samedi 30 avril 2011

Lapierre prend du gallon

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Vendredi, 29 Avril 2011
Par HOCKEY30.com

- Maxim Lapierre prend de plus en plus de gallon chez les Canucks.
- Le Québécois a été envoyé dans la mêlée par son entraîneur Alain Vigneault afin d'aller prendre la mise au jeu la plus importante du match.

- Il restait un peu plus d'une minute, le score était de 1-0 Vancouver et Pekka Rinne s'apprêtait à revenir au banc pour un 6e attaquant.
- Lapierre a gagné sa mise au jeu très facilement, mais les Canucks ont envoyé la rondelle en fond de territoire pour un dégagement refusé.

- Le Québécois devait répéter sa mission. Cette fois, Rinne était au banc. Résultat? Même chose. Lapierre a gagné sa mise au jeu.
- Il faut ajouter que le joueur de centre était partout sur la glace durant tout le match, a servi une magnifique passe sur le but gagnant d'Higgins et a joué avec tellement d'énergie qu'il enflammait la foule du Rogers Center à chaque fois qu'il s'approchait de la rondelle.
- Lappy semble avoir trouvé sa niche à Vancouver.
- Après le match, Alain Vigneault lui a lancé des fleurs en affirmant qu'il avait toujours confiance d'envoyer Lapierre dans des situations critiques.
- Les partisans de Vancouver l'adorent, si bien que son chandail est un très bon vendeur.

- Qui l'aurait cru?
- Si le Canucks remportent la Coupe Stanley, Lapierre aura un petit sourire en coin en pensant aux Ducks et au Canadien qui ont jeté la serviette dans son cas.
- Il joue maintenant pour la meilleure équipe de la LNH.
- Et semble y prendre de plus en plus plaisir.
- On raconte même qu'il signera un contrat avec les Canucks cet été.
- Ah comme la vie peut changer rapidement...

Boucher joue dans la tête des Caps, San Jose la ville de hockey et les infos

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Vendredi, 29 Avril 2011
Par HOCKEY30.com

- Guy Boucher a reçu une douche de Gatorade de la part de ses joueurs après la victoire du Lighnting contre les Penguins. "Il mérite tout ce qu'il nous arrive. On pourrait mourir pour lui' nous a confié Dominic Moore. Dire qu'il aurait pu être l'entraîneur-chef du Canadien...

- Parlant de Boucher, ce dernier a fait une déclaration intéressante à l'aube de la série contre les Capitals:"Washington est de loin favori. Ça serait un échec total si on les battait. Ils sont rendus à la 5e année de leur plan tandis que nous commençons juste un processus de reconstruction" a déclaré le coach, voulant diminuer la pression sur les épaules de son équipe et en rajouter un tonne sur celles de Bruce Boudreau. Parions que ce dernier ne tardera pas à répliquer...

- C'est fou à quel point San Jose est une ville de hockey. Les Sharks font salle comble depuis 6 ans, on retrouve des chandails de l'équipe partout dans la ville et les médias de la région ne font que parler de la 2e ronde contre les Red Wings. On peut reprocher beaucoup de choses à Gary Bettman, mais force est d'admettre que l'expansion à San Jose au début des années 90 fut un réel succès.

- Certains joueurs affirment même que les partisans de San Jose sont les plus bruyants de toute la LNH. Quand on pense que cette ville se trouve en Californie...
- L'agent de Jonathan Bernier a répété au DG des Kings Dean Lombardi, que son client voulait être un numéro la saison prochaine. Considérant que cette équipe est celle de Jonathan Quick, l'avenir de Bernier semble être ailleurs qu'à Los Angeles.

- Le problème est que Lombardi ne veut rien savoir et désire garder Bernier pour l'instant. Ça va sentir la friction à LA d'ici quelques temps...
- Parlant de Bernier, ce dernier rejoindra Équipe Canada.
- Jason Pominville a subi une opération pour réparer un tendon de la jambe gauche. Il devrait s'absenter pour un minimum de 5 mois.
- Le nom de Kirk Muller circule à Dallas et au New Jersey.
- John Torchetti (adjoint à Atlanta) serait pressenti pour devenir le prochain entraîneur chef des Panthers…
- Pour la millième fois, Zach Parise restera avec les Devils du New Jersey.
- Certaines rumeurs émanant de Winnipeg racontent que si une équipe de la LNH y déménage, la concession s'appellera le Moose et non les Jets. Quel dommage! Espérons qu'il s'agit seulement de suppositions...
- Corey Crawford signera bientôt un contrat à long terme avec les Blackhawks de Chicago. Il le mérite amplement...
- Le nom de Maxime Talbot circule à Anaheim

Les nominés pour le Jack-Adams
La presse canadienne: Alain Vigneault, Dan Bylsma et Barry Trotz sont les finalistes à l'obtention du trophée Jack-Adams à titre d'entraîneur-chef de l'année, a dévoilé vendredi la Ligue nationale de hockey.
Vigneault a mené les Canucks de Vancouver au trophée du Président, remis à l'équipe ayant conservé la meilleure fiche en saison régulière, soit 54-19-9 pour 117 points en 2010-11.
Bylsma, malgré l'absence des deux super-vedettes Sidney Crosby et Evgeni Malkin pour la majeure partie de la saison, a su mener les Penguins de Pittsburgh à un dossier de 49-25-8 pour 106 points et le quatrième rang dans l'Est.
Trotz a de son côté conduit les Predators de Nashville à une fiche de 44-27-11 et 99 points, bons pour le cinquième rang dans l'Ouest.
Malgré l'excellente saison qu'a connue Guy Boucher à la barre du Lightning, l'entraîneur québécois a été ignoré.
Le vainqueur sera annoncé le 22 juin, lors du banquet annuel de la LNH.

Ruff signe à Buffalo
Associated Press: Lindy Ruff n'a toujours pas donné une coupe Stanley à la ville de Buffalo, mais au moins, il dispose de quelques années de plus pour le faire, puisque les Sabres ont offert vendredi une prolongation de contrat de plusieurs saisons à leur entraîneur-chef.
« Je suis très excité», avait dit Ruff lors de la conférence de presse d'après-saison des Sabres, où se trouvaient également le proprio Terry Pegula, le président Ted Black et le directeur général Darcy Regier. « Notre but est de remporter la coupe Stanley et je crois que nous pouvons le faire. »
Ruff, qui a dirigé son 1000e match en carrière et son 100e en séries cette saison, tous avec les Sabres, avait refusé une précédente offre de prolongation de contrat, qui lui avait été offerte par l'ex-propriétaire du club Tom Golisano. Ce dernier a vendu le club au milliardaire Pegula en février.
« Nous somme tous très heureux », a dit ce dernier.
Après qu'il eut pris le poste de DG après la saison 1996-97, Regier a embauché Ruff, qui agissait à titre d'adjoint avec les Panthers de la Floride à ce moment. Près de 14 ans plus tard, les deux semblent inséparables.
Ils ont passé par trois changements de propriétaires, la faillite de l'équipe en 2003, cinq saisons sans se qualifier pour les séries et sept des neuf dernières saisons sans franchir le premier tour éliminatoire.
Mais ils ont aussi guidé les Sabres à quatre participations à la finale de l'Est, remporté un trophée du Président et subi une défaite crève-coeur en finale de la Coupe Stanley contre les Stars de Dallas en 1999. Selon les règles en vigueur à l'époque, le but de Brett Hull en troisième période de prolongation du sixième match n'aurait pas dû compter, puisque le pied de Hull était dans la zone réservée au gardien.
« Vous avez besoin d'une certaine dose de bonne fortune et nous en avons profité, a dit Regier. Je suis très reconnaissant de me retrouver dans la position où je me trouve, et je sais que Lindy pense la même chose.
« Vous devez trouver des façon de faire les choses mieux que les autres organisations. Si vous êtes 28e, 29e ou 30e, on passe déjà à autre chose. »
Cette saison, les Sabres se sont retrouvés dans les bas-fonds de la ligue avec un départ de 3-9-2 et plusieurs croyaient Ruff à ses derniers milles. Mais l'équipe a été en mesure de renverser la vapeur, terminant la saison avec une séquence de 29-11-6, dont 16-4-4 après l'achat de l'équipe par Pegula.
« Habituellement, nous sommes une équipe qui doit connaître de très bons débuts de saison, a dit Ruff. Il semble que nous avons été en mesure de trouver une nouvelle énergie une fois la vente de l'équipe complétée. »
Cette deuxième moitié de saison leur a permis de se classer pour les séries, où ils ont perdu au septième match du premier tour contre les Flyers de Philadelphie.
Depuis que Ruff a pris la direction des Sabres il y a 14 ans, 162 changements d'entraîneurs ont ont eu lieu dans la LNH. Sa séquence avec les Sabres est la troisième plus longue du sport professionnel nord-américain, derrière celles de Tony LaRussa (Cardinals de St. Louis, Baseball majeur) et de Gregg Popovich (Spurs de San Antonio, NBA).

L'été s'annonce chaud

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Vendredi, 29 Avril 2011
Par HOCKEY30.com
- Selon nos infos, Pierre Gauthier a grandement apprécié le travail de James Wisniewski.
- Le DG voudrait absolument garder le défenseur à Montréal.
- Le Canadien aurait aussi promis un poste parmi les 7 premiers défenseurs à Yannick Weber.
- Comme nous l'avons dit hier, Gill sera assurément de retour.
- Considérant que Josh Gorges sera aussi de retour, tout comme Markov et que Spacek a un contrat en poche pour la saison prochaine, ça ne sent pas bon pour Roman Hamrlik.
- Toutefois, rien ne dit que Gauthier réussira à payer Wisniewski, alors on ne sait jamais.
- Malheureusement pour le vétéran tchèque, il ne fait pas partie du plan A de Gauthier.
- Brent Sopel, lui, n'aura qu'été de passage. Nous l'avons trouvé fort sympathique d'ailleurs et lui souhaitons la meilleure des chances.
- Le Canadien aimerait bien rapatrier Alexei Emelin. Le problème est que le défenseur russe veut avoir l'assurance d'avoir un poste avec le grand club, ce que ne peut lui promettre le Canadien.
- Andrei Kostitsyn devrait signer un nouveau contrat avec l'organisation. Il faut admettre que le Biélorusse est plus impliqué dans le jeu et a fait preuve d'un plus grand professionnalisme qu'en début de saison.
- Sur le marché des joueurs autonomes, on raconte que le Canadien sera à la recherche d'un centre droitier imposant physiquement et capable de jouer sur l'un des deux premiers trios.
- Il sera aussi à la recherche d'un ailier robuste de 3e trio.
- Jeff Halpern s'est fait dire par l'organisation que ses services n'allaient pas être retenus.
- L'été s'annonce chaud à Montréal...

«P.K. sera de la prochaine équipe aux Jeux olympiques» -Mathieu Darche

(CKAC Sports) - Un des joueurs les plus appréciés des partisans du Canadien, Mathieu Darche, a confirmé, vendredi matin, qu'il subira sous peu une opération à l'abdomen.
L'attaquant originaire de Montréal, qui deviendra joueur autonome sans compensation, avoue toutefois mieux dormir en attente de la direction qu'entend prendre le CH à son sujet.

«Je dors un peu mieux oui, mais tant que rien n'est signé, les paroles ne veulent rien dire, soutient Darche. Je dois être patient, car l'équipe a ses évaluations à faire, mais c'est sûr que je suis dans une meilleure position que d'autres années.»

P.K, Gomez et les autres

Dans son bilan annuel tenu jeudi, le directeur général Pierre Gauthier a dit que certains de ses joueurs touchaient moins d'argent, mais qu'ils en avaient donné plus à l'organisation cette saison.
Il devait entre autres penser à Mathieu Darche.

Ce dernier, auteur de 26 points, admet qu'il aimerait demeurer avec l'équipe, entre autres pour voir exploser tout le talent des jeunes joyaux de l'organisation.

«J'ai côtoyé P.K Subban dès son arrivée à Hamilton et je l'ai trouvé encore meilleur cette année. Avec lui, il n'y a pas de limites et je prédis qu'il sera aux prochains Jeux olympiques. C'est un des meilleurs défenseurs que j'ai vus dans ma carrière. Il ne se fait jamais ramasser, même si les autres équipes ne l'aiment pas, il a un talent inné pour se sortir du trouble avec la rondelle.»

Prendre ses responsabilités
Et Scott Gomez ?

«Tout le monde sait qu'il n'a pas eu la saison qu'on s'attendait de lui et au moins il n'est pas là à se trouver des excuses. Il n'est pas le premier à derniers 20 matchs et en séries, l'effort y était. Les entraîneurs et les amateurs vont pardonner à un joueur qui fait des efforts.»

À 34 ans, Darche connait son rôle et n'a jamais changé d'air quand Jacques Martin a décidé de le laisser de côté en cours de saison.

«Un entraîneur n'est pas là pour gagner un concours de popularité, a-t-il précisé. Jacques Martin a dirigé 1 000 matchs et remporté 600 victoires et il ne l'a pas eu par chance. Je le respectais, même quand j'étais retiré de la formation en début de saison. Ce n'est jamais le fun, mais aucun individu n'est plus gros que l'équipe. Il croit prendre les bonnes décisions et c'est à toi quand tu as une chance de revenir de lui prouver qu'il avait tort.»

Écoutez l'entrevue en compagnie de Mathieu Darche.
http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/p.k.-sera-de-la-prochaine-equipe-aux-jeux-olympiq-73172.html

«David Desharnais aura une belle carrière» -Jacques Martin

(CKAC Sports) - L'entraîneur-chef du Canadien, Jacques Martin, a insisté sur la qualité des jeunes joueurs de l'organisation et répondu aux questions à propos de P.K. Subban et Scott Gomez lors de son passage sur les ondes de CKAC Sports, vendredi matin.
L'entraineur, qui a complété sa deuxième saison à la barre du Tricolore, paraissait de meilleure humeur que la veille lors du bilan officiel de l'équipe. Il a blagué en plusieurs occasions en compagnie des animateurs Michel Langevin et Gabriel Grégoire.

L'émergence des jeunes et l'épisode avec P.K.

«On commence à voir l'impact de nos jeunes avec Price, Subban, Pacioretty, Desharnais, Eller, Weber et White, a-t-il analysé. C'est de bon augure pour l'organisation. Ce fut d'ailleurs notre force quand j'étais à Ottawa où deux ou trois jeunes perçaient l'alignement chaque année.»

Martin est revenu sur plusieurs dossiers, dont sa façon d'utiliser ses jeunes joueurs talentueux. L'épisode du retrait de P.K. Subban pour quelques matchs avait entre autres fait couler beaucoup d'encre.

«J'ai été beaucoup critiqué, mais je pensais que c'était la bonne chose à faire à ce moment . C'était clair qu'il ne performait pas comme il pouvait le faire et c'est seulement sa performance sur la patinoire qui était en cause. Il n'était pas efficace et il ne jouait pas selon les normes de l'équipe. En voyant comment il s'est comporté par la suite, son retrait a été une réussite. Dans ce temps-là, je vais prendre toutes les critiques.»

Des fleurs à Desharnais, une dernière chance à Gomez ?

«J'avais été dur avec Pacioretty parce qu'il avait besoin de ça. Quand il est revenu cette année, il avait développé sa confiance et ses habiletés offensives. Même chose avec David Desharnais et Ryan White. J'adore leur caractère. J'admire Desharnais qui aura une belle carrière à cause de son engagement, son dévouement et sa personnalité. Tu veux aller à la guerre avec ces joueurs-là.»

Martin n'a pas évité les questions sur Scott Gomez, mais on a senti une baisse d'enthousiasme.

«J'ai déjà relégué des vétérans aux gradins et Scott Gomez s'est retrouvé sur le banc à quelques occasions. C'est un vétéran gagnant de la Coupe Stanley qui avait bien performé la saison précédente, mais il a avoué qu'il n'avait pas livré la marchandise. J'ai eu une bonne rencontre avec lui et on prendra des moyens différents l'an prochain si ça ne fonctionne pas.»

La Coupe bientôt ?

Après un dossier de 39-33-10 et une présence inespérée en finale d'association à sa première saison à la barre du CH, Jacques Martin a vu sa troupe lui offrir une meilleure fiche en saison régulière, mais une sortie rapide en séries d'après-saison.

Il est maintenant l'un des entraîneurs avec le plus d'ancienneté dans la LNH, mais toujours en quête de la récompense ultime.

«La Coupe, on y pense toujours et on s'en va dans la bonne direction. Nous avons une bonne base, on a eu une bonne amélioration comme équipe et ce serait bien de demeurer en santé avec des joueurs comme Markov et Gorges. On aimerait amener une Coupe à Montréal», a-t-il conclu en répétant que Montréal comptait sur les meilleurs partisans.

La première aux Requins

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/la-premiere-aux-requins-73308.html

SAN JOSE, Calif. - Un but de Benn Ferriero à 7:03 de la période de prolongation, vendredi, a permis aux Sharks de San Jose de se sauver avec une victoire de 2-1 aux dépens des Red Wings de Detroit lors du premier match de cette série demi-finale de l'association Ouest.
Le tir de Ferriero a dévié sur le bâton du défenseur des Red Wings Brad Stuart avant de se retrouver derrière le gardien Jimmy Howard. Ce but est survenu après que Detroit eut écoulé une pénalité de quatre minutes.

Les Red Wings tirent donc de l'arrière 1-0 face à San Jose dans cette série.

Joe Pavelski, des Sharks, avait créé l'égalité lors d'une supériorité numérique en troisième période.

Antti Niemi a repoussé 24 tirs dans la victoire, la quatrième des Sharks en surtemps lors des présentes séries éliminatoires.

Howard a pour sa part effectué 44 arrêts. Nicklas Lidstrom a enfilé l'unique but des Red Wings au lendemain de son 41e anniversaire de naissance.

Le deuxième match de cette série sera disputé dimanche à San Jose

On ne plaisante pas avec les slogans du circuit Bettman

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/on-ne-plaisante-pas-avec-les-slogans-du-circuit-be-73293.html

VANCOUVER - La Ligue nationale de hockey (LNH) a avisé un concessionnaire automobile de Vancouver qu'il n'est pas autorisé à utiliser le slogan « Go Canucks Go ».
Kingsway Honda affichait le slogan et le logo des Canucks jusqu'à ce qu'il reçoive une lettre de la LNH lui ordonnant de retirer son affiche, l'expression Go Canucks Go' et le logo de l'équipe étant protégés par des droits d'auteur.

Le directeur général Doug Lum assure que le concessionnaire a changé son affiche pour « Go Nucks Go », bien qu'il dise ne pas comprendre pourquoi son établissement a été ciblé. Dans les rues de Vancouver, l'enthousiasme des partisans des Canucks est visible un peu partout depuis le début des séries éliminatoires de la Coupe Stanley.

La LNH a également condamné une campagne de promotion de la station de radio vancouvéroise Rock 101, qui permettait à des partisans de frapper une camionnette affichant le logo des Blackhawks de Chicago ou des Prédateurs de Nashville avec une masse.

La campagne servait de collecte de fonds pour l'organisme « Fais-Un-Voeu ». La station de radio présentait une affiche qui disait « Écrasez pour la Coupe », sans toutefois utiliser de photo de la Coupe Stanley. La LNH a tout de même envoyé une ordonnance de cessation et d'abstention à Rock 101. Le directeur de la station a qualifié l'ordonnance de ridicule, mais s'y conformera.

Price: «J'ai déjà hâte d'entreprendre la prochaine saison»

http://www.ruefrontenac.com/sports/10-sport-amateur/36909-hockey-lnh-bruins-canadien-price

Sports - Canadien
Écrit par Léandre Drolet   
Jeudi, 28 avril 2011 15:39
Mise à jour le Jeudi, 28 avril 2011 23:33
Carey Price passera l'été qui s'en vient dans de bien meilleures dispositions que celui qu'il a vécu l'an dernier.
Faut-il rappeler que le printemps dernier, Price avait terminé sa saison au bout du banc à regarder Jaroslav Halak réaliser des miracles devant le but du Canadien. Il était retourné chez-lui à Vancouver, en ignorant lequel de Halak ou de lui, l'organisation du Canadien préférait garder pour bâtir les fondations de l'équipe.
« À cette même période l'an dernier, je n'étais pas tellement fébrile en vue de la saison suivante, alors que maintenant, j'ai déjà hâte d'entreprendre la prochaine », a déclaré le gardien qui avait les traits tirés en se présentant devant la horde de journalistes au complexe sportif de Brossard, jeudi après-midi.
Les yeux rougis de Price s'expliquaient par le fait qu'il n'avait réussi à fermer l'oeil qu'à 7 h 30, après avoir repassé et repassé dans sa tête le septième et ultime match contre les Bruins.
« Les gars ont tout donné ce qu'ils pouvaient, chacun peut retourner chez-lui avec le sentiment de s'être complètement investi », a déclaré le gardien.
Ce dernier a indiqué qu'il n'avait jamais eu autant de plaisir à jouer au hockey qu'il en a eu au cours de la dernière saison.
« Nous avons tellement un bon groupe de gars, j'aimerais que tout le monde revienne, mais le hockey est une business, malheureusement, il y a des gars que l'on ne reverra pas », a déclaré Price qui passera quelque temps à Montréal, avant de prendre des vacances à Hawaii.
Selon Price, l'équipe repose sur de bonnes bases avec des jeunes joueurs talentueux qui sont entourés de vétérans comme Brian Gionta et Michael Cammalleri.
À la défense de Gomez
Dans le même souffle, le gardien s'est porté à la défense de Scott Gomez.
« Scott est un grand joueur et un bon gars, il a beaucoup de pression sur les épaules en raison de son salaire, a dit Price. Comme dans n'importe quel domaine de la vie, un joueur peut vivre des moments plus difficiles. »
Price a tenu à souligner que Gomez joue un rôle important dans le vestiaire, et qu'on ne peut pas seulement tenir compte des statistiques qu'un joueur apporte à une équipe.
Il est évident que Price et ses coéquipiers auraient aimé poursuivre leur saison.
« Tous les gars ont été extraordinaires, nous sommes fiers de ce que nous avons accompli. Je n'aurais pas voulu être ailleurs que dans le vestiaire avant le septième match, a-t-il dit. Les deux équipes ont bien joué, mais malheureusement une équipe devait perdre. »
Pas facile, le job de Gauthier
Le gardien du Tricolore n'a pas l'intention de prendre part au championnat mondial de hockey. Il prétend avec raison qu'il a vu assez de rondelles au cours de la saison et qu'il a besoin d'un repos pleinement mérité.
Pas moins de neuf joueurs jouiront de leur liberté complète à compter du 1er juillet, et autant deviendront autonomes avec restriction. De ce nombre plusieurs ne seront pas de retour.
« Ce sera un travail difficile pour Pierre (Gauthier), mais il est un gars intelligent et je sais qu'il prendra les bonnes décisions », a déclaré celui qui portait un chandail de la tournée US Tour '78 des Rolling Stones.
Carey Price a définitivement remisé masque et jambières pour cette saison. Il les a troqués contre le chapeau de cowboy.
Photo Pascal Ratthé
S'il ne veut pas s'ingérer dans les prochaines acquisitions du directeur général du Canadien, Price en aura deux bonnes emplettes à faire au cours des prochaines semaines.
Son grand ami P.K. Subban lui a demandé de lui acheter un chapeau et des bottes de cowboy.
« P.K. a porté le mien lors d'un barbecue à la maison la semaine dernière et ça lui allait pas si mal », a-t-il blagué.
Finalement, Price a tenu à souligner comment les amateurs montréalais l'avaient appuyé au cours de la saison.
« Ils m'ont très bien traité, a-t-il dit. C'est tellement plaisant de jouer au Centre Bell devant les meilleurs partisans. Imaginez, l'amphithéâtre est plein lors de l'entraînement public... », a-t-il dit.
Price entrevoit la prochaine saison avec beaucoup d'optimisme pour lui et pour l'équipe.
« À titre personnel, je veux devenir un bon joueur et pour y arriver, je dois continuer à m'entraîner fort, a-t-il avancé. Je ne chausserai pas les patins avant le mois d'août. Je sais maintenant quoi faire pendant l'été pour être prêt pour la saison suivante. »

Les joueurs du Canadien déçus... mais pleins d'espoir

http://www.ruefrontenac.com/sports/canadiens/36896-hockey-lnh-canadien-post-mortem-hamrlik

Sports - Canadien
Écrit par François Foisy   
Jeudi, 28 avril 2011 13:27
Mise à jour le Vendredi, 29 avril 2011 04:58
Les joueurs du Canadien s'entendaient sur deux points, hier : l'élimination fait mal, mais l'avenir de l'équipe est prometteur.
« Nous avons tout donné, a affirmé Brent Sopel. Consultez les statistiques, 17 buts de chaque côté, sept matchs, quelques buts dans des filets déserts, trois rencontres qui finissent en prolongation… Nous pourrions facilement être assis à Washington présentement et ne pas avoir cette conversation. »
« Certes pas la conclusion que nous aurions espérée. Ils ont profité d'un bond favorable en prolongation… Je suis triste, mais que voulez-vous, c'est la vie », a simplement lancé Roman Hamrlik.
On le sait, seuls Jaroslav Spacek et P.K. Subban ont un contrat en poche pour la saison prochaine chez les défenseurs du Canadien. On se doute bien que des 11 défenseurs que comptait l'équipe en fin de saison, on en reverra pas mal moins lorsque s'ouvrira le camp d'entraînement, en septembre.

« J'adorerais rester, a admis le vétéran Hal Gill. Nous avons fait de bonnes choses jusqu'ici, alors j'aimerais continuer. J'aimerais jouer jusqu'à ce qu'on me mette dehors ! Il y a plusieurs incertitudes, mais j'aime cette équipe. Quand on réussit ce que nous avons réussi sans des gars comme Andrei Markov et Josh Gorges… »
Roman Hamrlik : tout a été décidé par un mauvais bond de la rondelle...
Photo Alain Décarie

Hamrlik aussi souhaite demeurer avec le Canadien et il sait très bien que si cela arrive, c'est qu'il ne gagnera plus les 5,5 millions de dollars qu'il a empochés cette saison.
« Je suis ici depuis quatre ans, j'aime ça, je ne veux pas déménager, j'aime la ville, a-t-il dit jeudi. Peu importe l'offre que je recevrai, je vais y penser. Ici, c'est mon deuxième chez-moi », a dit le Tchèque de 36 ans.
« C'est une bonne équipe, a-t-il enchaîné. C'est plaisant de voir nos jeunes jouer chaque soir, je me revois quand j'avais 18 ou 20 ans. Je ne rajeunis pas, mais j'ai essayé de bien faire mon travail. »
Spacek : la perte de deux défenseurs a fait mal
Jaroslav Spacek, lui, aurait souhaité connaître une meilleure campagne et ne s'en est pas caché. « J'aurais voulu en donner davantage, a-t-il dit. De toute évidence, je suis déçu de ma saison. »
Jaroslav Spacek se disait déçu de sa saison.
Photo Pascal Ratthé

Selon lui, pas de doute, la perte de Markov et de Gorges a eu un effet énorme sur la suite des choses pour le Tricolore. « C'étaient des blessures majeures qui ne nous ont pas privés de deux excellents défenseurs durant seulement deux semaines, mais durant des mois, a-t-il rappelé. La direction a donc été forcée d'aller chercher du renfort en défense alors que, autrement, nous aurions pu profiter d'aide en attaque. »

Scott Gomez a terminé avec une léthargie de 36 parties

http://www.ruefrontenac.com/sports/219-chiffres/36894-hockey-lnh-canadien-scott-gomez-lethargie-36-parties

Sports - Le sport en chiffres
Écrit par Roger Leblond   
Jeudi, 28 avril 2011 12:35
Mise à jour le Jeudi, 28 avril 2011 12:49
Après avoir été une forte déception lors de la saison régulière, plus particulièrement durant le dernier droit du calendrier régulier, l’attaquant Scott Gomez, du Canadien de Montréal, n’a pas réussi à secouer sa léthargie durant les séries éliminatoires.
L’ex-joueur des Devils du New Jersey et des Rangers de New York a présenté une fiche de 7-31-38 avec un piètre différentiel de – 15 lors de ses 80 matchs réguliers et de 0-4-4 avec un différentiel de – 6 lors de ses sept rencontres éliminatoires.
De plus, il n’a pas marqué lors de ses 29 derniers matchs de la saison régulière (0-11-11) et cela lui fait donc une léthargie de 36 matchs sans but, lui qui a récolté seulement 15 assistances lors de cette vilaine séquence.
Scott Gomez : trois douzaines de matchs d'affilée sans trouver le fond du filet...
Photo d'archives Olivier Jean
Son dernier but remonte aussi loin que le 5 février dernier, alors qu’il avait marqué le filet victorieux, dans un gain de 2 à 0 face aux Rangers de New York, au Centre Bell.
Soulignons que lors du septième match de la série contre les Bruins de Boston disputé mercredi, il n’a pas offert le rendement espéré, car il a terminé avec un différentiel de – 3, ayant été sur la patinoire pour les trois premiers buts des rivaux jurés du Canadien.
Une rareté : les six champions des sections vainqueurs au 1er tour des séries
Pour illustrer comment il est difficile de franchir le premier tour des séries éliminatoires sans aucune surprise, les six équipes qui ont remporté le titre de leur section sont sorties victorieuses dans leur première série pour la première fois depuis 1995-1996 !
Depuis que le présent système des séries de fin de saison a débuté en 1993-1994, c’est seulement la 2e fois que les six formations championnes des sections remportent leur première ronde. Lors de la seule autre saison où cela est arrivé (1995-1996), les Flyers de Philadelphie, les Penguins de Pittsburgh et les Rangers de New York, dans l’Association de l’Est et les Red Wings de Detroit, l’Avalanche du Colorado et les Blackhawks de Chicago, dans celle de l’Ouest, avaient réussi à vaincre leurs adversaires.
Soulignons qu’en 1995-1996, aucune série ne s’était rendue à la limite de sept rencontres (contre quatre cette année) et cinq des six séries avaient pris fin en six parties (4-2) alors que seuls les Blackhawks de Chicago avaient remporté leur duel en moins de six matchs, en balayant les Flames de Calgary en quatre matchs (4-0).
Les arbitres ont été plus sévères qu’en saison régulière
Contrairement à ce que nous assistions auparavant, les officiels de la Ligue nationale de hockey n’ont pas remisé leur sifflet depuis le début des séries éliminatoires, bien au contraire, car ils ont appelé plus de pénalités que durant le calendrier régulier !
Dans les 49 premiers matchs des séries, il y a eu un total de 1 297 minutes de pénalité, une moyenne de 26,47 par match, légèrement plus élevée que celle de 24,50 minutes des 1 230 matchs réguliers (30 142 minutes).
Au chapitre des avantages numériques, il y en a eu un total de 388 lors des 49 matchs du premier tour des éliminatoires, une moyenne de 7,92 avantages par match, comparativement à 7,09 avantages durant le calendrier régulier, alors qu’il y en avait eu un total de 8 716 en 1 230 matchs.
Soulignons qu’il y a également eu pas moins de 25 situations où une formation s’est retrouvée en supériorité de deux joueurs (dont quatre équipes ayant bénéficié de cette situation deux fois lors d’une même partie) et la fiche lors de ces situations a été de cinq buts en 25 supériorités de 5 contre 3, une efficacité de 20,00%
Le Canadien a été la seule équipe à capitaliser en deux occasions dans ces circonstances, marquant ses deux buts lors du gain de 2 à 1 dans le sixième match de la série face aux Bruins de Boston, mardi soir.
Les Canucks victorieux malgré l’inertie de Henrik Sedin et Ryan Kesler
Chez les Canucks de Vancouver, ce n’est pas seulement les performances de Roberto Luongo qui ont été décevantes durant la série difficilement remportée contre les Blackhawks de Chicago, mais aussi celles de quelques attaquants.
Henrik Sedin (0-5-5), Ryan Kesler (0-4-4) et Mason Raymond (0-3-3) n’ont pas réussi un seul but de toute la série, présentant un rendement combiné de 0-12-12 dans leurs 21 matchs disputés.
Durant le calendrier régulier, Sedin (19-75-94 en 82 matchs), Kesler (41-32-73 en 82 matchs) et Raymond (15-24-39 en 70 matchs) avaient présenté une fiche globale de 75-131-206 en 234 rencontres.
Soulignons par contre que Daniel Sedin, le récipiendaire du Trophée Art Ross durant la saison régulière (41-63-104 en 82 matchs) et Alexandre Burrows (26-22-48 en 72 matchs) ont répondu à l’appel, affichant un rendement de 5-2-7 et de 3-3-6 respectivement, Burrows ayant même réussi les deux seuls buts de l’équipe, dont celui en prolongation, lors du triomphe décisif de mardi soir, face aux Blackhawks de Chicago.
http://www.ruefrontenac.com/sports/canadiens/36919-subban

Écrit par Martin Leclerc   
Jeudi, 28 avril 2011 20:07
Mise à jour le Vendredi, 29 avril 2011 04:39
P.K. Subban en a fait du chemin cette saison. Expédié sur la passerelle de la presse au début de décembre à cause de son jeu un peu téméraire et de son attitude un peu trop individualiste au goût de ses coéquipiers, il a terminé les séries en tant que joueur le plus utilisé de toute la LNH.

En saluant les journalistes pour une dernière fois jeudi après-midi à Brossard, la plupart des vétérans de l'équipe ont salué le brio de Subban et insisté sur son importance au sein de la formation. Le nom du fringant défenseur était constamment prononcé avec celui de Carey Price lorsqu'on évoquait le bel avenir de l'organisation.

« Ce fut une belle année d'apprentissage, a plusieurs fois répété Subban. Je pense que le point tournant de ma saison a été cette conversation que j'ai eue avec Jacques (Martin).

« Ce fut une bonne conversation. Nous avons parlé des hauts et des bas (de la vie de hockeyeur). J'avais le support des entraineurs et de mes coéquipiers mais les gens oubliaient que je n'avais que 20 matchs d'expérience. J'ai beaucoup appris de Jacques. Il est l'un des grands responsables de mon succès. »
P.K. Subban a fait un dernier saut cette saison dans le vestiaire de son équipe.
Photo Pascal Ratthé
« Cette conversation est survenue quand Josh Gorges a été blessé à la fin de décembre, a raconté Jacques Martin. P.K. se voyait alors comme un défenseur offensif et je lui ai demandé de devenir le meilleur défenseur défensif possible parce que nous avions l’intention de le faire jouer systématiquement contre les meilleurs trios adverses. Et il a bien répondu à l’appel, sans toutefois perdre ses qualités offensives. »

« C’est un joueur qui a du talent, de la personnalité, du caractère et de l’émotion. Toutes des qualités dont cette organisation a besoin. Et il n’a que 21 ans. Il lui reste des choses à apprendre », d’ajouter Martin.
Subban a aussi plusieurs fois souligné l'apport de son partenaire de jeu, Hal Gill.

« Il a été mon mentor sur la patinoire comme à l'extérieur. C'est précieux de pouvoir profiter des connaissances d'un vétéran comme lui. Je deviendrai un meilleur joueur grâce à lui », a-t-il remercié. Il a même exprimé le souhait de revoir Gill au sein de la formation la saison prochaine.

Une jeune équipe avec beaucoup de potentiel

Les circonstances et les nombreuses blessures ont permis à Subban de prendre du galon rapidement et de devenir la pierre d'assise du CH à la ligne bleue.
Subban estime que son ami Carey Price est « la colonne vertébrale » de l'organisation. Photo Alain Décarie

« Cela m'a permis de saisir toute l'importance d’offrir du jeu constant. Il faut être prêt à chaque jour et à chaque entraînement. Il faut vouloir compétitionner à tous les jours.

Tu ne peux jamais prendre congé. C'est cela, apprendre à devenir un athlète professionnel. »
Lorsqu’on lui parle de la jeunesse qui pousse chez le Canadien, Subban estime que son ami Carey Price est « la colonne vertébrale » de l'organisation.
« Mais il n’est pas seul, ajoute-t-il. Il y a des gars comme Pacioretty, Desharnais et White qui poussent. Il y a beaucoup de jeune talent dans l’organisation. Qui sait, peut-être remporterons-nous la coupe la saison prochaine ? », lance-t-il.

EXCLUSIF – Disparition de «Sports 30» en début de soirée


Sports - Médias
Écrit par Pascale Lévesque   
Vendredi, 29 avril 2011 16:49
Mise à jour le Samedi, 30 avril 2011 01:13


Après presque 22 ans à l’antenne, RDS tourne la page et mettra fin dès l’automne au bulletin de Sports 30 de début de soirée, a appris Rue Frontenac. La coanimatrice de l’émission Chantal Machabée garde sa place à RDS, mais la station n’aurait pas dans ses plans pour l’instant de lui confier une autre heure d’antenne bien à elle.

Ironique puisque, si on se rappelle, c’est elle qui avait inauguré la chaine lors de sa mise en ondes officielle le 1er septembre 1989 à la barre de cette même émission. Sports 30 étant le premier « show » de l’histoire de RDS.

La version matinale tout comme celle du midi de Sports 30 seront par contre maintenues. Quant à celle de 18h30, elle ferait place au 4 à 7, déjà en ondes à RIS, le réseau d’information de RDS. Animé par Frédéric Plante et Yannick Bouchard, le bulletin d’info, qui tient plus du talk-show à la sauce des Tannants, serait alors présenté aux deux antennes.

Cela étant dit, la décision de mettre un terme au bulletin de Sports 30 de début de soirée, coanimé par Chantal Machabée et Marc Labrècque, ne serait pas motivée par des impératifs économiques, mais plutôt idéologiques. Dans une simple optique de changement.
C'est la mort d'une institution qui est annoncée pour l'automne à RDS. Photo d'archives

Enfin, lorsqu’on leur a annoncé la nouvelle jeudi, on aurait promis aux deux animateurs de les replacer dans la grille horaire. Reste que l’antenne n’a pas vraiment le moyen de se passer – comprendre de ne pas choyer au maximum – sa chef d’antenne Chantal Machabée.

Cette dernière étant nommée à chaque année de façon récurrente au gala Artis – qui a lieu dimanche – dans la catégorie Personnalité émission de sport, elle est certainement la tête d’affiche du réseau de sports qui sait le mieux rallier les experts et le public. Notre collègue de La Presse, Nathalie Collard, dressait d’ailleurs un élogieux portrait d’elle cette semaine.

Comme cette dernière le dit, il reste que Chantal Machabée est un pilier de RDS, une figure crédible à laquelle adhèrent les téléspectateurs. Il serait dommage pour la chaîne sportive de perdre un tel atout.

Lindy Ruff récompensé à Buffalo

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/04/20110429-114255.html

Les Sabres de Buffalo ont annoncé, vendredi, qu'ils avaient conclu une entente de plusieurs années avec leur entraîneur-chef, Lindy Ruff.

 
Ruff est l'entraîneur avec le plus de longévité derrière le banc d'une même équipe, dans la Ligue nationale de hockey. Il dirige les Sabres depuis 13 saisons.
 
Mardi, son équipe a été éliminée en sept rencontres, face aux Flyers de Philadelphie. Il a guidé les Sabres à un dossier de 42-29-10 cette saison, bon pour la septième place dans l'association Est.

Le 8 janvier dernier, Ruff était devenu l'entraîneur le plus victorieux de l'histoire avec une seule équipe. Il a récolté son 501e gain, dépassant ainsi Toe Blake, qui avait amassé 500 victoires avec les Canadiens de Montréal.

David Desharnais convaincu d'être à sa place

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2011/04/20110429-021745.html

Une blessure au genou gauche a tenu David Desharnais à l’écart des deux derniers matchs des séries. En revanche, le petit joueur de centre rentre à la maison avec la certitude qu’il a sa place dans la Ligue nationale.
 
« Je pense avoir convaincu plusieurs personnes que je peux jouer dans cette ligue, de dire Desharnais hier.
 
J’en suis convaincu moi aussi. Mes statistiques en séries ne confirment pas mes dires (une mention d’aide en cinq matchs), mais j’ai fait ce que j’avais à faire.
 
Je suis capable de m’améliorer chaque année. »
Desharnais fait partie d’un groupe de cinq jeunes joueurs qui se sont greffés à l’équipe cette saison, les autres étant Lars Eller qui a passé l’année à Montréal ainsi queYannick Weber, Max Pacioretty, Ryan White qui se sont amenés en cours de route.
 
« Avec Carey Price et P.K. Subban et des leaders comme Scott Gomez et Brian
Gionta, l’avenir augure bien, a continué Desharnais.
Je suis content de faire partie de ça. »

Quatre à six semaines

Pour ce qui est de sa blessure, Desharnais s’accordera un peu de repos et continuera à subir des traitements avant de commencer un programme de réadaptation.
 
Il devrait être sur pied dans quatre à six semaines
Quant à Josh Gorges, il poursuit sa réhabilitation, entreprise il y a quelques semaines.
 
On se rappellera qu’il a été opéré en janvier pour une déchirure au ligament antérieur croisé du genou, blessure avec laquelle il jouait depuis 2003.
« Je n’ai pas à me plaindre, ma condition progresse, a-t-il indiqué.
 
Un long été m’attend, mais je serai prêt pour le camp d’entraînement. Je dirais que je suis à un mois de retrouver toute ma force. Ça s’en vient. »
 
À l’instar de Desharnais, Gorges devra négocier un nouveau contrat au cours de l’été, mais il n’a pas à s’inquiéter.
La direction de l’équipe lui a fait savoir avant son opération qu’elle compte encore sur lui pour les prochaines années.

Benoit Pouliot a été le seul joueur à refuser de se prêter à des entrevues en cette journée de bilan. Retranché de la formation pour les quatre derniers matchs des séries, ses jours semblent comptés à Montréal.
 
Ryan White a repris le chemin de Hamilton où il prêtera main forte aux Bulldogs dans le deuxième tour des séries contre le Moose du Manitoba. La série commençait hier soir à Hamilton.

L’équipe école du Canadien a éliminé les Barons d’Oklahoma City (Oilers d’Edmonton) en six matchs en première ronde.

Chronique de Paul Rivard - Les plus hauts salariés du sport

http://fr.canoe.ca/sports/chroniques/paulrivard/archives/2011/04/20110428-084604.html

Paul Rivard
28/04/2011 08h46 

Dans la plupart des pays du monde, le 1er mai est décrété «Journée internationale des travailleurs», une fête instaurée à l’origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail. À ne pas confondre avec la fête du Travail (Labor day) du début de septembre.
 
Par un détour un peu tordu, je vous amène à un groupe de travailleurs qui n’ont pas besoin d’une journée en leur honneur, basée ou non sur les batailles salariales ou syndicales. Il est question, ici, des athlètes professionnels.
 
On parle souvent des plus hauts salariés du sport. Mais on fait moins souvent état de ceux qui en gagnent... un peu moins. Ou même beaucoup moins. Les sports les plus médiatisés, que ce soit sur une base internationale ou seulement nord-américaine, détiennent le haut du pavé. Dans les autres, les mieux rémunérés font tout de même figure de parents pauvres.

Le boxeur philippin Manny Paquiao a totalisé des revenus de 32 millions, en 2010. C’est, vous le devinez, l’athlète le mieux payé au monde. À l’autre bout du spectre, on y retrouve l’Américaine Shannon Pluhowsky, une joueuse de bowling, avec des gains de 40 300$. C’est exactement 786 fois moins que le minuscule pugiliste de Manille.

C’est ce qui ressort d’une étude, sur 43 sports différents, menée par John Mastroberardino et qui paraît dans l’édition du 2 mai de «ESPN The Magazine». On retrouve, dans ce classement, le ou la représentant(e) qui obtient les revenus les plus élevés de son sport.
 
La liste ne tient pas compte des revenus associés à la publicité, à la commandite ou aux apparitions publiques par contrat. 32 hommes et 11 femmes ont totalisé 238 536 000$ en revenus annuels, en 2010, ce qui donne une moyenne par athlète de 5 547 360$.
 
Pac-Man et A-Rod en tête
 
Les $32 millions de Paquiao, en 2010, sont égaux à ce que touchera en 2011 le joueur de baseball Alex Rodriguez. Ensuite vient le pilote automobile finlandais, Kimi Raikkonen, avec 26 333 000$. Non loin derrière, le basketteur Kobe Bryant, a mérité 24 800 000$ et le joueur de soccer Christiano Ronaldo, 19 500 000$.

Serez-vous surpris de trouver en sixième place, le jockey Ramon A. Dominguez, avec 17 412 000$ ? Le quart-arrière du football américain, Peyton Manning, a mérité 15 800 000$ devant le tennisman espagnol Rafael Nadal, à 10 172 000$ Au neuvième rang, ex aequo à 10 000 000$, arrivent les hockeyeurs québécois Vincent Lecavalier et Roberto Luongo.

Et, en dixième place, le jeune Jonathan Duhamel, dont les exploits de poker lui ont valu 9 444 000$.
 
Si on commence par le bas, maintenant, outre Shannon Pluhowsky et ses 40 300 $, nous trouvons ensuite l’Américain John Baker, conducteur d’attelage de chiens, vainqueur de la course Iditarod en Alaska, avec 50 400$ puis, avec 67 930$, la championne de billard sud-coréenne Ga-Young Kim. Notre Top 5 des «pauvres» est complété par la surfeuse australienne Stephanie Gilmore, avec 140 700 $ et l’Anglais Nick Matthew, joueur de squash, 167 000$.
Morale de cette histoire? Il n’y en a pas.

Si ce n’est que nous sommes toujours curieux de mesurer notre réalité de tous les jours avec ceux ou celles qui gagnent leur vie en exerçant leur talent athlétique, qu’ils dominent leur sport ou simplement parce qu’ils sont au nombre des 5, 10, 20 ou cent meilleurs dans leur discipline. Tant mieux pour eux.

Crosby éprouve encore des symptômes

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/04/20110429-160739.html

Le capitaine des Penguins de Pittsburgh, Sidney Crosby, est optimiste de revenir en pleine forme la saison prochaine. Il avoue toutefois avoir régressé, récemment, dans sa tentative de revenir au jeu.

N’ayant pas joué une seule partie depuis le 5 janvier dernier, en raison d’une commotion cérébrale, Crosby a arrêté de s’entraîner avec ses coéquipiers lors du premier tour des séries éliminatoires.

Le centre étoile des Penguins dit avoir ressenti des maux de tête si intenses qu’il était incapable de faire de l’activité physique, quelle qu’elle soit. De plus, il ne sait toujours pas quand il pourra recommencer à s’entraîner.
«Je travaillais fort et je patinais, mais j’ai eu quelques symptômes et j’ai été dans l’obligation de prendre du recul, a confié Crosby, vendredi.
«C’est vraiment frustrant. Je ne croyais pas revenir en séries éliminatoires, mais je voulais tout de même tout faire en mon possible pour être prêt le plus rapidement possible. C’est décevant puisque je n’ai aucun contrôle là-dessus.»
Les commentaires de Crosby sont venus appuyer les propos de Dan Bylsma, avant que la série contre le Lightning de Tampa Bay ne prenne son envol, à savoir que son capitaine n’était pas près d’un retour au jeu.
Dans les faits, Crosby n’a jamais eu le feu vert des médecins pour s’entraîner avec contact. Une étape par laquelle il était obligé de passer avant d’effectuer un retour au jeu.
Sans Crosby, les Penguins ont baissé pavillon en sept rencontres, face au Lightning. Ils ont échappé une avance de 3-1 dans la série pour la première fois de leur histoire.

Chronique - Gomez, à prendre ou à laisser

http://fr.canoe.ca/sports/chroniques/yvonpedneault/archives/2011/04/20110429-033444.html

Yvon Pedneault
29/04/2011 03h34 - Mise à jour 29/04/2011 09h00


Supposons qu’on puisse s’introduire dans les bureaux administratifs du Centre Bell.
«Alors, Pierre, comment entends-tu améliorer l’équipe?» «Geoff, désirez-vous gagner la coupe Stanley dans les plus brefs délais?»
On peut imaginer que le propriétaire des Canadiens ne fera pas attendre sa réponse.
«Oui.»
 
Gauthier passe à l’action.
 
«Pour pouvoir compétitionner au même niveau que les autres grandes formations de la Ligue nationale, il nous faudra prendre des décisions lourdes de conséquences sur le plan monétaire.
 
«Ça veut dire quoi au juste?»
 
«Nous avons le dossier Scott Gomez qu’on doit absolument regarder avec attention.»
 
«Il a encore trois autres saisons à son entente.»

«Très juste Geoff. Pour les trois prochaines saisons, il va coûter à l’organisation 17,5 millions $. Mais, pour répondre aux exigences du plafond salarial, nous devrons inscrire sur notre masse salariale, la somme de 7 357 143 $.»

«Et alors, quel est le plan?»
 
«Je vais cogner à bien des portes mais je risque de faire chou blanc. C’est un lourd contrat pour un joueur qui semble rendu à la croisée des chemins.»
«Donc…»
 
«Nous avons trois options. On tente de l’échanger et comme je le précisais, nos chances sont nulles. Ou encore, on imite les Rangers dans le cas de Wade Redden, on soumet Gomez au ballottage, personne ne va le réclamer, c’est bien évident et on le cède aux Bulldogs de Hamilton. Ou on le garde avec nous. Mais, il faut se rendre à l’évidence qu’on ne peut pas progresser comme on le désire avec autant de contraintes sur le plan monétaire et aussi sur la surface de jeu. Gagner la coupe Stanley avec Gomez dans le rôle de premier ou deuxième joueur de centre, c’est impensable.»

«Ouais… je veux bien croire qu’il a connu une saison en deça de nos attentes, bien en deça de ce qu’on prévoyais mais a-t-il atteint le point de non-retour? Qui dit qu’il n’a pas encore quelques bonnes saisons dans le système?» «Je pense que les décideurs du personnel hockey sont tous d’accord que la réponse est non. Jacques (Martin) a tout fait pendant la saison pour lui permettre de s’affirmer. Je n’ai pas à rappeler qu’on a modifié nos lignes d’attaque, on lui a fourni de bons ailiers…»

«Mais quand Pacioretty était là, ça fonctionnait bien…»
 
«Pas suffisamment pour résoudre notre problème.»
 
«Cependant, je vais me faire l’avocat du diable puisque vous me demandez de prendre 17,5 millions $, en principe, et de l’expédier à Hamilton. Supposons que Pacioretty avait participé à la série contre les Bruins et que nous aurions gagné la série, est-ce qu’on tiendrait le même language. Si Markov et Gorges avaient joué, ainsi que Pacioretty, et que nous aurions gagné la série, serions-nous en train de discuter du dossier Gomez?» «Sans doute.»
 
«C’est d’accord, je veux bien vous donner le feu vert mais assurez-vous que nous aurons une équipe nettement supérieure si on décide de prendre 7,5 millions $ et d’envoyer le joueur à Hamilton. Assurez-vous que nous pourrons récupérer ce manque à gagner.»

On sait très bien que le manque à gagner est comblé par plusieurs matchs en séries éliminatoires. Ce serait alors un défi de taille pour Gauthier et Martin. Où trouveront-ils un patineur pour remplacer Gomez? Le marché des joueurs autonomes est une option.

Mais cette saison, parce que les équipes ont toutes des ententes de plusieurs saisons avec leurs meilleurs effectifs, ce n’est pas tellement reluisant. Il y a Erik Cole, il y a Curtis Glencross, il y a Simon Gagné. Mais celui qui pourrait vraiment répondre aux besoins des Canadiens est Brooks Laich, des Capitals de Washington. Il sera épié par plusieurs formations de la Ligue nationale.

Donc, le dossier Gomez retiendra l’attention.
 
Dans le cas de Benoit Pouliot, on peut présumer qu’il ne jouera plus à Montréal. Tom Pyatt et Alexandre Picard également. Il est temps pour les Canadiens de se donner un joueur robuste et efficace pour la quatrième ligne d’attaque.
 
On ne peut pas écarter le fait que le Canadien est une petite équipe. Qu’elle doit ajouter des joueurs avec de bon garabit. On a beau dire que les Canadiens ont perdu dans le match ultime contre les Bruins… mais c’est à égalité numérique qu’il a été incapable de s’imposer. Pourquoi? L’aspect physique. L’endurance.
 
Reste maintenant la brigade défensive. Doit-on offrir un contrat à Markov? Oui mais tout dépend du nombre d’années qu’il exigera et le salaire. Et Roman Hamrlik? À 37 ans, il ne peut pas espérer obtenir le même salaire et le même contrat. Deux ans à raison de 3,5 million $? Peut-être.
 
Des joueurs comme Brent Sopel et Paul Mara ne seront pas de retour. Hal Gill? Si les Canadiens peuvent s’améliorer sur le marché des joueurs autonomes, des défenseurs comme Ken Bieksa, Joni Pitkanen, Christian Ehrhoff, Scott Hannan, Eric Brewer sont des cas intéressants.
 
James Wisniewski? La décision que prendra Pierre Gauthier dans le dossier Markov influencera directement le statut de Wisniewski avec les Canadiens. Il a 27 ans, Markov a 32 ans et représente un risque au niveau de la santé. Entre-temps, les Canadiens se doivent d’accorder une chance à Yannick Weber. Qu’on ne commette pas la même erreur comme ce fut le cas avec Mark Streit.
 
Un été intéressant… des décisions importantes pour Pierre Gauthier.

Et aussi pour Geoff Molson!
On se transporte à la mi-mai, et dans la salle de conférence sont réunis les décideurs de l’organisation, entre autres le propriétaire Geoff Molson et Pierre Gauthier, le vice-président et directeur général de l’équipe.
 
Au lendemain de l’élimination de la formation, Gauthier, devant les membres de la presse, a dressé un bilan de la dernière saison, il n’a pas élaboré plus qu’il ne faut sur les décisions qu’il entend prendre au cours des prochaines semaines. Il a surtout précisé qu’il était fier de son équipe, qu’il aimait bien les joueurs qui évoluent à Montréal présentement.
 
Il a surtout insisté sur le fait qu’il était beaucoup trop tôt pour penser en fonction de l’an prochain, que les dirigeants de l’équipe se donneront quelques jours, peut-être quelques semaines pour avoir une évaluation plus éclairée des effectifs et que, par la suite, selon le directeur général, il y aura d’importantes réunions pour déterminer quel plan la haute direction entend mettre en place. Et les priorités? On va les déterminer après avoir étudié quoi faire pour améliorer cette formation.

Mais, dans la salle de conférence, on peut s’imaginer que Gauthier a ouvert son grand livre. Qu’il a exposé à son patron, son plan de relance en vue de la prochaine saison.

Pour la taille, Brière ne fait pas le poids

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110429-205753.html

Au jeu des comparaisons, celle de la taille ne fait pas… le poids.
 
Zdeno Chara, des Bruins de Boston, mesure exactement un pied de plus que Daniel Brière, des Flyers de Philadelphie. Les deux joueurs sont des vedettes de leur équipe respective et ils en viendront aux prises en deuxième ronde des séries, à compter de samedi après-midi, 15 h.
 
Brière possède par contre l’avantage sur Chara si l’on en juge les affrontements d'après saison qui ont impliqué les deux hommes depuis le début de leur carrière.
Les clubs de Brière ont une fiche de 2-0 contre ceux du défenseur format géant.
 
L’attaquant québécois a récolté cinq buts et autant de passes face aux Bruins lors des séries du printemps 2010 au cours desquelles les Flyers, le tout Boston ne l’a pas oublié, ont comblé un retard de 0-3 pour finalement l’emporter afin de passer au tour suivant. Brière avait également obtenu un but et trois assistances avec les Sabres de Buffalo lorsque Chara s’alignait pour les Sénateurs d’Ottawa, en 2006.
 
«Vous devez trouver des façons de le faire travailler, a dit Brière au sujet de l’ancien récipiendaire du trophée Norris (et à nouveau finaliste cette année). On sait que ce ne sera pas facile. J’ai eu la chance de l’affronter à quelques reprises en séries. Il va nous compliquer la vie, mais on le sait déjà. Il faut avoir envie de lui livrer le défi, il n’y a pas d’autres façons d’entrevoir ça.»

Par le passé, le capitaine des Bruins en a eu plein les bras avec les petits attaquants adverses. Il se souvient certainement de situations de jeu embarrassantes survenues en 2006 entre Buffalo et Ottawa.

Chara a raté le match numéro 2 de la série contre les Canadiens de Montréal, il y a une dizaine de jours, en raison d’un virus qui lui a fait perdre une dizaine de livres. Celui qui fait habituellement osciller la balance à 255 livres a noté, vendredi, qu’il en avait repris sept depuis qu’il est rétabli.

Stamkos compte, deux points pour Lecavalier

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110429-221459.html



Le Lightning de Tampa Bay a eu raison des Capitals, 4-2, à Washington, vendredi, lors du premier match de la série demi-finale de l’association de l’Est de la LNH.
 
Steve Downie a marqué un but et récolté une passe. Vincent Lecavalier s’est fait complice de deux filets. Steven Stamkos et l’ancien des Canadiens de Montréal, Dominic Moore, ont compté les autres, ce dernier dans un filet désert. Le but de Stamkos, en toute fin de deuxième période et en supériorité numérique, s’est avéré celui de la victoire.
 
Chez les Capitals, les buts sont venus d’Alexander Semin, qui avait inscrit deux tours du chapeau en saison régulière contre Tampa Bay, et de Eric Fehr. Alexander Ovechkin a été limité à deux tirs.
 
Dwayne Roloson a arrêté 26 des 28 rondelles décochées vers lui. Michal Neuvirth a signé 20 arrêts.
 
L’entraîneur-chef de Tampa Bay, Guy Boucher, avait décidé de n’utiliser que 11 attaquants pour se prévaloir de sept défenseurs. Malheureusement pour lui, Simon Gagné a été blessé en première période, et Boucher a dû se débrouiller avec seulement 10 joueurs d’avant.
 
 
On a craint le pire pour Gagné lorsqu’il a été mis en échec légalement, et solidement, par le défenseur Scott Hannan. Gagné est tombé et sa tête a durement frappé la glace. Le soigneur s’est amené, une civière a été apportée, le joueur est resté étendu de longues minutes.
 
Durant tout ce temps, on voyait que Hannan était mal à l’aise. Lorsque Gagné s’est finalement relevé pour retraiter au vestiaire, Hannan est allé lui dire quelques mots.
Plus tard, un porte-parole du Lightning de Tampa Bay a précisé que le hockeyeur de Sainte-Foy était «alerte» et qu’il était en observation par les médecins.
 
Parmi les quelques commotions subies par Gagné depuis le début de sa carrière, celle dont il a été victime le 25 octobre 2007 l’avait obligé à rater la majeure partie de la saison 2007-2008.

Le deuxième match de la série aura lieu dimanche à Washington. Les Capitals sont établis favoris même si seulement quatre points séparaient les deux formations au calendrier régulier, au terme de la saison.

Kirk Muller à la barre des Stars ?

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110429-233918.html

Cela ne surprendra personne puisque de nombreuses rumeurs courent à son sujet : Kirk Muller ne sera fort probablement pas de retour avec les Canadiens de Montréal, la saison prochaine.
Muller, qui est l’un des adjoints de Jacques Martin derrière le banc, deviendrait selon ce que rapportait vendredi le quotidien montréalais The Gazette, entraîneur-chef des Stars de Dallas.
Le club du Texas attendrait que son nouveau propriétaire, Tom Gaglardi, prenne officiellement possession de l’équipe pour confirmer l’embauche de celui qui a été capitaine des Canadiens lorsqu’il était joueur.
Muller est l’un des adjoints à Montréal depuis juin 2006. Personnage sympathique et respecté, il jouit d’une excellente réputation dans la LNH.
Vendredi soir, lors de l’émission Le Match, diffusée sur les ondes de LCN et TVA, l’ancien homme fort Georges Laraque se demandait, à la blague : «Qui mettra de la vie derrière le banc des Canadiens si Muller s’en va?»