill vient de signer un contrat d’un an au même salaire qu’il gagnait depuis son arrivée à Montréal, soit 2,25 millions $.

Si on se fie aux paires de défenseurs avancées par DLC en vue de la saison prochaine, il ne manque plus que les signatures de Markov (2 ou 3 ans), Gorges (3 ou 4 ans) et Weber.

À noter que Raphael Diaz débutera la saison à Hamilton, à moins que Pierre Gauthier procède à une transaction impliquant Yannick Weber ou Jaroslav Spacek (ce qui est peu probable).

On devrait avoir des nouvelles très bientôt au sujet de Markov et Gorges…

DOSSIER EN RAFALE
- Jaromir Jagr a reçu une offre de 4,5 millions $ de la part du SKA St. Petersbourg (KHL).


http://www.danslescoulisses.com/site/sources/7e/1309-hal-gill-a-montreal-pour-une-autre-annee-en-rafale.html

- Les nouveaux Thrashers devront décider le nom de leur équipe avant le repêchage. J’ai d’ailleurs hâte de voir quels chandails les joueurs repêchés porteront. On aimerait VRAIMENT pouvoir utiliser le nom Jets

- Kevin Dineen sera confirmé à titre d’entraîneur-chef des Panthers demain après-midi, à 15:00. Il reste donc les postes à Dallas, Ottawa, Minnesota et New Jersey à combler!

Le départ des Thrashers et le retour des Jets, vus par Twitter

http://25stanley.com/

31 mai 2011 à 6:20 par charles_19
Les partisans de hockey au Manitoba, ont enfin eu la chance de revoir leur équipe après quinze années d’absences.
Voilà que la LNH compte maintenant sept équipes canadiennes.
On en a beaucoup parlé dans les médias et bien sûr, sur les réseaux sociaux. J’ai fouillé un peu partout sur la planète Twitter et voici ce que les joueurs de la LNH – des Thrashers en particulier – et médias ont tweeté dernièrement…
EVANDER KANE #9
Le jeune ailier gauche prometteur de la concession, Evander Kane, 4e choix en 2009, a eu la « chance » de jouer deux années à Atlanta. Il a rapidement remercié ses partisans, plutôt, ses anciens partisans…
« J’aimerais remercier tous les partisans des Thrashers d’Atlanta qui nous ont supporté pendant mes deux années ici. C’est vraiment malheureux qu’il n’y aura plus de hockey de la LNH. »
« Merci encore. Les gens et la ville d’Atlanta  vont vraiment me manquer. »
« Et pour tous les partisans des Jets, je suis avec vous pour garder le nom et le logo des Jets (…) »
Un amateur lui a demandé quel numéro Evander Kane allait-il avoir avec les Jets puisque le chandail #9 de Bobby Hull a été retiré. Kane a répondu : Bonne question. On va voir.
BEN MAXWELL
L’ancien de l’organisation du Canadien a terminé la saison avec les Thrashers a ajouté un brin d’humour à la situation…
« Quand j’étais avec les Bulldogs de Hamilton, nous avions été banni du Fairmont Winnipeg. Est-ce que ça veut dire que je ne peux traîner autour? »
Le Fairmont Winnipeg est un chic Hotel à Winnipeg. Le compte officiel de l’établissement a répondu à Maxwell en disant qu’il était le bienvenu l’année prochaine, lui et ses coéquipiers des Thrashers.
ANTHONY STEWART
Celui qui a marqué 14 buts cette saison a remercié « tous les loyaux partisans des Thrashers qui ont été passionnés comme partout ailleurs. Bien hâte à un nouveau défi. Merci! »
ANGELO ESPOSITO
Le montréalais d’origine italienne qui a joué avec les Remparts de Québec et le Junior de Montréal au cours de son stage junior est un espoir pour les Thrashers d’Atlanta. Cet ancien choix de première ronde des Penguins a tweeté…
« It’s Good to see an excited Winnipeg welcoming hockey back! »
GARY BETTMAN...
… Non, Gary Bettman n’est pas sur Twitter. Des amateurs s’amusent à parodier le commissaire de la LNH.
« Don’t worry Atlanta the press conference in Winnipeg is a ruse….just trying to put more pressure on Atlanta to step up and buy the team »
JAMES MIRTLE
James Mirtle, journaliste pour le Globe and Mail a parlé avec Mark Stuart, ancien défenseur des Bruins qui a terminé la saison à Atlanta et qui débutera la prochaine au Manitoba a dit à Mirtle qu’il regardait TSN tous les jours pour avoir des nouvelles sur l’avenir de l’équipe.
Il nous a également annoncé que Don Waddell, qui a presque tout fait à Atlanta : président, entraîneur-chef et directeur-général ne déménagera pas à Winnipeg.

Le CH s’entend avec Gill

http://www.fanatique.ca/canadiens/le-ch-sentend-avec-gill+8701.html

publié le 31 mai 2011 à 20h48 par ro12  (Roby St-Gelais


Heureux à Montréal depuis son arrivée, Hal Gill a décidé de poursuivre son mariage avec le Canadien. Le vétéran défenseur s'est entendu sur les termes d'un nouveau contrat d'un an pour la somme de 2,25 millions $, selon plusieurs sources, dont RDS.

Le CH n'a toutefois rien confirmé.
Gill serait devenu joueur autonome sans compensation le 1er juillet prochain.

Âgé de 36 ans, l'Américain vient de compléter sa deuxième saison dans l'uniforme du
Tricolore, durant laquelle il a amassé deux buts et ajouté sept mentions d'aides, pour neuf points, en 75 rencontres, en plus de montrer un différentiel de -9.

Gill a surtout démontré sa présence sur le plan physique, lui qui a obtenu 75 mises en échec et 45 minutes de pénalité. Il a aussi été fort efficace au niveau du mentorat avec P.K. Subban, dont il s'agissait l'an dernier de sa première saison dans la LNH.

Le Canadien avait embauché Gill sur le marché des agents libres lors de l'été 2009. Outre Montréal, il a évolué à Boston (Bruins), à Toronto (Maple Leafs) et à Pittsburgh (Penguins). Il a d'ailleurs soulevé la coupe Stanley au printemps 2009 dans le chandail des Penguins.

Winnipeg de retour dans la LNH

http://www.fanatique.ca/lnh/winnipeg-de-retour-dans-la-lnh+8697.html


publié le 31 mai 2011 à 13h17 par ro12  (Roby St-Gelais)


C'est enfin officiel : les Thrashers d'Atlanta ont été vendus au groupe True North Sports and Entertainment qui déménagera la franchise à Winnipeg pour la prochaine saison de la Ligue nationale de hockey.
Le commissaire Gary Bettman en a fait l'annonce, mardi, lors d'une conférence de presse présentée au MTS Centre, où évoluera la nouvelle équipe de la capitale manitobaine.
Après des semaines de spéculations et d'incertitudes dans ce dossier, la LNH est bel et bien de retour au Manitoba. C'est un retour pour le circuit à cet endroit, qui avait dû déménager les Jets en 1996 vers Phoenix où l'équipe était devenue les Coyotes. 
La vente, d'une valeur de 170 millions de dollars américains, incluant 60 millions en frais de relocalisation, doit toutefois être approuvée par le bureau des gouverneurs de la LNH à 75 %, le 21 juin prochain, mais cela ne devrait être qu'une formalité, puisque les Thrashers connaissaient d'énormes ennuis financiers depuis quelques années. 

La nouvelle équipe évoluera dans la division Sud-Est, soit la même dans laquelle les Thrashers étaient, pour la prochaine saison seulement, après quoi elle sera transférée dans l'Association de l'Ouest. Elle se retrouvera donc à se déplacer régulièrement dans les villes de Washington, Raleigh, Tampa Bay et Sunrise pour 2011-2012.

Aucun acheteur local sérieux n'avait d'ailleurs démontré de l'intérêt de garder l'équipe en Géorgie ces dernières semaines, rapportaient plusieurs médias d'Atlanta.

Les billets pour assister au match du club se vendront entre 35 et 129 $. De plus, une campagne de billets de saison massive a été lancée par les nouveaux propriétaires. Les prix des abonnements de saison varieront entre 1755 et 5805 $, et les détenteurs devront s'engager pour une période de trois à cinq ans.

Pour le moment, on ne sait pas si l'équipe utilisera le nom et les couleurs des Jets de l'époque. Selon diverses rumeurs sur la Toile, True North pourrait être tentée de représenter le Manitoba en entier dans le nom de la franchise.
 
Un aréna de 15 000 sièges
Inauguré en 2004, le MTS Centre est doté de 15 015 sièges, ce qui en fera le plus petit amphithéâtre du circuit Bettman. Malgré tout, la Ligue est confiante que les revenus seront présents pour l'équipe. D'ailleurs, le commissaire a lancé un message clair aux propriétaires en mentionnant que l'aréna devra être rempli à tous les matchs.

De plus, True North ne prévoit pas agrandir l'aréna, elle qui préfère mettre l'emphase sur la rareté du billet lors des rencontres. La galerie de presse a par ailleurs été agrandie durant l'année pour permettre à un plus grand nombre de journalistes et de dépisteurs d'être présents.

Le MTS Centre a été le domicile du club-école des Canucks de Vancouver dans la Ligue américaine, le Moose du Manitoba ces dernières années.
 
Un deuxième départ d'Atlanta
Atlanta se voit donc retirer son équipe de hockey de la Ligue nationale pour une deuxième fois dans son histoire. En 1980, les Flames avaient été déménagés à Calgary où ils y sont toujours aujourd'hui.

La LNH avait tenté le coup une deuxième fois en 1998, lorsqu'elle avait procédé à une expansion de deux nouveaux clubs, soit ceux d'Atlanta et de Nashville. Les succès escomptés ne se seront donc jamais réalisés.

«Bettman voulait que le dossier de Winnipeg soit réglé avant la finale» -Gary Lawless

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/bettman-voulait-que-le-dossier-de-winnipeg-soit-r-79048.html

(CKAC Sports) - L'animateur de radio de Winnipeg Gary Lawless est bien connu des auditeurs de CKAC Sports. C'est lui qui avait dit que la capitale manitobaine était seule en lice pour l'obtention d'une équipe, que Québec n'était même pas considérée pour le moment.
Écoutez l'entrevue en compagnie de Gary Lawless à l'émission Parlons hockey.

Lawless était évidemment aux anges, mais aussi bon joueur, mardi matin, quand l'animateur Michel Langevin l'a rejoint.

«Aujourd'hui, il y a sept équipes canadiennes dans la Ligue nationale, demain, ça nous en prend huit avec Québec, a d'abord lancé Lawless. En tant que Canadien, c'est sur quoi il faut travailler à compter de maintenant.»

175 millions ?


«C'est un peu nuageux, mais le soleil veut sortir et on attend 35 mille amateurs dans le centre-ville pour l'annonce, a poursuivi celui qui est animateur à Sports Radio 1290 et chroniqueur au Winnipeg Free Press.

Selon Lawless, les nouveaux dirigeants, la société True North Sports and Entertainment, aurait acheté les Thrashers d'Atlanta pour la somme de 110 millions avec 65 millions de plus comme frais de transfert payables à la LNH.

«C'est possiblement le plus grand jour de l'histoire sportive de Winnipeg. Les autorités sont sur place, dont Gary Bettman. Le commissaire voulait que le dossier soit réglé avant le début de la finale de la Coupe Stanley.»

13 000 billets de saison ?


«D'après moi, les dirigeants vont lancer une campagne de vente de billets dès aujourd'hui (mardi) pour voir l'intérêt, estime Lawless.

Un message qui sera rapidement répondu, selon l'animateur.

«Je crois qu'en moins d'une semaine, ils seront en mesure de vendre 13 mille abonnements de saison. Depuis six mois, c'est tout ce que j'entends. Tout le monde veut son billet.»

Les joueurs des Thrashers devront s'habituer à la température!

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-joueurs-des-thrashers-devront-s-habituer-a-la-79135.html


(CKAC Sports) - Le retour d'une équipe de la Ligue nationale à Winnipeg ne réjouit pas uniquement les partisans de hockey de la capitale manitobaine, mais également d'anciens joueurs des Jets, comme Normand Dupont.
« C'est une belle ville Winnipeg et les gens sont de vrais passionnés, a indiqué à CKAC Sports celui qui a porté les couleurs des Jets au début des années 80. Il y a 15 ans on leur avait enlevé le droit d'avoir une équipe. C'est aussi une bonne nouvelle pour le Canada, a-t-il ajouté. Les équipes canadiennes vont bien sur le plan financier et c'est bien pour la LNH. »

Plusieurs joueurs des Thrashers ont déjà publiquement réagi à l'annonce. L'attaquant Andrew Ladd, un Canadien, a dit à La Presse Canadienne qu'il s'attendait à « un accueil fou » et « plus gros que ce à quoi les gens peuvent s'attendre ». D'autres, comme Eric Boulton ont laissé entendre que la nouvelle allait être difficile à accepter pour les membres de sa famille, dont sa femme, originaire de la capitale géorgienne. Au-delà des joies et des déceptions, plusieurs joueurs devront peut-être s'adapter...à la température.

« Ce n'est pas si pire, a toutefois tenu à spécifier Dupont. Il fait froid, oui, mais ce n'est pas pire qu'à Calgary ou Edmonton. La ville a évolué depuis que j'y ai joué et les joueurs y seront heureux. Mais bon, c'est certain que ce ne sera pas aussi chaud qu'à Atlanta. »

Les joueurs des Thrashers pourront toutefois se consoler. Pour la première fois depuis quelques années, ils pourront se consacrer entièrement et presque uniquement au hockey.

« De ce qu'on a entendu, il y avait des chicanes entre les propriétaires, a rappelé Dupont. Pour un joueur, ce n'est jamais facile de jouer dans une ville ou la situation est instable, inquiétante. Même si le but premier est de jouer au hockey, c'est toujours mieux d'évoluer dans une bonne ambiance pour bien exercer son métier. »

Pour l'instant, comme l'achat doit encore être approuvé par les gouverneurs, la LNH et True North ont évité de confirmer dans quelle division allaient évoluer les Thrashers. Plusieurs sources laissent toutefois entendre que pour la prochaine saison, Winnipeg évoluera dans l'Est, dans la section Sud-Est. On peut toutefois logiquement s'attendre à ce que la nouvelle formation rejoigne la section Nord-Ouest, de l'Association de l'Ouest, dans deux ans. Ses rivaux seraient alors les Flames, les Oilers, les Canucks et l'Avalanche.

« Il y aura de grandes rivalités, a soutenu celui qui fut le premier choix du CH en 1977. Le club de Winnipeg voudra créer ce genre de duels rapidement. Ce ne sera pas facile la première année dans la Sud-Est, mais en fin de compte, ces rivalités seront très bonnes pour la LNH. »

Les Jets de Winnipeg?
Si le nouveau propriétaire n'a pas voulu spécifier le nom de la future équipe du Manitoba, un de ses nouveaux joueurs s'est pourtant exprimé à ce sujet. Evander Kane a indiqué mardi sur son compte twitter qu'il était favorable à conserver le nom et le logo des Jets.

(Un texte d'Alexandre Lebrun)

Deux ans de plus à St. Louis pour Patrik Berglund

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/deux-ans-de-plus-a-st.-louis-pour-patrik-berglund-79153.html

ST. LOUIS - L'attaquant Patrik Berglund a obtenu une prolongation de contrat de deux ans des Blues de St. Louis.
Le patineur de 22 ans a établi des sommets personnels avec 22 buts et 30 aides en 81 rencontres à sa troisième saison dans la LNH. Il a de plus mené les Blues avec huit buts en supériorité numérique.

Berglund a remporté une médaille d'argent avec la Suède lors du dernier Championnat mondial, en plus d'être sélectionné sur l'équipe d'étoiles du tournoi.

Choix de premier tour, le 25e au total, en 2006, Berglund a disputé 228 matchs avec les Blues, récoltant 56 buts et 69 aides.

Amphithéâtre de Québec: dépôt d'une requête en nullité

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/amphitheatre-de-quebec-depot-d-une-requete-en-nul-79165.html


QUÉBEC - Le maire Régis Labeaume a été battu de vitesse par deux citoyens de Québec, dont l'ancien directeur général de la ville, qui ont déposé mardi une requête en Cour Supérieure afin de contester la légalité de l'entente intervenue dans le dossier de l'amphithéâtre.
Denis de Belleval et Alain Miville de Chêne alléguent que le contrat liant la Ville de Québec et Quebecor comporte de graves omissions qui le rende contraire aux intérêts de la communauté québécoise.

Ils dament ainsi le pion au maire Labeaume, qui a réclamé aux parlementaires l'adoption d'urgence d'une loi spéciale qui viendrait empêcher que l'accord, critiqué au cours des dernières semaines, soit attaqué devant les tribunaux.

Les deux plaignants, qui agissent à titre personnel, soutiennent que le contrat n'est pas valide puisqu'il a été octroyé à l'entreprise sans appel d'offres ou soumissions publiques.

Dans le document de requête introductive, plusieurs clauses du contrat sont remises en question. On dénonce notamment le fait que l'entente ne contient aucune disposition pour pallier à (sic) l'éventualité où la mise en cause Quebecor Media Inc. déciderait unilatéralement de cesser d'honorer ses obligations.

Le projet consiste plutôt, selon le document, en une tentative maladroite et sans fondement juridique de venir en aide à une entreprise commerciale pour ses fins propres, c'est-à-dire, les communications de masse par tous les modes convergents possibles. Quebecor se donnera le temps de prendre connaissance de cette requête et de l'analyser avant de réagir.

«Nous avons appris l'existence de cette requête en fin d'après-midi (mardi). Nous n'avons pas l'intention de la commenter pour l'instant», a écrit dans un courriel le vice-président aux affaires corporatives et institutionnelles de Quebecor, Serge Sasseville.

Denis de Belleval et Alain Miville de Chêne ont indiqué dans un communiqué qu'ils n'accorderaient aucune entrevue avant la commission parlementaire étudiant le projet de loi.

Voici le lien pour accéder à la requête en nullité.

Contrat de 3 ans pour Deslauriers avec les Kings

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/contrat-de-3-ans-pour-deslauriers-avec-les-kings-79166.html


LOS ANGELES - Les Kings de Los Angeles se sont entendus pour trois ans avec le défenseur québécois Nicolas Deslauriers. Il s'agit d'un contrat type pour une recrue de la LNH.
Âgé de 20 ans, Deslauriers a été le choix de troisième tour, 84e au total, des Kings au repêchage de 2009. Il a récemment complété sa quatrième saison au hockey junior avec les Olympiques de Gatineau.

Au cours des dernières séries, il a mené tous les défenseurs de la LHJMQ avec 20 points (5-15) en 24 rencontres. Deslauriers a aidé les Olympiques à atteindre la finale de la LHJMQ, où ils se sont
inclinés contre les Sea Dogs de Saint-Jean, qui ont par la suite remporté la coupe Memorial.

L'athlète de 6 pi 1 po, 200 lbs a mené son club pour les buts (13), les aides (30), les points (43), les buts en avantage numérique (6) et le différentiel (plus-22) chez les défenseurs, même s'il n'a disputé que 48 rencontres.

Hitchcock aimerait bien diriger les Devils

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/hitchcock-aimerait-bien-diriger-les-devils-79184.html

(CKAC Sports) - Ce n'est pas un secret de Polichinelle, Ken Hitchcock veut effectuer un retour derrière un banc de la LNH. Alors que plusieurs observateurs le voyaient succéder à Jacques Lemaire avec les Devils, le principal intéressé confie qu'il n'a pas été contacté par Lou Lamoriello.
C'est ce qu'il a indiqué au site web NorthJersey.com. L'ancien entraîneur-chef des Flyers de Philadelphie, des Stars de Dallas et des Blue Jackets de Columbus n'a semble-t-il pas été contacté par l'organisation des Devils.

«Je n'ai pas été contacté par New Jersey. Je n'ai aucune idée de ce qui se passe avec les Devils», a-t-il mentionné.

Pour sa part, Hitchcock ne se cache pas pour exprimer son intérêt pour succéder à Jacques Lemaire. Il mentionne avoir regardé de nombreux matchs de l'équipe. De plus, avec Équipe Canada, il a fait plus amples connaissance avec Travis Zajac, le talentueux joueur de centre des Devils.

«Ce qui m'impressionne de Travis, c'est qu'il est toujours bien positionné avec et sans la rondelle. J'ai eu beaucoup de plaisir à le diriger.»

Peu élogieux à l'endroit de Kovalchuk?
Appelé à clarifier le commentaire qu'il avait fait au sujet d'Ilya Kovalchuk après la défaite du Canada en Slovaquie - Hitchcock avait alors mentionné que Kovalchuck n'avait pas été un cauchemar pour le Canada aux Jeux olympiques - l'ancien entraîneur a simplement dit qu'il avait été pris de court par une très longue question d'un journaliste et il a réitéré à quel point il l'estimait à titre de joueur.

«C'est tout un joueur. C'est un joueur exceptionnel.»

À la recherche d'un poste
Selon plusieurs sources, le Wild du Minnesota et les Stars de Dallas auraient demandé la permission aux Blue Jackets - avec qui il est toujours sous contrat pour une autre saison - de le rencontrer. Hitchcock aurait déjà rencontré plus d'une équipe, mais l'ancien entraîneur n'a pas voulu préciser l'identité des équipes en question.

Âgé de 59 ans, Hitchcock a été limogé en février 2010 par les Blue Jackets et depuis ce temps, il a agi à titre de recruteur. Récemment, il a effectué un retour derrière un banc de hockey alors qu'il a été l'entraîneur du Canada au dernier championnat mondial en Slovaquie où la formation canadienne s'est inclinée, 2-1, en quart de finale face à la Russie.

«Je suis une entraîneur plus âgé avec beaucoup d'expérience. Pour travailler dans cette ligue, il faut être au bon endroit au bon moment. J'aime diriger une équipe, j'aime enseigner, mais plus important, j'aime bâtir une équipe. C'est sûrement ce qui me manque le plus.»

Même s'il s'est ennuyé de diriger une équipe, Hitchcock ne regrette pas son année loin d'un banc.

«Je n'aurais jamais cru dire ça, mais cette année (sans diriger) a été une bonne chose pour moi. D'abord pour ma santé, j'ai refait le plein d'énergie et je suis prêt pour relever cet autre défi.»

Adieu MAINEiacs!

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/adieu-maineiacs-79186.html

(CKAC Sports) - La franchise des MAINEiacs de Lewiston, dans la LHJMQ, a été rachetée par la Ligue, mardi.
Cette décision a été prise lors d'un vote tenu parmi les membres de la Ligue, mais les détails de cette transaction n'ont toutefois pas été dévoilés. Selon le communiqué de presse produit par le commissaire Gilles Courteau, la franchise sera dissoute et les joueurs seront soumis à un repêchage spécial qui devrait être tenu vendredi.

Le commissaire s'est dit déçu pour les amateurs de Lewiston. « Je suis déçu pour les amateurs de hockey de Lewiston. Les MAINEiacs ont connu de bons moments, dont une conquête de la Coupe du Président en 2007. Je sais que Mark Just et son groupe ont fait tout le nécessaire pour tenter de sauver la franchise, mais il n'en demeure pas moins que la situation n'était plus viable.

« Je suis très attristé pour les partisans des MAINEiacs », a commenté le propriétaire, Mark Just. Pour ceux qui ont appuyé la concession au cours des dernières années, je désire vous remercier. Malheureusement, les pertes financières de plus en plus prononcées étaient devenues un fardeau que notre groupe de propriétaires ne pouvaient plus supporter.»

Le malheur des uns fait le bonheur des autres
Le commissaire a aussi profité de cette occasion pour confirmer qu'une franchise d'expansion sera octroyée à un groupe d'investisseurs de Sherbrooke mené par l'ancien gardien de but étoile de la LHJMQ et de la LNH, Jocelyn Thibault. L'équipe devrait disputer ses premiers matchs au Palais des Sports Léopold-Drolet de la ville de Sherbrooke, lors de la saison 2012-13.

« La LHJMQ est très heureuse du retour de Sherbrooke », a mentionné le commissaire. Avec un solide groupe d'investisseurs, je suis convaincu que le hockey junior majeur aura le succès escompté à Sherbrooke.»

Lucic à son meilleur à Vancouver

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/lucic-a-son-meilleur-a-vancouver-79193.html


VANCOUVER - De disputer la finale de la Coupe Stanley chez lui ne trouble pas Milan Lucic. Le robuste ailier natif d'East Vancouver vit de grandes émotions alors que ses Bruins de Boston s'apprêtent à amorcer la finale de la LNH contre les Canucks de Vancouver, mercredi.
Mais l'euphorie de Lucic pourrait être problématique pour l'équipe qu'il a encouragée en grandissant, alors que les Bruins tenteront de remporter une première coupe Stanley depuis 1972.

«J'ai toujours été capable de donner le meilleur de moi-même en jouant excité et avec beaucoup d'émotions», a dit Lucic, qui a mené les Bruins avec 30 buts et 62 points en saison régulière. Souvent, quand les gars jouent devant leur famille et leurs amis, ils sont un peu plus tendus. Moi, je ne suis qu'excité de le faire.»

Une excitation qui ne passe pas inaperçue aux yeux de ses compagnons de trio Nathan Horton et David Krejci, qui mènent les Bruins avec 17 points chacun en séries.

«Il dégage un petit quelque chose de spécial», Horton a dit de Lucic depuis son arrivée sur la côte ouest.

Et Lucic a connu quelques très bons matchs à Vancouver. Dans la seule rencontre de saison régulière que les Bruins y ont joué cette saison, Lucic a préparé le but égalisateur et a marqué le but gagnant dans un gain de 3-1.

En 2007, alors que le tournoi de la Coupe Memorial était joué à Vancouver, sa première présence sur la patinoire est passée à l'histoire. Après avoir solidement mis en échec trois joueurs adverses, la boule de muscle de 6 pi 4 po, 220 lbs a terminé sa présence par un combat. Cette présence a donné le ton à une victoire de 3-1 des siens. Lucic a amassé une aide sur le but gagnant et a été nommé joueur le plus utile du tournoi.

L'automne suivant, il perçait l'alignement des Bruins à 19 ans seulement.

«Quand je suis arrivé ici, c'était un joueur de grande force, qui marquait des buts à la dure, a dit le vétéran Mark Recchi. C'est un gros joueur qui peut patiner. Il a continué de s'améliorer et de gagner en confiance. Il peut être un marqueur dans cette ligue.»

Les Bruins ne peuvent pas rivaliser avec la puissance de frappe des Canucks, qui comptent sur les jumeaux Sedin et Ryan Kessler. Mais ils ont démontré qu'ils peuvent tirer leur épingle du jeu contre des clubs offensifs, comme ils l'ont fait contre le Lightning.

«La discipline est la clé, a dit Lucic. Notre jeu en désavantage a été très bon jusqu'ici, mais leur jeu de puissance a aussi été très bon. Alors parfois, vous devez être plus fort et ne pas laisser vos émotions l'emporter.»

(Un texte de Ron Sudlow)

Mauvaise journée pour Labeaume

http://ruefrontenac.com/sports/hockey/38008-labeaume

Sports - Hockey
Écrit par RueFrontenac.com   
Mardi, 31 mai 2011 21:21
Mise à jour le Mardi, 31 mai 2011 22:06
Quelques heures après avoir démontré toute son amertume parce que Winnipeg avait obtenu une équipe de hockey de la Ligue nationale avant Québec, Régis Labeaume doit avoir mal avalé son apéritif au souper quand il a appris que Denis de Belleval et Alain Miville de Chêne avaient déposé une requête en Cour Supérieure afin de contester la légalité de l'entente signée entre la Ville de Québec et Quebecor Media concernant l'amphithéâtre.
MM. de Belleval et Miville de Chêne alléguent, selon La Presse Canadienne, que le contrat liant les deux parties "comporte de graves omissions qui le rende contraire aux intérêts de la communauté québécoise".
Les deux citoyens de Québec prétendent également que l'entente a été octroyé sans appel d'offres, ce qui la rend invalide.
Le dossier de l'amphithéâtre sera débattu à une commission parlementaire jeudi et vendredi.

La LNH de retour à Winnipeg

http://ruefrontenac.com/sports/hockey/37961-lnh-winnipeg-thrashers


L'attente aura duré 15 ans. Le commissaire de la Ligue nationale de hockey Gary Bettman l'a confirmé, le hockey de la Ligue nationale est de retour à Winnipeg.

Les amateurs de hockey de Winnipeg pourront à nouveau encourager une équipe locale puisqu'on a annoncé mardi midi que les Thrashers d'Atlanta seront transférés dans la capitale du Manitoba.

Winnipeg avait perdu son équipe de la Ligue nationale de hockey en 1996 quand les Jets avaient déménagé à Phoenix.

La firme True North Sports and Entertainment a annoncé qu'elle avait acheté les Thrashers des mains de Spirit Atlanta pour la somme de 170 millions de dollars.
La vente devra recevoir l'approbation du bureau des gouverneurs de la LNH, formalité qui sera entérinée le 21 juin lors de la réunion qui se tiendra à New York.

Le transfert de propriétaires exige un vote de 75 pour cent des gouverneurs, alors qu'une relocalisation a besoin d'une simple majorité.

« Le retour du hockey à Winnipeg et au Canada, pays qui représente l'âme de notre sport, est fantastique », a déclaré Bettman.

Bettman n'a pas voulu parler de Québec

Ce dernier a hésité quand il a été question du transfert d'une équipe à Québec.

« Comme vous le savez, je déteste commenter des espoirs quand ce n'est pas le temps. Rappelez-vous qu'au début des présentes séries éliminatoires, des rumeurs laissaient entendre que les Coyotes de Phoenix allaient être transférés à Winnipeg, alors qu'il n'en était pas question. Le déménagement des Thrashers est unique. On a toujours hésité à transférer une équipe et il ne faut pas spéculer sur ce qui vient de se passer aujourd'hui avec la situation qui prévaut à Québec. Ce serait une erreur. »

Le premier ministre du Manitoba, Greg Selinger, s'est évidemment dit ravi du retour du hockey à Winnipeg.

« Bon retour à la maison, le hockey revient où il doit être joué », a déclaré Selinger.

Le président de True North, Jim Ludlow, a indiqué que les billets individuels seront en vente dès samedi. Les billets les plus chers seront vendus 129$, alors que les moins dispendieux coûteront 39 $.

L'organisation s'est fixé un objectif de 13 000 abonnements saisonniers. Les acheteurs des billets de loge devront s'engager pour les cinq prochaines saisons, contrairement à trois ans pour les acheteurs des billets les moins chers.

« Nous constaterons rapidement l'impact économique d'une concession de la LNH sur la ville, avait déclaré en matinée le maire de Winnipeg, Sam Katz à TSN Radio. Mais selon moi, il y a un impact qui ne peut être comptabilisé et qui est sans prix, c'est celui d'apporter de la fierté dans la ville. »

Le nom de l'équipe n'est pas choisi

Selon Bob McKenzie du réseau TSN, la formation de Winnipeg fera partie de la section Sud-Est de l'Association de l'Est au cours de la prochaine saison avant que la ligue ne redivise les sections.

Plus tôt dans la matinée, McKenzie a écrit sur Twitter que les nouveaux propriétaires souhaitaient trouver un nouveau nom pour l'équipe mais qu'il semble que la pression populaire pour garder le nom Jets soit très très forte...

Le président de True North, Mark Chipman, a cependant déclaré lors de la conférence de presse que le nom de l'équipe n'avait pas encore été choisi, mais que ce sera l'une des priorités des propriétaires.

«Si Winnipeg a pu le faire, Québec peut le faire aussi» - Alain Vigneault

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/06/20110601-014625.html

Selon Alain Vigneault, les gens de Winnipeg constituent une communauté qui appuiera fidèlement une formation de la LNH, à l’instar des citoyens de Québec.

VANCOUVER - Pour avoir déjà dirigé le Moose du Manitoba, au cours de la saison 2005-2006, Alain Vigneault est bien placé pour commenter le retour de la LNH à Winnipeg.
 
«Je connais bien Mark Chipman et le groupe qui a fait l’acquisition de la concession des Thrashers et je suis convaincu que ce retour de la LNH à Winnipeg sera couronné de succès », a commenté l’entraîneur-chef des Canucks.
 
« Ce sont des gens très professionnels, qui sont conscients du fait que la ligue a évolué, depuis le départ des Jets. Le fait que la valeur du dollar canadien est supérieure au dollar américain constitue l’un des nombreux facteurs positifs. »
Vigneault souhaite maintenant le retour d’une équipe de la LNH à Québec.
 
« On parle de deux situations très comparables, a-t-il dit. Les amateurs de hockey de Québec sont aussi passionnés que ceux de Winnipeg.
 
« Vraiment, si Winnipeg a été capable de ramener une équipe de la LNH, ça ne fait aucun doute, dans mon esprit, que la ville de Québec peut le faire elle aussi », at- il affirmé.
 
Vigneault a lui-même fait allusion au froid extrême qui sévit, parfois, au Manitoba, surtout en janvier.
 
« C’est vrai qu’il peut faire très froid, mais il y a beaucoup de journées ensoleillées. Ça compense. Winnipeg est une belle ville. »
 
Burrows et Bolduc ont aimé

L’équipe-école des Canucks, le Moose, devra donc déménager. Le directeur général Mike Gillis a mentionné que l’organisation étudie présentement diverses options.

Parmi les joueurs des Canucks qui ont déjà joué pour le Moose, il y a les Québécois Alexandre Burrows (de 2003 à 2006) et Alexandre Bolduc (de 2007 à 2010).
 
« J’ai vécu des moments mémorables, à Winnipeg, a raconté Burrows. J’ai eu l’occasion de participer au tout der nier match présenté dans le vieil aréna. Les gens étaient tous vêtus de blanc et ils criaient We want the Jets !
 
« Ça faisait drôle, mais ils ont toujours très bien supporté le Moose, a-t-il ajouté. Il y a de très bons partisans, dans cette région, et le Moose était une organisation de première classe, dans la Ligue américaine. Le nouvel amphithéâtre est très beau, et je suis assuré que ce retour d’une équipe de la LNH à Winnipeg sera un succès », a continué Burrows.
 
Pas la même erreur
 
Bolduc, qui a disputé 26 matchs avec le Moose, cette saison, est tout aussi confiant que son coéquipier.
 
« À l’époque, les amateurs de hockey de Winnipeg avaient probablement tenu pour acquis qu’il y aurait toujours une équipe de la LNH à encourager, a-t-il confié. Ils ne feront pas la même erreur une deuxième fois… »
Enfin, Maxim Lapierre a, lui aussi, déjà disputé des matchs à Winnipeg : « C’est une bonne ville de hockey, et ce changement de cap des dirigeants de la LNH donne espoir aux gens de Québec. »

LNH à Québec: Quebecor y croit fermement

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/06/20110601-024136.html

Rémi Nadeau /Agence QMI


QUÉBEC - Même si c’est la ville de Winnipeg qui accueillera les Thrashers l’automne prochain, Quebecor croit «fermement» au retour d’une équipe de la Ligue nationale de hockey (LNH) dans la capitale nationale.
 
«Nous n’avons aucune garantie de succès, aucune garantie de la LNH, mais il est clair que c’est l’objectif ultime que nous nous sommes fixé et nous sommes déterminés à l’atteindre », a commenté Martin Tremblay, conseiller principal du président Pierre Karl Péladeau, quelques heures après l’annonce officielle du déménagement de la concession d’Atlanta vers la capitale du Manitoba.
 
Prudence
 
Prudent, M. Tremblay a contourné toutes les questions visant à évaluer l’impact de ce transfert d’équipe dans un marché canadien sur les démarches entreprises par Quebecor.
 
«Nous ne ferons aucune spéculation et nous ne donnerons pas d’informations quant à nos démarches avec la ligue», a insisté le conseiller de M. Péladeau, laissant entendre que le modèle de retenue, appliqué par le promoteur de Winnipeg, True North Sports & Entertainment, serait observé.
 
«Il y a des leçons à apprendre, pour voir comment les gens de Winnipeg ont travaillé au cours des dernières années afin de concrétiser leur rêve», a-t-il commenté.
Pas question donc de lever le voile sur la ou les concessions que lorgne le conglomérat, ni de donner un aperçu de l’état d’avancement d’éventuelles discussions.
 
«Nous ne ferons pas de commentaires publics, parce que nous sommes convaincus que si nous voulons avoir du succès dans notre projet de ramener une équipe, il faut respecter les pratiques d’affaires de la ligue et ça inclut la discrétion quant à nos discussions», a-t-il répété, avant de témoigner tout de même une autre fois de la détermination de Pierre-Karl Péladeau.

«On y croit fermement, nous continuons nos démarches et nous sommes déterminés à mettre toutes les actions de l’avant pour le retour des Nordiques, c’est ce que je peux dire», a ajouté Martin Tremblay.

Bédard toujours confiant
 
Quant au président du groupe J’ai ma place, Mario Bédard, il demeure optimiste pour
Québec, même si le commissaire de la ligue, Gary Bettman, a encore insisté à l’effet qu’il cherchait à éviter les transferts.
 
«Il dit toujours qu’il n’y a pas de concession à déménager. Il va garder le même discours, mais ce qui est positif, c’est que Winnipeg a son club et nous sommes les prochains sur la liste», a-t-il indiqué.

Il rappelle toutefois que Québec doit se doter d’un amphithéâtre le plus rapidement possible, pour éviter de se faire doubler par d’autres villes nord-américaines.

«Winnipeg a remporté le premier round» - Peter Stastny

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/06/20110601-025521.html

Richard Boutin /Agence QMI


QUÉBEC - La confirmation du transfert des Thrashers d’Atlanta vers Winnipeg est une bonne décision selon le plus grand joueur de l’histoire des Nordiques de Québec.
 
«J’ai toujours pensé que la LNH reviendrait à Québec avant Winnipeg, mais il s’agit néanmoins d’une bonne décision pour le hockey, a déclaré Peter Stastny. Ce déménagement au Canada aurait été une meilleure nouvelle encore si Québec avait accueilli les Thrashers, mais ce n’est pas terminé.» «Winnipeg a remporté le premier round, de poursuivre l’ancien capitaine des Bleus, mais Québec va gagner le deuxième.
 
Je suis confiant que Québec obtiendra son équipe d’ici trois ans, peut-être plus rapidement. Il y aura d’autres déménagements, puisque certaines équipes éprouvent toujours des difficultés. Il y a au moins de trois à cinq équipes qui souffrent beaucoup.»
 
Stastny voit d’un bon oeil le retour du circuit Bettman dans la capitale manitobaine. «Il n’y a aucun doute que cela ouvre les portes pour Québec, a-t-il déclaré. C’est une bonne nouvelle. Au point de vue financier, c’est une bonne décision de revenir au Canada.» «Personne n’est gagnant de garder des équipes qui éprouvent des difficultés et où l’intérêt est faible, de poursuivre Stastny. En revenant au Nord, c’est bon pour la popularité de la LNH et du hockey. Il y a eu de gros changements depuis sept ans sur le plan économique.»
 
À l’occasion du championnat mondial qui vient de prendre fin à Bratislava, en Slovaquie, son pays natal, Stastny a eu l’occasion de discuter avec quelques grosses pointures de la LNH.
 
«À chaque fois que j’en ai l’occasion, je vante les mérites de Québec, a-t-il mentionné.
J’ai rappelé à deux vice-présidents de la LNH que Québec devait être leur premier choix. À chaque fois qu’on discute, ils mentionnent que la construction d’un nouvel édifice est la condition numéro un pour un éventuel retour à Québec.»

Stastny croit que le Colisée actuel pourrait dépanner pendant quelques années. «Le Colisée pourrait servir facilement un ou deux ans, a-t-il affirmé. Il est beaucoup mieux que le Corral à Calgary et le Centre civique à Ottawa à l’époque. J’étais présent pour le match présaison entre les Canadiens et les Islanders en octobre dernier et c’est possible pour une équipe de la LNH d’y évoluer.»

«Tout un défi attend Winnipeg» - Jean Perron

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/06/20110601-025823.html


QUÉBEC - S’il se dit heureux du retour de la LNH à Winnipeg, Jean Perron croit que la partie n’est pas gagnée pour Mark Chipman et ses partenaires.
 
«Tout un défi attend Winnipeg, a résumé l’ancien entraîneur des Canadiens de Montréal et des Nordiques de Québec. La LNH a instauré un plafond salarial et le dollar canadien est beaucoup plus fort, ce qui représente deux avantages, mais l’autonomie des joueurs n’est pas une bonne chose pour Winnipeg.»
 
«Si Montréal a de la difficulté à attirer des joueurs autonomes de premier plan et doit débourser davantage, imagine la situation qui va se produire à Winnipeg, de poursuivre Perron, qui a dirigé le Moose du Manitoba durant une saison dans la Ligue internationale. Ce sera encore pire. Ils vont faire signer les joueurs que les autres équipes ne veulent pas. Ils devront développer leurs jeunes.»
 
Perron craint que la température soit un facteur faisant fuir certains joueurs. «Il fait froid comme c’est pas possible, a-t-il débité. Je me souviens que l’école fermait certains jours, parce qu’il faisait trop froid. Les joueurs n’appréciaient pas cette situation.»
 
Perron a néanmoins apprécié son séjour au Manitoba, mais il estime que le marché de Québec est supérieur. «Les gens de Winnipeg aiment le hockey, mais on ne retrouve pas la même passion qu’à Québec, a-t-il déclaré. C’est spécial à Québec. L’économie est meilleure et les sièges sociaux sont plus nombreux, mais l’aréna n’était pas toujours plein à l’époque, même si les Jets n’ont jamais connu des saisons affreuses comme les Nordiques, qui jouaient dans un Colisée toujours rempli.»
 
«L’équipe de Winnipeg devra être très compétitive si on veut maintenir le cap des 13 000 billets de saison pendant plusieurs années, d’ajouter Perron. Contrairement à Québec où plusieurs activités sont disponibles, il n’y a rien d’autre à faire que le hockey à Winnipeg.»

Perron a de bons mots pour Chipman, le maître d’œuvre du retour de la LNH à Winnipeg. «C’est lui qui m’a embauché en 1996 lorsque le Moose a fait ses débuts dans la Ligue internationale, a-t-il précisé. Il a travaillé sans relâche dans un anonymat total. Le retour de la LNH était un défi personnel. Dès 1996, il avait déjà des plans pour construire le MTS Centre. Il possède une bonne vision.»

«Le cancer Waddell ne suivra pas à Winnipeg» - Daniel Bouchard

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/06/20110601-030146.html

QUÉBEC - Daniel Bouchard n’est pas tendre envers les propriétaires des Thrashers d’Atlanta et du directeur général Don Waddell.
 
«L’équipe perdait de l’argent et ne pouvait plus survivre dans de telles conditions, mais les propriétaires n’ont jamais fait les efforts pour présenter une formation gagnante, a déclaré l’ancien gardien des Flames d’Atlanta et de Calgary, des Nordiques de Québec et des Jets de Winnipeg. Comme un restaurateur qui offre de la nourriture de deuxième ordre et qui ne donne pas de service, tu ne peux pas espérer attirer du monde.»
 
«Les gens vont dire qu’Atlanta est un mauvais marché, mais ce n’est pas le cas, de poursuivre Bouchard qui a conclu a carrière à Winnipeg (1985-1986). Quand Ted Turner a acheté les Braves à la fin des années 1980, le stade de baseball était vide. Ils ont depuis multiplié les championnats. Même chose avec les Falcons. L’ancien pdg de Home Depot a acheté l’équipe il y a quatre ans et il y a maintenant une liste d’attente pour les abonnements de saison, alors que l’équipe de la NFL se produisait devant des gradins vides avant l’arrivée du nouveau propriétaire.»

Établi à Atlanta depuis qu’il a accroché ses jambières et entamé une carrière dans le milieu des affaires, Bouchard a suivi de près les malheurs des Thrashers. «Don Waddell est la raison principale pourquoi la LNH est morte à Atlanta, a-t-il déclaré. Il a embauché un professeur d’école comme recruteur en chef. Il a échangé Marc Savard, qui était le meilleur centre depuis longtemps, a embauché Robert Holik pour 4 millions $ par année et a levé le nez sur Yannick Perreault qui a connu du succès à Nashville.»

Craintes
 
Bouchard est loin d’être convaincu que le retour de Winnipeg sera viable sur le plan économique. «Au moins, le cancer Waddell ne suivra pas tout comme certains propriétaires, a-t-il débité. Quand le plafond salarial atteindra 60 millions $, je ne pense pas que Winnipeg va être capable de suivre. Pour cette raison, je doute fortement que les dirigeants puissent présenter une équipe gagnante. Dans les dernières années, les Thrashers avaient l’une des plus petites masses salariales avec les résultats que l’on connaît.»
 
Bouchard estime que Winnipeg servira de laboratoire pour le retour éventuel de la LNH à Québec. «Si cela ne fonctionne pas à Winnipeg, je ne vois pas pourquoi la LNH viendrait à Québec, a-t-il raconté. La LNH attendra deux à trois ans avant d’envisager un retour à Québec. Ce qui va se passer à Atlanta fera peut-être ouvrir les yeux ailleurs.»

«Il y a un monde de différence entre les deux villes, de poursuivre Bouchard. Comparer Québec et Winnipeg, c’est la même chose que comparer Québec et Chibougameau. Les gens sont fantastiques et chaleureux, mais c’est une autre façon de vivre. Tu dois t’acheter un chauffe-moteur pour ton pyjama.»

Julien et Vigneault rappellent de bons souvenirs à Demers

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/coupe-stanley/201105/31/01-4404463-julien-et-vigneault-rappellent-de-bons-souvenirs-a-demers.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4404476_article_POS4




Jacques Demers va regarder la finale de la Coupe Stanley, à compter de demain soir, avec beaucoup d'attention. Pour le spectacle, bien sûr. Mais avant tout parce qu'il connaît très bien les deux entraîneurs impliqués.

Comme plusieurs au Québec, l'ancien entraîneur du Canadien se réjouit de la présence de deux entraîneurs francophones en finale, Claude Julien chez les Bruins de Boston, puis Alain Vigneault chez les Canucks de Vancouver. Il s'agit d'une grande première dans l'histoire de la Ligue nationale. Mais pour Demers, il y a plus: les deux hommes se sont jadis retrouvés sur son chemin alors qu'il tentait de faire sa place derrière les bancs de la LNH.

«Peu de gens le savent, mais j'ai été échangé en retour de Claude Julien! a rappelé Demers en entrevue téléphonique. Et quand je suis arrivé à St.Louis pour diriger les Blues, Alain Vigneault était l'un des défenseurs du club!»

Demers ne plaisante pas. Il a bel et bien été impliqué dans un échange avec Claude Julien, sans doute l'un des échanges les plus étranges de l'histoire du hockey. C'était en 1983, et Demers, alors entraîneur de l'Express de Fredericton (jadis le club-école des Nordiques) fut acquis par les Blues de St-Louis, en retour de deux joueurs: le poids lourd Gord Donnelly... et Julien, qui ne disputera ensuite que 14 parties avec les Nordiques.

Puis, en arrivant chez les Blues, Demers a brièvement dirigé Vigneault, un défenseur qui, semble-t-il, n'était pas reconnu pour faire dans la dentelle.

«Comme défenseur, Alain Vigneault était un dur de dur, se souvient Demers. C'était un gars qui ne reculait devant personne et qui aimait le jeu rude. C'était un joueur au talent limité, qui essayait de faire sa place dans la Ligue nationale à ce moment-là.»
Comme Claude Julien, Vigneault n'a pas connu une grande carrière sur les patinoires de la LNH. Son expérience chez les grands s'est terminée après 42 matchs dans le maillot des Blues de St.Louis.

«Alain ne l'a pas eu facile, a ajouté Demers. C'est un gars qui est parti de loin, et juste le fait de le revoir en grande finale comme ça, je suis très content pour lui. Même quand il était joueur, c'était un gars qui fonçait toujours. Comme entraîneur, il a dû retourner chez les juniors et dans la Ligue américaine avant de revenir dans la Ligue nationale. Il n'a jamais emprunté le chemin le plus facile.»

Le plus drôle, soutient Demers, c'est que Julien et Vigneault jouaient supposément leurs postes lorsque les séries ont commencé en avril. «Il y a des gens qui disaient qu'ils allaient être congédiés si jamais leur équipe s'écrasait en séries... Y'a plus personne qui parle de ça maintenant!»

Une présence qui va ouvrir des portes

Pour Jacques Demers, il y a donc les souvenirs, la portée historique... et la suite des choses. Selon lui, cela ne fait aucun doute: la présence de Julien et de Vigneault en grande finale va profiter aux entraîneurs francophones qui visent les plus hauts sommets.

«C'est sûr que ça ne va pas nuire. Ça va aider les entraîneurs francophones, par exemple ceux qui attendent leur tour chez les juniors. Il ne faut pas non plus oublier l'impact de Guy Boucher. C'est ça qui est intéressant; Boucher, Julien et Vigneault ont chacun été engagés par des directeurs généraux anglophones.

«Ça change. Pendant ma carrière dans la Ligue nationale, j'ai toujours été embauché par des dirigeants francophones, sauf à Detroit. Je ne dirais pas qu'il y avait du racisme, mais la Ligue nationale des années 80, c'était avant tout une ligue réservée aux entraîneurs anglophones, a souligné Demers. Dans ce temps-là, pour un entraîneur francophone, c'était très dur.»

C'est un peu le chemin parcouru que Demers observe à l'aube de cette grande finale. Il voit en Claude Julien et Alain Vigneault deux hommes qui ont fini par faire leur place, deux hommes qui vont permettre de changer les choses, selon lui. Et il voit aussi deux hommes dont les destins ont croisé le sien il y a plusieurs années.

«C'est sûr que c'est spécial d'observer ça, a-t-il offert en guise de conclusion. Ce que Claude et Alain sont en train de faire, je trouve que c'est extraordinaire pour les futurs entraîneurs du Québec.»

Les Canucks: une équipe, une ville et un pays!

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(Vancouver) Après une tentative infructueuse en 1994 et des échecs successifs des Flames de Calgary (2004), des Oilers d'Edmonton (2006) et des Sénateurs d'Ottawa (2007), les Canucks de Vancouver pourraient être les premiers à rapatrier la coupe Stanley au Canada depuis le Canadien de Montréal en 1993.

«Nous sommes bien conscients de l'importance de la série. C'est important pour le pays et pour nos fans qui attendent une première conquête depuis l'entrée de l'équipe dans la LNH en 1970. C'est aussi important pour nous en tant qu'équipe après les éliminations difficiles des dernières années. Mais en même temps, il faut éviter de se mettre trop de pression sur les épaules. Personnellement, j'aborde la journée et le match de demain comme une journée et une partie normale. Je ne veux rien changer à ma routine», expliquait Alexandre Burrows lors de la journée médiatique donnant le coup d'envoi à la finale de la coupe Stanley.

«Je ne le crois pas une seconde», a répliqué Ryan Kesler en riant lorsqu'on lui a demandé si, comme Alexandre Burrows, il pouvait mettre la pression de la finale de côté.

«Je ne veux pas la mettre de côté cette pression. Je veux l'utiliser. Je veux qu'elle me force à être meilleur. Nous visons cette place en finale depuis longtemps. Nous y sommes. Mais nous n'avons rien accompli encore, car c'est la coupe que nous désirons soulever. C'est le seul objectif qui nous guide depuis le début de l'année. Le seul qui compte», a ajouté Kesler l'un des leaders des Canucks.

L'heure de vérité des Sedin

Après dix saisons avec les Canucks et des insuccès en séries qui ont soulevé questions et doutes à leur sujet, les frères Henrik et Daniel Sedin reconnaissent que l'heure de vérité a maintenant sonné.

«Nous sommes nos plus sévères critiques. Nous avons vécu beaucoup de très beaux moments ici, mais aussi de vives déceptions. Après 10 ans, nous réalisons que nous sommes sur le point de réaliser quelque chose de très gros pour nous, notre équipe, notre ville et nos partisans», expliquait Henrik Sedin.
Forts d'une récolte combinée de 19 points en avantage numérique sur les 37 qu'ils revendiquent après 18 matchs de séries, les Sedin sont conscients que leur travail en supériorité numérique sera primordial dans leur quête de victoire.

«La tenue des gardiens et les succès des unités spéciales dictent les victoires dans le hockey d'aujourd'hui. Notre recette est simple en attaque à cinq: ne jamais avoir de plans pré-établis et bouger la rondelle rapidement. C'est la meilleure façon de garder l'adversaire sur les talons et de le surprendre», a ajouté le capitaine des Canucks qui domine la colonne des marqueurs en séries avec deux buts et 21 points.

Un mur nommé Chara

La majorité des questions posées aux jumeaux Sedin, à Alexandre Burrows et à Roberto Luongo était reliée aux nombreux défis associés aux duels qui les opposeront au capitaine des Bruins: Zdeno Chara.

«C'est un des meilleurs défenseurs de la LNH. Il est très grand, très fort et à une longue portée. Mais la taille de nos adversaires n'a jamais représenté un obstacle», assurait Daniel Sedin.

«Nous avons affronté Duncan Keith et Brent Seabrook en première ronde. Nous avions Shea Weber et Ryan Suter dans les jambes en deuxième ronde. Ces deux duos sont certainement parmi les meilleurs de la LNH en ce moment. Chara est très fort et on s'attend à l'avoir contre nous avec Seidenberg. Mais les jumeaux étant les jumeaux, je sais qu'ils auront des trucs pour lui échapper. Ces gars-là se passent la rondelle comme personne d'autre dans la ligue. Ils sont comme des dauphins. Ils communiquent par la pensée. Je ne suis pas inquiet», a ajouté leur compagnon de trio Alex Burrows.

Parce que les Bruins ont changé de stratégie en finale d'association dépêchant Chara en mission devant les gardiens adverses lors des attaques massives, Roberto Luongo s'attend à jouer du coude avec le plus grand joueur de la LNH.

«Si c'est ce qu'ils font, je serai prêt. Ce sera un beau défi et j'aime les défis. Surtout que j'aurai l'appui de mes défenseurs pour lui résister. C'est sûr que Chara sera une présence imposante, mais si tu me donnes le choix, j'aime mieux l'avoir collé devant moi, que d'avoir à faire face à ses tirs de la pointe.»

Thrashers à Winnipeg: Pierre-Karl Péladeau réagit mieux que Régis Labeaume

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La Presse Canadienne
Montréal

Pierre-Karl Péladeau a accepté le déménagement des Thrashers d'Atlanta à Winnipeg avec plus de grâce que Régis Labeaume, mardi.

Pendant qu'à Montréal, le président et chef de la direction de Quebecor se disait heureux pour les Manitobains, le maire de Québec, son principal complice dans le projet pour amener une concession de la LNH dans la capitale québécoise, reconnaissait qu'il était amer.

«Aujourd'hui, ce qu'on devrait être en train de faire, c'est se demander à quel moment le prochain club va s'en venir à Québec. Au lieu de ça, on travaille fort pour se préparer pour une commission parlementaire où tout le monde va chercher à se faire du capital politique. Excusez-moi mais collectivement, je ne suis pas fier de nous», a notamment dit Régis Labeaume.

«Nous sommes très heureux de ce qui est en train de se produire à Winnipeg», a de son côté dit Péladeau en marge d'une conférence de presse visant à mousser le lancement du réseau de télé TVA Sports, à l'automne. «Nous leur souhaitons énormément de succès, ils ont les moyens d'y arriver.»

Au sujet de la commission parlementaire, M. Péladeau s'est contenté de déclarer qu'il «va être présent, jeudi et vendredi, et on discutera des enjeux au moment approprié».

Andrew Ladd s'attend à un accueil délirant à Winnipeg

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La Presse Canadienne


Passant d'une ville qui ne s'intéressait guère au hockey à une véritable ville de hockey, le capitaine des Thrashers d'Atlanta, Andrew Ladd, sait pertinemment que sa vie est sur le point de changer.

Mais il reconnaît d'emblée qu'il ne sait pas trop à quoi s'attendre dorénavant que l'équipe va s'implanter à Winnipeg.

«Ça va possiblement être plus gros que ce que la plupart des gens pensent», a confié
Ladd à La Presse Canadienne, mardi.

L'ailier âgé de 25 ans, natif de Maple Ridge, en Colombie-Britannique, a dominé la colonne des marqueurs des Thrashers, la saison dernière, et il s'attend à ce que la pression d'évoluer dans un marché canadien soit beaucoup plus forte.

Ladd peut se prévaloir du statut de joueur autonome avec restrictions, mais il a dit ne pas croire que la déménagement de la concession affecte le déroulement des négociations.

Winnipeg devra faire salle comble, prévient Bettman

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La Presse Canadienne
Winnipeg


La dure réalité financière de la LNH occupait déjà l'avant-scène, mardi, au moment où Winnipeg accueillait une nouvelle concession à bras ouverts.

Le commissaire de la LNH, Gary Bettman, a indiqué clairement que la concession devra faire salle comble dans son amphithéâtre de 15 015 sièges afin de boucler son budget.

«Ça n'ira pas très bien, à moins que l'amphithéâtre soit rempli à tous les matchs», a mentionné Bettman.

True North Sports and Entertainment a laissé savoir que la fourchette de prix des billets variera entre 39 et 129 $.

Les nouveaux propriétaires ont comme objectif de vendre 13 000 abonnements avant que les membres du bureau des gouverneurs de la LNH n'approuvent la délocalisation de la concession à Winnipeg, le 21 juin.

Winnipeg réintègre les rangs de la LNH au moment où le plafond salarial va augmenter à 62 millions $ US, la saison prochaine.

Le montant minimum que chacune des équipes sera autorisée à dépenser, le plancher salarial, comme on dit, se chiffrera à environ 42 millions $.

Québec: holà!

Bettman savait que la question viendrait et il était prêt à y répondre. Dès qu'un journaliste a évoqué la situation de Québec, qui ne ménage pas les efforts afin de réaccueillir elle aussi une concession de la LNH, il y est allé d'une mise en garde.

Le commissaire a été fidèle au discours qu'il répète inlassablement, dès qu'il est question de délocation probable d'une concession au Canada. Il ne veut pas que le niveau d'espérance des villes intéressées parte en spirale.
Bettman a relevé que dans le dossier des Coyotes de Phoenix, il n'a pas apprécié les rumeurs de délocalisation, aucunement fondées selon lui, qui ont affecté l'équipe, au moment où elle se préparait en vue des séries.

«Je deviens très grincheux et mécontent quand on suscite des attentes là où on ne devrait pas.»

Il a réitéré que la LNH ne souhaite jamais délocaliser des concessions et qu'elle met tout en oeuvre afin de solidier chacune d'entre elles qui éprouveraient des difficultés.

Pas le choix

Dans le cas des Thrashers, qui ont épongé des pertes financières importantes ces dernières années, Bettman a réitéré que la ligue n'a pas eu le choix de quitter.

«Nous n'apprécions pas de délocaliser des concessions, a-t-il répété. Mais aucun acheteur de la place ne s'est manifesté. Quand les propriétaires d'Atlanta ont indiqué leur volonté de vendre à tout prix, nous avons alors commencé à regarder à l'extérieur.

«Ce n'est pas de gaieté de coeur que nous quittons Atlanta, a repris Bettman. La question n'a jamais été de savoir si Winnipeg était meilleure qu'Atlanta. La décision de déménager à Winnipeg a été prise uniquement après que les propriétaires d'Atlanta eurent décidés de vendre, même si ça impliquait que l'équipe doive quitter la ville.»

À Atlanta, le président de l'équipe, Don Waddell, a argué qu'il y a encore de l'espoir qu'on puisse sauver les Thrashers, avant que la vente ne reçoive l'approbation du bureau des gouverneurs, le 21 juin.

Il faudrait un miracle, compte tenu que Atlanta Spirit, qui est également propriétaire des Hawks d'Atlanta de la NBA et qui gère le Philips Arena, a été incapable de trouver preneur depuis plusieurs années.