mercredi 15 juin 2011

Une finale bizarre de la Coupe Stanley va se terminer à Vancouver mercredi

http://www.nhl.com/ice/news.htm?id=565820

Tuesday, 06.14.2011 / 4:04 PM / Nouvelles
Canadian Press

BOSTON - Une des plus déroutantes finales de la Coupe Stanley qu'on se souvienne n'est plus l'affaire que d'un seul match.

Toutes les statistiques bizarres et les controverses abracadabrantes ne tiennent plus. Les
Canucks de Vancouver et les Bruins de Boston doivent trouver une façon de gagner le septième match de la série au Rogers Arena, mercredi.

Les Canucks viennent d'encaisser une troisième gifle à Boston, mais ils sont les favoris pour l'emporter. Les champions du Trophée du Président en saison régulière sont à toutes fins utiles invincibles à domicile.

«Honnêtement, ça n'a aucune importance, a affirmé l'entraîneur des Canucks, Alain Vigneault, après la contre-performance des siens dans le sixième match. Au bout du compte, ils ont gagné et nous retournons jouer devant nos partisans. Un match à finir pour remporter la coupe. C'est tout.»

Ce sera le match d'une vie pour les joueurs des deux équipes, à l'exception de trois qui ont déjà goûté au champagne de la victoire — un de ceux-là, Mikael Samuelsson des Canucks, est à l'écart du jeu en raison d'une blessure.

Roberto Luongo connaît une série en dents de scie — ayant signé deux jeux blancs à domicile, mais étant retiré de l'action deux fois à l'étranger — mais il aura la possibilité de lever la Coupe Stanley à bout de bras sur la même surface glacée qu'il a remporté la médaille d'or olympique, il y a 16 mois. Il a été rappelé au banc dans le sixième match, après avoir permis trois buts sur huit lancers en moins de 10 minutes de jeu.

«Vous ne pouvez pas baisser la tête et vous apitoyer sur votre sort. Ce serait la pire chose à faire», a commenté Luongo.

Les Bruins devront jouer comme ils le font à domicile. Ils ont largement eu l'initiative chez eux, en déployant beaucoup de combativité, mais ils ont paru nettement plus réservés au Rogers Arena.

Curieusement, ils ont réussi 17 buts sur leur patinoire et seulement deux à Vancouver — les deux en deuxième période du match numéro deux.

«Nous savons très bien comment nous avons joué à l'étranger dans nos trois matchs à Vancouver, a mentionné l'entraîneur des Bruins, Claude Julien. Ça n'a pas été suffisant (pour gagner) et nous avons évidemment comme plan de changer le scénario. Nous nous sommes donné une dernière chance, et c'est à nous d'en profiter.

«Mais nous devrons être plus affamés que nous l'avons été à Vancouver jusqu'à maintenant.»

Une chose sur laquelle les Bruins devraient miser, c'est sur une solide performance de leur gardien Tim Thomas. Il a établi une nouvelle marque de la LNH au chapitre du taux d'efficacité en saison régulière, et il ne montre aucun signe d'essoufflement. Il n'a permis que huit buts dans ses sept dernières rencontres, soit depuis le septième match de la finale de l'Est contre le Lightning de Tampa Bay.

Le vétéran âgé de 37 ans est indéniablement le meilleur joueur des deux équipes en finale.

«Je vais essayer de savourer le moment et d'adopter la même attitude que j'ai eue tout au long des séries éliminatoires, a indiqué Thomas. Et j'espère que ça va me permettre d'atteindre l'objectif que mes coéquipiers et moi poursuivons depuis la première journée du camp d'entraînement.»

La pression est forte sur les Canucks qui ont été établis par plusieurs comme les favoris pour remporter la coupe, avant même l'ouverture de la saison.

Ils ont répondu aux attentes en connaissant une exceptionnelle saison régulière — la meilleure de l'histoire de la concession. Et ils ne sont plus qu'à une victoire de remporter leur premier championnat.

Ce serait une façon bizarre de le gagner —après les six premiers matchs de la finale, ils ont été surclassés 19-8 dans la colonne des buts.

«Ça n'a aucune importance, a lancé le gardien réserviste des Canucks, Cory Schneider. Ce n'est pas du soccer. Ce n'est pas une série au total des buts.»

Comme les Bruins, les Canucks sont méconnaissables, dépendamment qu'ils jouent à Vancouver ou à Boston. L'équipe qui a marqué la première a remporté les six matchs jusqu'à maintenant.

«Heureusement, nous n'avons pas à revenir à Boston cette saison, a soupiré le défenseur des Canucks, Kevin Bieksa, lundi soir. Nous serons de retour à Vancouver, où nous sommes très bons sur notre patinoire. La foule va être dans le coup et nous aurons du plaisir.»

Quand Daniel Sedin se prend pour Mark Messier

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/quand-daniel-sedin-se-prend-pour-mark-messier-81502.html


(CKAC Sports) - Mark Messier avait garanti la victoire des siens lors de la finale d'association qui opposait ses Rangers aux Devils du New Jersey en 1994. Daniel Sedin marquera-t-il l'histoire à son tour ?
Moins d'une heure après que son équipe eut raté une chance de remporter la coupe Stanley, Daniel Sedin était encore suffisamment confiant pour garantir la victoire de son équipe face aux Bruins de Boston lors du match no 7 qui sera disputé mercredi soir.

« Nous allons gagner le match no 7 », a dit Sedin au quotidien Vancouver Sun.

«Nous sommes à égalité (3-3) et nous avons gagné nos trois matchs à domicile et nous en avons un quatrième. Nous avons la chance d'avoir le septième match à la maison et nous allons en profiter. Nous sommes confiants. »

Prédiction à la Mark Messier

En 1994, à l'aube du match no 6 de la finale de l'Est contre les Devils du New Jersey, le capitaine des Rangers de New York, Mark Messier, avait prédit - même garanti - la victoire des siens, alors en retard dans trois victoires contre deux.

Les Rangers, grâce à un tour du chapeau de Messier lui-même, avaient remporté le match #6 par la marque de 4 à 2, en route vers une autre victoire en prolongation lors de l'ultime duel. Puis, ils avaient triomphé en finale contre les Canucks.

Daniel s'avèrera-t-il prophète ?

C'est à souhaiter pour Daniel que cette confiance - et cette prédiction - se traduiront par une victoire, sans quoi reviendront inévitablement les clichés de ''perdants'' et de ''joueurs incapables de maîtriser la pression''.

Pour se faire, Daniel, et son frère Henrik, devront élever leur jeu d'un cran, eux qui n'ont amassé que trois points durant la série contre les Bruins. Et deux de ces points ont été récoltés par Daniel, lors du match no 6, alors que l'issue de la rencontre était pratiquement soldée.

Malheureusement, ils ne pourront pas compter sur les services de Mason Raymond, victime d'une fracture à une vertèbre en première période lundi soir suite à une mise en échec de Johnny Boychuk.

Carl Gunnarsson avec les Leafs pour deux saisons

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/carl-gunnarsson-avec-les-leafs-pour-deux-saisons-81558.html


TORONTO - Le défenseur suédois Carl Gunnarsson s'est réentendu avec les Maple Leafs de Toronto pour deux autres saisons, mardi.
Gunnarsson, qui aurait pu obtenir le statut de joueur autonome avec restrictions, a cumulé une fiche de 20 points, quatre buts, 16 passes, en 68 matchs, la saison dernière.

Le Suédois, qui mesure six pieds deux pouces et qui pèse 196 livre, a été le sixième choix de l'équipe (189e au total) en 2007.

Il a sept buts et 28 passes à son dossier en 111 rencontres.

Le match de la dernière chance

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/le-match-de-la-derniere-chance-81562.html


BOSTON - Une des plus déroutantes finales de la Coupe Stanley qu'on se souvienne n'est plus l'affaire que d'un seul match.
Toutes les statistiques bizarres et les controverses abracadabrantes ne tiennent plus. Les Canucks de Vancouver et les Bruins de Boston doivent trouver une façon de gagner le septième match de la série au Rogers Arena, mercredi.

Les Canucks, les favoris
Les Canucks viennent d'encaisser une troisième gifle à Boston, mais ils sont les favoris pour l'emporter. Les champions du Trophée du Président en saison régulière sont à toutes fins utiles invincibles à domicile.

« Honnêtement, ça n'a aucune importance, a affirmé l'entraîneur des Canucks, Alain Vigneault, après la contre-performance des siens dans le sixième match. Au bout du compte, ils ont gagné et nous retournons jouer devant nos partisans. Un match à finir pour remporter la coupe. C'est tout. »

Ce sera le match d'une vie pour les joueurs des deux équipes, à l'exception de trois qui ont déjà goûté au champagne de la victoire - un de ceux-là, Mikael Samuelsson des Canucks, est à l'écart du jeu en raison d'une blessure.

Roberto Luongo connaît une série en dents de scie - ayant signé deux jeux blancs à domicile, mais étant retiré de l'action deux fois à l'étranger - mais il aura la possibilité de lever la Coupe Stanley à bout de bras sur la même surface glacée qu'il a remporté la médaille d'or olympique, il y a 16 mois. Il a été rappelé au banc dans le sixième match, après avoir permis trois buts sur huit lancers en moins de 10 minutes de jeu.

«Vous ne pouvez pas baisser la tête et vous apitoyer sur votre sort. Ce serait la pire chose à faire», a commenté Luongo.

La dernière chance pour les Bruins
Les Bruins devront jouer comme ils le font à domicile. Ils ont largement eu l'initiative chez eux, en déployant beaucoup de combativité, mais ils ont paru nettement plus réservés au Rogers Arena.

Curieusement, ils ont réussi 17 buts sur leur patinoire et seulement deux à Vancouver - les deux en deuxième période du match numéro deux.

« Nous savons très bien comment nous avons joué à l'étranger dans nos trois matchs à Vancouver, a mentionné l'entraîneur des Bruins, Claude Julien. Ça n'a pas été suffisant (pour gagner) et nous avons évidemment comme plan de changer le scénario. Nous nous sommes donné une dernière chance, et c'est à nous d'en profiter.

« Mais nous devrons être plus affamés que nous l'avons été à Vancouver jusqu'à maintenant. »

Une chose sur laquelle les Bruins devraient miser, c'est sur une solide performance de leur gardien Tim Thomas. Il a établi une nouvelle marque de la LNH au chapitre du taux d'efficacité en saison régulière, et il ne montre aucun signe d'essoufflement. Il n'a permis que huit buts dans ses sept dernières rencontres, soit depuis le septième match de la finale de l'Est contre le Lightning de Tampa Bay.

Le vétéran âgé de 37 ans est indéniablement le meilleur joueur des deux équipes en finale.

« Je vais essayer de savourer le moment et d'adopter la même attitude que j'ai eue tout au long des séries éliminatoires, a indiqué Thomas. Et j'espère que ça va me permettre d'atteindre l'objectif que mes coéquipiers et moi poursuivons depuis la première journée du camp d'entraînement. »

Un premier championnat?
La pression est forte sur les Canucks qui ont été établis par plusieurs comme les favoris pour remporter la coupe, avant même l'ouverture de la saison.

Ils ont répondu aux attentes en connaissant une exceptionnelle saison régulière - la meilleure de l'histoire de la concession. Et ils ne sont plus qu'à une victoire de remporter leur premier championnat.

Ce serait une façon bizarre de le gagner - après les six premiers matchs de la finale, ils ont été surclassés 19-8 dans la colonne des buts.

« Ça n'a aucune importance, a lancé le gardien réserviste des Canucks, Cory Schneider. Ce n'est pas du soccer. Ce n'est pas une série au total des buts. »

L'avantage d'être devant ses partisans
Comme les Bruins, les Canucks sont méconnaissables, dépendamment qu'ils jouent à Vancouver ou à Boston. L'équipe qui a marqué la première a remporté les six matchs jusqu'à maintenant.

« Heureusement, nous n'avons pas à revenir à Boston cette saison, a soupiré le défenseur des Canucks, Kevin Bieksa, lundi soir. Nous serons de retour à Vancouver, où nous sommes très bons sur notre patinoire. La foule va être dans le coup et nous aurons du plaisir. »

Prix records pour les billets en vue du septième match

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/prix-records-pour-les-billets-en-vue-du-septieme-m-81589.html


VANCOUVER - Assister au septième match de la finale de la Coupe Stanley ou s'acheter une automobile?
C'est somme toute la question que vous devez vous poser si vous désirez suivre de près l'action du septième match de la finale de la Coupe Stanley, mercredi, au Rogers Arena.

Mardi après-midi, le site Internet de revente de billets StubHub avaient 420 billets disponibles, dont les coûts variaient entre 1600$US et 12 413$US.

«C'est assurément le prix le plus élevé que nous ayons vu pour un match de la Coupe Stanley en 10 années d'existence de la compagnie», a commenté une porte-parole de StubHub, Joellen Ferrer.

Le billet le plus dispendieux, vendu à 15h mardi, l'avait été au coût de 6500$ US. L'acheteur s'est procuré une paire dans la 12e rangée, près du niveau de la glace.

StubHub n'a jamais vu un acheteur débourser plus de 10 000$ US pour un septième match d'une finale de la Coupe Stanley. Ça s'est déjà vu pour le Baseball majeur ou la NBA.

Le Super Bowl demeure l'événement par excellence, avec des ventes de billets pouvant atteindre les 15 000$ US et un coût moyen d'acquisition de 3500$ US.

Pour les plus riches, StubHub offrait deux loges corporatives à 164 710$US et 205 888$US, respectivement.

Sur un autre site, Craigslist, un vendeur optimiste offrait quatre billets à 2300$ CAN l'unité, avec la mention: Le parfait cadeau de la fête des pères.

À ce prix, aussi bien se procurer un téléviseur plasma de 60 pouces et regarder le match confortablement assis dans son salon!!!

Bobby Orr se réjouit des succès des Bruins

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/bobby-orr-se-rejouit-des-succes-des-bruins-81599.html


(CKAC Sports) - S'il y a un joueur que l'on identifie bien aux Bruins, c'est le légendaire Bobby Orr qui a joué les dix premières saisons de son illustre carrière avec l'équipe de Boston. Alors que les Bruins ne sont plus qu'à une seule victoire de remporter la Coupe Stanley, Bobby Orr s'est dit très heureux de voir son ancienne équipe être si près du précieux trophée.
«La ville de Boston compte de nombreuses équipes championnes et de revoir les Bruins faire partie à nouveau de cette liste, c'est très spécial», a-t-il confié lors d'une entrevue avec un journaliste pour le site web de la LNH.

Les succès actuels des Bruins ne sont pas sans lui rappeler ses belles années de joueur de hockey. Avec Boston, il a eu le grand privilège de soulever la Coupe Stanley à deux occasions, en 1970 et en 1972.

«Nous étions très près de nos partisans. Nous étions partout, nous allions dans la rue et les amateurs n'avaient pas peur de nous approcher et nous aimions ça. Nous étions comme une grande famille. Et c'est un peu comme ça aujourd'hui. J'étais à un tournoi de golf récemment et il y avait des gens avec des casquettes et des chandails des Bruins. C'est très plaisant de voir que le hockey est de retour (à Boston). »

Heureux des succès des Bruins
L'un des meilleurs défenseurs de tous les temps se réjouit de voir son ancienne équipe affronter les Canucks de Vancouver dans un septième match de finale de la Coupe Stanley.

«C'est agréable de voir que les partisans les soutiennent autant. Ils ont eu une année incroyable, ils ont eu des hauts et des bas, mais ils sont toujours revenus au sommet. »

Lors du match #4, l'organisation des Bruins a surpris la foule du TD Garden en le choisissant comme capitaine honoraire. À ce titre, vêtu du fameux veston des Bruins, il a déployé l'énorme drapeau noir et jaune à l'effigie des Bruins à travers les partisans dans les gradins avant le début de la rencontre.

«De faire partie d'une telle équipe, de la famille des Bruins dont l'histoire est incroyable et qui a été écrite par tellement de grands personnages qui ont joué pour cette équipe, c'était un moment très spécial», a rappelé Bobby Orr.

«Ce sont deux équipes qui sont tellement proches d'être la meilleure équipe au monde. Je suis certain qu'elles apprécient le privilège qu'elles ont d'être dans cette position tout comme nous l'avons apprécié quand nous y étions à notre époque», a ajouté Orr.

Une photo vaut mille mots
S'il y a une photo qui décrit à merveille les sensations ressenties par un joueur de hockey lors de la conquête de la Coupe Stanley, c'est bien celle de Bobby Orr qui s'envole après son fameux but contre les Blues (en 1970), permettant aux Bruins de remporter leur première Coupe Stanley depuis 1941.

«Je ne crois pas que je pensais à quelque chose de spécial à ce moment. Comme tous les jeunes enfants qui jouent au hockey, je rêvais de faire partie d'une équipe qui disputerait la finale de la Coupe Stanley. Et de pouvoir réaliser ce rêve, d'être celui qui marque le but vainqueur, c'était quelque chose de très spécial. J'étais tellement heureux de faire partie de la meilleure équipe au monde», a confié Orr.

Les Canucks ont craint que Mason Raymond ne puisse marcher à nouveau

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-canucks-ont-craint-que-mason-raymond-ne-puisse-81625.html

(CKAC Sports) - Victime d'une fracture par compression d'une vertèbre lors du match 6 de la finale de la Coupe Stanley, Mason Raymond l'a quand même échappé belle.
Il y a même eu un moment durant lequel les médecins des Canucks ont craint que l'attaquant ne puisse marcher à nouveau.

On a craint la paralysie

Le directeur général des Canucks, Mike Gillis, a avoué qu'il était passé par toute la gamme des émotions.

«Mason a bougé les membres après avoir été inerte pendant un moment sur la glace, mais à l'arrivée à l'hôpital, les médecins étaient très inquiets.»

Raymond a été victime d'une fracture par compression d'une vertèbre et sa convalescence pourrait prendre environ de trois à quatre mois.

Pour quelques instants, l'intensité et l'enjeu de la Coupe Stanley sont passés au second plan pour le patron des Canucks.

«Si Mason Raymond est de retour avec nous en novembre, nous serons très heureux. Simplement le fait de savoir qu'il pourra marcher de nouveau et qu'il pourra entreprendre son programme de remise en forme, cela nous enlève un immense poids», a conclu Gillis.

« La foule du Centre Bell m'a bien préparé pour le match de ce soir » -Tim Thomas

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/la-foule-du-centre-bell-m-a-bien-prepare-pour-le-81624.html


(CKAC Sports) - Plusieurs croient que peu importe le dénouement du septième match 7 de la finale de la Coupe Stanley, le trophée Conn Smythe aboutira dans les mains du gardien des Bruins de Boston, Tim Thomas.
Boston à Vancouver, 20h.
(La série est égale 3-3)

Les Bruins disputeront leur troisième 7e match des présentes séries après avoir éliminés le Canadien et le Lightning à la limite. Les Canucks, eux, ont joué le tour aux Blackhawks, d'entrée de jeu en séries.

«De la pression ? Une foule hostile ? J'ai été bien préparé durant la série face au Canadien, a simplement commenté le gardien des Bruins, Tim Thomas. La foule du Centre Bell est probablement la plus bruyante de la LNH. Je serai prêt et je vais m'amuser».

Avantage marqué aux hôtes

La troupe d'Alain Vigneault et celle de Claude Julien feront les frais ce soir du 16e septième match de l'histoire de la finale de la Coupe Stanley.

L'équipe hôte montre un bilan de 12 victoires contre 3 revers.Dans les six dernières situations de match sans lendemain en finale, l'équipe hôtesse est sortie gagnante cinq fois.

Les Bruins n'ont jamais connu le stress d'un 7e match en finale alors que les Canucks ont vécu l'épreuve en 1994 s'inclinant face aux Rangers, à New York.

Les Bruins ont l'expérience...sur le banc

Roberto Luongo est parfait en situation de matchs ultimes (2-0, 0,96, ,962) alors que Tim Thomas montre un dossier de 2-2 et des statistiques moins reluisantes (2,50, ,917).

Le vétéran Mark Recchi, 43 ans, disputera le 11e septième match de sa carrière. Trois autres joueurs des Bruins ont joué au moins des matchs décisifs à sept reprises: Zdeno Chara (7), Tomas Kaberle (7) et Andrew Ference (8).

Il y a moins d'expérience du côté des Canucks alors que seuls les jumeaux Sedin revendiquent cinq matchs 7 au cours de leur carrière. Maxim Lapierre et Sami Salo en comptent quatre.

Écoutez les commentaires de Tim Thomas.

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/la-foule-du-centre-bell-m-a-bien-prepare-pour-le-81624.html

Opération et nouvel entraîneur, Alfredsson est optimiste

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/operation-et-nouvel-entraineur-alfredsson-est-opt-81629.html

(CKAC Sports) - Daniel Alfredsson a tourné la page sur une saison cauchemardesque dans la LNH et envisage la prochaine avec un optimisme... contrôlé.
Ayant subi une opération au dos vendredi, Alfredsson sera-t-il un nouvel homme cet automne ?

«L'opération s'est bien passée, mieux que je ne le croyais, a dit le capitaine des Sénateurs. Après quelques semaines de repos, je saurai exactement là où j'en suis. Je peux faire des étirements et je ne ressens pas de douleurs depuis l'opération.»

Le joueur de 38 ans pourra reprendre l'entraînement d'ici un mois.

Nouvel entraîneur, nouveau départ


Alfredsson était un spectateur attentif à l'annonce mardi de la nomination de Paul MacLean à titre d'entraîneur-chef des Sénateurs.

«Avec son expérience et les joueurs qu'il a côtoyés à Detroit, il apportera un nouveau souffle dans notre organisation, a dit Alfredsson. Quand vous regardez comment les Red Wings jouent, on voit qu'ils ont du talent, mais qu'ils sont solides en défensive. Ils contrôlent la rondelle et je crois qu'on peut faire la même chose. On va patiner un peu plus qu'au cours des dernières années.»

MacLean a été assistant à Mike Babcock à detroit au cours des six dernières saisons.

«On sera un bon groupe à diriger, car on veut aller dans la bonne direction. En tout cas, on va l'écouter», a promis Alfredsson, un vétéran de 15 saisons dans la Ligue nationale.

Avec Senators.nhl.com

L'énigmatique Luongo

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/06/20110615-025257.html

VANCOUVER - Si la tendance se maintient, les Canucks de Vancouver remporteront ce soir la première coupe Stanley de leur histoire. Après tout, n’assiste-t-on pas à une série de homers ?

Ce serait toutefois mal connaître les Bruins de Boston que de croire qu’ils sont incapables d’arracher une victoire dans le château fort des Canucks.
 
Une équipe qui parvient à surmonter un déficit de 0-2 dans une série, comme les Bruins l’ont fait en première ronde contre le Canadien de même que dans cette finale, est capable de tout.
 
Si Roberto Luongo devait ressentir des séquelles de cette autre mauvaise sortie qu’il a connue lundi à Boston, tout deviendra possible pour la bande à Claude Julien.
 
Le gardien montréalais connaît une finale en montagnes russes. Brillant à domicile avec deux jeux blancs de 1 à 0, Luongo s’est transformé en passoire à Boston.

Héros ou bouc émissaire?

Les partisans des Canucks ne lui pardonneront pas une autre contreperformance ce soir et Luongo le sait mieux que quiconque. Il s’est fait varloper par un éditorialiste de Vancouver hier et on l’a tenu loin des médias au Rogers Arena.
Luongo joue très gros. Il sera identifié comme étant le bouc émissaire si les Canucks devaient rater leur mission, même si les jumeaux Sedin de même que Ryan Kesler n’ont pas été à la hauteur dans cette finale.
 
«Ce n’est pas le temps de m’apitoyer sur mon sort et de baisser la tête, racontait Luongo après la défaite de 5 à 2. Ce serait la pire chose à faire. Je dois croire en mes moyens. Je suis déjà passé par là et je me suis toujours relevé.»
Les Canucks tentent de devenir la première équipe canadienne à soulever la coupe depuis la conquête du Tricolore en 1993. Ils s’étaient inclinés en sept matchs face aux Rangers lors de la finale de 1994.
Les Bruins, de leur côté, tentent de remporter leur première coupe Stanley depuis les beaux jours de Bobby Orr et de Phil Esposito en 1972.

Des Canucks plus tendus
 
Chose certaine, ça devrait être toute une rencontre ce soir au Rogers Arena et ça mettra à une finale fertile en controverses.
 
On a senti que les joueurs et les dirigeants des Canucks étaient beaucoup plus tendus que ceux des Bruins hier. D’ailleurs, on n’a pas permis aux journalistes d’avoir accès au vestiaire des Canucks. Il a fallu se contenter de parler aux joueurs qui ont participé à la conférence de presse, soit Kesler, Chris Higgins et Raffi Torres.
 
Alain Vigneault a tenté de nous convaincre qu’il n’était pas stressé. «C’est une très belle opportunité qu’on a de gagner de disputer un septième match de la finale à domicile, at- il souligné. Je vois cela comme étant un honneur. Et on a une très bonne fiche (10-3) à domicile...»
 
Daniel Sedin garantit la victoire
 
Vigneault était le premier à dire, avant le début de cette finale, que la fenêtre était ouverte pour les Canucks et qu’il fallait absolument en profiter. L’heure de vérité a sonné.
Par ailleurs, Daniel Sedin a garanti, à la presse locale après le match de lundi, que les
Canucks allaient gagner ce septième match. Il a fait son p’tit Mark Messier.
 
Il faudra que l’attaque des Canucks sorte de sa torpeur, elle qui n’a enregistré que huit buts en six matchs face aux Bruins.
«Tim Thomas a été exceptionnel, a reconnu Sedin. On a cependant mieux attaqué son filet lors de la sixième rencontre. On est parvenu à le faire bouger devant sa cage. C’est la seule façon de le battre.»

Le mot de la fin revient à Claude Julien. «Habituellement, l’équipe qui remporte la coupe Stanley mise sur un gardien exceptionnel. On en a un en Tim Thomas.»

Les projecteurs sur Luongo

http://fr.canoe.ca/sports/chroniques/yvonpedneault/archives/2011/06/20110615-014619.html


Pourrait-il disputer son dernier match dans l’uniforme des Canucks de Vancouver?
À priori, non.
 
Quand on possède une entente de 12 ans, comme c’est le cas pour Roberto Luongo, on a les bonnes cartes dans sa main. Et puis, quelle équipe dépenserait une fortune pour les services d’un gardien qui avait la coupe Stanley à portée de la main et qui a échoué dans sa mission?
 
Par contre, il y a les partisans des Canucks, ceux qui mènent la vie dure au gardien qui, il faut bien le reconnaître, leur fournit les minutions pour tirer à boulets rouges dans sa direction. Ce match de lundi soir, il devait le gagner… ou tout au moins le terminer.
Il était au banc de son équipe et on n’avait pas joué neuf minutes.
 
De quoi soulever les critiques et surtout jeter la crainte chez des amateurs qui attendent depuis 40 ans. On souhaitait une solide performance du vétéran gardien… surtout après sa prestation dans le match numéro 5. On le disait prêt pour le grand jour. On croyait qu’il était pour faire oublier les événements de la semaine dernière alors que les Bruins de Boston l’avaient humilié, marquant 12 buts en deux parties.
 
Luongo est un athlète fier, c’est un solide compétiteur… sauf qu’on lui remet souvent sur le nez qu’il n’a jamais gagné les gros matchs.
 
Un instant direz-vous?
 
A-t-on oublié le match de la médaille d’or contre les États-Unis? Justement, les dénigreurs de Luongo s’en souviennent très bien et vous diront qu’il a permis aux Américains de niveler la marque dans les derniers instants de la rencontre.
 
Vous voyez qu’il sera difficile pour Luongo de gagner le respect des chauds partisans des Canucks.
 
À moins que mercredi soir… oh la la. Il devra réaliser des miracles. Il devra jouer avec le même aplomb que lors des trois matchs disputés à Vancouver. Il devra être parfait, intimidant et rassurant pour ses coéquipiers et les amateurs.
 
Cette situation, il l’a créée lui-même. Comment peut-on accorder 15 buts en trois matchs à Boston? Comment peut-on maintenir une moyenne de 8,07 buts alloués aux Bruins en trois matchs sur la patinoire des champions de l’association de l’Est sans s’attirer l’ire des partisans de l’équipe?
 
Comment réagira-t-il?
 
On ne le sait pas. Il n’y aura pas un seul joueur sur la surface de jeu, mercredi à Vancouver, qui ressentira autant de pression que Luongo, pas même Tim Thomas qui, gagne ou perd, mérite le titre du joueur le plus utile à son équipe.
 
Les Bruins ont peut-être perdu trois matchs sur la patinoire de l’adversaire, mais trois matchs par la marge d’un seul but. Deux fois par le pointage de 1-0 et une autre fois 3-2 à la suite d’un but en prolongation d'Alexandre Burrows.
 
Donc, les Bruins s’amènent sans aucun complexe. Dans cette série, ils ont été une meilleure équipe que les Canucks.
 
Ont-ils encore de l’énergie pour signer une victoire à l’étranger? Assurément. Les Bruins ont un style qui les sert bien à l’extérieur de Boston. Ils sont toujours dans le coup et s’ils marquent le premier but, attention.
 
Par conséquent, Luongo n’a plus droit à l’erreur.
Il a épuisé toutes les options. Il doit maintenant gagner.
Il doit s’imposer. Il doit convaincre les partisans des Canucks.
Il possède un contrat blindé… mais une défaite et les partisans le conduiront jusqu’à l’aérogare.
On ne lui pardonnera pas.
 
La déception sera tellement grande pour les gens de Vancouver qu’on cherchera évidemment un coupable… sans l’amener dans la boîte des accusés. On jugera sur le champ et est-il besoin de préciser qui sera pointé du doigt?
 
Un contrat de 12 ans est une garantie. Mais, cela ne veut pas nécessairement dire qu’on jouit d’une certaine immunité. Un contrat de 12 ans doit être accompagné de performances justifiant une telle confiance.
 
Et la confiance des partisans des Canucks en Roberto Luongo est pour le moins fragile. Il tient à un fil. Imaginez si, mercredi soir, ça tourne au vinaigre.
J’ai hâte de voir comment il va se comporter.
La pression va être écrasante.
 
Pour lui, c’est la dernière option qu’il lui reste: la coupe Stanley. S’il passe l’examen, il pourra enfin rallier ceux qui doutaient. Les jumeaux Sedin ont également des réponses à fournir au public de Vancouver.
Comment expliquer qu’ils ne parviennent pas à se démarquer pendant les séries éliminatoires?
 
On a beau jeter tout le blâme sur Luongo, mais combien de buts lui ont donné les Canucks depuis le début de la série finale : huit buts en six matchs. En supériorité numérique, deux buts en 31 occasions.
Dans cette série, les Canucks ont travaillé avec une priorité d’un but pendant 32 minutes… Point.

Jagr vise maintenant la LNH

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/06/20110615-031727.html


Jaromir Jagr s’approche-t-il de la Ligue nationale, où il a ciblé plusieurs équipes pour son retour, dont le Canadien?
 
Oui, s’il faut en croire ses propos à la suite des derniers développements dans son dossier. Jagr a rompu les négociations avec le SKA de Saint-Pétersbourg, de la Ligue continentale de Russie (KHL), hier.
 
De son propre aveu, la seule avenue qui lui reste maintenant est celle de la Ligue nationale.
 
«La direction du SKA a voulu brusquer les choses et je n’étais pas prêt à prendre une décision aussi rapidement qu’elle le souhaitait», a raconté le grand attaquant tchèque à un journaliste de iSport.cz.
 
«On a voulu me pousser dans un coin et précipiter les choses. Peut-être n’avait-on pas un si grand intérêt pour moi après tout.
 
«J’ai donc avisé le directeur général du SKA (Alexei Kasatonov) que c’était fini entre nous.»
 
Trop tard
 
L’avenir de Jagr avec le SKA semblait de plus en plus incertain depuis l’embauche, il y a quelques jours, du Norvégien Patrick Thoresen, qui portait à la limite de six le nombre d’étrangers avec l’équipe.
 
«Les négociations avec Jaromir sont effectivement rompues», a reconnu Kasatonov à Sovetskij Sports.
 
«C’est d’abord une question de sous. Jagr exigeait beaucoup d’argent (on parle de 5 millions), mais notre budget n’est pas en caoutchouc.
 
«Jaromir nous faisait languir, mais il fallait penser à la prochaine saison et embaucher des joueurs. Il n’y a donc plus de place pour lui avec nous.»
 
Dans sa mire
 
Selon le quotidien tchèque Mladá Fronta Dnes, une seule autre équipe de la KHL encore intéressée à obtenir les services de Jagr.
 
L’Avangard de Omsk, où il a passé les trois dernières saisons, lui consentirait 2 500 000 $. Une somme pour laquelle Jagr refuserait toutefois de jouer dans la Ligue continentale, mais pas dans la Ligue nationale.
 
La saga Jagr devrait prendre fin bientôt avec le marché des joueurs autonomes qui s’ouvrira le 1er juillet dans la LNH, alors que les équipes devront prendre des décisions quant à leur alignement pour l’an prochain.
 
En attendant, Jagr continue d’alimenter la rumeur voulant que plusieurs équipes s’intéressent à lui.

Il parle notamment du Canadien, dont il s’est fait le complice de Tomas Plekanec pour la conquête du bronze des Tchèques au dernier championnat mondial, mais aussi des Red Wings, des Rangers et des Penguins.

«Amusez-vous» - Recchi

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/06/20110615-031106.html


Mark Recchi (à droite) espère soulever la coupe Stanley pour la troisième fois de sa carrière. 

VANCOUVER - Mark Recchi, le doyen de la LNH à 43 ans, disputera vraisemblablement ce soir le dernier match de sa longue carrière de 22 saisons et il entend servir un message à ses coéquipiers.
Les Bruins tenteront de devenir la première équipe de l’histoire à remporter trois séries de sept parties la même année.
 
Advenant une victoire, il s’agira d’une troisième coupe Stanley pour Recchi, qui a précédemment remporté le précieux trophée avec les Penguins en 1991 et dans l’uniforme des Hurricanes en 2006.
 
Le joueur originaire de Kamloops a déjà confirmé qu’il prendra sa retraite s’il gagne la coupe.
 
«Je ne veux pas penser au fait que ça risque d’être le dernier match de ma carrière. Je veux juste aider l’équipe.»
 
Saison plaisante
 
Recchi a connu des hauts et des bas durant les séries. On l’a parfois senti à bout de souffle, incapable de suivre le rythme. Il a néanmoins réussi à amasser cinq buts et huit mentions d’aide.
 
«Ç’a été une saison fort plaisante pour moi, a-t-il confié. On a un bon groupe de gars, qui ont du caractère.
 
«On forme une équipe tenace, qui ne lâche jamais, et c’est pourquoi je crois grandement en nos chances de victoire dans ce match décisif, même si aucune équipe n’est encore parvenue à remporter une rencontre sur la patinoire de l’adversaire dans cette finale.»


Recchi et Shawn Thornton sont les deux seuls joueurs des Bruins à avoir déjà remporté la coupe Stanley.
 
«Je vais leur dire de s’amuser, de savourer ce match de la première à la dernière minute, a raconté Recchi. Ce sont des moments enivrants, qu’il faut savoir apprécier. C’est le rêve de tout joueur de hockey de participer à une septième rencontre d’une finale pour la coupe Stanley.»
 
C’est vrai que ça ne se produit pas souvent. D’ailleurs, c’est la première fois de leur histoire que les Bruins prendront part à un septième match lors d’une finale.
 
«On a surmonté beaucoup d’adversité dans ces séries, a dit Recchi. On tirait de l’arrière 0-2 contre le Canadien en première ronde et bien des gens croyaient que nos séries allaient être courtes.

«La pression était forte. Maintenant, il n’y a plus de pression. On doit aborder ce dernier match de la saison avec l’idée d’avoir du plaisir. Il ne faut surtout pas que la nervosité nous paralyse.»

Raymond s'est fracturé une vertèbre

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/06/14/002-canucks-raymond-fracture.shtml


Les Canucks de Vancouver devront se passer de Mason Raymond dans le match qui décidera de l'identité du champion de la Coupe Stanley, mercredi.
L'attaquant a subi une fracture d'une vertèbre, lundi soir, durant le sixième match de la série. Son absence pourrait atteindre quatre mois, a fait savoir la direction de l'équipe, mardi.
L'incident est survenu après seulement 20 secondes de jeu. Raymond s'est retrouvé dans une position inhabituelle lorsqu'il a été frappé par le défenseur des Bruins Johnny Boychuk.
Aucune pénalité n'a été décernée sur le jeu et le Globe and Mail rapporte que Boychuk ne sera pas suspendu. Le préfet de discipline de la LNH, Mike Murphy, a indiqué qu'il s'agissait d'une « collision accidentelle ».
Raymond est resté étendu sur la patinoire durant de longues minutes avant de rentrer péniblement au vestiaire, aidé de deux coéquipiers. Il a immédiatement été transporté à l'hôpital.
En 24 matchs éliminatoires ce printemps, Raymond montre une fiche de 2 buts et 6 passes pour 8 points. Pendant la saison, il a marqué 15 buts et récolté 24 mentions d'aide pour 39 points en 70 rencontres.
Le nom de Raymond côtoie donc ceux de Dan Hamhuis et de Mikael Samuelsson sur la liste des blessés. Le défenseur Aaron Rome manquera également à l'appel pour les Canucks en raison d'une suspension.

Le 7e match en questions


http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/06/14/004-dube-match7-canucks.shtml

Q : Si vous êtes Alain Vigneault, que dites-vous à Roberto Luongo pour le replacer?

R : Je lui dis de ne pas s'inquiéter parce que c'est l'affaire d'une équipe, pas seulement d'un joueur. Sa responsabilité, c'est de garder l'équipe dans le match et de lui donner la chance de gagner.

Il n'y a pas de message très complexe à lui envoyer. Une chose que j'ai apprise, c'est que quand tu composes avec un joueur de premier plan comme Luongo, la plupart du temps, ces athlètes ont besoin de réconfort, pas de conseils.

D'ailleurs, Luongo m'a semblé très ébranlé après le premier but des Bruins dans le sixième match. Voyant cela, Vigneault aurait dû utiliser son temps d'arrêt après le deuxième but.
Mais en même temps, je comprends la décision d'attendre. Le temps d'arrêt est devenu un outil tellement important, surtout pour une équipe à l'étranger. Vigneault a pensé qu'il pouvait attendre. Mais cette fois, il s'est trompé.

Q : Que dites-vous aux joueurs des Canucks pour leur redonner confiance?

R : Il faut toujours bâtir sur les succès antérieurs. Ils ont vécu le même calvaire à Boston dans les matchs 3 et 4 et ils ont tout de même gagné le cinquième match à Vancouver. Et ils ont gagné un septième match au premier tour, même les Blackhawks semblaient favoris.
Les joueurs savent ce qu'ils ont à faire et savent que la foule sera avec eux. Ils doivent simplement donner une raison à cette foule de se manifester, avec leur énergie et leur désir de vaincre.
Au-delà de la tactique, l'entraîneur doit rappeler à ses hommes qu'ils sont privilégiés d'avoir la chance de vivre ça. J'ai personnellement été tout aussi privilégié de vivre une finale de médaille d'or aux Jeux olympiques. Tu n'oublies jamais ça, ça marque une vie.

Q : Que font les Bruins pour contrer les frères Henrik et Daniel Sedin?

R : Ils ne leur concèdent jamais le centre. Et l'engagement physique en défense contre eux est irréprochable.
Depuis le début de la finale, les frères Sedin jouent avec beaucoup de finesse et de régularité, c'est-à-dire qu'ils utilisent souvent les mêmes jeux et se placent dans les mêmes zones. Ça les rend très prévisibles.
Ce trio manque d'émotions. Et celui qui doit apporter l'énergie et les émotions, c'est Alexandre Burrows. Mais quand tu ne marques pas de buts, c'est difficile d'aller chercher de l'énergie.
L'avantage numérique pourrait permettre aux frères Sedin de trouver l'étincelle manquante dans le match 7. Mais je crois que Ryan Kesler sera un des facteurs déterminants dans ce duel ultime. C'est un joueur émotif. Je m'attends à ce qu'il augmente son niveau de jeu.

Q : Qui soulèvera la Coupe Stanley?

R : J'avais choisi les Canucks en 7 et nous y sommes. Ils forment peut-être une équipe plus vulnérable à cause des blessures, mais je maintiens mon choix.
On devrait voir le vrai visage de Luongo. Et l'avantage de la glace ne sera pas seulement utile pour le bruit. Vigneault va s'en servir dans les confrontations et devrait en obtenir plus des frères Sedin. Les Canucks l'emporteront 2-1.
Par contre, à moins d'une performance individuelle spectaculaire dans le dernier match, je vois Tim Thomas soulever le Conn-Smythe, dans la victoire comme dans la défaite. Dans la majorité des matchs des Bruins, il a été le meilleur joueur de son équipe. Ce critère ne ment pas.

Paul MacLean: d'adjoint à Detroit à entraîneur en chef des Sénateurs

http://www.ruefrontenac.com/sports/hockey/38442-hockey-lnh-senateurs-paul-maclean-bryan-murray

Hockey
Écrit par RueFrontenac.com   
Mardi, 14 juin 2011 13:43
Mise à jour le Mardi, 14 juin 2011 13:53
Appelez-le Monsieur le Sénateur ! Paul MacLean, qui faisait ses classes dans l’ombre de Mike Babcock depuis sept ans, aura maintenant les réflecteurs braqués sur lui dans le rôle d’entraîneur en chef des Sénateurs d’Ottawa.
La formation outaouaise a confirmé mardi la nomination de MacLean, adjoint de Babcock tant à Anaheim qu’à Detroit au fil des cinq dernières saisons. Il a notamment aidé les Red Wings à conquérir la coupe Stanley à l’issue de la saison 2007-2008, après une première présence en finale avec les Ducks au printemps 2003.
MacLean succède à Cory Clouston, congédié à l’issue du calendrier régulier. La direction de l’équipe a ainsi tenu Clouston responsable de sa deuxième exclusion des séries en l’espace de trois ans.
Depuis que Bryan Murray a mené les Sénateurs en finale de la coupe Stanley à titre d'entraîneur en chef en 2006-2007, il a accédé au poste de directeur général et congédié trois pilotes en quatre ans. Outre Clouston, John Paddock et Craig Hartsburg ont également subi ses foudres.

La carrière de joueur de MacLean s’est étendue sur 11 saisons, de 1980 à 1991, avec les Jets de Winnipeg, les Red Wings de Detroit et les Blues de Saint Louis. En 719 matchs, il a totalisé 673 points, soit 324 buts et 349 mentions d’assistance.

Est-ce que les Islanders échangeront leur premier choix au repêchage ?

http://www.hockeyexpress.ca/est-ce-que-les-islanders-echangeront-leur-premier-choix-au-repechage/#more-14896

Chris Botta du IslandersPointBlank.com rapporte que le directeur général des Islanders de New York, Garth Snow, pourrait être tenté d’offrir aux autres équipes de la LNH son choix de première ronde au prochain repêchage, le 5e au total. L’organisation aimerait obtenir un attaquant en retour.

Mason Raymond a subi une fracture à une vertèbre

http://www.hockeyexpress.ca/mason-raymond-a-subi-une-fracture-a-une-vertebre/#more-14899

L’attaquant Mason Raymond, des Canucks de Vancouver, ratera 3 à 4 mois en raison d’une fracture à une vertèbre. Il a subi cette blessure lors du match numéro 6 contre les Bruins de Boston.

Salei susciterait de l'intérêt de la KHL

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8853/rumeurs/de/transactions/tslh/detroit%20red%20wings/2011-06-14/salei-susciterait-de-linteret-de-la-khl/

Twitter.com : Dmitry Chesnokov rapporte que le défenseur des Red Wings de Détroit, Ruslan Salei, qui sera joueur autonome au premier juillet prochain susciterait de l'intérêt de la part de la formation du Lokomotiv Yaroslavl.

Le pilier défensif a récolté 10 points en 78 parties avec les Red Wings de Détroit la saison dernière. Il a touché un salaire annuel de 1,1$ M durant cette période.

Giguère sous d'autre cieux

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8854/manchettes/tslh/toronto%20maple%20leafs/2011-06-14/giguere-sous-dautre-cieux/

Bleacherreport.com : L'aventure de Jean-Sébastien Giguère avec les Maple Leafs de Toronto semble achever. Avec la mise sous contrat de James Reimer, le jeune cerbère de 23 ans qui a fait des débuts fracassants en soutien aux deux gardiens partants Gustavsson et Giguère, et le contrat de Gustavsson qu'il reste encore à écouler. Il sera surprenant de voir J-S Giguère débuter la prochaine campagne avec les Leafs.

Note : Je crois qu'il pourrait beaucoup apporter à une formation dans le besoin d'un gardien âgé de premier plan ou d'un excellent deuxième gardien qui peut prendre la relève et entourer un jeune. Je penses à des équipes comme Phoenix, New York(long Island) et Detroit, qui tous peuvent se permettre son coûteux salaire mis à part Détroit qui devra faire des concessions.

Extension de contrat pour Sestito

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8855/rumeurs/de/transactions/tslh/philadelphia%20flyers/2011-06-15/extension-de-contrat-pour-sestito/

Twitter.com : Tom Sestito rapporte via son compte twitter que les Flyers de Philadelphie ont prolongés son contrat d'une saison. Il sera donc de retour avec l'équipe l'an prochain et devrait débuter la saison dans la ligue américaine.

Le 2e choix au repêchage de 2011 est convoité

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8857/rumeurs/de/transactions/tslh/colorado%20avalanche/2011-06-15/le-2e-choix-au-repechage-de-2011-est-convoite/


The Denver Post : Adrian Dater rapporte que l'Avalanche du Colorado aurait reçu plusieurs offres concernant son 1e choix au repêchage qui est le 2e au total de 2011. Dater se demande si l'équipe tentera de l'échanger. Plus de détails à venir...

Et si Steve Mason serait disponible?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8846/rumeurs/de/transactions/tslh/columbus%20blue%20jackets/2011-06-14/et-si-steve-mason-serait-disponible/

CSNPHILLY.COM : Tim Panaccio rapporte la rumeur voulant que Jeff Carter prenne le chemin de Columbus en retour du 8e choix au repêchage de 2011 en plus de l'attaquant Jakub Voracek. Selon plusieurs sources, Panaccio note que Paul Holmgren le directeur général des Flyers ainsi que Scott Howson, le directeur général des Blue Jackets, se seraient rencontrés récemment pour diner non pas pour parler de Jeff Carter ou de choix au repêchage, mais plutôt de la possibilité d'envoyer le jeune Steve Mason à Philadelphie.

Peu de temps après cette même rencontre, les Flyers auraient décidé de se tourner plutôt vers les droits du cerbère russe, Ilya Brygalov.

Note : C'est donc dire que si jamais une signature échouait entre Brygalov et les Flyers, la possibilité de voir Mason avec les Flyers existerait. Une chose est certaine, toutes les rumeurs convergent actuellement vers Columbus en ce qui a trait à l'attaquant Jeff Carter.

Ales Hemsky avec les Blue Jackets?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8858/rumeurs/de/transactions/tslh/rumeurs%20d'echanges/2011-06-15/ales-hemsky-avec-les-blue-jackets/


Edmonton jOURNAL : David Staples rapporte que l'attaquant Ales Hemsky est encore sous contrat jusqu'à la fin de la saison 2011-2012 c'est donc dire qu'il ne reste qu'une seule année à son contrat actuel. Les Oilers pourraient donc décider à tout moment d'échanger celui-ci, car vu la durée limitée de contrat, il devient attrayant pour les autres équipes.

Des sources auraient mentionné en direct de Prague que le directeur général des Blue Jackets, Scott Howson, ne serait pas seulement intéressé à acquérir Jeff Carter des Flyers de Philadelphie et qu'Ales Hemsky serait un candidat qui intéresserait le DG des Jackets également. La rumeur a été soulevée par Peter Adler un homme bien connût au hockey en sol Européen.

Jagr souhaite effectuer un retour dans le circuit Bettman

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8859/rumeurs/de/transactions/tslh/rumeurs%20d'echanges/2011-06-15/jagr-souhaite-effectuer-un-retour-dans-le-circuit-bettman/



Journal de Montréal : André Cyr rapporte que l'attaquant Jaromir Jagr viserait maintenant la LNH après avoir eu une réponse négative de la formation du SKA de St. Petersbourg dans la KHL. Jagr demandait un salaire trop élevé (5$ M par saison) selon les propos du directeur général de l'équipe. Une autre formation de la KHL, l'Avanguard Omsk lui aurait soumis une offre de 2,5$ M par saison, et ce, pour les trois prochaines années.

Le Canadien, Red Wings, Penguins et Rangers seraient tous des équipes qui auraient démontré un intérêt envers l'attaquant tchèque.

Un contrat de cinq ans serait sur la table pour Bryzgalov

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8860/rumeurs/de/transactions/tslh/philadelphia%20flyers/2011-06-15/un-contrat-de-cinq-ans-serait-sur-la-table-pour-bryzgalov/


Philly.com : Sam Carchidi rapporte qu'Ilya Brygalov et son agent, Rich Winter, arriveront dans la grande ville tard mercredi dans la soirée et rencontreront dans les prochains jours le directeur général de l'équipe, Paul Holmgren, l'entraîneur-chef, Peter Laviolette ainsi que l'entraîneur des gardiens de but, Jeff Reese.

Holmgren n'a pas encore rencontré le principal intéressé en personne, mais a eu une conversation téléphonique avec celui-ci qui a semblé être très positive.

Les Flyers sont très sûrs d'en venir à une entente avec le cerbère avant le premier juillet prochain. Apparemment que l'équipe serait prête à lui offrir un contrat de cinq ans évalué à 27$ M. Avec une telle signature, Ville Leino ne devrait pas recevoir une nouvelle offre de contrat de la part des Flyers. D'autres hauts salariés de l'équipe pourraient être échangés dont le défenseur Matt Carle.

Wisniewski la meilleure option pour les Red Wings

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8856/rumeurs/de/transactions/tslh/detroit%20red%20wings/2011-06-15/wisniewski-la-meilleure-option-pour-les-red-wings/


MLIVE.com : Ansar Khan rapporte que certains hauts dirigeants de l'équipe se sont rencontrés hier et se rencontreront à nouveau aujourd'hui afin de discuter du sujet de l'heure chez les Red Wings, remplacer Brian Rafalski.

Khan note que le marché des joueurs autonomes offre actuellement de très bonnes options. Il mentionne que le défenseur du Canadien de Montréal, James Wisniewski, demeure le candidat idéal afin de remplacer Rafalski en zone défensive. Il ajoute que le défenseur est un très bon manieur de rondelle en plus qu'il produit offensivement. Il est jeune et joue un style robuste. Il est droitier et a joué son hockey junior dans la région de Détroit en plus d'être né au Michigan.

Nicklas Lidstrom et Jonathan Ericsson devront décider d'ici les prochains jours s'ils seront de retour avec l'équipe pour la prochaine saison. Ericsson aurait une offre de contrat de 2$ M par saison sur la table, mais pourrait tout de même tester le marché des joueurs autonomes.

Seul Jakub Kindl, Niklas Kronwall et Brad Stuart sont sous contrat à la défense pour la prochaine saison chez les Red Wings.

Wisniewski a touché 3,25$ M la saison dernière et selon Khan, il pourrait toucher environ 4,5$ M par saison lors de la venue de son prochain contrat qui pourrait être d'une durée de quatre ou cinq ans. Kevin Bieksa, Ian White, Eric Brewer, Ed Jovanovski, Sami Salo et Christian Ehroff pourraient être d'autres options envisageables pour les Wings.

Daniel Sedin vs Mark Messier

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2973:daniel-sedin-vs-mark-messier&Itemid=18
 
Mercredi, 15 Juin 2011
Par HOCKEY30.com
Daniel Sedin a eu le culot de prédire la victoire des siens, comme un certain Mark Messier en 1994. Saura-t-il répondre comme le grand Mark? Retour dans le passé...

Les Flyers: un vestiaire divisé

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2972:les-flyers-un-vestiaire-divisé&Itemid=18


Mardi, 14 Juin 2011
Par HOCKEY30.com
- Nous avons demandé à notre informateur du Philadelphia Inquirer, très connecté avec les joueurs des Flyers, de demander à ces derniers ce qu'ils pensaient des rumeurs concernant Jeff Carter.
- Mike Richards, son meilleur ami, ne s'en fait pas outre-mesure. "Les rumeurs sont les rumeurs. Tout ce que je sais, c'est que Jeff est un morceau important de cette équipe, l'un de nos attaquants les plus talentueux. Alors, c'est normal si d'autres équipes le veulent. Mais en tant que capitaine de cette formation, je peux vous dire qu'il est encore un Flyers".
- Chris Pronger, lui, a envoyé promener notre informateur.
- Scott Hartnell a été peu loquace de son côté. "Les échanges font partie du hockey. Parfois, dans une business, il faut faire des choix. Reste à voir ce que Paul (Holmgren) décidera. Si un échange nous permet de nous améliorer et de signer un gardien de but de premier plan, Paul saura faire le bon choix".
- Tout le monde le sait: il y a un problème dans ce vestiaire. Chris Pronger et Mike Richards ne sont pas les meilleurs amis du monde, c'est évident.
- Le vétéran défenseur semble avoir du mal à digérer que les jeunes Carter et Richards aient pris le contrôle du vestiaire.
- Selon plusieurs sources de Philadelphie, les problèmes dans le vestiaire des Flyers étaient plutôt liés à une histoire d'adultère impliquant Jeff Carter et Scott Hartnell.
- Carter aurait fréquenté la femme de Hartnell. Ce dernier serait devenu fou de rage lorsqu'il a appris la nouvelle. Le vestiaire se serait alors divisé en deux sur-le-champ:
- La majorité des jeunes se seraient reliés à Carter tandis que les vétérans auraient pris le côté de Hartnell.
- On va encore nous accuser de ramener de vieux potins sportifs, mais selon notre source, il y a un réel problème d'ego dans ce vestiaire.
- La solution passera-t-elle par un échange impliquant Jeff Carter? Nous ne croyons pas. Selon nos infos, le centre n'est tout simplement pas sur le marché.
- Holmgren aimerait mieux de débarrasser de Matt Carle et Kris Versteeg bien avant Carter.
- Toutefois, les Blue Jackets restent attentifs à la situation, tout comme les Maple Leafs.
- À suivre...

Price vs Labbé, un gardien fait jaser et les infos

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2971:price-vs-labbé-un-gardien-fait-jaser-et-les-infos&Itemid=18


Mardi, 14 Juin 2011
Par HOCKEY30.com
- Tiens, tiens. On savait que ce n'était pas l'amour fou entre Carey Price et le journaliste de La Presse, Richard Labbé, mais à ce point?
- "Respect à R.Luongo, qui s'est pointé devant les médias malgré sa déconfiture. J'en connais au Centre Bell qui n'auraient pas fait ça..." a écrit le journaliste sur son compte twitter. Ouch...
- Viktor Fasth est un gardien qui fait jaser ces temps-ci. Âgé de bientôt 29 ans, ce dernier a tout cassé dans la ligue élite suédoise avec la formation de AIK et a remporté le tire du joueur le plus utile à son équipe avec l'équipe nationale lors des Championnats du Monde.
- D'accord, on vous entend déjà dire qu'il s'agira d'un 2e Jonas Gustavsson, un gardien qui sera vite oublié en Amérique du Nord. Mais selon nos infos, Fasth est de loin supérieur à Gustavsson et a le calibre pour être numéro un dans la LNH.
- Les Coyotes de Phoenix ont envoyé un dépisteur en Suède afin de rencontrer ce gardien intriguant.
- Les noms de Tuukka Rask et Cory Schneider circulent aussi à Phoenix.
- À force d'attendre, Jaromir Jagr s'est vu retirer les offres que le SKA de St- Petersbourg et l'Avangard Omsk lui avaient soumises.
- Jagr, lui, est encore confiant de jouer dans la LNH la saison prochaine.
- Si aucune équipe du circuit Bettman ne lui fait signe, tout indique que le vétéran ira jouer en République Tchèque.
- Le nom de Kirk Muller circule toujours au New Jersey, tout comme celui de Ken Hitchcock. S'il n'obtient pas le poste, il devrait accepter un poste d'adjoint quelque part. À suivre...
- Selon Mike Babcock, les Sénateurs d'Ottawa viennent de mettre la main sur un génie. " Bryan Murray vient d'effectuer le meilleur coup de sa carrière. Paul MacLean va relancer cette organisation. Les Sens redeviendront une puissance, je vous le jure"a confié Babcock à notre informateur.
- Les noms de Dave Cameron et Mark Reeds circulent comme possibles adjoints à MacLean.
- Après les Blue Jackets, voilà que les Islanders ont informé toutes les équipes de la LNH que leur premier choix était disponible (5e au total).
- On raconte que Tim Thomas remportera le trophée Conn Smythe, même si les Bruins perdent le 7e match.
- Le gardien a fracassé un record de la LNH pour le nombre d'arrêts effectués en séries (763).
- Mason Raymond est blessé gravement. Il pourrait devoir s'absenter de 3 à 4 mois, résultat d'une vertèbre fracturée.
- Ryan Kesler, lui, joue blessé depuis la 3e ronde.
- Dan Hamhuis ne sera pas en uniforme mercredi, lui qui est aux prises avec une hernie. Rien ne va plus pour les Canucks!