vendredi 10 juin 2011

Carter chez les Blue Jackets

http://www.vestiaire.ca/forums/index.php/topic,4704.msg123512.html#msg123512

Pas impossible et ça pourrait être excellent pour les 2 parties
on parle Voracek et du pick #9

les Flyers ont frapper dans le mille 2 fois en 3 ans
en 2003 ils ont échangés Langkow pour un premier choix
qui est devenus Carter et ils avaient en plus un autre 1st pick qui est devenus Richards

ils devenait une équipe qui pouvait compter sur 2 centre de fort calibre et leur avenir était assurer

et 3 ans plus tard, encore mieux , un jeune du nom de Giroux arrive et est mieux que les 2 premiers

alors , pourquoi avoir 3 centres de haut niveau aussi bien avoir de la relève

échangé  Carter = le départ de Vermette et son 15 M. ,
ce qui ferait de Carter un gars qui leur couterait 58 millions - le 15 de Vermette lollll

en plus ,  les Jackets auraient surement un très bon retour pour Vermette
ou tout autre également ,  Brassard peut-être  , peut-importe qui

où j'embarque moins est justement le fameux 58 M. que couterait Carter , avec Nash qui est asez bien payer aussi

Le CH et les goons, les pauvres Coyotes et Bryzgalov l'intellectuel

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2961:le-ch-et-les-goons-les-pauvres-coyotes-et-bryzgalov-l'intellectuel&Itemid=18


Vendredi, 10 Juin 2011
Par HOCKEY30.com

- Zenon Konopka ne sera pas de retour avec les Islanders. Tout indique que le dur à cuire testera le marché des joueurs autonomes.

- Ce dernier pourrait-il intéresser le Canadien?

- Avec Pierre Gauthier et Jacques Martin, rien n'est moins sûr. Les deux hommes n'aiment tout simplement pas les "goons".

- Nous pensons toutefois que Konopka serait une bonne addition pour le CH. Oui, il est un dur à cuir, mais il sait jouer au hockey contrairement à un certain Georges Laraque. Il ne recule devant rien et protège ses coéquipiers comme s'ils étaient ses frères.

- Les petits attaquants du CH ne diraient certes pas non à un joueur comme Konopka.

- Les Coyotes de Phoenix se cherchent présentement un gardien afin de remplacer Ilya Bryzgalov.

- Plusieurs options s'offrent au directeur général Don Maloney.

- Connaissant le pauvre budget de l'équipe, le plan A est évidemment le marché des transactions.

- Le plan B est le marché des joueurs autonomes. Une question demeure toutefois. Qui acceptera de signer un contrat à long terme avec une équipe dont l'avenir est incertain?

- Le nom de Tomas Vokoun circule en Arizona, mais nous doutons fortement que le Tchèque soit intéressé à aller jouer dans le désert.

- Si les Coyotes vont sur le marché des transactions, ils devront se rabattre sur un gardien de second ordre qui se partagera le travail avec Jason Laberbera.

- Lorsqu'on parle de gardien de second ordre disponibles sur le marché, on pense à Mathieu Garon, J-S Giguère, Marty Turco, Ray Emery, Josh Harding, Pascal Leclaire et Jose Theodore. Rien pour écrire à sa mère.

- La transaction reste donc la meilleure option. Cory Schneider (Canucks), Tuuka Rask (Bruins), Semyon Varlamov (Capitals) et Jonathan Bernier (Kings de Los Angeles) pourraient tous se retrouver sur le marché. Disons que ces noms sont plus alléchants que les précédents...

- Un autre dossier qui sera compliqué pour Maloney est celui de Keith Yandle. Le défenseur vedette, joueur autonome avec compensation, coûtera une fortune. Le DG des Coyotes n'aura pas le choix d'accepter les exigences salariales de son défenseur s'il désire le garder.

- Ed Jovanovski, lui, devrait tester le marché des agents libres.

- Le gardien du Wild, Nicklas Backstrom, est sur le marché des échanges.

- Marty Turco est encore confiant de se trouver un contrat. Nous lui conseillons plutôt d'accrocher ses patins et de profiter d'une retraite bien méritée.

- Si Turco prend sa retraite, on raconte qu'il deviendra analyste pour la télévision.

- Nous continuons d'affirmer qu'Ilya Bryzgalov signera avec les Flyers de Philadelphie.

- Le Russe est tout un phénomène. Il écoute du Mozart pour rentrer dans sa bulle avant les matchs, est adepte de philosophie et est un vrai passionné d'histoire. Philadelphie, l'une des villes les plus historiques des États-Unis, est évidemment en train de le séduire...

- Andrew Ladd signera un nouveau contrat avec Winnipeg, soyez-en assurés.

- Jonas Hiller ne ressent plus les symptômes de vertiges qui l'ont affecté la saison dernière. Bonne nouvelle pour le Suisse!

- Parlant des Ducks, ils n'offriront pas de nouveau contrat à Ray Emery.  Dans Ellis sera l'auxiliaire de Hiller.

L'informateur de Hockey30 bien plogué, Pyatt de retour? Couturier fait rêver le CH et les infos

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2962:l'informateur-de-hockey30-bien-plogué-pyatt-de-retour?-couturier-fait-rêver-le-ch-et-les-infos&Itemid=18


Vendredi, 10 Juin 2011
Par HOCKEY30.com

- Comme prévu par Hockey30, Mathieu Darche a signé un contrat d'une saison (700 000$) avec le Canadien

- Comme prévu, son salaire est inférieur à 1M$.

- À ce sujet, voici ce que nous vous disions il y a des semaines.

- L'agent de Mathieu Darche a récemment rencontré Pierre Gauthier. Le Québécois pourrait signer un contrat d'une saison à un salaire d'environ 800 000$.

- Darche désire un million de dollars, mais que voulez-vous? Le gars est un trop "bon Jack" et veut absolument rester à Montréal. Gauthier le sait trop bien et en profitera pour sauver ses sous.

- Mathieu Darche, qui a été opéré avec succès aujourd'hui, sera de retour avec le CH, soyez-en assurés. Le Québécois aurait déjà une offre sur la table équivalente à 775 000$ pour une saison. Il devra réaliser que Gauthier est un homme proche de ses sous. S'il veut demeurer avec le CH, il devra accepter de ne pas atteindre le statut de millionnaire. À suivre...

- Tout comme le dossier Andrei Kostitsyn, notre informateur était à quelques dollars près du salaire prédit. Un grand merci à cette source toujours fiable lorsque vient le temps de prévoir les salaires de nos joueurs!

- Tom Pyatt devrait être de retour avec le CH selon nos infos. Jacques Martin adore ce joueur et Pierre Gauthier le sait très bien.

- Nous continuons de penser que signer Benoit Pouliot à rabais serait un très bon pari, connaissant son talent qu'il n'a pas encore déployé. Malheureusement, Gauthier ne pense pas comme nous.

- Le CH veut améliorer son rang en vue du prochain repêchage. L'équipe rêverait de mettre la main sur Sean Couturier.

- Nous le répétons. Andrei Markov sera de retour avec le Canadien. Pas d'inquiétude de ce côté là! Notre informateur que nous venons de vanter parle d'un salaire annuel se situant entre 5,5 M$ et 5,75 M$.

- Une question demeure: 2 ou 3 ans?

- Jaromir Jagr croit encore à ses chances de jouer dans la LNH la saison prochaine. Persévérant le Tchèque! On lui conseille plutôt d'accepter les offres de près de 4 M$ qu'il a dans la KHL, mais bon, nous ne sommes pas son père...

- Kris Versteeg et Matt Carle sont sur le marché à Philadelphie.

- Les Flyers espèrent toujours mettre sous contrat Ville Leino.

- Le Lightning et les Kings sont des noms de plus en plus cités dans le dossier Brad Richards. Les Rangers perdraient quand à eux des points aux yeux du joueur de centre.

- Les Rangers rachèteront le contrat de Chris Drury le 15 juin prochain, mais garderaient Wojtek Wolski et Sean Avery.

- Shea Weber signera un contrat de 3 ou 4 ans à un salaire annuel se situant entre 6,5 et 7 M$ avec les Predators.

- Kris Draper ne veut pas jouer pour une autre équipe que les Red Wings. Cela tombe bien. Je doute qu'une formation soit intéressée à ses services. Ça sent la retraite!

- Notre information du mois d'avril, à savoir que le Junior de Montréal serait vendu à un groupe d'investisseurs mené par Joël Bouchard, semble se concrétiser. Rappelons que Bouchard veut déménager l'équipe à Boisbriand.

Les cols bleus en plein contrôle

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-cols-bleus-en-plein-controle-80766.html


VANCOUVER - Les Bruins de Boston ne font pas vraiment dans la dentelle et c'est exactement ce qu'ils aiment.
Les Bruins ont amené une mentalité de cols bleus en finale de la Coupe Stanley, alors qu'ils ont fait subir aux Canucks de Vancouver deux cuisants revers au TD Garden.

L'éthique de travail des Bruins était évidente en début de série, lorsque la troupe de Claude Julien s'est inclinée 1-0 dans les dernières secondes de la troisième période et que les joueurs ont continué à travailler fort malgré une défaite en prolongation lors du deuxième match.

Mais lorsque la série s'est transportée à Boston, les Bruins ont élevé leur jeu d'un cran et frustré les Canucks, en route vers des victoires de 8-1 et 4-0.

« Nous n'avons pas l'équipe la plus talentueuse au monde, a admis la petite peste Brad Marchand jeudi alors que les deux équipes étaient de retour dans l'Ouest canadien avec une finale égale à deux victoires partout. Nous savons cela, alors nous devons garder les choses simples et travailler fort. »

Marchand a marqué le troisième but des siens dans chaque victoire en finale, les deux fois sur des tirs du revers après un revirement causé par un joueur des Canucks.

« Nous provenons d'une ville de cols bleus et nous avons plusieurs joueurs de ce genre dans l'équipe. Nous aimons simplement travailler fort », a poursuivi Marchand.

Le joueur de centre Patrice Bergeron, qui a récolté des aides dans les trois derniers matchs et qui compte 18 points depuis le début des séries, a dit que les Bruins ont aussi démontré qu'ils avaient du talent en séries, mais qu'ils avaient un malin plaisir à jouer du hockey avec du mordant.

« C'est nous, c'est comme ça que nous jouons, a dit le Québécois. Mais ça ne veut pas dire que nous n'avons pas de talent, parce que nous sommes ici. Nous devons nous assurer que nous comptons sur ces deux aspects, mais nous devons travailler pour pouvoir gagner quelques matchs. »

Ils sont à égalité 2-2 contre une équipe qui a affiché le meilleur dossier de la LNH en saison, menant aux chapitre des buts pour et buts contre, du jeu de puissance et qui occupait le troisième rang à court d'un homme.

Après avoir perdu les deux premiers matchs à l'étranger, seulement deux des 34 équipes ont été en mesure de venir de l'arrière et remporter la finale de la Coupe Stanley.

Les Bruins doivent aussi se passer de Nathan Horton, qui était à égalité avec son partenaire de trio David Krejci au sommet des pointeurs de l'équipe et qui est le seul joueur de l'histoire de la LNH à avoir inscrit deux buts gagnants lors d'un septième match au cours des mêmes éliminatoires.

Horton ne pourra plus jouer en séries, lui qui a subi une commotion cérébrale à la suite d'un coup à la tête du défenseur des Canucks Aaron Rome, qui a reçu une suspension de quatre matchs.

Alors que cela aurait pu affecter le moral des Bruins, ils ont plutôt relevé leurs manches, ont travaillé avec acharnement, distribué de solides mises en échec et ont même vu leur gardien Tim Thomas pousser un ou deux joueurs des Canucks.

Rich Peverley, obtenu dans une transaction avec les Thrashers d'Atlanta, a été promu au sein du premier trio et a marqué deux buts mercredi.

« Je ne crois pas qu'on puisse avoir un joueur plus col bleu que moi. J'ai travaillé dans des usines quand j'étais jeune. Je suis fier qu'on me qualifie de la sorte, je le prends comme un compliment », a indiqué le vétéran Shawn Thornton, qui a soulevé la coupe avec les Ducks d'Anaheim en 2007 et qui a amené de l'énergie au sein du quatrième trio lorsque la série s'est transportée à Boston.

« Il y a une combinaison de choses qui sont arrivées dans notre cas et qui nous ont permis de créer l'égalité. L'éthique de travail en est probablement l'une d'elles. (Vancouver) a travaillé fort et a bien joué aussi. C'est juste que nous avons marqué quelques buts, et pas eux. »

Il était une fois dans l'Ouest

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/il-etait-une-fois-dans-l-ouest-80778.html

(CKAC Sports) - Les Canucks sont rentrés dans leurs terres, pas fâchés de passer à l'Ouest. En début de semaine, ils étaient en contrôle de la finale de la Coupe Stanley. Aujourd'hui, ils font match égal avec les Bruins de Boston à quelques heures du cinquième duel de la série.
Boston à Vancouver, ce soir 20h
(La série est égale 2-2)

Alors que samedi dernier, on parlait d'une possibilité de balayage par les Canucks, plusieurs croient maintenant qu'ils auront des difficultés à se remettre de leur semaine désastreuse à Boston (des revers de 8-1 et 4-0).

Sous la loupe

Bruins: Le momentum est du côté de la troupe de Claude Julien. Tim Thomas, avec 38 arrêts et le jeu blanc dans le dernier match, semble imbattable et, surtout, en confiance.

En voilà un qui a augmenté sa cote pour le trophée Conn Smythe avec 701 arrêts depuis le début des séries. Il n'y a qu'un autre gardien dans l'histoire de la LNH à avoir vu autant de caoutchouc en séries: Kirk McLean des Canucks lors des séries 1993-94.

Avec 12 buts en deux matchs, Thomas n'en attendait pas autant de la part de ses coéquipiers. En remplacement de Nathan Horton au sein du premier trio, Rich Peverley a fort bien répondu à l'appel avec deux buts, mercredi.

Canucks: Les jumeaux Sedin sont pointés du doigt pour le passage à vide du côté de la troupe d'Alain Vigneault.

Henrik et Daniel, qui ont inscrit 198 points en saison régulière, n'en comptent que deux en finale de la Coupe Stanley.

Comme lors de la première série face aux Blackhawks, la performance du gardien Roberto Luongo fait aussi jaser. Il joue gros lors du match 5 lui qui a permis 12 buts en 58 tirs lors des deux rencontres à Beantown.

En feu

Thomas a inscrit son 3e jeu blanc des séries jeudi soir et ses Bruins sont invaincus (6-0) quand il stoppe 35 tirs ou plus. David Krejci montre une séquence de cinq points en trois matchs.

Point positif chez les Canucks, Maxim Lapierre a remporté 18 de ses 27 mises au jeu (67%) lors des deux dernières rencontres.

À l'infirmerie

Le défenseur Dan Hamhuis a raté les trois derniers matchs en raison d'une blessure au bas du corps.

En chiffres

Les Canucks n'ont qu'un but en 22 opportunités en avantage numérique en finale.

Après la victoire des Bruins jeudi, les équipes à domicile ont maintenant une fiche de 15-2 depuis la finale de la Coupe Stanley en 2009.

Le mot de la fin
«Nous sommes une équipe. En séries, personne ne pointera quelqu'un du doigt dans le vestiaire et surtout pas Roberto (Luongo). Il a fait les gros arrêts. Nous avons simplement commis trop d'erreurs devant lui.» -Manny Malhotra

Est-ce qu'Andrei Kostitsyn fait du CH une meilleure équipe ?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/est-ce-qu-andrei-kostitsyn-fait-du-ch-une-meilleur-80795.html

(CKAC Sports) - Aucun entraîneur du Canadien n'est parvenu jusqu'à maintenant à tirer le maximum du talent pur d'Andrei Kostitsyn. De Claude Julien à Jacques Martin, tous cherchent encore à résoudre l'énigme que constitue le joueur du Bélarus.
Le Canadien a offert un contrat d'un à Kostitsyn, jeudi. Il touchera 3,25 millions $.

«C'est le genre de joueur qui t'agace. Il est dominant dans un match puis il disparaît pour les trois suivants», explique l'analyste Bob Hartley.

«Le problème, ce n'est pas le joueur, c'est la personne. Il a eu plusieurs entraineurs, ce fut le même résultat. À part ses statistiques (20 buts, 25 passes), est-ce qu'il fait gagner le Canadien ? La réponse, c'est non.»

Motivant pour A.K


Kostitsyn en sera à cinquième saison complète à Montréal, sa neuvième dans l'organisation du Tricolore.

Ce qui sauve l'énigmatique personnage, c'est que l'équipe n'a pas ce genre de joueurs dans l'antichambre.

«On ne peut pas le remplacer avec le personnel à Hamilton, explique Hartley. Il faut que Kostitsyn devienne un joueur qui se présentera à tous les matchs. Là, je n'ai aucun doute qu'il deviendrait un joueur d'impact. Ce n'est pas normal qu'après avoir payé le gros prix, les gens se présentent au centre Bell sans savoir s'ils verront le vrai Kostitsyn. C'est frustrant. Du côté du Canadien, on va lui en donner plus, mais on va aussi lui en demander plus.»

«On n'a pas acheté son autonomie. C'est une belle nouvelle pour les deux parties, motivante du côté de Kostitsyn, estime l'analyste Bob Hartley.

Bâti comme un char d'assaut

«Je suis convaincu que le CH lui a demandé d'amener de belles choses. Il y a toujours de grandes attentes avec un joueur bâti comme un char d'assaut et qui, quand ça lui tente, quand il est dans son match, fonce au filet et les défenseurs n'ont pas de réponse.»

Sélectionné lors du repêchage de la LNH en 2003, 10e choix au total, A.K. a distribué 141 mises en échec. Est-ce là un signe d'engagement plus intense ? Une des nombreuses questions que seul le joueur du Bélarus détient la réponse.

Écoutez la chronique de Bob Hartley à l'émission Sports du Lit, à CKAC Sports.

Mathieu Darche: contrat d'un an

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/mathieu-darche-contrat-d-un-an-80806.html


(CKAC Sports) - Le Canadien a annoncé l'embauche de Mathieu Darche pour la prochaine saison.
Le Canadien ne précisera pas la valeur de l'entente, mais il serait question d'un montant de 700 mille dollars, une légère augmentation en rapport à l'an dernier.

«Nous sommes très heureux que Mathieu Darche ait décidé de poursuivre sa carrière avec l'organisation des Canadiens. Mathieu est un vétéran qui démontre ses qualités de leader, sa détermination et sa classe, et nous croyons qu'il pourra nous aider à connaitre du succès lors de la prochaine saison» a dit le directeur général Pierre Gauthier.

Des sommets personnels en 2010-11

Âgé de 34 ans, Darche a complété sa 8e saison dans la LNH avec une production de 12 buts et 26 points, des sommets personnels dans ces deux catégories. Il a ajouté deux points en sept matchs éliminatoires.

En 59 matchs, il a dirigé 90 tirs et maintenu une fiche de + 7 en jouant une moyenne de 11 minutes 16 secondes par match.

Originaire de Montréal, il s'est joint au Canadien en juillet 2009 à titre de joueur autonome.

Avant de se joindre au Tricolore, Darche a porté les couleurs des Blue Jackets de Colombus, des Predators de Nashville, des Sharks de San Jose et du Lightning de Tampa Bay.

Réactions à venir.

Est-ce que Markov en santé peu menerTricolore au prochain niveau?

 http://www.hockeybuzz.com/blog/Eric-Engels/Will-Healthy-Markov-Take-Habs-to-Next-Level/82/36235

Eric EngelsCanadiens de Montréal


1)      Dans quelle mesure les Canadiens de prétendre à une Coupe? Pas si loin dans dans mon estimation , mais pour obtenir au prochain niveau, ils auront besoin pour prendre des risques à l'avant.

2) Nous parlons d'une équipe qui a terminé sixième dans la Conférence Est, et a été en lice pour leur division jusqu'à ce que les dernières semaines de la saison - dans lequel ils ont été privés de Markov, Gorges et des services de Pacioretty.

Ils ont déjà mis sur le plan d'optimisation de leur ligne bleue, et de pouvoir compter sur Markov et Gorges de la saison est une grande partie de celui-ci.

Pacioretty retour à la forme est un point d'interrogation, jusqu'à ce qu'il prouve que le coup quasi fatal, il absorba a eu une influence négligeable sur sa confiance. Il croit qu'il va faire une déclaration très forte, et il est bien conscient qu'il aura à prouver ses convictions à tout le monde.

Scott Gomez et Mike Cammalleri ont beaucoup d'incitation à revenir beaucoup plus fort qu'ils ne l'étaient la saison dernière.

Si ces choses se produisent, l'infraction Canadiens seront aussi améliorés. Mais, ce n'est pas suffisant pour que l'équipe va se rendre au niveau suivant.

2)      En réalité, Andrei Kostitsyn sera de retour pour les Canadiens au plafond même succès pour une saison de plus. Il a obtenu une année de plus jusqu'à ce qu'il atteigne sans restriction du libre arbitre. S'il y avait une année où vous alliez pour obtenir la production de beaucoup mieux de lui, ce qu'il est.

4) Quelle est la valeur Benoit Pouliot ont sur le marché? Pourriez-Canadiens de même obtenir un choix de 2e ronde pour lui? À l'heure actuelle, les Canadiens n'ont pas un choix au second tour de repêchage de cette année.

S'ils ne peuvent se déplacer Pouliot et un choix de deuxième rond, vont-ils connaître l'option de le ramener aux Canadiens?

5) David Desharnais est un faible coût, la solution de profondeur pour les Canadiens à découvrir cette saison. Avec l'expérience qu'il a déjà accumulé, il ya raison de croire qu'il pourrait être sur le chemin de faire tourner les têtes - comme il l'a fait dans toutes les autres ligues, il a joué en

Le problème, c'est la seule position à la disposition de Desharnais sera à l'aile. S'il ne peut réussir à ce poste, il sera un joueur solide pour les années à venir.

Mais si il joue l'aile, à quel point pouvons-nous commencer à s'inquiéter de la mauvaise volonté des Canadiens d'aborder la question de taille?

6) Steve Hindle a suggéré Pascal Dupuis et Maxime Talbot à des options intéressantes pour les Canadiens à envisager sur le marché cette année UFA. Impossible d'en désaccord avec lui. Dupuis a la taille, mais utilise rarement. Cela dit, c'est un joueur qui peut jouer le haut ou vers le bas dans votre programmation, et il fournit une profondeur solides.

Quant à Talbot, il est un joueur qui joue avec la physicalité, et il est un gagnant et un artiste interprète ou exécutant des séries éliminatoires. Ont du mal à croire les Penguins serait partie avec lui, mais s'il arrive sur le marché le 1er Juillet, le Tricolore devrait être en première ligne pour obtenir ses services.

7) Vous ne savez pas qui sont les Canadiens sont à la recherche d'un back up, mais n'importe qui peut jouer 15 matchs et gagner la moitié d'entre eux fera l'affaire. C'est peut-être Alex Auld une fois de plus. C'est peut-être Sanford Curtis.

Quoi qu'il en soit, Prix aurez besoin d'un peu plus de repos, il a reçu la saison dernière. C'est une chose de jouer 72 matchs dans une saison, c'est une autre de le faire chaque année.

8) Si Yannick Weber gagne un endroit liste active sur le camp d'entraînement, je pense que nous sommes sur le point de le voir entrer dans sa propre à ce niveau. Weber est un démarreur rapide - des camps d'entraînement ce que nous savons, en dépit de sous-type avec les Canadiens.

Dès que cet enfant commence à frapper le filet, il sera marquer beaucoup plus souvent. Je pense que le peu d'expérience en séries éliminatoires, il a réussi à gagner lui fera du bien, et pour un joueur avec beaucoup de compétence, assis dans l'ombre Subban, il a beaucoup à prouver.

9) la fiabilité Tom Pyatt dans sa propre fin l'a conservé avec les Canadiens pendant la majeure partie de deux saisons. À certains moments, il semblait être un élément sous-évalué de la réussite défensive de l'équipe.

Mais pour toutes les chances qu'il arrive à contribuer offensivement, il n'a rien à montrer pour elle. Les Canadiens ont vraiment pas quelqu'un pour promouvoir ce peut être tout aussi responsable, et la puce dans le but bizarre?

Et s'ils ne sont pas ... ils peuvent certainement mettre quelqu'un dans cette position qui offre la taille et le physique.

10) Comment mieux sont les Canadiens, s'ils sortir un saison complète d'Andrei Markov? question difficile à répondre à ce point ...

Extension de contrat pour Craig Adams

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8813/rumeurs/de/transactions/tslh/pittsburgh%20penguins/2011-06-09/extension-de-contrat-pour-craig-adams/


Site officiel des Penguins : rapporte que l'attaquant des Penguins de Pittsburgh, Craig Adams, s'est entendu avec son équipe pour les deux prochaines saisons. Il touchera ainsi un salaire annuel moyen de 675 000$ jusqu'à la saison 2012-2013. Le vétéran de 34 ans aurait pu devenir agent libre au premier juillet prochain.

Ray Emery sera-t-il de retour avec les Ducks?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8820/rumeurs/de/transactions/tslh/anaheim%20ducks/2011-06-10/ray-emery-sera-t-il-de-retour-avec-les-ducks/



Oranger Country Register : Eric Stephens rapporte que son gardien de but numéro un, Jonas Hiller, va recommencer à patiner au mois de juillet et que celui-ci ne semble plus avoir les symptômes de vertiges qui l'ont tenu hors du jeu durant un grand nombre de parties la saison dernière.

Même si l'on ne peut confirmer que Hiller sera à son poste au début de la saison 2011-2012, Bob Murray n'aurait pas l'intention d'offrir un nouveau contrat au cerbère, Ray Emery. Rappelons que l'ancien des Sénateurs d'Ottawa et Flyers de Philadelphie, sera joueur autonome au premier juillet prochain. Emery a tout de même conservé une fiche de 7-2 avec une moyenne de 2,28 buts en neuf départs en saison régulière.

Dan Ellis devrait seconder Hiller devant le filet des Ducks, lui qui est déjà sous contrat (1,5$ M) pour la saison 2011-2012.

Tout semble indiquer que Brygalov signera avec les Flyers

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8819/rumeurs/de/transactions/tslh/philadelphia%20flyers/2011-06-10/tout-semble-indiquer-que-brygalov-signera-avec-les-flyers/

courierpostonline.com : Chuck Gormley rapporte les propos de l'agent d'Ilya Brygalov, Ritch Winter, qui mentionne qu'il y a de multiples raisons pour lesquelles son client est excité à propos de sa venue avec les Flyers de Philadelphie. Apparemment que Brygalov est un amoureux de l'histoire et que la ville de Philadelphie a beaucoup à offrir. Il est également très excité selon les dires de son agent de se joindre à la formation actuelle des Flyers de Philadelphie.

Winter a mentionné que seulement lui, Bryzgalov et sa femme ainsi que les hauts dirigeants des Flyers sont au courant des négociations du nouveau contrat de l'ancien des Coyotes et que les rumeurs qui planent sur internet sont totalement fausses.

Deux joueurs signent à Dallas

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8818/rumeurs/de/transactions/tslh/dallas%20stars/2011-06-10/deux-joueurs-signent-a-dallas/


Star-telegram.com : rapporte que les Stars de Dallas ont annoncés hier la signature du joueur de centre Travis Morin sur les termes d'un contrat de deux saisons à deux volets. Il touchera ainsi 525 000$ s'il évolue dans la LNH et 125 000$ s'il évolue dans la ligue américaine.

L'équipe a également annoncé la signature de l'ailier droit Colton Sceviour pour la prochaine saison également sous les termes d'un contrat à deux volets.
http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8822/rumeurs/de/transactions/tslh/chicago%20blackhawks/2011-06-10/la-retraite-pour-turco/


Chicago Sun-times : Adam L. Jahns rapporte que le vétéran et gardien de but, Marty Turco, ne croit pas que ses jours sont comptés au hockey professionnel. Rappelons que le cerbère sera joueur autonome au premier juillet prochain. Le chroniqueur mentionne que l'ancien des Stars ait une carrière d'analyste à la télévision si jamais celui-ci ne se trouve pas d'emploi.

Pratiquement officiel, le contrat de Drury sera racheté

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8824/rumeurs/de/transactions/tslh/new%20york%20rangers/2011-06-10/pratiquement-officiel,-le-contrat-de-drury-sera-rachete/



New York Post : Larry Brooks rapporte que le directeur général des Rangers de New York, Glen Sather, a bel et bien informé le capitaine de l'équipe, Chris Drury, que sa dernière année de contrat sera rachetée par l'équipe au cours des prochains jours. Les formations de la ligue nationale de hockey pourront racheter les contrats de leurs joueurs entre le 15 et 30 juin. C'est donc dire que l'annonce du rachat du contrat de Drury ne sera pas officielle avant mercredi prochain. Sather disposera donc de 3,33$ M supplémentaires sur sa masse salariale la saison prochaine avec ce rachat.

Les contrats de Wojtek Wolski et Sean Avery ne seront pas rachetés. Les deux attaquants feront partie de l'alignement partant de l'équipe la saison prochaine.

Maloney à la recherche d'un gardien de but numéro un

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8823/rumeurs/de/transactions/tslh/phoenix%20coyotes/2011-06-10/maloney-a-la-recherche-dun-gardien-de-but-numero-un/


Arizona Republic : Jim Gintonio rapporte les propos du directeur général des Coyotes de Phoenix, Don Maloney, qui mentionne qu'il dispose de plusieurs options afin de remplacer Ilya Bryzgalov devant le filet de l'équipe la saison prochaine. L'option numéro un demeure d'acquérir un jeune gardien de but via le marché des transactions. La deuxième option demeure d'acquérir un gardien de but via le marché des agents libres. Gintonio cite le nom de Tomas Vokoun comme gardien de but intéressant pour les Coyotes si jamais celui-ci est disponible sur le marché des joueurs autonomes. Une autre option pourrait être d'acquérir un vétéran gardien de but d'une autre formation qui aimerait diminuer sa masse salariale.

Maloney a également statué sur le dossier du défenseur Keith Yandle qui sera joueur autonome avec restriction au premier juillet. Il souhaite mettre sous contrat le défenseur, mais son nouveau contrat pourrait être très dispendieux notre le journaliste. Maloney a également mentionné qu'il est loin d'être certain si le vétéran défenseur, Ed Jovanovski, souhaite signer un nouveau contrat avec l'équipe.

Maloney souhaiterait également ajouter un défenseur ainsi qu'un attaquant à sa formation actuelle.

Note : Cory Schneider des Canucks, Tuuka Rask des Bruins, Semyon Varlamov des Capitals et Jonathan Bernier des Kings de Los Angeles pourraient tous être des jeunes candidats très intéressants pour les Coyotes. Une équipe qui aimerait probablement se départir d'un haut salarié devant le filet est sans aucun doute le Wild du Minnesota. Niklas Backstrom pourrait peut-être intéresser les Coyotes. Ray Emery, Tomas Vokoun, Mathieu Garon, J-S Giguère, Marty Turco, Josh Harding, Pascal Leclaire et Jose Theodore sont parmi les candidats au poste de gardiens de but qui seront agents libres au premier juillet prochain.

Konopka demeura-t-il avec les Islanders?

http://www.toutsurlehockey.com/section/hockey/8821/rumeurs/de/transactions/tslh/new%20york%20islanders/2011-06-10/konopka-demeura-t-il-avec-les-islanders/



Islanderspointblank.com : Chris Botta rapporte que si Zenon Konopka veut toucher le gros lot, il devrait sans aucun doute se joindre à la KHL. Par contre, le journaliste note que sa préférence demeure de jouer dans le circuit Bettman. Tout semble indiquer selon Botta que les Islanders de New York n'offriront pas de nouveau contrat au rude attaquant. Rappelons que celui-ci sera joueur autonome au premier juillet prochain et pourrait donc poursuivre sa carrière avec une autre équipe.

Botta parle également de l'attaquant Trevor Gillies qui sera également libre comme l'air au premier juillet prochain. Botta note que celui-ci est bien aimé par la haute direction et devrait recevoir un contrat à deux volets similaire à celui qu'il a reçu la saison dernière.

Un autre joueur, Michael Haley, qui sera joueur autonome également au premier juillet ne devrait pas recevoir un contrat à un seul volet. Le joueur de quatrième trio devrait recevoir au maximum un contrat à deux volets d'une saison qui devrait l'envoyer dans la ligue américaine au début de la saison 2011-2012.

Revue de presse

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2960:revue-de-presse&Itemid=18


Jeudi, 09 Juin 2011
Par HOCKEY30.com

La Presse Canadienne: VANCOUVER - Les Bruins de Boston ne font pas vraiment dans la dentelle et c'est exactement ce qu'ils aiment.

Les Bruins ont amené une mentalité de cols bleus en finale de la Coupe Stanley, alors qu'ils ont fait subir aux Canucks de Vancouver deux cuisants revers au TD Garden.

L'éthique de travail des Bruins était évidente en début de série, lorsque la troupe de Claude Julien s'est inclinée 1-0 dans les dernières secondes de la troisième période et que les joueurs ont continué à travailler fort malgré une défaite en prolongation lors du deuxième match.

Mais lorsque la série s'est transportée à Boston, les Bruins ont élevé leur jeu d'un cran et frustré les Canucks, en route vers des victoires de 8-1 et 4-0.

« Nous n'avons pas l'équipe la plus talentueuse au monde, a admis la petite peste Brad
Marchand jeudi alors que les deux équipes étaient de retour dans l'Ouest canadien avec une finale égale à deux victoires partout. Nous savons cela, alors nous devons garder les choses simples et travailler fort. »

Marchand a marqué le troisième but des siens dans chaque victoire en finale, les deux fois sur des tirs du revers après un revirement causé par un joueur des Canucks.

« Nous provenons d'une ville de cols bleus et nous avons plusieurs joueurs de ce genre dans l'équipe. Nous aimons simplement travailler fort », a poursuivi Marchand.

Le joueur de centre Patrice Bergeron, qui a récolté des aides dans les trois derniers matchs et qui compte 18 points depuis le début des séries, a dit que les Bruins ont aussi démontré qu'ils avaient du talent en séries, mais qu'ils avaient un malin plaisir à jouer du hockey avec du mordant.

« C'est nous, c'est comme ça que nous jouons, a dit le Québécois. Mais ça ne veut pas dire que nous n'avons pas de talent, parce que nous sommes ici. Nous devons nous assurer que nous comptons sur ces deux aspects, mais nous devons travailler pour pouvoir gagner quelques matchs. »

Ils sont à égalité 2-2 contre une équipe qui a affiché le meilleur dossier de la LNH en saison, menant aux chapitre des buts pour et buts contre, du jeu de puissance et qui occupait le troisième rang à court d'un homme.

Après avoir perdu les deux premiers matchs à l'étranger, seulement deux des 34 équipes ont été en mesure de venir de l'arrière et remporter la finale de la Coupe Stanley.

Les Bruins doivent aussi se passer de Nathan Horton, qui était à égalité avec son partenaire de trio David Krejci au sommet des pointeurs de l'équipe et qui est le seul joueur de l'histoire de la LNH à avoir inscrit deux buts gagnants lors d'un septième match au cours des mêmes éliminatoires.

Horton ne pourra plus jouer en séries, lui qui a subi une commotion cérébrale à la suite d'un coup à la tête du défenseur des Canucks Aaron Rome, qui a reçu une suspension de quatre matchs.

Alors que cela aurait pu affecter le moral des Bruins, ils ont plutôt relevé leurs manches, ont travaillé avec acharnement, distribué de solides mises en échec et ont même vu leur gardien Tim Thomas pousser un ou deux joueurs des Canucks.
Rich Peverley, obtenu dans une transaction avec les Thrashers d'Atlanta, a été promu au sein du premier trio et a marqué deux buts mercredi.

« Je ne crois pas qu'on puisse avoir un joueur plus col bleu que moi. J'ai travaillé dans des usines quand j'étais jeune. Je suis fier qu'on me qualifie de la sorte, je le prends comme un compliment », a indiqué le vétéran Shawn Thornton, qui a soulevé la coupe avec les Ducks d'Anaheim en 2007 et qui a amené de l'énergie au sein du quatrième trio lorsque la série s'est transportée à Boston.

« Il y a une combinaison de choses qui sont arrivées dans notre cas et qui nous ont permis de créer l'égalité. L'éthique de travail en est probablement l'une d'elles. (Vancouver) a travaillé fort et a bien joué aussi. C'est juste que nous avons marqué quelques buts, et pas eux. »

Luongo l'homme de Vigneault

Associated Press: VANCOUVER - Après avoir accordé 12 buts en deux matchs, Roberto Luongo sera de retour devant le filet des Canucks de Vancouver pour la cinquième rencontre de la série finale de la Coupe Stanley.

L'entraîneur des Canucks Alain Vigneault a cependant précisé qu'il n'a jamais eu l'intention - comme il l'avait fait en première ronde face aux Blackhawks de Chicago - de garder son gardien no 1 sur le banc au profit de la recrue Cory Schneider, même si Luongo stipule qu'il en voit maintenant les bons côtés.

Retiré à deux reprises alors que les Canucks avaient perdu les matchs no 4 et no 5 par un total de 12-2 au chapitre des buts. Après la blessure de Schneider, Luongo avait finalement été d'office pour une bonne partie de la sixième rencontre après avoir amorcé le match sur le banc. Il n'avait eu que deux jours pour se préparer pour la septième et ultime partie, au cours de laquelle il a effectué 31 arrêts pour permettre aux siens de l'emporter en prolongation.

« La situation est assez semblable, a déclaré le gardien québécois. C'est la finale de la
Coupe Stanley, je dois penser aux buts que j'accorde. Mais je ne peux pas seulement m'attarder à ce qui s'est passé lors des derniers matchs parce que ça va trop m'affecter demain (vendredi) soir. Je dois tourner la page, et repartir à zéro. »

Et pendant que les Bruins de Boston profitent pleinement de la contribution de leurs joueurs clé, ceux des Canucks connaissent leur lot de difficultés.

Daniel Sedin, qui a terminé au premier rang des marqueurs en saison régulière et qui est un des candidats au trophée Hart, n'a inscrit qu'un but et ajouté seulement une mention d'aide depuis le début de la série. Son frère Henrik a obtenu son premier tir au but que lors du quatrième match et ne compte aucun point en finale.

Ryan Kesler, que plusieurs voyaient comme un des potentiels récipiendaires du trophée Conn Smythe après qu'il eut brillé dans la série qui opposait les Canucks aux Predators de Nashville, n'a récolté aucun point contre les Bruins. Luongo a quant à lui vu sa moyenne de buts alloués gonfler lors des récentes défaites des siens.

« Ce sont des joueurs qui font partie de l'élite de la LNH, et si on s'est rendus jusqu'où on est en ce moment, c'est parce que nos meilleurs joueurs ont été - la plupart du temps
- nos meilleurs joueurs, a dit Vigneault. On n'est pas différents des autres équipes. On a bien sûr besoin qu'ils jouent à la hauteur de leur talent, et ils le feront. »

Tim Thomas n'est pas étranger aux difficultés qu'ont les Canucks à trouver le fond du filet. Après avoir évolué avec trois équipes dans trois ligues mineures différentes ainsi qu'en Europe, le gardien a tranquillement fait son chemin jusqu'à l'élite de la LNH.

Son style agressif et frivole lui a d'ailleurs valu d'être un des candidats pressenti au titre de joueur par excellence des séries éliminatoires.

Thomas a stoppé les 38 rondelles auxquelles il a fait face mercredi pour réaliser le blanchissage, en plus d'avoir effectué 40 arrêts lundi. Il a repoussé 141 des 146 tirs qui ont été dirigés vers lui depuis le début de la finale.

« Je ne crois pas que ces chiffres importent, a mentionné Thomas, qui fêtera ses 38 ans mercredi prochain, jour du possible match no 7. Je ne me prépare pas pour mes matchs en espérant qu'on dirigera plus de tirs sur moi que lors des rencontres précédentes. J'essaie seulement de m'adapter aux matchs au fur et à mesure qu'ils se développent. »

Irbe quitte les Caps

ARLINGTON, États-Unis - L'entraîneur des gardiens des Capitals de Washington, Arturs Irbe, ne sera pas de retour, la saison prochaine.

Les Capitals ont précisé jeudi que le contrat d'Irbe arrive à échéance et qu'il veut quitter afin de passer plus de temps avec sa famille.

Irbe a passé deux saisons chez les Caps à s'occuper du développement des jeunes gardiens Michal Neuvirth et Semyon Varlamov.

Irbe a joué pendant 13 saisons dans la LNH, atteignant la finale de la Coupe Stanley dans l'uniforme des Hurricanes de la Caroline en 2002. (AP)

Ingérence… ou pouvoir limité ?

http://fr.canoe.ca/sports/chroniques/yvonpedneault/archives/2011/06/20110610-000624.html

Yvon Pedneault
10/06/2011 00h06 


Ainsi donc, si je me fie aux propos que tenait Roland Melanson à notre collègue Marc De Foy, ce n’est finalement pas Bob Gainey qui tenait à garder Carey Price à Montréal, à sa première saison complète chez les professionnels.
 
C’étaient plutôt les gens du marketing, ting, ting, et les hautes instances de l’équipe.
Selon Melanson, comme l’équipe s’apprêtait à célébrer le 100e anniversaire de la concession, on voulait un autre Patrick Roy. Le profil correspondait parfaitement à Price.
 
Melanson stipule que Guy Carbonneau et lui avaient discuté avec Gainey et le consensus voulait que Price passe une saison dans la Ligue américaine.
 
Une idée intéressante.
 
Les propos de Melanson rejoignent en somme ceux que tenait Pierre Boivin, l’ex-président des Canadiens, en entrevue à CKAC Sports, il y a environ trois semaines.
 
«Dans les faits, personne ne possède le privilège d’avoir carte blanche. Ça n’existe pas dans la vie. On a toujours quelqu’un à qui on doit se rapporter. Donc, il est faux de prétendre qu’une telle personne possède carte blanche.»
 
Cela veut dire que Gainey n’avait pas carte blanche sur les décisions touchant le personnel des joueurs et des entraîneurs. André Savard et Réjean Houle ne possédaient pas de tels pouvoirs non plus.
 
Est-ce à dire que la haute direction faisait preuve d’ingérence dans les opérations quotidiennes de l’équipe? «Le plus difficile pour un chef d’entreprise, c’est de ne pas faire de l’ingérence, avait souligné Boivin. Comme chef d’entreprise, tu as des personnes en place pour s’assurer que tout fonctionne parfaitement. Mais, le chef d’entreprise doit poser des questions. Il veut savoir pourquoi l’équipe connaît une baisse de régime. Pourquoi on ne parvient pas à rencontrer les objectifs.»
 
Boivin précise plutôt que de faire de l’ingérence alors que les dossiers deviennent passablement complexes et surtout très chauds, il vaut mieux apporter des changements administratifs. Par conséquent, on congédie l’entraîneur.
 
Ou on congédie le directeur général. Il faut croire qu’au cours de son règne, Boivin a été bien tenté de s’immiscer dans les affaires de Gainey, ou encore dans les dossiers de Savard ou dans les décisions que voulait prendre Houle.
 
Le licenciement de Carbonneau peut donc s’expliquer par l’intervention de Boivin auprès de Gainey.
 
Quelques jours au préalable, Gainey avait pourtant affirmé que son coup le plus important et le plus gratifiant pour lui fut justement l’embauche de son bon ami et ex-coéquipier, Carbonneau. Comment, en l’espace de quelques jours, a-t-il pu en venir à la décision de relever Carbo de ses fonctions?
 
On m’a déjà raconté qu’à l’occasion d’une réunion du conseil d’administration des Canadiens, les hautes instances de l’organisation avait questionné Gainey sur les commentaires d’après-match de Carbonneau affirmant qu’il ne savait plus quoi faire avec les joueurs. Qu’il était à bout de ressources.
 
«Qu’entends-tu faire Bob pour remédier à la situation?» Une question directe et qui demande une réponse franche.
 
«Tu ne peux pas laisser l’équipe dans un tel désordre. Et il faut participer aux séries éliminatoires, c’est un must.»
 
Gainey opta pour l’impensable.
 
Dehors Carbo et bienvenue Bob.
 
Ingérence ou pouvoir? Le propriétaire ou son fondé de pouvoir décident et les hommes de confiance exécutent.
 
Mais, il y a quand même une logique à respecter. Depuis quand les gens du marketing doivent-ils décider du statut des joueurs? Depuis quand le marketing a priorité sur les décisions au niveau du personnel des joueurs?
 
Les propos de Melanson m’étonnent. Je croyais que Gainey avait un incroyable pouvoir de persuasion.
 
Or, alors si cela avait été le cas, Carbonneau aurait sûrement demeuré en place.
 
Mais si je reviens aux commentaires de Pierre Boivin. Assumant, qu’il exige qu’on règle sur le champ les problèmes au sein de l’équipe, mais que Gainey s’objecte à ce que
Carbonneau soit congédié, est-ce à dire que Gainey aurait pris le bord?
Sous la direction de Boivin, je vous rappelle que cinq entraîneurs ont défilé derrière le banc et quatre directeurs généraux sont passés dans les bureaux administratifs. Il faut croire qu’on était souvent en désaccord…
 
Que fait-on de la stabilité d’une organisation?
 
Parfois quand le marketing, ting, ting, a priorité…
 
Des Bruins dominants
 
Impressionnantes les deux dernières prestations des Bruins de Boston. Et cette série finale, égale 2-2, pourrait bien être à l’avantage des représentants de l’association de l’Est. Boston méritait un meilleur résultat que 0-2 lors des deux premières rencontres à Vancouver.
 
Les Bruins ont été dominants à tous les points de vue lors des deux derniers matchs.
Douze à un au chapitre des buts. Dominants sur l’aspect physique. Dominants au niveau des unités spéciales.
 
Comment une équipe peut-elle dominer aussi outrageusement en finale de la coupe Stanley? Surtout contre la meilleure formation du calendrier régulier?
 
Doit-on y voir une certaine intimidation?
 
Assurément.
 
Tim Thomas a été intimidant. Les défenseurs des Bruins ont été intimidants en s’acharnant sur les jumeaux Sedin. Les attaquants ont été intimidants en taillant en pièces la défense des Canucks et en faisant très mal paraître le gardien Roberto Luongo.
 
Les Bruins ont plongé les Canucks dans le doute. Les champions de l’Ouest ont perdu leur concentration, ils n’ont jamais pu pratiquer le style qui leur avait permis d’atteindre de hauts sommets, celui d’être une équipe excellant dans le jeu de passes et dans le déploiement de l’attaque en territoire adverse.
 
À Boston, les Canucks ont frappé un mur en Thomas, mais ils se sont également heurtés à des défenseurs combatifs, ne laissant que peu d’espace de manœuvre aux jumeaux et à Ryan Kesler.
 
Il va falloir que les Canucks trouvent des solutions… et rapidement.
 
Ça commence avec une solide prestation de la part de Roberto Luongo.

Ça commence avec une plus grande force de caractère.

«Il ne faut pas se décourager» - Roberto Luongo

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/06/20110610-034517.html


VANCOUVER - Même s’il a été victime de 12 buts lors des deux rencontres présentées à Boston, Roberto Luongo ne semblait aucunement ébranlé lorsqu’il a rencontré les médias hier soir à Vancouver.
« Ça ne se compare pas du tout à la situation survenue lors de la première ronde contre les Blackhawks (lorsqu’il a fait appel aux services de Schneider pour commencer le 6e match). Les Blackhawks nous avaient éliminés deux années de suite et je cherchais à changer les choses. »
 
« Roberto est l’un des meilleurs gardiens de la Ligue nationale et il a toute notre
confiance, a-t-il poursuivi. C’est un fier compétiteur. Je ne doute pas un seul instant qu’il sera prêt pour ce cinquième match. »
 
Une solide carapace
 
Luongo a justement expliqué qu’il se sert de l’expérience acquise lors des moments difficiles pour solidifier sa carapace.
 
« Il y a toujours des cahots sur la route. J’ai éprouvé des ennuis en première ronde et je suis revenu en force par la suite », a-t-il rappelé.

« Il ne faut pas se décourager quand les choses vont moins bien, comme il ne faut pas s’enflammer lorsque ça va bien. Nous (les Canucks) sommes habitués de surmonter de l’adversité. »

« Personne dans l’équipe n’est heureux de ce qui s’est passé à Boston, a continué Luongo. Si on m’avait dit au début de la saison que j’allais me retrouver à deux victoires de la conquête de la coupe Stanley, avec deux des trois matchs qui seront disputés à domicile, je me serais empressé de demander où je dois signer ! »
 
Luongo estime qu’il a joué de malchance sur certains buts marqués contre lui à Boston, à cause de rondelles déviées. Le fait demeure toutefois qu’il n’a pas été à la hauteur de son talent.
 
Aucun point pour Henrik Sedin en finale
 
Chose certaine, Luongo et les autres têtes d’affiche des Canucks jouent très gros ce soir au Rogers Arena.
 
Si les Bruins devaient l’emporter de nouveau, les Canucks risqueraient fort de rater leur coup, eux qui tentent de remporter leur première coupe Stanley en 40 ans d’histoire.
Ils seraient forcés de l’emporter lundi à Boston, là où ils viennent d’encaisser des revers humiliants de 8 à 1 et de 4 à 0.
 
Cette série finale a beau être égale 2 à 2, ce sont les Bruins qui ont le vent dans les voiles. Henrik Sedin n’a pas encore récolté un point depuis le début de la finale tandis que Daniel en a obtenu deux seulement. Les jumeaux se font malmener physiquement et on ne les sent pas du tout à l’aise face à cette équipe.
 
« Aucune formation ne peut espérer gagner si les membres de son premier trio ne produisent pas, reconnaissait Henrik après la défaite de mercredi. Tim Thomas a été excellent depuis le début de cette série et il faudra trouver une façon de le déjouer, notamment lors de nos attaques massives. »
 
Une puissance à domicile
 
Vigneault est confiant de voir les choses se replacer parce que les Canucks jouent très bien à leur domicile du Rogers Arena (fiche de huit victoires et de trois défaites). Selon lui, la foule bruyante procure une dose d’énergie supplémentaire à ses joueurs.
 
« Les jumeaux Sedin, tout comme Kesler, sont des joueurs d’élite dans la LNH et il est évident qu’on a besoin qu’ils performent à la hauteur de leur talent pour gagner des matchs », a admis l’ex-entraîneur du Canadien, qui était de bonne humeur malgré les deux défaites encaissées.

« Tout le monde devra mieux jouer. Il nous reste deux victoires à aller chercher. Je respecte beaucoup les Bruins et Thomas. Mais nous sommes capables de les battre. La coupe Stanley est un trophée très difficile à remporter. »
Il a fait face avec aplomb à une mitraille de questions en conférence de presse, pendant que les frères Sedin et Ryan Kesler préféraient demeurer dans le vestiaire, eux qui sont tout autant à blâmer que Luongo pour les deux revers encaissés au TD Garden.
 
Alain Vigneault a par la suite confirmé que Luongo sera devant le filet ce soir dans ce cinquième match de la finale, que certains journalistes locaux qualifient du plus important dans l’histoire des Canucks.
 
Une confiance absolue
 
Il était donc tout à fait normal que Luongo soit à son poste, même s’il a été forcé de laisser sa place à Cory Schneider mercredi soir après que les Bruins eurent marqué leur quatrième but.

« Roberto, c’est notre homme, a affir mé Vigneault. Ce fut une décision facile à prendre. Il n’y a pas eu la moindre période de réflexion à ce sujet. »

Le Conn Smythe à Thomas?

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2011/06/20110610-034052.html

Claude Julien rappelle que le gardien Tim Thomas a dû surmonter beaucoup d’obstacles au cours de sa carrière. 
© Agence QMI / Éric Bolté
 
VANCOUVER - Après avoir mal paru sur le but victorieux d’Alexandre Burrows lors du deuxième match, Tim Thomas a été la cible de certaines critiques à Boston. Voilà que deux rencontres plus tard, il apparaît comme étant le favori pour remporter le trophée Conn Smythe!  
C’est bien pour dire que les choses peuvent parfois changer très vite au hockey...
Thomas a éclipsé Roberto Luongo lors des deux parties présentées au Garden, repoussant 78 des 79 tirs des Canucks.
 
Depuis le début de la finale, le vétéran gardien au style acrobatique et échevelé n’a alloué que cinq buts en quatre parties pour une moyenne de 1,26 et un taux d’efficacité de 96,1%.
 
Si on tient compte du septième match de la ronde précédente remporté 1 à 0 face au Lightning, Thomas n’a permis que cinq buts à ses cinq dernières rencontres. Il mérite assurément d’être considéré comme étant un sérieux candidat pour le trophée du joueur par excellence des séries.
 
Thomas, qui a aussi de très bonnes chances de remporter un deuxième trophée Vézina en trois ans, se montrait prudent dans ses commentaires hier à son arrivée à Vancouver.
 
«Je me sens très bien devant mon filet depuis le début de la finale, mais je sais qu’on n’a encore rien gagné, a-t-il commenté. Les Canucks ne nous feront pas de cadeau.»
 
Un battant
 
Questionné à savoir si Thomas joue présentement le meilleur hockey de sa carrière, Claude Julien a répondu: «il a été excellent durant toute la saison, comme le témoignent d’ailleurs ses statistiques. Si vous remarquez davantage son travail, c’est parce qu’on se retrouve en grande finale.»
 
«Tous les yeux sont rivés sur lui. Thomas est l’homme des grandes occasions. Il met tout le monde en confiance dans l’équipe.»
Julien a répété que Thomas est un battant, un athlète qui a dû surmonter beaucoup d’obstacles au cours de sa carrière.
 
«Ça fait de lui un gardien idéal pour notre organisation. C’est un col-bleu. Il est à l’image du genre d’équipe que nous formons, une équipe qui n’abandonne jamais la lutte, qui travaille fort, a-t-il mentionné. Tim accorde parfois un mauvais but, mais il ne baisse jamais les bras.»
 
Meilleurs dans l’adversité
 
C’est la deuxième fois dans ces séries 2011 que les Bruins parviennent à combler un déficit de 0-2. Ils avaient réussi le coup contre le Canadien en première ronde.
 
«À chaque fois que nous avons dû affronter de l’adversité cette année, on a su élever notre jeu d’un cran pour remporter les matchs, a souligné Thomas. Notre défi maintenant est de continuer de gagner.»
Même discours chez Patrice Bergeron.
 
«On a grandi à travers les difficultés qu’on a surmontées au fil des ans, au lieu de nous apitoyer sur notre sort, a raconté l’attaquant québécois. On mise sur plusieurs leaders dans l’équipe. On croit en nous.»
 
Une source de motivation
 
Thomas n’a pas caché que la visite surprise de Nathan Horton dans le vestiaire après le match de mercredi soir avait stimulé toute l’équipe.
 
«Il est venu remettre le chandail réservé au joueur du match à Rich Peverley, qui l’a remplacé avec brio au sein de sa ligne d’attaque en marquant deux buts. Nous étions tous excités de revoir Nathan dans le vestiaire.»
 
Thomas refuse de céder un pouce à ses adversaires et c’est encore plus évident en finale. Il a servi un véritable coup de hache à Alexandre Burrows en fin de match mercredi et on verra comment les choses se passeront ce soir.

«Les joueurs des Canucks accrochent souvent le bout de mon bâton et je dois leur démontrer que je ne me laisserai pas faire. C’est une véritable bataille devant le filet. La coupe Stanley est à l’enjeu. On ne se fait pas de quartiers.»

Les Canucks sans mordant à Boston

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Les Canucks de Vancouver étaient débarqués à Boston avec une solide avance de 2-0 dans la série. Ils vont devoir repartir avec une égalité de 2-2.

Après avoir subi une rincée de 8-1 lundi soir au TD Garden, les Canucks n'ont pas eu l'air plus brillants hier soir. La marque finale n'a peut-être pas été aussi humiliante pour eux, mais les visiteurs ont quand même été dominés par des Bruins plus rapides et plus tenaces, qui ont finalement obtenu une victoire facile par la marque de 4-0, devant 17 565 fans.

Les matches trois et quatre de cette grande finale à Boston peuvent se résumer à deux noms : Tim Thomas et Roberto Luongo.

Pendant que le premier a enchaîné les petits miracles devant le filet des Bruins, Luongo, lui, en a arraché. Le gardien québécois a d'ailleurs dû céder sa place au réserviste Cory Schneider avec 16:21 à faire au match, hier soir, après avoir accordé quatre buts sur 20 tirs.

Et maintenant, les Canucks vont se retrouver avec un tas de questions à répondre à propos de leur gardien numéro un, un scénario dont ils se seraient bien passés, assurément.

La soirée de Luongo a bien mal commencé, avec un but de Rich Peverley en première, droit entre les jambières. Ensuite, c'est Michael Ryder qui a mal fait paraître le gardien des Canucks avec un tir des poignets depuis le cercle des mises en jeu, mal jugé par Luongo.

On pourrait préciser que les défenseurs des Canucks n'ont pas connu une grosse soirée eux non plus. À commencer par Keith Ballard, qui a royalement cafouillé derrière son filet en deuxième période, un jeu très maladroit qui a mené au troisième but des Bruins, celui de Brad Marchand.

Place à Cory Schneider

C'est avec une certaine surprise qu'on a vu Luongo reprendre sa place entre les poteaux pour le début de la troisième, mais ce fut bref. Après le quatrième but des Bruins, un autre but signé Peverley, l'entraîneur Alain Vigneault a fait un signe de la tête au réserviste Schneider, qui s'est amené en renfort en vitesse.

À l'autre bout, Tim Thomas était encore solide devant son filet, repoussant les 38 tirs des Canucks. Des Canucks qui vont sans doute se poser bien des questions au moment de prendre le vol de retour vers Vancouver, ce matin. Le match numéro cinq est prévu pour vendredi soir.

Fin échevelée

Les dirigeants de la LNH, le préfet de discipline par intérim Mike Murphy en tête, avaient averti les joueurs d'afficher un comportement un peu plus exemplaire cette fois-ci, et le message a été bien reçu dans l'ensemble.

Pour la première fois depuis le début de cette série parfois très intense, les patineurs des deux clubs ont évité les coups salauds pendant deux périodes, mais ça s'est gâté légèrement en fin de match avec deux mêlées, alors que l'issue du match ne faisait plus aucun doute.

Parmi les coups salauds, on retiendra ce coup de bâton de Tim Thomas sur Alexandre Burrows, un « spécial Ron Hextall » qui aura pu mal virer.

Ce qui est certain, c'est que les Canucks ne seront pas fâchés de retourner à la maison. Pour eux, ce petit séjour de deux matches à Boston aura été désastreux. Marque combinée des deux matches présentés au TD Garden : Bruins 12, Canucks 1 !

Ce n'était certes pas ce que les joueurs de Vancouver avaient en tête au moment d'arriver ici.

Vigneault et Julien ont plusieurs points en commun

http://www.cyberpresse.ca/le-droit/sports/lnh/201105/30/01-4404126-vigneault-et-julien-ont-plusieurs-points-en-commun.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4406913_article_POS5










L'un a précédé Michel Therrien à la barre du Canadien de Montréal, l'autre l'a remplacé.
Mais les points communs entre Alain Vigneault et Claude Julien remontent à bien plus loin que leur premier emploi dans la LNH ou leur passage à la barre des Olympiques, puisqu'ils ont joué leur hockey mineur en même temps dans la région de la capitale nationale.

Comme Vigneault avait été recruté par les Voyageurs d'Ottawa-Est du gérant Charles Henry, il a eu l'occasion de croiser le fer à l'occasion avec Julien, qui jouait à Orléans mais qui était un an plus vieux. «Comme il y avait du 'majeur' et du 'mineur' dans le temps, on ne jouait pas souvent l'un contre l'autre dans nos ligues, mais à l'occasion, lors de tournois, ça pouvait arriver», se souvient Julien, qui a 51 ans contre 50 pour Vigneault.

Comme le Hullois est revenu en sol outaouais jouer pour son hockey junior pour les Olympiques, et que le Franco-ontarien évoluait dans la LHOntario (Oshawa puis Windsor), ils ne sont pas croisés à nouveau avant de faire le saut chez les professionnels, se retrouvant comme coéquipiers avec les Golden Eagles de Salt Lake City, de la Ligue Centrale, dans l'organisation des Blues de St. Louis.

Les deux étaient des défenseurs droitiers à caractère défensif et qui n'avaient pas froid aux yeux. Et ils arboraient tous les deux de solides moustaches, en plus.

«On ne s'est jamais battu l'un contre l'autre, mais on se défendait beaucoup. Parfois, c'était Alain qui commençait quelque chose et j'allais en renfort, d'autre fois c'était le contraire... On se tenait pas mal ensemble, avec Alain Lemieux, le frère de Mario, également», se remémore Julien.

Vigneault a mis un terme à sa carrière de joueur après trois saisons, réalisant qu'il ne serait jamais plus qu'un «bouche-trou» (son terme) avec les Blues ou tout autre club de la LNH.

«Je me suis marié et je suis retourné à l'école à Trois-Rivières. L'équipe junior AAA de la place avait besoin d'un coup de main et j'ai dit que je les aiderais pour deux semaines, qui sont devenues deux ans. J'ai ensuite dirigé les Draveurs (un an), puis Charles Henry est venu me chercher (pour remplacer Pat Burns, en 1987-1988). C'est là que tout a commencé», relate-t-il.

Julien a roulé sa bosse pendant 14 saisons chez les pros, toutes dans les mineures sauf pour 14 parties avec les Nordiques, avant de se tourner vers le métier d'entraîneur. Il a été adjoint à Robert Mongrain pendant deux saisons chez les Olympiques, avant de le remplacer lors de la fameuse saison 1996-1997 où les Olympiques ont remporté la coupe Memorial en plus de la coupe du Président.

Fiches en carrière avec les Olympiques:

Julien (1996-2000): Saison: 141-109-16 Séries: 42-21, avec une coupe du Président et une coupe Memorial (1997), une coupe du Président comme entraîneur adjoint (1995), une finale de la LHJMQ (1999)

Vigneault (1987-1992): Saison: 187-126-26 Séries: 25-26, avec une coupe du Président (1988).

Fiches en carrière avec le Canadien de Montréal:

Julien (2002-2006): Saison: 72-62-10-15 Séries: 4-7

Vigneault (1997-2001): Saison: 109-118-35-4 Séries: 4-6

Fiche en carrière LNH

Julien (Montréal, New Jersey, Boston): Saison: 298-189-10-69 Séries: 33-27

Vigneault (Montréal, Vancouver): Saison: 345-251-35-45 Séries: 33-29

Trophée Jack-Adams de l'entraîneur de l'année dans la LNH: Julien en 2008-2009,

Vigneault en 2006-2007 (finaliste en 2000 avec Montréal et en 2010-2011)

Tinordi ne regrette pas d'avoir choisi le junior

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Le grand Jarred Tinordi, premier choix du Canadien en 2010, ne regrette pas d'avoir tourné le dos à l'Université Notre-Dame et de s'être aligné avec les Knights de London, dans la Ligue junior de l'Ontario.

«C'était clairement la bonne décision, non seulement à cause du nombre de matchs que je pouvais jouer, mais aussi du temps d'utilisation dont j'ai bénéficié, a expliqué le défenseur de 6'6 et 206 livres.

«C'est sûr qu'en début de saison, j'ai trouvé la réalité bien différente de là d'où je venais. J'ai dû m'ajuster à la charge de travail. Mais après un certain temps, j'ai commencé à me sentir plus confortable et je me suis mis à beaucoup mieux jouer.»
En début de campagne, le défenseur de 19 ans semblait dépassé par la vitesse du jeu, mais il a su s'ajuster par la suite.

«Tinordi a connu une belle progression depuis son passage dans l'équipe américaine des moins de 18 ans, a souligné Jacques Martin. C'est bien sûr un arrière qui met l'accent sur la défensive, mais il possède aussi un bon physique dont nous allons éventuellement avoir besoin.

«Je suis satisfait de ses progrès, mais il peut profiter d'une semaine comme celle-ci pour parfaire encore ses habiletés.» Tinordi entend entre autres travailler sur son jeu de pieds et son maniement de rondelle afin d'avoir un plus gros impact au sein des Knights la saison prochaine.

Il compte en outre se reprendre par rapport à la saison dernière en étant en se taillant une place au sein de l'équipe junior américaine.

«Ça a été dur d'être ignoré pour les Mondiaux, a-t-il confié. Je m'attendais au moins à être invité au camp.»
En dépit de ses 6'6, Tinordi est listé à seulement 197 livres. Il dit pourtant avoir pris 10 livres depuis la fin de la saison et qu'il espère poursuivre dans la même veine durant l'été.

Être encore plus imposant physiquement servirait sûrement celui qui a profité de sa première saison à London pour jeter les gants à 11 reprises.

«Avec le style de jeu que je pratique, c'est quelque chose auquel je dois être prêt à faire face, a expliqué Tinordi. Je ne m'étais pas souvent battu avant la saison dernière, donc ça a été bien de me faire les dents à ce niveau-là.»