mardi 31 mai 2011

Les Canucks dans le sillon du Canadien de 1993 ?

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/05/20110531-015422.html


Les amateurs de hockey de Vancouver sont en liesse. Non seulement leurs Canucks bien-aimés sont de la finale de la coupe Stanley, mais pour la première fois à leur troisième participation au grand spectacle de fin de saison de la Ligue nationale, leur équipe est grande favorite.
 
Les partisans des Canucks n’accepteront rien de moins que la coupe Stanley. Ils attendent ce moment depuis 40 ans.Une défaite effacerait tout le travail accompli par leur formation pour se rendre en finale.
Pour eux, les conquêtes du trophée du Président, accordé aux champions du classement général, et du trophée Clarence Campbell, remis aux champions de l’Ouest dans les séries, ne veulent rien dire.
 
C’est l’année des Canucks, c’est la coupe ou rien.
S’ils arrivent à leurs fins, les Canucks deviendront la première équipe canadienne, depuis le Canadien en 1993, à remporter le Saint Graal du hockey.
 
Équipe Cendrillon
Le Shawiniganais d’origine Martin Gélinas, qui a connu une belle carrière de 19 saisons dans la Ligue nationale, était avec les Canucks lorsqu’ils sont passés à une victoire de la coupe, en 1994.
« On était entrés dans les séries par la porte arrière (septièmes dans l’Ouest avec 87 points) », se rappelle-t-il.
 
« Mais on avait de bons joueurs comme Trevor Linden, Sergio Momesso, Kirk McLean et Pavel Bure.
« Geoff Courtnall et Bure avaient marqué de gros buts qui nous avaient permis d’éliminer les Flames de Calgary au premier tour.
 
« Cette victoire nous a fait croire qu’on pourrait faire quelque chose de bien dans les séries. On gagnait en confiance d’un match à l’autre.
« On n’avait pas vraiment de pression parce que les experts nous voyaient comme les négligés. »
 
Après avoir éliminé les Flames en sept matchs, grâce à ce but de Bure en prolongation, les Canucks ont pris la mesure des Stars de Dallas et des Maple Leafs de Toronto, dans les deux cas en cinq rencontres.
En finale, les Canucks se sont retrouvés face aux Rangers de New York qui, comme les Canucks cette année, étaient vus comme l’équipe à battre.
 
« C’était à l’époque où il n’y avait pas de plafond salarial », reprend Gélinas.
« Les Rangers avaient dépensé beaucoup pour aller chercher Mark Messier, Glenn Anderson et Kevin Lowe.
« Mais on leur en avait donné pour leur argent. »
 
Satané poteau !
Dans les dernières secondes du septième match, au Madison Square Garden, Nathan Lafayette tira sur le poteau avec un recul d’un but. Bure avait raté aussi une belle chance de marquer.
 
Le but que personne n’a vu
Gélinas est passé près à nouveau de remporter la coupe une dizaine d’années plus tard, cette fois avec les Flames de Calgary.
 
En fait, les Flames auraient dû la gagner. Son équipe étant en avance 3 à 2 dans la série qui l’opposait au Lightning de Tampa Bay, Gélinas marqua ce qui aurait dû être le but victorieux dans la sixième rencontre.
 
Le gardien Nikolai Khabibulin avait fait l’arrêt, mais sa jambière droite était derrière la ligne rouge. Le jeu s’était déroulé à une vitesse telle que personne ne s’en est aperçu.
Seule une caméra d’un réseau de télévision américain a capté la scène. L’image n’a été décortiquée qu’après le match, mais ça n’a rien changé.
 
« Quand on nous en a informé, notre entraîneur Darryl Sutter nous a dit d’effacer ça de notre mémoire et de porter toute notre concentration sur le septième match », continue Gélinas.
Le Lightning a défait les Flames 2 à 1 pour remporter la première coupe de son histoire.
C’était tourner le fer dans la plaie.
 
« J’ai donné ce que j’avais », dit Gélinas en pensant à son fameux but.
« On avait encore la chance de gagner la série après l’incident survenu dans le sixième match, mais on a perdu. »
Les gens de Calgary n’ont pas oublié.
« Des personnes viennent me dire, quand elles m’aperçoivent, qu’on a gagné la coupe cette année-là. »
Comment se sent un joueur qui passe près de la coupe, sans la gagner ?
 
« La déception augmente avec l’âge », répond Gélinas.
« Quand j’ai remporté la coupe à 19 ans avec les Oilers d’Edmonton, en 1990, je me disais que j’aurais plusieurs autres chances de la gagner.
 
« Lorsque j’ai perdu avec les Canucks, je me suis dit qu’il me restait encore du temps. Quand je me suis retrouvé en finale avec les Flames, j’ai pensé que c’était peutêtre ma dernière chance de jouer pour la coupe. »
Gélinas faisait partie également de la première édition des Hurricanes de la Caroline à avoir participé à la finale en 2002.
Aujourd’hui, comme le chantait Jean Gabin, Gélinas sait qu’on ne sait jamais.

« Dans mon rôle de directeur du développement des joueurs avec les Predators de Nashville, mentionne-t-il, je répète aux jeunes de saisir leur chance quand elle se présente, car on ne sait jamais lorsqu’elle repassera. »

Bruins c. Canucks - Burrows nage en plein bonheur

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VANCOUVER - Alexandre Burrows brûle d’impatience de participer demain soir à un premier match en finale pour la coupe Stanley.
« Je ne réalise pas encore que nous sommes rendus en finale, qu’il ne nous manque que quatre victoires pour réaliser le rêve de tout hockeyeur. J’ai tellement hâte que ça commence », disait-il hier midi dans le vestiaire de l’équipe locale au Rogers Arena.
Si les Canucks sont rendus là, ils doivent une fière chandelle à ce joueur originaire de Pincourt qui a su enregistrer le but victorieux lors du septième match de la ronde initiale contre les Blackhawks.
« Il me semble que ça fait bien longtemps que j’ai marqué ce but important. On a bien raison de dire que les séries, c’est comme un marathon. »
L’attaquant de 30 ans totalise sept buts et sept mentions d’aide en 18 matchs dans les présentes séries.
« Il faudra maintenant apprendre à marquer des buts contre Tim Thomas, un gardien qu’on n’affronte pas souvent, a raconté Burrows. On va prendre le temps de bien analyser ses forces et faiblesses.
« C’est difficile d’affronter une équipe qu’on voit une fois par année. Thomas représente un tout nouveau défi pour nous. À l’instar de tous les gardiens, il ne doit pas apprécier avoir de la circulation devant lui. »
Thomas montre une fiche à vie de 3-0 face aux Canucks, avec deux jeux blancs.
Heureux comme un poisson dans l’eau
Burrows se sent plus que jamais privilégié de compléter une ligne d’attaque avec les jumeaux Henrik et Daniel Sedin.
« Ce sont des joueurs tellements intelligents et rusés, a-t-il souligné. Ils savent où se trouver sur la glace. Ils me font penser à des dauphins.
« Ils se repèrent sur la patinoire en poussant des cris. C’est vraiment spécial. Ma tâche consiste à foncer au filet afin de pouvoir compléter leurs jeux. »
 
Un exemple de persévérance
 
Alain Vigneault est l’un des plus grands fans de Burrows.
« Ce gars-là est parti de si loin. Il n’a pas été repêché, a-t-il rappelé. Il a dû passer deux saisons dans la Ligue de la côte de l’Est avant de se retrouver avec le Moose du Manitoba. Alexandre ne l’a pas eu facile. C’est une belle histoire de persévérance. »
Burrows vient de connaître des saisons de 28, 35 et 26 buts avec les Canucks. En raison de sa fougue, il est l’un des joueurs les plus populaires auprès des partisans.
Son style de jeu a évolué, son nombre de minutes de pénalité ayant diminué à chaque saison, même s’il demeure hargneux et combatif.
« Mes succès ne m’ont pas changé une miette », a précisé Burrows.
« Je reste le même gars, qui adore la vie et le hockey. »

Les Thrashers à Winnipeg: Bergeron, Boucher et Julien se réjouissent

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201105/20/01-4401254-les-thrashers-a-winnipeg-bergeron-boucher-et-julien-se-rejouissent.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4403302_article_POS5




(Tampa Bay) Pendant que le Lightning et les Bruins bataillaient pour prendre les devants dans la finale d'association qui oppose les deux équipes, la nouvelle du transfert imminent des Thrashers d'Atlanta à Winnipeg a déferlé à Tampa comme dans tous les coins et recoins de la LNH.

Selon le collègue Stephen Brunt, du Globe and Mail, l'annonce de la vente des Thrashers au groupe True North et du déménagement à Winnipeg serait confirmée en début de semaine prochaine par la LNH.

Présent au match Bruins-Lightning à Tampa, le commissaire Gary Bettman est demeuré loin des journalistes. On l'a toutefois aperçu à la télé alors que la nouvelle déferlait sur les médias sociaux. Les yeux rivés sur son téléphone intelligent, il hochait la tête négativement. Plusieurs collègues proches du dossier ont ensuite indiqué sur Twitter que si le dossier de la vente et du transfert des Thrashers suivait son cours, il était prématuré de conclure qu'il était réglé.
Conclu ou non, ce dossier a fait réagir les Québécois des deux équipes.

«Le hockey est notre sport national et j'espère vraiment que nous reverrons des équipes à Winnipeg et à Québec. Ce sont deux bonnes villes de hockey», a indiqué l'entraîneur-chef des Bruins.

«On veut revoir du hockey à Québec et ailleurs au Canada, c'est certain. Mais je veux d'abord et avant tout que la LNH s'installe dans des marchés où le hockey va marcher. Nous sommes installés dans une ville qui n'est pas naturelle pour le hockey, ça ne nous empêche pas de compter sur des partisans passionnés et d'avoir une organisation solide. C'est ce qui compte le plus à mes yeux», a ajouté Guy Boucher.

Le Québécois Patrice Bergeron avait des sentiments partagés. «C'est plate pour les fans d'Atlanta, mais c'est un très bon coup pour les gens de Winnipeg. Étant originaire de Québec, c'est évident que je milite d'abord pour ma ville et que si les Thrashers vont à Winnipeg et que les Coyotes restent à Phoenix, ça retardera notre dossier. Mais pour l'instant, il n'y a pas de Colisée. Ça nous donne le temps de le bâtir et de trouver l'équipe qui va s'y installer», a ajouté Bergeron.

Favoris pour tout rafler, les Canucks

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Après 82 matchs de saison régulière et 18 parties en séries éliminatoires, voici les Canucks de Vancouver et les Bruins de Boston face à face en finale de la Coupe Stanley.

Une finale qui fait oublier le fait que les deux équipes étaient à un but d'une élimination dès la première ronde. Boston a éliminé le Canadien en prolongation lors du septième match alors que Vancouver a fait de même aux dépens des Blackhawks de Chicago, qui ont effacé un déficit de 0-3 avant de voir Alex Burrows anéantir cette remontée en prolongation lors de la partie décisive.

Cette finale pourrait couronner les Canucks pour la toute première fois en 41 saisons dans la LNH. Quarante-et-une saisons au cours desquelles ils se sont faufilés en finale à deux reprises, s'inclinant deux fois contre des équipes de New York: les Islanders en 1982, les Rangers en 1994.

Jamais deux sans trois? Non! Avantagés à plus d'un point de vue, les Canucks partent favoris et la troisième fois devrait être la bonne pour la troupe dirigée par Alain Vigneault.

Confinés dans le rôle des négligés, les Bruins ne donneront pas la Coupe sans offrir d'opposition. Loin de là. Ils sont en quête d'une sixième Coupe Stanley. Une première depuis que Bobby Orr, Phil Esposito, Ken Hodge et les autres membres de cette superbe équipe ont fait vibrer Boston en 1972. Cinq fois au cours des trente-neuf dernières années, les Bruins se sont hissés en finale. Des finales qu'ils ont perdues contre Philadelphie (1974), Montréal (1977 et 1978) et Edmonton (1988 et 1990). Les Bruins devront surmonter d'importants déficits et surtout sortir de leur grande torpeur en attaque massive pour éviter de voir la Coupe leur glisser entre les doigts pour la sixième fois de suite...
Daniel et Henrik Sedin... (Photo: Reuters) - image 2.0
Daniel et Henrik Sedin
Photo: Reuters
Attaque

De prime abord, les noms des frères Henrik et Daniel Sedin ajoutés à ceux de Ryan Kesler, Alex Burrows, Mason Raymond et Chris Higgins donnent l'impression que les Canucks et leurs 50 buts marqués en 18 matchs sont haut perchés devant les Bruins au chapitre de l'attaque. C'est faux! Car si on fait exception de l'attaque massive des Canucks - 16 buts en 60 occasions pour une efficacité de 28,3% -, les Bruins sont en avant partout. Ils totalisent 47 buts à cinq contre cinq, 17 de plus que Vancouver. Malgré une attaque massive anémique - 5 buts en 61 occasions (8,20%) et un tout petit sur la route en 26 occasions (3,8%) -, les Bruins ont marqué 55 buts en 18 matchs. Quatre l'ont toutefois été dans des cages désertes. Trois de plus que Vancouver.

Henrik Sedin domine les marqueurs avec 21 points (2 buts). Plus inquiétant encore pour les Bruins, il a récolté 12 de ces points (1 but, 11 passes) lors des 5 matchs de la finale contre San Jose. Au-delà des Sedin (Daniel affiche 16 points) et d'Alex Burrows (14 points), les Canucks comptent sur Ryan Kesler, qui a éliminé presque à lui seul les Predators de Nashville en deuxième ronde. Kesler (18 points) est l'épine dorsale de l'attaque des Canucks.

Dans le camp des Bruins, David Krejci domine la LNH avec ses 10 buts, 2 de plus que Daniel Sedin. Ses 17 points le placent sur un pied d'égalité avec Nathan Horton, marqueur des grandes occasions pour Boston. Il est le premier joueur de l'histoire à avoir enfilé deux buts gagnants dans un septième et décisif match (contre Montréal et Tampa Bay). Il compte trois buts gagnants et ses huit buts marqués en sept parties ont couronné des victoires de Bruins.

Très discret depuis le début des séries (3 buts, 6 passes), Milan Lucic n'est pas au mieux de sa forme. Blessé à un pied, il peine à patiner. Mais voilà le jeune leader des Bruins de retour à la maison, à Vancouver. Une motivation supplémentaire qui pourrait l'aider à éclore au bon moment...
Tim Thomas... (Photo Reuters) - image 3.0
Tim Thomas
Photo Reuters
Luongo contre Thomas

Avant de parler des défenseurs, il est impératif de parler des deux gardiens: Roberto Luongo et Tim Thomas.

Après avoir éliminé Pekka Rinne (candidat au trophée Vézina) en deuxième ronde,

Luongo pourrait répéter l'exploit aux dépens de Tim Thomas.
À l'image de la réputation de ses attaquants, Luongo part favori dans le duel qui l'oppose à Thomas. Les deux gardiens ont pourtant une moyenne identique de 2,29 buts accordés par match depuis le début des séries. Thomas a un léger avantage avec une efficacité de 92,9% (92,2% pour Luongo). Les deux gardiens totalisent deux jeux blancs. Thomas les a signés en finale d'association alors que Luongo les a obtenus contre Chicago et Nashville.

Si l'on se fie aux trois premières rondes, ce n'est pas le meilleur des deux gardiens qui l'emportera, mais celui qui limitera au minimum les cadeaux offerts aux adversaires. Avec des sorties hasardeuses, les deux gardiens ont été généreux plusieurs fois en séries. On doit s'attendre à voir les Bruins travailler près du filet de Luongo où, peut-être à cause de sa taille, il a accordé de vilains buts. Les Canucks convergeront eux aussi vers Thomas, qui est fort agile, mais qui a tendance à être incapable d'immobiliser les rondelles glissant autour de lui.

Thomas n'a accordé qu'un but aux Canucks en trois duels contre Vancouver en carrière. Tant mieux pour les Bruins et leurs partisans. La fiche de Roberto Luongo contre Boston (11-10-3) ne devrait toutefois pas inquiéter les Canucks et leurs partisans, car la majorité de ces matchs ont été disputés par les Islanders et les Panthers. Des équipes moribondes...
Zdeno Chara... (Photo: PC) - image 4.0
Zdeno Chara
Photo: PC
Défense

Les Bruins ont un candidat au trophée Norris en Zdeno Chara. C'est là le seul avantage de la troupe de Claude Julien aux dépens de celle d'Alain Vigneault. Car pour le reste, les Canucks sont en avant. Loin devant. Les duos composés de Kevin Bieksa et Dan Hamhuis, d'Alexander Edler et Sami Salo sans oublier celui de Christian Ehrhoff et Aaron Rome sont tous meilleurs que ceux des Bruins. Ehrhoff domine les défenseurs des deux équipes avec 2 buts et 11 points. Ses coéquipiers Bieksa (5 buts) et Edler (2 buts) le suivent avec 9 points.

Dans l'éventualité d'une blessure, Andrew Alberts (ancien des Bruins) et Keith Ballard sont des releveurs de premier plan. Si la Coupe Stanley se gagne cette année dans le cadre d'un duel de défenseurs, ce sont les Canucks qui gagneront.

Entraîneurs-chefs

Pour la première de fois de l'histoire, la finale de la Coupe Stanley opposera deux entraineurs-chefs francophones. Elle opposera aussi deux entraîneurs qui ont eu leur première chance dans les rangs juniors avec les Olympiques de Hull et leur première chance dans la LNH avec le Canadien de Montréal. Alain Vigneault et Claude Julien se connaissent bien. Ils sortent du même moule - défense d'abord, attaque structurée ensuite - et il sera intéressant de les voir batailler chacun derrière leur banc. Le plus grand défi de Vigneault sera d'assurer que les Sedin gardent, en finale de la Coupe Stanley, le rythme imposé en finale d'association. Celui de Claude Julien est très simple, mais pas facile à relever: faire fonctionner son attaque à cinq.
Manny Malhotra... (Photo: PC) - image 5.0
Manny Malhotra
Photo: PC
Impondérables

Déjà favoris, les Canucks renoueront avec Manny Malhotra en finale. Une blessure à un oeil a mis sa carrière en péril il y a deux mois. Le voilà à quatre victoires de soulever la Coupe Stanley et de voir son nom être gravé puisqu'il peut maintenant jouer et qu'Alain Vigneault l'utilisera sans doute. Ce retour en uniforme aidera la cause des Canucks.

Mais ce retour tout court servira de source de motivation de premier plan.
Après le Canadien en 1977 et les Flames de Calgary en 1989, les Canucks pourraient gagner la Coupe Stanley une année après la tenue des Jeux olympiques dans leur ville.

Une note historique qui n'a toutefois pas une grande valeur sur le plan sportif. Mais après avoir perdu trois matchs en première ronde, deux en deuxième et un seulement en finale d'association, les Canucks ne maintiendront sans doute pas la tendance pour balayer les Bruins. Mais ils devraient gagner une première Coupe Stanley... en cinq parties.

LES PRÉDICTIONS DE NOS EXPERTS

> Mathias Brunet: Vancouver en 6
> Philippe Cantin: Boston en 6
> François Gagnon: Vancouver en 5
> Marc Antoine Godin: Vancouver en 6
> Richard Labbé: Vancouver en 5
> Pierre Ladouceur: Vancouver en 5
> Réjean Tremblay: Vancouver en 7

Discrétion à Vancouver... pour le moment

http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201105/30/01-4404338-discretion-a-vancouver-pour-le-moment.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4404329_article_POS1




(Vancouver) Trois fanions! Deux accrochés aux fenêtres arrière d'un SUV et un autre flottant à l'arrière d'une petite sous-compacte hybride comme il y en a tant dans les rues de Vancouver.

On peut résumer à ces trois fanions aperçus lors de la course en taxi entre l'aéroport et le centre-ville, les seuls signes de la fièvre de la finale de la Coupe Stanley qui débute pourtant mercredi alors que les Bruins croiseront les Canucks au Rodgers Center.

Aucun risque de propagation de la fièvre au centre-ville non plus. Outre la bannière accrochée à l'avant de l'hôtel qui sert de quartier général à la LNH au coin Robson et Burrard et un bien timide «Go Canucks Go» scintillant au-dessus d'une distributrice de billets de transport en commun, rien, ou si peu, pour mousser la grande finale qui pourrait se traduire par la toute première conquête de la Coupe Stanley après 41 saisons des Canucks à Vancouver. Une ville qui est déjà très bien servie en fait de Stanley avec le parc magnifique qui borde le Pacifique.

Mais bon!

Même à la sortie du stationnement où les joueurs des Canucks garent leurs belles voitures, à peine dix chasseurs d'autographes faisaient le pied de grue. Il y en a deux, voire trois fois plus, un jour de semaine en pleine tempête de neige au Centre d'entraînement de Brossard. Pas de quoi donner raison à la CBC qui a dépêché le grand Peter Mansbridge et toute l'équipe du bulletin de fin de soirée The National pour appuyer la grosse équipe de Hockey Night in Canada...

«Attends les soirs de match, tu vas voir que ça brasse en ville. Ce n'est peut-être pas évident aujourd'hui, mais je t'assure que ça va débloquer», plaidait Alex Burrows avec une main sur le coeur.

On va le croire sur parole. Mais lundi, au centre-ville, ce ne sont pas Burrows et ses coéquipiers qui monopolisaient l'attention. Que non! C'était plutôt un forcené brandissant un sabre que les policiers ont gardé en joue avant de l'atteindre de plusieurs balles de caoutchouc et de le maîtriser après une course effrénée sur Robson, la rue Sainte-Catherine de Vancouver. On était loin du hockey et d'un éventuel défilé de la Coupe Stanley!

Congé salutaire

Loin de cette commotion susceptible de faire les nouvelles de faits divers bien plus que les manchettes sportives, les Canucks ont repris l'entraînement après un long congé de huit jours.

C'est long huit jours de congé entre deux séries. Mais est-ce trop long?
Manny Malhotra en point de presse, samedi.... (Photo: Reuters) - image 2.0
Manny Malhotra en point de presse, samedi.
Photo: Reuters

«Il n'y a jamais trop de congés, a répliqué l'entraîneur-chef Alain Vigneault. Deux journées auraient été correctes, neuf journées auraient été correctes. On en a eu huit: c'est parfait!»

Au cours de ces huit jours de congé, les Canucks ont pu panser leurs plaies et surtout renouer avec Manny Malhotra. Victime d'une blessure très sérieuse à un oeil - il a été atteint par une rondelle égarée le 16 mars dernier - Malhotra a reçu le feu vert des médecins un peu plus de deux mois après que tout le monde croyait sa carrière terminée ou à tout le moins sérieusement compromise.

À Vancouver, on est même convaincu qu'il pourrait être du premier match de la finale, mercredi.

Retour d'un miraculé

Le joueur de centre s'est entraîné avec ses coéquipiers et il partageait du temps d'utilisation en désavantage numérique en compagnie de Maxim Lapierre. Un signe que les collègues de Vancouver interprétaient comme un feu vert donné par Alain Vigneault.

«Il a connu un bon entraînement, on va voir comment il va se comporter demain. Il fait l'objet d'une évaluation quotidienne et on aura une décision à prendre», a indiqué Vigneault sans ouvrir son jeu.

«Je ne sais pas ce que les coachs décideront, mais je peux t'assurer que ce serait une très grosse nouvelle pour nous que Manny soit de retour, a mentionné Lapierre. Je n'ai jamais eu la chance de jouer avec lui. Même que sa blessure m'a sans doute donné l'occasion d'obtenir plus de temps de glace. Mais c'est tout un joueur de hockey. Un cheval au cercle des mises en jeu. Un gars important au sein de cette équipe et à l'intérieur de ce vestiaire. Un gars qui aidait le club quand il était blessé et dont le retour aurait un très gros impact sur tout le monde», a assuré l'ancien du Canadien qui prendra part à sa première finale de la Coupe Stanley en carrière et qui a bien hâte que ça commence...

Les Bruins débarquent à Vancouver reposés et polis

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(Vancouver) Tim Thomas et ses coéquipiers des Bruins de Boston se réveilleront à Vancouver, marid matin, où ils n'auront qu'une journée pour apprivoiser le décalage horaire avant de s'élancer en finale de la coupe Stanley face aux Canucks de Vancouver. Après un congé de deux jours décrété par Claude Julien après l'élimination du Lightning de Tampa Bay en finale de l'Association Est, les Bruins se sont entrainés en matinée lundi avant d'effectuer l'envolée Boston-Vancouver.

«Après 18 matchs de séries éliminatoires et une finale qui a duré sept matchs, ce n'est pas la journée supplémentaire de congé que j'ai accordée aux joueurs les plus sollicités qui minera leur forme physique», a indiqué Julien aux collègues de Boston dont les propos ont été recueillis sur NHL.com.

L'entraînement de lundi s'est déroulé sous une chaleur pesante à Boston. Une chaleur qui a ramolli la patinoire rendant plus ardus les exercices réclamés par l'entraîneur. «Ce n'a pas été de tout repos, c'est vrai, mais nous sommes mieux de nous y faire», a lancé Julien. Il faut dire que si la série se rend à la limite, la coupe sera soulevée le 15 juin...

Bien qu'ils soient champions dans l'Est, qu'ils affichent un même dossier de 12 victoires et six revers et qu'ils aient marqué 58 buts, huit de plus que leurs adversaires en grande finale, les Bruins n'avaient que des éloges à défiler sur le compte des Canucks.
«Ils sont champions de la saison régulière. Ils comptent sur des joueurs de premier plan à toutes les positions et il est clair que nous devrons les respecter au plus haut point et prendre les matchs un à la fois», a laconiquement indiqué le Québécois Patrice Bergeron.

«C'est une équipe talentueuse et rapide qui sait profiter des moindres écarts de conduite avec l'efficacité de son attaque à cinq», a souligné Claude Julien qui fera appel à une agressivité contrôlée de la part de ses joueurs comme l'a clairement indiqué le vétéran défenseur Dennis Seidenberg.

«Il faudra trouver le moyen de nous imposer physiquement tout en évitant d'être stupides dans la façon de le faire. Cette équipe est certainement l'une des meilleures pour s'échanger la rondelle. Ils ont une façon bien à eux de toujours avoir où les autres se trouvent sur la patinoire et à les rejoindre avec des passes pas toujours évidentes. Ils sont des champions du «give and go» et nous devrons être aux aguets», a insisté le défenseur allemand qui domine son équipe depuis le début des séries avec une utilisation moyenne de 28:22, soit une moyenne de cinq secondes supérieure à celle de son capitaine et partenaire de jeu Zdeno Chara.


HockeyLNH - Winnipeg - Une question d'heures

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/05/30/003-atlanta-winnipeg-lundi.shtml


Les Thrashers d'Atlanta ont vraiment les deux pieds dans la porte de sortie. Selon CBC, la délocalisation de l'équipe vers Winnipeg sera officialisée mardi.
Les acheteurs True North Sports and Entertainment auraient avisé CBC de préparer ses effectifs techniques lundi soir en vue d'une annonce tôt mardi.
Le groupe True North négocie depuis plusieurs jours avec les propriétaires des Thrashers, Atlanta Spirit. Malgré de nombreuses rumeurs, les deux clans refusent de confirmer la vente de l'équipe.
Plusieurs sujets légaux resteraient cependant à finaliser pour conclure le pacte. Le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, a d'ailleurs déclaré que « rien n'est encore conclu ».
True North est déjà propriétaire du Moose du Manitoba de la Ligue américaine ainsi que du MTS Centre, qui deviendrait le domicile de l'équipe de la LNH. Des réparations ont été faites à l'aréna durant l'année pour la mettre au niveau des normes du circuit Bettman.
Une telle annonce mettrait un terme à des mois de rumeurs envoyant parfois les Coyotes de Phoenix, parfois les Thrashers, à Winnipeg. Ce serait donc le retour d'une franchise de la LNH dans la capitale manitobaine, désertée par les Jets, qui ont quitté Winnipeg pour l'Arizona en 1996.
Les Thrashers éprouvent de sérieux problèmes financiers. Le consortium Atlanta Spirit, son actuel propriétaire, cherche de nouveaux partenaires financiers qui tardent à se manifester.

HockeyBruins - Canucks - De l'aide inespérée

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/05/30/004-bruins-canucks-prix.shtml


La fièvre des séries s'empare de Vancouver alors que la finale de la coupe Stanley est sur le point de commencer.
Les joueurs des Canucks, au repos depuis près d'une semaine, ont disputé un match intra-équipe, lundi, histoire de conserver les réflexes et la forme en attendant les Bruins.
C'est maintenant confirmé, l'attaquant Manny Malhotra sera de la formation pour le premier match, mercredi. Il s'agit presque d'un miracle, car il y a à peine quelques semaines, on écartait toute possibilité d'un retour au jeu cette année.
À un certain moment, les médecins croyaient qu'il pourrait peut-être ne plus jamais jouer, ou même pire, qu'il pourrait subir une perte de la vision.
Malhotra a été blessé à l'oeil gauche après avoir reçu une rondelle au visage le 16 mars dernier dans une rencontre contre l'Avalanche du Colorado. Après cette blessure, il est resté dans l'entourage de l'équipe, même pour les matchs à l'étranger. Il est ainsi devenu une source d'inspiration pour ses coéquipiers.
La question sera maintenant de savoir s'il pourra compenser deux mois passés loin de l'action. Quoi qu'il en soit, il a un rôle de meneur dans le vestiaire, même s'il n'en est qu'à sa première saison avec les Canucks.
Spécialiste des mises en jeu, il sera un atout important en grande finale, là où chaque détail compte.
La crème de la LNH à prix d'or
Ceux qui désirent assister au premier match de finale à Vancouver en 17 ans doivent être prêts à délier les cordons de leur bourse. Certains revendeurs de billets demandent le gros prix.
En fait, des billets ont trouvé preneur pour 2500 $, mais il s'agit de places à la première rangée et au milieu de la patinoire. Ces prix sont comparables à ceux du match de la médaille d'or au hockey masculin lors des Olympiques il y a un peu plus d'un an.
D'autres vont jusqu'à demander 4000 $ pour une paire de billets, mais rien n'indique qu'ils obtiendront cette somme. À Boston aussi, les prix ont monté. Une paire de billets était même offerte pour 16 000$ sur un site Internet d'enchères, lundi.
Vancouver Pizza
La chaîne Boston Pizza a décidé de se ranger du côté des Canucks, en Colombie-Britannique à tout le moins. Les 62 restaurants de la province seront temporairement renommés Vancouver Pizza. La compagnie a pris cette décision aussitôt que les Bruins l'ont emporté contre le Lightning.
Des étiquettes seront collées sur toute la marchandise qui quittera le restaurant et de nouvelles enseignes recouvreront les devantures des restaurants.
Le pari des maires
Pendant ce temps, les maires des deux villes finalistes tentent de déterminer en quoi consistera le traditionnel pari.
Plusieurs idées ont été soumises, comme lutter contre un ours ou nager avec un épaulard. Raser la tête du maire perdant et acheter des abonnements pour des jeunes défavorisés de la ville gagnante sont d'autres suggestions.

Finale de la coupe Stanley, les revendeurs en ligne s'en donnent à coeur joie

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8722/manchettes/tslh/nhl/2011-05-30/finale-de-la-coupe-stanley,-les-revendeurs-en-ligne-sen-donnent-a-coeur-joie-/


NHL.com : rapporte que cette année, les revendeurs de billets en ligne de la finale de la coupe Stanley devraient faire des affaires d'or. Apparemment, le marché atteindrait 2000$ et plus pour l'obtention d'un seul billet pour avoir la chance d'assister à une partie de la finale de la coupe Stanley entre les Bruins de Boston et les Canucks de Vancouver.

Le prix moyen sur internet actuellement pour assister à une partie à Boston est d'environ 1100$ et de 1900$ pour assister à une partie à Vancouver.

Boston Pizza, impartial face à la course à la Coupe Stanley

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8728/rumeurs/de/transactions/tslh/boston%20bruins/2011-05-30/boston-pizza,-impartial-face-a-la-course-a-la-coupe-stanley/


ESPN.com : Boston Pizza a annoncé qu'il n'y aurait pas de restaurant avec l'identification Boston Pizza en Colombie-Britannique pour la période restante des séries éliminatoires.

En effet, les 62 restaurants Boston Pizza de la Colombie-Britannique ont été rebaptisés Vancouver Pizza au moment même ou les Bruins de Boston ont décroché leur place dans la course à la Coupe Stanley. Les enseignes des restaurants arborent maintenant le nom Vancouver juste en dessous du nom Boston, qui lui a été biffé. Cette campagne s'étendrait même jusqu'à l'affichage de la marque sur les écrans DEL de certains stades, en passant par les boites de pizza qui ont elles aussi été modifiées.

Boston fait donc un bon coup de publicité, en plus de démontrer son impartialité face à la course à la Coupe Stanley, tout en contentant les supporters.

Un jeune espoir signe avec les Red Wings

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8725/rumeurs/de/transactions/tslh/detroit%20red%20wings/2011-05-30/un-jeune-espoir-signe-avec-les-red-wings/


Hokej.cz : rapporte que les Red Wings de Détroit ont offert un premier contrat professionnel au joueur de centre de la LHJMQ, Andrej Nestrasil. L'attaquant sera sous contrat pour au moins les trois prochaines saisons.

Il fut le troisième choix au repêchage des Red Wings lors du repêchage de 2009. Cette année avec la formation des Rocket de l'île du Prince Édouard, Andrej Nestrasil, a amassé un total de 70 points en 58 parties.

Boyd et Dawes quittent le tricolore

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8729/rumeurs/de/transactions/tslh/montreal%20canadiens/2011-05-31/boyd-et-dawes-quittent-le-tricolore/


hcbarys.kz : rapporte que les attaquants Nigel Dawes et Dustin Boyd ont décidé de faire le grand saut vers l'Europe. Les deux attaquants se sont entendus avec la formation de Barys Astana au Kazakhstan. La formation professionnelle fait partie de la division Chernyshev dans la KHL.

Dawes, 26 ans, aura donc joué un grand total de 212 parties dans la ligue nationale de hockey. Avec les Bulldogs d'Hamilton cette saison, Dawes n'aura joué que 19 parties en saison régulière pour y récolter 28 points. En série, il a amassé un total de 22 points, dont 14 buts en 20 rencontres.

Boyd aura de son côté joué 220 parties avec les Flames de Calgary, Prédateurs de Nashville et Canadiens de Montréal. L'attaquant a joué la saison 2010-2011 avec les Bulldogs d'Hamilton ou il a récolté un total de 16 points en 20 parties en séries éliminatoires et 29 points en 47 parties dont 20 buts en saison régulière.

Laich veut rester à Washington, Wisniewski à Détroit? et les infos

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2922:laich-veut-rester-à-washington-wisniewski-à-détroit?-et-les-infos&Itemid=18


Lundi, 30 Mai 2011
Par HOCKEY30.com
- Alors que le nom de Brooks Laich circule à Montréal, ce dernier a affirmé aujourd'hui qu'il aimerait vraiment rester avec les Capitals.
- L'attaquant serait même prêt à accepter moins d'argent pour demeurer à Washington.
- Parions que son agent ne la trouve pas drôle, lui qui nous confiait il y a quelques semaine que son client n'irait pas en-dessous de 4 M$ par année sur le marché des joueurs autonomes.
- L'équipe de Winnipeg aurait-elle pu choisir un plus beau nom que le Moose du Manitoba? Nous recevons plusieurs courriels de nos membres qui semblent détester ce nom.
- Nous préférions aussi le nom des Jets. J'ai bien hâte de voir à quoi ressemblera le chandail du Moose.
- Le nom de James Wisniewski continue de circuler à Détroit.
- Malgré qu'il ait perdu 3 finales de suite (championnat du monde junior, finale de la OHL, finale de la Coupe Memorial), Dave Cameron reste un sérieux candidat pour entraîner les Sénateurs.
- Rappelons que Cameron est très proche du propriétaire des Sens, Eugene Melnyk.
- L'entraîneur-chef des Sea Dogs. Gerard Gallant, devrait aussi recevoir quelques appels. Si ce n'est pas cette année, on reverra assurément Gallant dans la LNH un jour, lui qui a déjà entraîné les Blue Jackets de Colombus.
- Dwayne Roloson veut absolument rester à Tampa Bay. À son âge, il ne veut pas encore déménager. Le gardien aimerait jouer une saison de plus avec le Lightning avant d'annoncer sa retraite. Steve Yzerman est-il sur la même longueur d'onde que son vétéran? À suivre...
- Les rumeurs de retraite concernant Simon Gagné sont fausses. Lui aussi aimerait être de retour avec le Lightning.
- Les Russes ne l'avoueront jamais, mais la KHL a de sérieux problèmes financiers. Gary Bettman doit avoir un petit sourire en coin...
- Les rumeurs continuent de circuler à l'effet que le DG des Thrashers, Rick Dudley, se ferait congédier. Il pourrait se faire remplacer par l'actuel directeur général du Moose du Manitoba, Craig Heisinger.
- On raconte aussi que l'actuel entraîneur-chef du Moose, Claude Noël, pourrait remplacer Craig Ramsay. À suivre...

Les Bruins enveloppent les Canucks de louanges avant de se rendre à Vancouver

http://www.nhl.com/ice/news.htm?id=564199

BOSTON - Les Bruins se sont entraînés à Boston pour la dernière fois, lundi, avant de se diriger à Vancouver où ils participeront à leur première finale de la Coupe Stanley depuis 1990.
Les Bruins, troisième têtes de série de l'Association Est, ne se sont frottés qu'une seule fois aux Canucks cette saison: un gain de 3-1 à Vancouver au cours duquel Tim Thomas a effectué 26 arrêts.
Mais les Bruins ne prendront pas pour autant à la légère l'équipe numéro un de la LNH en saison régulière.
Les Canucks ont dominé la ligue avec une récolte de 117 points, 10 de plus que son plus proche poursuivant.
«Les Canucks sont les champions du Trophée du Président, ils forment une excellente équipe, ayant beaucoup de profondeur et bien dirigée. Nous devrons nous concentrer sur ce que nous devons faire», a commenté le vétéran ailier Mark Recchi.
«Si chacun d'entre nous s'applique à faire ce qu'il doit faire, nous aurons du succès comme équipe.
«Notre personnel d'entraîneurs nous fera des recommandations basées sur les tendances des Canucks. Le personnel des Canucks fera de même. Au bout du compte, l'équipe qui sera la plus affamée et qui jouera le plus à la hauteur de son potentiel l'emportera», a argué Recchi.
La finale s'amorcera mercredi, soit huit jours après que les Canucks eurent remportés le titre de l'Association Ouest en cinq matchs contre les Sharks de San Jose.
«C'est une belle machine de hockey, avec énormément de profondeur, a repris le joueur de centre Patrice Bergeron. Ils sont bons à toutes les positions. Ce sera une série difficile, nous le savons tous. Nous aborderons les matchs un à la fois, à commencer par celui de mercredi.»
Les Canucks ont plusieurs atouts, particulièrement les jumeaux Daniel et Henrik Sedin, l'attaquant Ryan Kesler et le gardien Roberto Luongo. Ensemble, les jumeaux totalisent 37 points, et Daniel a huit buts.
«Vous ne devez pas préconiser une approche trop combative avec les Sedin parce que si vous le faites, ils vont vous glisser entre les mains et c'est ce qu'ils veulent, a analysé le défenseur Dennis Seidenberg. Ils sont excellents pour se repérer sur la glace, à l'aide de courtes passes. C'est comme s'ils avaient des yeux tout autour de la tête. C'est la raison pour laquelle nous devrons être vigilants en défense, et ne pas patiner tout partout sur la glace.»
Il n'y a pas que les Sedin. Kesler peut également donner des maux de tête aux Bruins. L'Américain, natif du Michigan, a 18 points à son dossier en séries.
«Les Canucks sont talentueux et rapides, a avancé l'entraîneur Claude Julien. Leurs défenseurs sont versatiles. Ils affectionnent beaucoup de faire des montées jusqu'en zone adverse. C'est une excellente équipe qui peut vous faire mal en supériorité numérique. Ce sera important pour nous de jouer un style physique, mais plus encore de rester disciplinés.»

L'attaque et les unités spéciales favorisent les Canucks lors de la finale

http://www.nhl.com/ice/news.htm?id=564211

Monday, 05.30.2011 / 7:04 PM / Nouvelles
Canadian Press
Après avoir survécu à des séries difficiles jusqu'ici, les Canucks de Vancouver et les Bruins de Boston croiseront finalement le fer lors de la finale de la Coupe Stanley.
Les Canucks ont laissé filer une avance de 3-0 dans la série avant de remporter le match no 7 contre les Blackhawks de Chicago, au premier tour, alors que les Bruins ont perdu les deux premiers matchs de leur série contre le Canadien à Boston, avant de gagner le match no 7 en prolongation.
Après avoir survécu à ces dangereux obstacles, les deux équipes ont joué avec plus de confiance et elles s'affronteront maintenant en finale.
Devant le filet, les deux équipes comptent sur des gardiens de haut niveau et qui affichent des statistiques semblables. Tim Thomas des Bruins et Roberto Luongo des Canucks ont tous les deux une moyenne de buts alloués de 2,29. Thomas a légèrement l'avantage au niveau du pourcentage d'arrêt — ,929 pour Thomas contre ,922 pour Luongo.
En défense, le duo des Bruins composé de Zdeno Chara et Dennis Seidenberg a été excellent depuis le début des séries. Chara domine avec un différentiel de plus-11, tandis que Seidenberg occupe le premier rang au chapitre des tirs bloqués avec 55.
Du côté des Canucks, la paire Kevin Bieksa-Dan Hamhuis a aussi accompli du bon travail. Les Canucks ont l'avantage de compter sur plusieurs défenseurs mobiles, puisque Sami Salo, Alexander Edler et Christian Ehrhoff excellent tous aussi à ce niveau. Ehrhoff et Aaron Rome devraient être en mesure d'effectuer un retour au jeu pour le premier match de la finale et sinon, les Canucks pourront toujours faire appel à Keith Ballard.
Les Bruins ne comptent pas dans leurs rangs d'attaquant qui peut changer à lui seul le cour d'une série. Ils ont plutôt quatre trios d'attaquants qui travaillent fort et qui excellent autant à l'attaque qu'en défense. David Krejci, avec 10 buts, et son compagnon de trio Nathan Horton, qui a inscrit le filet vainqueur lors de deux matchs no 7, sont ceux qui ont été les plus productifs jusqu'à maintenant.
Là où les Canucks ont un avantage sur les Bruins, c'est à l'attaque. Henrik et Daniel Sedin ont récolté respectivement 21 et 16 points depuis le début du bal printanier. Mais la force de l'équipe, c'est la deuxième unité composée de Ryan Kesler, Mason Raymond et Chris Higgins. Ce trio peut produire offensivement et neutraliser les meilleurs éléments adverses. Le retour au jeu de Manny Malhotra devrait également rendre encore plus dangereux le troisième trio de l'équipe.
Les Canucks possèdent aussi un avantage sur les unités spéciales. Les Bruins ont inscrit cinq buts en 61 occasions (8,2 pour cent) depuis le début des séries en avantage numérique. Pour leur part, les Canucks convertissent 28,4 pour cent de leurs occasions. Les deux équipes connaissent des ratés en infériorité numérique. Les Bruins écoulant 80,6 pour cent de leurs punitions et les Canucks 79,4 pour cent.
Cependant, les tendances peuvent changer d'une série à l'autre. Un joueur peut élever son niveau de jeu et faire la différence. Lors du seul match entre les deux équipes cette saison, Milan Lucic, natif de Vancouver, a récolté un but et deux aides dans une victoire de 3-1 des Bruins. S'il est à son meilleur contre les Canucks, il pourrait devenir très dangereux.
Toutefois, les Canucks ont terminé premier au classement général et ont remporté le trophée des Présidents. Historiquement, l'équipe qui termine première remporte la coupe Stanley 38 pour cent du temps. Il y a aussi le facteur olympique. Le Canadien a remporté la coupe Stanley en 1977 après avoir accueilli les Jeux olympiques en 1976. Les Flames de Calgary ont fait de même en 1989. Vancouver a présenté les Jeux l'an dernier.

EA Sports prévoit une victoire des Canucks en 7 matchs

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/ea-sports-prevoit-une-victoire-des-canucks-en-7-ma-78862.html


(CKAC Sports) - Au terme d'une série de matchs simulés, la compagnie de jeux vidéo EA Sports prédit une victoire des Canucks de Vancouver face aux Bruins de Boston en finale de la Coupe Stanley.
Si vous balayez ce genre de prédictions du revers de la main, dites-vous qu'EA Sports a prédit avec justesse 13 de 14 séries depuis le début de ces tests.

EA Sports avait même prévu en octobre dernier que les Canucks remporteraient le Trophée du Président et qu'ils batailleraient avec les Bruins pour le droit de soulever la coupe !

La compagnie a précisé que les Canucks allaient remporter la série en sept matchs, en gagnant le duel ultime 3-1, et que le gardien Roberto Luongo allait être le récipiendaire du trophée Conn Smythe remis au joueur par excellence des séries.

Avec NHL.com

La vente des Thrashers annoncée mardi?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/la-vente-des-thrashers-annoncee-mardi-78890.html


(CKAC Sports) - Les partisans des Jets l'attendent, ceux des Thrashers la craignent, mais l'annonce officialisant la vente de la concession d'Atlanta à True North serait annoncée incessamment.
Selon TSN, les avocats de True North auraient déjà signé l'entente, alors que ceux d'Atlanta Spirit pourraient eux aussi apposer leurs signatures dès mardi.

S'ils ne signent pas l'entente, l'annonce serait repoussée à jeudi.

CBC rapporte quant à elle que la police de Winnipeg a été prévenue qu'un gros rassemblement aurait lieu au centre-ville de Winnipeg mardi matin.

Un autre universitaire se joint aux Sens

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/un-autre-universitaire-se-joint-aux-sens-78907.html


OTTAWA - Les Sénateurs d'Ottawa ont annoncé la mise sous contrat l'attaquant Louie Caporusso pour deux ans.
Il s'agit d'un premier contrat professionnel pour le natif de Toronto.

Caporusso a complété sa quatrième et dernière saison universitaire avec les Wolverines de l'Université du Michigan de la Central Collegiate Hockey Association, avec qui il a remporté le championnat de la NCAA, le Frozen Four, le 9 avril dernier.

En 41 parties la saison passée, il a récolté 11 buts et 20 mentions d'assistance. En quatre années avec les Wolverines, il a amassé 144 points (68 buts, 76 aides) en 160 matchs.

Réclamé par les Sénateurs en troisième ronde (90e au total) au repêchage amateur de la LNH en 2007, Caporusso a participé au camp annuel de perfectionnement de l'équipe à chacune des quatre dernières années.

Les Canucks confirment l'embauche de Steven Anthony

  

VANCOUVER - Steven Anthony a paraphé un contrat avec les Canucks de Vancouver, lundi, après avoir été un des contributeurs de la conquête de la Coupe Memorial des Sea Dogs de Saint-Jean.
L'ailier natif de Halifax, âgé de 20 ans, a réussi 23 buts et amassé 37 passes en 61 matchs cette saison, dans la LHJMQ.

Il a cumulé un dossier de 66 buts et de 97 passes en 244 rencontres échelonnées sur quatre saisons des Sea Dogs.

Le choix de septième tour des Canucks en 2009 (187e au total) a pris part à un premier match hors-concours de la LNH, le 21 septembre dernier, à Calgary, récoltant quatre tirs au but.

Les Sea Dogs ont vaincu les Majors St.Michael's de Mississauga 3-1 en finale de la Coupe Memorial, dimanche.

Dans quelle division évoluera Winnipeg?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/dans-quelle-division-evoluera-winnipeg-78927.html


(CKAC Sports) - On s'attend à ce que la ligue nationale confirme demain le déménagement des Thrashers à Winnipeg.
Le problème c'est qu'il semble qu'il soit trop tard pour réorganiser les divisions de la ligue nationale et que les Jets pourraient jouer dans la division Sud-Est de l'Association de l'Est, du moins, pour la saison 2011-2012.

Winnipeg serait donc dans la même division que Washington, Tampa Bay, Caroline et la Floride!

C'est une situation qui est loin d'être idéale pour la nouvelle équipe qui devra se déplacer à 3 reprises dans chacune de ces 4 villes qui s'avèrent les plus loin géographiquement de Winnipeg.

Dans un monde idéal, les Jets évolueraient dans la division Nord-Ouest en compagnie des Oilers, Flames, Canucks et de l'Avalanche. Il faudrait donc sortir le Wild de cette division et les envoyer dans la division Centrale de l'Association de l'Ouest.

La ligue nationale aimerait sortir les Blue Jackets ou les Prédateurs de cette division dans le but de leur donner des rivalités géographiques plus naturelles. Par ailleurs, les Red Wings ont déjà fait savoir à la ligue nationale qu'ils aimeraient déménager dans l'Association de l'Est.

Géographiquement, le choix logique serait de déménager les Prédateurs dans la division Sud-Est en compagnie du Lightning, des Hurricanes, des Panthers et des Capitals. Les Prédateurs amélioreraient aussi leur situation au chapitre des fuseaux horaires. Plus tôt que de sauter deux fuseaux horaires lors de leurs déplacements sur la côte ouest du continent, ils n'auraient qu'une heure de différence avec les autres équipes de l'Association de l'Est.

Les nouvelles divisions pourraient donc ressembler à ceci :

Association de l'Est

Nord-Est

Montréal
Boston
Ottawa
Buffalo
Toronto

Atlantique

Philadelphie
Pittsburgh
New York (Rangers)
New York (Islanders)
New Jersey

Sud-Est

Nashville
Floride
Tampa Bay
Washington
Caroline

Association de l'Ouest

Centrale

Detroit
Minnesota
Chicago
St-Louis
Colombus

Nord-Ouest

Winnipeg
Calgary
Vancouver
Edmonton
Colorado

Pacifique

San Jose
Los Angeles
Anaheim
Phoenix
Dallas

Cliquez ici pour voir la carte géographique indiquant les villes actuelles de la ligue nationale.

Étant donné que la ligue nationale ne procèdera pas à la réorganisation de ses divisions avant l'année prochaine, il faudra surveiller de près le dossier des Coyotes de Pheonix qui pourrait venir influencer les décisions. Si les Coyotes devaient déménager à Québec, le scénario pourrait être bien différent.

Par contre, si les Coyotes demeurent à Pheonix, la LNH voudra peut-être déménager l'Avalanche dans la Pacifique. Ça pourrait permettre aux Stars de finalement se rapprocher de ses adversaires de division, eux qui doivent présentement constamment voyager jusqu'en Californie.
Un dossier à suivre.

Jeremy Filosa / CKAC Sports

Le départ de Kovalchuk a-t-il sonné la fin des Thrashers?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/le-depart-de-kovalchuk-a-t-il-sonne-la-fin-des-thr-78959.html


(CKAC Sports) - Alors que de plus en plus de signes pointent vers une annonce prochaine en ce qui concerne le déménagement des Thrashers d'Atlanta vers Winnipeg, l'un des co-propriétaires de l'équipe, Rutherford Seydel, a semblé résigné face à la possibilité de perdre sa formation.
«Je ne peux pas commenter sur l'état de la situation actuelle, a indiqué l'une des co-propriétaires des Thrashers d'Atlanta, Rutherford Seydel, au journaliste Jeff Hullinger de la station de télévision 11Alive News, lundi en fin de journée. Je peux seulement dire que je suis fier du travail accompli par mes partenaires et de l'argent investi par chacun pour garder l'équipe à Atlanta aussi longtemps que nous l'avons fait. Malheureusement, il n'y pas assez de gens comme nous à Atlanta, passionnés de hockey et qui pourraient permettre à l'équipe de demeurer à Atlanta. Je suis passionné par les Thrashers, j'ai des billets de saison depuis le jour numéro un. Nous avons vraiment tout essayé pour que les Thrashers demeurent dans cette ville. Nous avons essayé d'offrir de gros contrats à des joueurs comme (Ilya) Kovalchuk. Nous avons essayé de gardé les joueurs de talent à Atlanta. Nous avons tout tenté», a assuré Rutherford Seydel qui ajoute que la démarche pour trouver de nouveaux investisseurs locaux qui n'a finalement pas abouti en fut une très frustrante.

Lisez aussi:
La vente des Thrashers annoncée mardi?

Stamkos, l'homme de 7 millions ?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/stamkos-l-homme-de-7-millions-78968.html


(CKAC Sports) - Maintenant que le Lightning est éliminé des séries, l'objectif principal de Steve Yzerman est de s'assurer que Steven Stamkos demeure à Tampa Bay, et ce, pour plusieurs années.
«C'est l'un des excellents jeunes joueurs de la ligue. Nous allons tout faire pour que ça se fasse (la signature d'une entente). Ça va se faire éventuellement», a assuré, lundi, le directeur général du Lightning de Tampa Bay, Steve Yzerman au journaliste Damian Critodero du St. Petersburg Times.

Pour sa part, Steven Stamkos est bien déterminé à demeurer à Tampa Bay et croit que la décision d'attendre à la fin de la saison pour amorcer les négociations était sage.

«Je voulais attendre à la fin (de la saison) pour ne pas avoir à m'en préoccuper, a indiqué le joueur de centre de 21 ans. Toute ma concentration était centrée sur l'équipe. Tout ce dont je me suis préoccupé, c'était d'aider ma formation à gagner. Nous avons encore beaucoup de temps pour régler ça.»

Celui qui a marqué 45 buts et récolté 46 mentions d'aide en 82 parties en saison régulière et qui a ajouté six buts et sept mentions d'aide en 18 rencontres durant les séries a bien l'intention de demeurer avec l'équipe de Guy Boucher.

«Nous allons seulement nous améliorer comme équipe, alors, j'aimerais en faire partie», a confié le jeune joueur canadien qui a récolté 96 buts au cours des deux dernières saisons, un sommet dans la LNH

Son entente de trois ans - contrat de recrue évalué à 875 000 $ par saison - vient à échéance à la fin de cette saison et Stamkos devient joueur autonome avec restrictions. Selon toute vraisemblance, le tout premier choix de la LNH en 2008 devrait signer un nouveau contrat qui lui donnerait environ sept millions de dollars par année.

«Les deux parties entretiennent une bonne relation, a commenté l'agent de Stamkos, Mark Guy. Steven aime Tampa Bay. Je ne vois aucune raison pour qu'une entente ne soit pas conclue.»

(Avec le St. Petersburg Times)

Mark Recchi: 3 bagues et 1 retraite?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/mark-recchi-3-bagues-et-1-retraite-78982.html

(CKAC Sports) - Alors que Boston a mis les pieds à Vancouver lundi pour y disputer la Coupe Stanley, le vétéran attaquant Mark Recchi a confirmé qu'il prendrait sa retraite... si les Bruins l'emportaient.
Âgé de 43 ans, l'ancien ailier droit du Canadien avait indiqué en début d'année qu'il revenait au jeu pour une 26e saison dans la LNH afin de remporter une troisième Coupe Stanley avec une troisième équipe différente - les Penguins de Pittsburgh en 1991 et les Hurricanes de la Caroline en 2006.

Force est d'admettre que sa décision fut la bonne! Alors qu'il a cumulé 48 points - 14 buts et 34 mentions d'aide - en saison régulière et sept points en séries - 2 buts et cinq passes - Mark Recchi est en bonne position pour ajouter une troisième bague de la Coupe Stanley à sa collection.

Questionné à son arrivée à Vancouver par les journalistes au sujet de la possibilité qu'il prenne sa retraite, Mark Recchi a confirmé que si les Bruins remportaient la Coupe Stanley, il rangerait ses patins pour de bon et s'ouvrirait une bonne bouteille de Bordeaux 1970 qu'il a conservée depuis son passage à Montréal.

«L'attention ne peut pas être concentrée uniquement sur ça. C'est plutôt de mettre tous les efforts nécessaires pour gagner la Coupe pour tous les joueurs dans le vestiaire, tous les partisans et pour la ville de Boston. Mais si on gagne la Coupe, effectivement, je vais prendre ma retraite», a confirmé Recchi qui n'a toutefois pas indiqué ses intentions si les Bruins n'arrivaient pas à battre les Canucks.

(Source : Joe Haggerty, CSNNE.com)

Qui deviendra le 25e joueur membre du club des triples médaillés d'or?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/qui-deviendra-le-25e-joueur-membre-du-club-des-tri-78975.html

(CKAC Sports) - Après que Roberto Luongo ou Patrice Bergeron aura soulevé la Coupe Stanley d'ici une semaine ou deux, l'un ou l'autre de ces deux joueurs pourra se targuer de faire partie d'un club très sélect, celui des triples médaillés d'or.
Bien sûr que l'objectif ultime pour le gardien des Canucks de Vancouver ou le joueur de centre des Bruins de Boston est de gagner la Coupe Stanley. Depuis qu'ils ont chaussé les patins pour la toute première fois durant leur enfance, ils en rêvent. Combien de fois ont-ils rêvé de soulever la Coupe Stanley et de patiner avec le précieux trophée argenté au bout de leurs bras devant des partisans en liesse?

Mais une fois, l'excitation passée, Roberto Luongo ou Patrice Bergeron pourra également se vanter de faire partie du club des triples médaillés d'or, un club sélect qui compte seulement 24 joueurs et un entraîneur.

Si Vancouver remporte la Coupe Stanley, le gardien québécois Roberto Luongo aura l'honneur de dire qu'il a tout gagné dans l'univers du hockey. D'abord, il a remporté deux médailles d'or lors des Championnats mondiaux de 2003 et 2004. Puis en 2010 à Vancouver, il était devant le filet du Canada aux Jeux olympiques. En remportant la Coupe Stanley, il deviendrait le premier gardien de but à faire partie du club des triples médaillés d'or.

Si Boston surprend la majorité des experts et met la main sur la Coupe Stanley, Patrice Bergeron deviendra le 25e joueur du club des triples médaillés d'or. En 2004 et 2010, il était de la formation canadienne à remporter l'or aux Mondiaux et aux JO, avec Luongo bien sûr.

(Source: Andrew Podnieks, www.iihf.com)