jeudi 21 avril 2011

À l'affiche ce soir: les Hawks en mode survie

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/l-affiche-ce-soir-les-hawks-en-mode-survie-71873.html

(CKAC Sports) - Outre le CH et les Bruins qui remettent ça, deux séries se poursuivent jeudi dans la LNH, à Vancouver et à Los Angeles.
Les Canucks pourraient devenir la deuxième équipe, après les Red Wings, à assurer leur place en deuxième ronde des séries.

La troupe d'Alain Vigneault a encore les Blackhawks de Chicago dans les câbles, les champions en titre de la Coupe Stanley tirant de l'arrière 1-3.

On ne sait toujours pas si le défenseur Brent Seabrook (haut du corps) sera en mesure d'effectuer un retour pour les Hawks. John Scott devrait toutefois demeurer au sein de la formation même si Seabrook est de la partie. L'entraîneur Joel Quenneville pourrait utiliser Scott comme attaquant au sein du quatrième trio.

Retour à la case départ à L.A. ?

Dans l'autre série à l'affiche, les Kings de Los Angeles tenteront d'égaler les chances lors du quatrième affrontement les opposant aux Sharks de San Jose.

Du côté des Sharks, l'entraîneur Todd McLellan a laissé entrevoir la possibilité d'un changement de gardien. Antti Niemi a été retiré du jeu lors du troisième match de la série remporté tout de même par les Sharks, 6-5 en prolongation.

Niemi avait accordé quatre buts en 10 tirs avant d'être remplacé au profit d'Antero Niittymaki.

Au menu, jeudi

Boston à Montréal, 19h

(Montréal mène la série 2-1)

Chicago à Vancouver, 22h

(Vancouver mène la série 3-1)

San Jose à Los Angeles, 22h30
(San Jose mène la série 2-1)

Le nouvel entraîneur, pas la priorité de Murray à Ottawa

(CKAC Sports) - Le directeur général des Sénateurs d'Ottawa, Bryan Murray, va prendre son temps avant de choisir le nouvel entraîneur-chef de l'équipe.
«Ce n'est pas ma priorité au moment où je vous parle, a dit Murray au quotidien Ottawa Citizen.

«Il faut que je trouve le bon entraîneur. La priorité est de bien développer nos jeunes joueurs et de faire les bons choix au prochain repêchage. Nous aurons cinq choix dans les deux premières rondes et l'occasion est belle de regarnir notre banque de jeunes espoirs.»

Le derby n'est pas commencé

À la lumière des propos de Bryan Murray, l'identité du prochain entraîneur des Sénateurs ne sera vraisemblablement pas annoncée avant le repêchage, à la fin juin.

Outre les Sens, qui ont indiqué la sortie à Corey Clouston, les Panthers de la Floride (congédiement de Peter DeBoer), le Wild du Minnesota (Todd Richards), les Devils du New Jersey (départ de Jacques Lemaire) et les Stars de Dallas (congédiement de Marc Crawford) sont à la recherche d'un entraîneur-chef.

Avec le Ottawa Citizen

HockeyCapitals 4 - Rangers 3 (P) Remontée capitale

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/04/20/011-rangers-capitals-match4.shtml


Avec leur force de frappe offensive, nul ne devrait considérer les Capitals comme battus. Les Rangers l'ont appris à la dure mercredi.

Les hommes de Bruce Boudreau, menés 3-0 au pointage en début de troisième période, ont signé un gain de 4-3 en prolongation, à New York. Jason Chimera a marqué le but gagnant pour couronner la plus importante remontée des Capitals cette saison.
Pour la première fois dans cette série, les visiteurs se sont imposés en terrain ennemi.

Les Capitals ont maintenant l'avance 3-1.
Chimera a profité d'une confusion entre Marian Gaborik et Henrik Lundqvist pour trancher le débat. Gaborik a harponné une rondelle à l'apparence inoffensive vers Lundqvist, mais le disque s'est retrouvé derrière le gardien où Chimera n'a eu qu'à récolter la gloire.

Le dénouement est décevant pour Lundqvist, qui avait réussi 49 arrêts jusque-là. Le Suédois s'est notamment dressé devant l'explosif Alexander Ovechkin, seul en échappée, en première prolongation.

Éveil tardif, mais fracassant

La puissante attaque des Capitals a attendu à la troisième période pour se mettre en marche, mais elle n'en a pas été moins efficace. Dès la quatrième minute, les hommes de Bruce Boudreau avaient réduit à un seul but l'écart qui les séparait des Rangers.

Alexander Semin a d'abord poussé une rondelle libre sur la ligne des buts, derrière Lundqvist. Puis, Marcus Johansson, posté à l'embouchure du filet, a fait dévier la passe vive de Brooks Laich pour déjouer le gardien.

Johansson a doublé sa production offensive en séries à la 13e minute, créant une parité que Chimera a brisée deux périodes plus tard.

Durant les trois premiers matchs de la série, les deux gardiens avaient été parfaits en première période. Dan Boyle, des Rangers, a pris l'initiative de déranger Michal Neuvirth pour changer la donne.

Résultat : Boyle a été puni deux fois pour obstruction sur le gardien et Neuvirth n'a pas bronché. Lundqvist et lui ont été parfaits au premier vingt pour la quatrième fois.

L'aura de Neuvirth s'est toutefois effritée quand Artem Anisimov a montré ses talents de prestidigitateur à la sixième minute de la deuxième période. De derrière le filet, le Russe a lancé la rondelle qui a dévié sur la jambière du gardien tchèque avant de faire scintiller la lumière rouge.

Les Rangers ont porté un grand coup huit minutes plus tard. Laissé seul aux abords d'une cage béante, Marian Gaborik a marqué un premier but dans les séries en quatre ans. Sept secondes après la reprise du jeu, Brandon Dubinsky a augmenté l'avance à trois buts. Une avance qui s'est toutefois avérée insuffisante.

Les Capitals pourront en finir avec les New-Yorkais dès samedi, à Washington, où ils ont remporté les deux premiers affrontements.

HockeyFlyers 0 - Sabres 1 Miller refait le coup

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/04/20/009-flyers-sabres-match4.shtml

Les Flyers ont dominé l'Association de l'Est au chapitre des buts marqués cette saison, mais ils ne sont pas aussi convaincants dans leur série contre les Sabres.

La puissante attaque des hommes en orange s'est encore butée à un Ryan Miller intraitable, mercredi, à Buffalo.

Comme dans le match initial, le gardien des Sabres a blanchi les Flyers dans un gain de 1-0. La série est maintenant égale 2-2.

Miller a repoussé les 32 rondelles dirigées vers lui pour connaître la troisième soirée parfaite de sa carrière à son 44e départ dans les séries.

Le « mur du Michigan » s'est notamment dressé devant les ultimes efforts des Flyers pour créer la parité. La rondelle a arrêté deux fois sa course tout juste sur la ligne rouge dans les dernières minutes de l'affrontement.

Miller a aussi pu compter sur l'aide de Tyler Myers au premier engagement. Le jeune défenseur format géant a empêché un but certain en déviant le menaçant tir de James Van Riemsdyk dans le filet protecteur. Miller était hors position sur la séquence.

Dans le camp ennemi, Brian Boucher a bloqué 28 tirs. Seul Jason Pominville l'a déjoué à mi-chemin en première période.

Laissé sans surveillance devant le nouveau gardien de confiance de Peter Laviolette, l'attaquant québécois n'a eu qu'à rediriger la passe de Rob Niedermayer pour inscrire son premier but de la série.

Déjà privés de leur général à la ligne bleue, Chris Pronger, les Flyers pourraient perdre les services de Jeff Carter. L'attaquant a quitté la rencontre après une collision avec
Myers au premier vingt.

Les Flyers n'avaient pas perdu en temps réglementaire à Buffalo depuis le 21 décembre 2007.

La série se transportera à Philadelphie vendredi.

HockeyPenguins 3 - Lightning 2 (P) Meilleurs loin de Pittsburgh

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/04/20/010-penguins-lightning-match4.shtml


Les Penguins font fi de la proverbiale expression « l'avantage de la glace » contre le Lightning.

Après avoir divisé les honneurs des deux premiers matchs à Pittsburgh, ils retourneront dans leur igloo forts d'une avance de 3-1 grâce à une victoire de 3-2, mercredi, à Tampa Bay.

James Neal a mis fin à la remontée du Lightning avec 3 min 38 s d'écoulées en deuxième prolongation.

Dominants en première période, les visiteurs ont trouvé le moyen d'ouvrir la marque. Tyler Kennedy a profité d'une pénalité décernée au capitaine adverse Vincent Lecavalier pour freiner à 13 la série d'insuccès des Penguins en supériorité numérique.

Les hommes de Dan Bylsma ont d'ailleurs connu des difficultés dans cette facette du jeu cette saison avec un faible taux d'efficacité de 15,8 %, bon pour le 25e rang.

Arron Asham, la révélation des Penguins jusqu'ici, a encore exploité ses talents offensifs limités. Le Métis originaire du Manitoba a inscrit déjà son troisième but de la série au deuxième engagement, lui qui n'a récolté que 5 buts en 44 matchs cette année. Son tir des poignets s'est faufilé entre les jambières de Dwayne Roloson pour doubler l'avance des siens.

En deux temps

Silencieuse pendant une bonne partie de la soirée, la foule s'est réveillée brusquement en fin de deuxième période quand le Lightning s'est approché à un but des Penguins.

Martin Saint-Louis a réduit l'écart à 2-1 avec son quatrième but de la série. Lecavalier s'est fait complice avec une superbe passe soulevée.

Les spectateurs ont bondi de nouveau de leurs sièges avec 3 min 17 s à jouer en troisième période. Sean Bergenheim a créé l'égalité 2-2 pour étirer les hostilités au-delà des 60 minutes réglementaires.

Pas l'ombre de lui-même depuis le début de la série, Steven Stamkos a encore été blanchi de la feuille de pointage. Il a obtenu sa seule chance de marquer au deuxième vingt.

Roloson a bloqué 50 tirs dans une cause perdante, contre 29 pour Marc-André Fleury.
Soulignons que chacune des deux équipes était privée de l'un de ses joueurs-clés. Les attaquants Steve Downie (Lightning) et Chris Kunitz (Penguins) ont écopé chacun d'une suspension d'un match pour des incidents survenus dans le troisième affrontement.
Downie a servi une violente charge à Lovejoy, tandis que Kunitz a asséné un coup de coude gratuit à la tête de Simon Gagné.

Les Penguins auront la chance d'éliminer le Lightning devant leurs partisans, samedi.

Mordre la poussière dans le désert

http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2011/04/21/001-redwings-coyotes-match4.shtml

Les Coyotes ont peut-être disputé leur dernier match dans la région de Phoenix, mercredi.
Les Red Wings ont mis un terme à ce qui pourrait être l'ultime saison des Coyotes à Glendale avec une victoire de 6-3 dans la quatrième rencontre de leur série de premier tour.
La formation de Détroit a ainsi réussi un balayage contre les anciens Jets.
Ironiquement, ces mêmes Wings avaient mis fin à l'aventure de la LNH à Winnipeg en 1996.
Cet affrontement était évidemment suivi avec intérêt par les amateurs de hockey du Manitoba, qui espèrent que les Coyotes retourneront dans leur province dans un avenir rapproché.
Plus tôt dans la journée, le commissaire Gary Bettman a voulu étouffer les rumeurs de déménagement en répétant dans une entrevue à Sportsnet que la LNH travaille toujours à garder l'équipe en Arizona.
Les Coyotes ont été rachetés par la LNH en 2009 et ils n'ont pas encore un nouvel acheteur. L'homme d'affaires Matthew Hulsizer, qui souhaite les acquérir, était au nombre des spectateurs.
Cleary tranche
Le tableau indicateur affichait un pointage de 3-3 quand Daniel Cleary a marqué son premier but de la série d'un angle très restreint avec 6 min 19 s à écouler à la troisième période.
Todd Bertuzzi et Patrick Eaves ont ajouté leur grain de sel pour anéantir les chances de succès des Coyotes.
Avant ces trois réussites, les deux adversaires se sont échangé l'avance à plusieurs reprises.
Tomas Holmstrom a ouvert la marque tôt au premier engagement, mais Taylor Pyatt et Shane Doan ont répliqué pour les Coyotes.
Eaves a ensuite créé l'égalité, avant de voir Martin Hanzal redonner un but d'avance aux Arizoniens. À peine trois minutes plus tard, Niklas Kronwall a ramené les deux équipes à la case départ.

Les péripéties de la Coupe Stanley à Québec

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/actualites-sportives/201104/20/01-4391974-les-peripeties-de-la-coupe-stanley-a-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_la-capitale_577_section_POS1



(Québec) On savait difficile la route vers la Coupe Stanley. On comprend que le parcours de la Coupe est lui-même parfois hasardeux.
Le trophée était attendu hier midi au Centre des congrès pour la conférence de Luc Robitaille, président du développement des affaires des Kings de Los Angeles.
Le gardien de la Coupe, Mike Bolt, qui voyage avec elle à l'année et ne la touche qu'avec des gants blancs, devait quitter Chicago hier soir en route pour Montréal, puis Québec.
À son arrivée à Montréal, M. Bolt découvre cependant que la Coupe ne l'a pas suivi, ce qui semble compromettre la visite à Québec. La Coupe arrivera finalement à Montréal par le vol suivant, puis à Québec tout juste avant midi.
Félix La Rue, un étudiant en éducation physique à l'Université Laval qui agit comme bénévole pour la conférence, s'offre pour aller chercher la Coupe et son gardien à l'aéroport.
Il faudra faire vite car la Coupe doit repartir deux heures plus tard pour sa prochaine destination. Ça laisse à peine le temps de foncer en ville, d'exhiber la Coupe sur l'estrade quelques minutes et de regagner l'aéroport. Sauf que la route est glissante. Coin René-Lévesque/Holland, la limousine dérape, heurte une chaîne de trottoir et un pneu éclate. On tente alors d'appeler un taxi par téléphone, mais peine perdue. Avec la tempête, ce sera trop long, raconte Félix.
Sur la banquette arrière
Il réussit alors à flyer un taxi dans la rue, mais la Coupe est trop grosse et n'entre pas dans le coffre. Qu'à cela ne tienne, il flyera une fourgonnette. «Voulez-vous transporter la Coupe Stanley?» demande-t-il au chauffeur ébahi qui ne le prend d'abord pas au sérieux, mais qui se laissera convaincre.
Il est déjà en retard : il le sera juste un peu plus.
La Coupe Stanley aboutit donc sur la banquette arrière, coincée contre un siège de bébé, son gardien à ses côtés.
La fourgonnette démarre, mais Mike Bolt réalise tout à coup qu¹il a oublié ses clés dans la limousine. Il fait stopper la fourgonnette et part à la course dans la tempête les récupérer.
Le temps file, mais la Coupe Stanley finira par atteindre, un peu essoufflée, le Centre des congrès.
 
Un détail dans la vie d'une Coupe qui en a vu d'autres, étant sur la route près de 250 jours par année.
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'Air Canada l'égare lors des transferts de bagage et sa petite histoire est chargée d'anecdotes. Elle fut notamment échappée dans le canal Rideau à Ottawa; dans la piscine de Mario Lemieux à Pittsburgh ; dans l'océan Pacifique à Malibu, lors d'un party chez Chris Chelios il y a quelques années
Ce n'est pas une crevaison dans une tempête printanière qui allait l'arrêter. Vaut mieux d'ailleurs qu'elle commence à s'habituer à l'hiver, si les Nordiques sont pour revenir
 

Saison 2010-2011 : les équipes ayant le plus de joueurs francophones dans la LNH

http://www.fanatique.ca/lnh/lnh-les-equipes-avec-le-plus-de-joueurs-francophones+8424.html

publié le 20 avril 2011 à 16h49 par Louis Fournier  (Louis Fournier)


Sur les 30 équipes de la Ligue nationale de hockey (LNH), 29 ont fait jouer au moins un hockeyeur francophone cette saison, à l'exception de Detroit.

Près des deux tiers des clubs, soit 18, ont eu trois joueurs francophones et plus (voir le tableau). Le calcul inclut tous les joueurs qui ont participé à au moins un match lors de la campagne 2010-2011, soit un total de 99 hockeyeurs francophones dont 73 Québécois.

Les joueurs francophones sont ceux qui peuvent parler couramment français, que ce soit leur langue maternelle ou leur langue seconde, selon la définition du dictionnaire Le Petit Robert.

Tampa Bay en tête

Le club qui se classe en tête du peloton est le Lightning de Tampa Bay, qui a fait jouer huit joueurs francophones cette saison dont cinq réguliers. C'est aussi le club qui a fait jouer le plus grand nombre de Québécois, soit sept.

Le Lightning se distingue en ayant dans son alignement trois joueurs québécois dominants : les attaquants Martin St-Louis, Vincent Lecavalier et Simon Gagné.  Le défenseur Marc-André Bergeron, un ancien du Canadien, s'est joint à eux au cours de la saison.

L'autre joueur régulier parlant français est un Anglo-Ontarien bilingue, Dominc Moore, dont le Canadien s'était départi à la fin de la saison passée. 
Trois autres Québécois ont joué quelques matchs avec le Lightning : l'attaquant Marc-Antoine Pouliot, le  défenseur Mathieu Roy et le gardien Cédrick Desjardins. Celui-ci a même participé à un match où il a battu le Canadien, l'équipe qui l'avait cédé à Tampa Bay.

L'entraîneur-chef  du Lightning est un Québécois, Guy Boucher. Il a occupé le même poste avec le club-école du Canadien dans la ligue américaine, les Bulldogs de Hamilton. Boucher est originaire de Notre-Dame-du-Lac dans le Témiscouata.

Les Canucks au 2e rang
Au 2e rang on trouve une des équipes favorites pour remporter la Coupe Stanley cette année, les Canucks de Vancouver, qui ont fait jouer sept hockeyeurs francophones, dont six Québécois.

Quatre d'entre sont des joueurs réguliers : le gardien Roberto Luongo, les attaquants Alexandre Burrows et Maxim Lapierre, ainsi qu'un Anglo-Ontarien bilingue, le joueur de centre Emmanuel «Manny» Malhotra. Les autres Québécois qui ont joué quelques matchs sont les recrues Alexandre Bolduc, Guillaume Desbiens et Yann Sauvé. L'entraîneur-chef du club, Alain Vigneault, est natif de Québec.

 Le Wild au 3e rang
En 3e position, le Wild du Minnesota a fait jouer six francophones, dont cinq Québécois. Les quatre joueurs réguliers sont l'attaquant Guillaume Latendresse et le vétéran gardien José Thédore - deux anciens du Canadien -, l'attaquant Pierre-Marc Bouchard  et l'Ontarien bilingue Cal Clutterbuck. Deux recrues ont joué quelques parties, les défenseurs Marco Scandella et Maxim Noreau.
 Le Canadien 4e ex aequo

Cinq équipes ont aligné chacune cinq joueurs francophones : les Ducks d'Anaheim, le

Canadien de Montréal, les Predators de Nashville, les Islanders de New York et les Penguins de Pittsburgh.

Le Canadien n'a actuellement dans son alignement que trois Québécois, le nombre le plus faible en 101 ans d'existence du club. Ces «survivants» sont le vétéran ailier Mathieu Darche, le jeune joueur de centre prometteur David Desharnais et le défenseur Alexandre Picard. Aucun d'eux n'a joué régulièrement toute la saison. Un autre Québécois, Maxim Lapierre, a été échangé le 31 décembre dernier.
Le Tricolore a aussi sous contrat deux autres francophones, le Franco-Ontarien Benoit Pouliot et le jeune Suisse Yannick Weber. Ce dernier a joué de façon irrégulière.

 Les Penguins de Pittsburgh

Les Penguins de Pittsburgh se signalent en ayant cinq joueurs francophones réguliers dans leur alignement. Il s'agit des Québécois Marc-André Fleury, Kristopher Letang, Pascal Dupuis et Maxime Talbot, ainsi que de l'Albertain bilingue Craig Adams. Le propriétaire du club est un Québécois, l'ancien joueur légendaire des Penguins Mario Lemieux.
  Vous trouverez toutes les informations sur les joueurs francophones au sein des équipes de la LNH dans la liste que j'ai publiée et mise à jour régulièrement sur Fanatique :   http://www.fanatique.ca/autres/liste-des-joueurs-quebecois-et-des-joueurs-francophones-+7398.html

99 joueurs francophones

Au grand total, 99 joueurs québécois et joueurs francophones nés hors Québec ont évolué dans la LNH cette saison, comme joueurs réguliers, réservistes ou recrues.
Ce nombre représente 10,2 % des joueurs qui ont participé à au moins un match dans la Ligue nationale cette saison, selon les statistiques de NHL.com.
Par ailleurs, 14 des 100 meilleurs marqueurs de la ligue en saison régulière ont été des francophones. C'est là un bon pointage, supérieur au pourcentage des joueurs francophones dans la ligue : http://www.fanatique.ca/lnh/lnh-14-joueurs-francophones-parmi-les-100-meilleurs-pointeurs+8341.html

73 joueurs du Québec  

Les joueurs de notre nation, le Québec, sont au nombre de 73, soit 7,5 % de tous les joueurs qui ont participé à au moins un match dans la LNH cette saison. Dix Québécois  figurent parmi les 100 meilleurs pointeurs de la ligue.
Quant aux joueurs francophones nés hors Québec, ils sont au nombre de 26. La liste comprend onze Franco-Ontariens, deux Acadiens, trois Franco-Manitobains, un Franco-Albertain, quatre Suisses, un Français et quatre Canadiens anglais bilingues.

270 joueurs au total

On compte par ailleurs 171 réservistes et recrues francophones qui n'ont pas joué dans la Ligue nationale cette saison, mais qui ont évolué dans l'orbite de la LNH. Ces hockeyeurs ont joué pour les clubs-écoles des équipes de la LNH dans les ligues professionnelles mineures, ou pour des clubs de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) et des ligues juniors de l'Ontario (OHL) et de l'Ouest (WHL).
En ajoutant les 99 joueurs qui ont joué dans la «grande ligue», on constate que 270 joueurs francophones ont évolué dans la LNH ou ont gravité dans son orbite cette saison. Plus de 80% d'entre eux (215) sont originaires du Québec.
 
 Tableau : clubs de la LNH ayant le plus de joueurs francophones*
-  8  joueurs :  Tampa Bay
-  7  joueurs :  Vancouver
-  6  joueurs :  Minnesota
-  5  joueurs :  Anaheim, Montréal,  Nashville, New Yok-Islanders, Pittsburgh
-  4  joueurs :  Boston, Buffalo, Columbus, Ottawa, San Jose
-  3  joueurs :  Dallas, Edmonton, New Jersey, Philadelphie, Phoenix
  * Incluant les réservistes et les recrues qui ont joué au moins un match.

Protestation afin de sauver la pièvre à Detroit; pas le Coyote

http://25stanley.com/

Ce soir, les Wings ont été ce que les Wings des séries font. 4e victoire de suite. Merci bonsoir, Phoenix est parti.

Avant de traiter du match, j’attire votre attention sur cet excellent clip YouTube. Sur les airs de I will Survive du groupe CAKE. Écoutez bien les belles paroles de protestation envers l’interdiction de la pieuvre lors des matchs des Red Wings de Detroit.

La semaine dernière, un partisan a reçu une amende de 500$ pour avoir lancé une pieuvre lors du premier match. Le club de Detroit a déjà reçu des menaces à 10 000$ la pieuvre lorsqu’un employé la faisait tourner au-dessus de sa tête. À Détroit, on a l’impression que Gary Bettman aimerait mieux voir 8 chicks en bikini sur la glace au lieu d’une bestiole de la mer. Cette tradition date de 1952. Et j’espère que vous êtes au courant de l’origine de celle-ci. Écoutez cette chanson si vous trouvez qu’interdire (ou de punir cette tradition inoffensive) est une absurdité la plus totale.

Par rapport aux Coyotes, leur avenir est encore incertain. Gary Bettman a encore balancé une connerie du genre «nous concentrons encore nos efforts pour faire fonctionner les choses à Phoenix. J’espère que nous connaîtrons du succès.» C’est débile, RIM (Blackberry), Quebecor et True North seraient tous preneurs d’une équipe de la NHL. C’est aussi des entreprises qui les états financiers bien balancés. Bettman brette avec quoi pour faire une transaction?

Est-ce que Vincent Lecavalier changera d’adresse cet été ?

http://www.hockeyexpress.ca/est-ce-que-vincent-lecavalier-changera-dadresse-cet-ete/

Jim Kelly du Si.com rapporte que le Lightning de Tampa Bay pourrait échanger l’attaquant Vincent Lecavalier pour diminuer la masse salariale de l’équipe pendant la saison estivale.

Kelly croit qu’il n’y a pas seulement le Canadien de Montréal qui serait intéressé à ses services. Il croit que les Maples Leafs de Toronto pourraient certainement être une formation qui aimerait mettre la main sur ce joueur de centre.

Ilya Bryzgalov signera-t-il une prolongation de contrat avec les Coyotes ?

http://www.hockeyexpress.ca/ilya-bryzgalov-signera-t-il-une-prolongation-de-contrat-avec-les-coyotes/#more-14374

James Mirtle du Globe and Mail rapporte que le gardien de but Ilya Bryzgalov, des Coyotes de Phoenix, aura probablement une bonne augmentation de salaire cet été. Rappelons que Bryzgalov deviendra agent libre sans compensation le 1er juillet. Il gagne 4.25 millions de dollars cette saison. Bryzgalov aimerait rester avec les Coyotes, mais si l’équipe déménage, il pourrait changer d’idée. Mirtle croit qu’une équipe comme le Lightning de Tampa Bay pourrait être une destination possible, car l’organisation cherche de la stabilité devant le filet.


La priorité numéro 1 des Coyotes est de prolonger le contrat d’Ilya Bryzgalov

Eric Francis du Calgary Sun rapporte que l’agent du gardien de but Ilya Bryzgalov ira rencontrer le directeur général des Coyotes de Phoenix la semaine prochaine. Rappelons que Bryzgalov deviendra agent libre sans compensation le 1er juillet prochain. Les Coyotes auraient comme priorité numéro 1 de resigner Bryzgalov.

Le coup de la porte

http://www.hockey30.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=2782:le-coup-de-la-porte&Itemid=18

Jeudi, 21 Avril 2011
Par HOCKEY30.com
 

« On en doit une à Price » -Darche

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/on-en-doit-une-a-price-darche-71764.html

(CKAC Sports) - Au terme du match de lundi, Carey Price a justifié la défaite des siens en affirmant que les joueurs du Canadien ne s'étaient pas préparés adéquatement.

Lors de son point de presse d'après-match, Price a indiqué que les joueurs ne semblaient pas concentrés dès la séance d'entraînement matinale.

Les joueurs du Canadien étaient tous du même avis que leur gardien de but.

« Il est un leader pour cette équipe et il veut que nous réussissions. Il a été notre meilleur joueur tout au long de la saison. S'il ne pense pas que nous sommes concentrés, nous devons nous assurer d'être prêts à jouer. Il est le gars le plus concentré les jours de match. Tout le monde a sa façon de se préparer, mais nous n'étions vraiment pas prêts au début du match », a mentionné P.K. Subban.

« Il est une partie importante de notre équipe et il voit beaucoup de choses à partir de son filet. Son opinion est très respectée dans notre vestiaire », a ajouté Jacques Martin.

L'entraîneur-chef avait justement affirmé à ses joueurs après l'entraînement qu'il n'était pas satisfait de l'effort fourni.

« Nous en avions discuté en avant-midi. Je crois que les joueurs avaient les bonnes intentions. La question est plutôt de s'assurer que chaque individu sait quel niveau d'intensité il doit fournir pour être à son maximum. Certains se sont laissés déconcentrer par la foule », a souligné Jacques Martin.

De son côté, Mathieu Darche a l'impression que l'équipe a laissé tomber Carey Price et que les joueurs devront s'assurer de ne pas répéter la même erreur jeudi.

« Carey est notre leader. Il avait entièrement raison. C'est lui qui nous permet de gagner des matchs depuis le début de la saison et des séries. Il l'avait remarqué, et nous aussi. Jacques Martin nous l'avait aussi dit après l'entraînement lorsque nous étions au milieu de la patinoire. On en doit une à Carey », a dit le Québécois.

Patrick Roy mis à l'amende

(CKAC Sports) - Patrick Roy et les Remparts de Québec ont écopé d'une amende de 2000 $ pour des propos tenus le 16 avril dernier à l'endroit du directeur gérant des Cataractes de Shawinigan, Martin Mondou.
Le directeur général et entraîneur-chef des Remparts avait affirmé que Mondou avait « un cerveau de la grosseur d'un pois. »

Après avoir rendu sa décision, le commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau, a indiqué qu'il n'émettra pas d'autres commentaires sur le sujet.

Les Canucks ont hâte d'envoyer les Hawks en vacances

VANCOUVER - Plus tôt les Blackhawks de Chicago seront en vacances, mieux ce sera pour les Canucks de Vancouver.
Les Canucks ont toujours les Blackhawks dans les câbles, alors qu'ils mènent la série 3-1.

Les Canucks veulent donner le coup fatal aux Hawks dès jeudi soir pour éteindre tout espoir que les champions en titre de la coupe Stanley ont de revenir dans cette série au meilleur de sept matchs.

« Il faut avoir la mentalité qu'il faut terminer le travail. On ne peut pas s'asseoir et attendre », a souligné l'attaquant des Canucks Daniel Sedin mercredi après l'entraînement des siens au Rogers Arena.

« S'il y a un match no 6 ou 7, c'est une série différente. Nous sommes heureux d'avoir une avance de 3-1. Nous avons l'avantage de la glace et c'est un endroit où nous adorons jouer. Nous serons prêts. »

Les Canucks ont bousillé une occasion de balayer les Hawks en s'inclinant 7-2 mardi lors du match no 4. C'était la première fois des séries que les Blackhawks avaient des airs de l'équipe qui a éliminé Vancouver au cours des deux dernières années.

« Ils avaient l'air affamés, a noté l'attaquant Raffi Torres. Quelques fois, c'est bon de passer à travers des choses comme ça. Ça nous rend plus humbles et ça nous remet à notre place. »

Le défenseur Kevin Bieksa a dit que ce cuisant revers sera un problème que si les Canucks s'appitoient sur celui-ci.
C'est primordial de mettre ça derrière nous et de regarder vers l'avant.

« Le momentum ne se transportera pas dans le prochain match à moins que nous le permettions. Si nous nous présentons avec un état d'esprit différent et que nous jouons comme nous l'avons fait lors des trois premiers matchs, nous devrions être corrects. »

Les Canucks, qui ont remporté le trophée du Président remis à l'équipe avec la meilleure fiche de la LNH, ont perdu quatre matchs de suite seulement une fois cette saison, soit entre le 15 et le 21 novembre.

« Ce groupe a bien répondu chaque fois qu'il a fait face à un défi différent ou à un avertissement. Les joueurs répondront bien demain (jeudi) », a noté l'entraîneur Alain Vigneault.

Le gardien Roberto Luongo, le joueur de centre Henrik Sedin et le défenseur Alex Edler ne se sont pas entraînés mercredi.

Luongo a été chassé de la rencontre de mardi après avoir accordé six buts sur 28 tirs. Il a semblé être blessé lorsqu'il a effectué un arrêt en première période, mais Vigneault a dit que son gardien serait prêt pour amorcer le cinquième match.

Vigneault a souri lorsqu'on lui a demandé pourquoi Henrik Sedin avait obtenu une journée de congé et pas Daniel.

« Parce que j'aime mieux Hank », a-t-il blagué.

Si nécessaire, le match no 6 aurait lieu dimanche à Chicago.

La tâche à laquelle font face les Blackhawks est difficile, mais pas impossible.

L'an dernier, les Flyers de Philadelphie ont effacé un déficit de 0-3 face aux Bruins de Boston au deuxième tour avant de l'emporter et d'éventuellement atteindre la finale.

Ryan Miller ferme la porte aux Flyers

(CKAC Sports) - Le portier des Sabres a été parfait en repoussant les 32 tirs dirigés contre lui, Jason Pominville a été l'unique buteur de la rencontre et les Sabres ont vaincu les Flyers de Philadelphie, 1 à 0, mercredi soir.
La série est maintenant égale 2 à 2 et elle se poursuivra vendredi, à Philadelphie.

Dans une cause perdante, le gardien Brian Boucher a stoppé 28 tirs.

Les Flyers ont été privés des services de Jeff Carter pour la majorité de la rencontre. L'attaquant a quitté après être entré en collision avec Tyler Myers lors de la première période. Blessé au bas du corps, il n'est jamais revenu par la suite.

Le capitaine Mike Richards s'est vu décerner une punition majeure, en fin de deuxième période, pour un coup de coude à l'endroit de Patrick Kaleta.

Il s'agissait d'un deuxième jeu blanc dans la série pour Ryan Miller.

Les Bulldogs de retour à la case départ

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/les-bulldogs-de-retour-a-la-case-depart-71825.html

(CKAC Sports) - Les Bulldogs avaient pris une avance de deux matchs dans la série, mais un séjour à Oklahoma City a renvoyé les deux équipes à la case départ.
Linus Omark - qui a disputé la majorité de la saison avec les Oilers d'Edmonton - a marqué un but en plus d'ajouter une aide, Martin Gerber a encore été solide en réalisant 26 arrêts et les Barons ont vaincu Hamilton, 5 à 2, mercredi soir.

Oklahoma City remporte un deuxième match en deux soirs, ce qui leur permet d'égaler la série 2 à 2.

Les autres buteurs des Barons ont été Hunter Tremblay, Mark Arcobello, Zack Stortini et Chris Vandevelde. Après avoir réalisé 44 arrêts mardi soir, Drew MacIntyre a connu une soirée plus difficile, accordant quatre buts sur 27 lancers.

Du côté des hommes de Randy Cunneyworth, la réplique a été assurée par Ian Schultz et Paul Zanette.

Aaron Palushaj n'était pas en uniforme pour les Bulldogs, puisqu'il souffrait de symptômes grippaux.

Le cinquième match aura lieu vendredi soir encore à Oklahoma City.

Le Lightning au bord du précipice

(CKAC Sports) - L'attaquant James Neal a déjoué Dwayne Roloson en début de deuxième période de prolongation et les Penguins de Pittsburgh ont porté un dur coup au Lightning de Tampa Bay, grâce à un gain de 3 à 2 mercredi soir.
Les hommes de Guy Boucher tirent maintenant de l'arrière 3 à 1 dans la série. Ils pourraient subir l'élimination dès samedi.

Le Lightning tirait de l'arrière 2 à 0 dans la partie, jusqu'à ce que l'attaquant Martin St. Louis prenne les choses en main. Avec moins de trois minutes à faire au deuxième vingt, le Québécois a réduit l'écart à un but grâce à son quatrième des séries. En troisième période, avec moins de quatre minutes à jouer, il a préparé le but égalisateur de Sean Bergenheim, envoyant les deux équipes en prolongation.

Dwayne Roloson aurait probablement aimé revoir le but de Neal, mais n'eut été de lui, les Penguins auraient probablement évité cette cinquième période, eux qui avaient déjà bombardé le vétéran de 40 tirs au terme des trois périodes réglementaires.

Le gardien de 41 ans a terminé la rencontre avec 50 arrêts. Son vis-à-vis Marc-André Fleury a été lui aussi efficace, repoussant 29 des 31 rondelles dirigées contre lui.

Arron Asham a marqué un troisième but dans la série, lui qui en avait inscrit cinq durant la totalité de la saison régulière. L'autre buteur a été Tyler Kennedy.

Le but de Neal - qui avait été impliqué dans l'échange envoyant le défenseur Alex Goligoski aux Stars - était le premier de sa carrière en séries.

Les Rangers aussi sont au pied du mur

(CKAC Sports) - À mi-chemin de la deuxième supplémentaire, le vétéran Jason Chimera a conclu une belle remontée de ses coéquipiers en faisant vibrer les cordages et les Capitals se sont sauvés du Madison Square Garden avec une victoire de 4 à 3, mercredi soir.
Les Rangers menaient par trois buts après 40 minutes de jeu. Ils étaient à 20 minutes d'égaler la série. Les mauvais souvenirs étaient sur le point de surgir dans la tête des joueurs des Capitals.

Alexander Semin et Marcus Johansson - deux fois plutôt qu'une - ont toutefois déjoué Henrik Lundqvist en l'espace de dix minutes au dernier vingt, forçant la tenue d'une prolongation. Le gardien suédois a réalisé 49 arrêts dans la défaite crève-coeur.

Artem Anisimov et Marian Gaborik ont inscrit leur premier but de la série. Brandon Dubinsky a également trompé la vigilance du jeune Michael Neuvirth qui a stoppé 36 des 39 tirs auxquels il a fait face.

Les hommes de Bruce Boudreau prennent donc l'avance de 3 à 1 dans la série. Ils pourraient y mettre un terme dès samedi.

Une troisième période productive pour les Ducks !

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/une-troisieme-periode-productive-pour-les-ducks-71832.html

NASHVILLE - Le but de Corey Perry en infériorité numérique à 1:17 de la troisième période a donné les devants pour de bon aux Ducks d'Anaheim, qui ont défait les Predators de Nashville 6-3 mercredi pour créer l'égalité 2-2 dans la série.
Le cinquième match aura lieu vendredi à Anaheim, alors que l'attaquant des Ducks Bobby Ryan sera de retour dans la formation après avoir purgé une suspension de deux matchs.
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Perry a aussi récolté deux mentions d'aide. Cam Fowler a marqué en avantage numérique et a amassé une aide, et Ryan Getzlaf, Brandon McMillan, Teemu Selanne et Saku Koivu ont inscrit les autres buts.

Patric Hornqvist, Joel Ward et Matt Halischuck ont répliqué pour Nashville, qui a raté une occasion de prendre les devants 3-1 dans une série pour la première fois de son histoire.

Le match était serré jusqu'à ce que les Ducks explosent avec trois buts au cours des premières 6:46 de la troisième. Perry a parti le bal avec un tir du revers pour déjouer Pekka Rinne du cercle droit des mises en jeu. Le meilleur buteur de la ligue en saison régulière a ensuite préparé le but de Getzlaf à 4:51, et McMillan a chassé Rinne du match avec le sixième but des Ducks.

Les faits saillants

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Vidéo: Le soleil est-il tombé sur le hockey en Arizona ?

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/video-le-soleil-est-il-tombe-sur-le-hockey-en-ari-71860.html

(CKAC Sports) - Les joueurs des Coyotes étaient-ils convaincus de saluer leur public pour la dernière fois quand ils ont été éliminés par les Red Wings de Detroit ?
La rumeur renvoie les Coyotes à Winnipeg là où cette concession a grandi jusqu'en 1996, année de son déménagement à Phoenix.

Depuis leur arrivée en Arizona, les Coyotes auront atteint les séries six fois, mais à chaque occasion, leur route s'est arrêtée avec une élimination hâtive en première ronde.

Leur déroute administrative a été confirmée en 2009 quand l'équipe a déclaré faillite et que la LNH a mis l'équipe sous tutelle.

LIRE AUSSI: Les Red Wings balaient les Coyotes

Le tournant de la série

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/le-tournant-de-la-serie-71863.html

(CKAC Sports) - Le Canadien est encore "en contrôle" de la série l'opposant aux Bruins de Boston. La troupe de Jacques Martin devra toutefois l'emporter ce soir devant ses partisans afin de le conserver.

Aucune équipe n'est encore parvenue à l'emporter à domicile dans cette série que mène le Tricolore, deux victoires à une. Les Bruins ont ramené le Canadien à l'ordre, lundi, grâce à un gain de 4-2 au Centre Bell.

Sous la loupe

Canadien
: Après avoir connu des ratés au cercle des mises en jeu, le retour de Jeff Halpern pourrait aider le Tricolore à ce chapitre.

Halpern a raté les sept derniers matchs de l'équipe, dont les trois premiers de la série face aux Bruins, en raison d'une blessure au bas du corps.

«Je commence à mieux comprendre ce que fait David Krejci, a expliqué Lars Eller, mais ça fera du bien de pouvoir compter sur Jeff.»

Bruins: Après deux jours loin des réflecteurs de Montréal et Boston, les Bruins ont peaufiné leur jeu de puissance en retraite fermée à Lake Placid, dans l'état de New York.

Boston n'a pas marqué en 11 tentatives lors de supériorités numériques depuis le début de la série.

«Il faut que le jeu de puissance se mette en branle et le plus tôt sera le mieux, a dit l'entraîneur Claude Julien après un entraînement de 75 minutes, mercredi. Le Canadien connait bien nos tendances en avantage numérique, c'est plus difficile de les surprendre.»

En feu
Michael Cammalleri mène le Canadien avec un but et quatre points en séries. Carey Price n'a permis que quatre buts en trois matchs.

Patrice Bergeron totalise trois points, dont un but, pour les Bruins. Il montre aussi un pourcentage de réussite de 65,3 % lors des mises au jeu.

À l'infirmerie

L'attaquant Chris Kelly est retourné à Boston mercredi pour des examens plus approfondis. On craint qu'il ait subi une fracture à un os du visage. La recrue Tyler Seguin pourrait faire son entrée en séries pour les Bruins.

En chiffres

Les Bruins tentent de déjouer l'histoire. Les Bruins montrent un dossier de 0-26 quand ils ont tiré de l'arrière 0-2 dans une série. Quant au Tricolore, ils ont laissé filer une avance de 2-0 seulement quatre fois au cours de leur histoire.

Le mot de la fin

«On doit être prêt dès la première mise en jeu. Les Bruins ont joué du hockey désespéré. C'est maintenant notre tour de le faire.» P.K. Subban

Avec NHL.com

Bruins - Objectif : refouler le Canadien dans sa zone

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110421-023840.html

LAKE PLACID, New York - Qu’est-ce que les Bruins devront faire de mieux s’ils veulent créer l’égalité dans leur série contre le Canadien ?
Mark Recchi n’a eu aucune hésitation en entendant la question après la séance d’entraînement des siens hier.
« On devra mieux travailler en territoire offensif, a-t-il dit d’entrée de jeu.
« Il faudra agir de façon à garder la rondelle profondément dans la zone du Canadien. Notre échec avant pourrait être meilleur.
« C’est quand on effectue du travail efficace à ce niveau qu’on connaît du succès. »
 
Le vétéran attaquant est bien placé, pour dire que rien n’est perdu pour les Bruins.
En 2006, les Hurricanes de la Caroline, qui l’avaient acquis des Penguins de Pittsburgh avec une vingtaine de matchs à jouer en saison régulière, avaient échappé leurs deux premiers matchs à domicile dans la série qui les opposaient au Canadien.
 
Les Hurricanes avaient rebondi en remportant les quatre rencontres suivantes avant de se rendre jusqu’à la coupe Stanley.
Ironiquement, Recchi faisait carrière à Montréal lorsque le Tricolore avait gagné leurs deux premiers matchs des séries à New York avant de subir quatre défaites consécutives.

« Je me rappelle ce qui s’est passé avec les Hurricanes, a-t-il enchaîné.

« C’est le genre d’expérience que je peux transmettre à mes coéquipiers actuels. Quand on perd les deux premiers matchs d’une série à domicile, le but est de remporter le troisième afin de se repositionner.
 
« Je peux deviner aussi ce qui traverse l’esprit des joueurs du Canadien en ce moment. Le prochain match est tout aussi important pour eux que pour nous. »
 
Kelly examiné à Boston
 
Par ailleurs, l’attaquant Chris Kelly manquait à l’appel lors de la séance d’entraînement d’hier.
 
L’ancien porte-couleurs des Sénateurs d’Ottawa était retourné à Boston afin de subir des examens visant à déterminer la nature de la blessure qu’il a subie au visage lorsque
Scott Gomez l’a poussé dans le filet du Canadien durant la première période du match de lundi.
 
Kelly est tout de même demeuré dans la rencontre.
 
C’est la recrue Tyler Seguin qui le remplaçait aux côtés de Rich Peverly et Michael Ryder à l’entraînement. Mais il semble que le jeune devra encore attendre son tour, lui qui n’a pas joué depuis le début de la saison.
« Kelly doit revenir à Montréal ce soir (hier) et il devrait être de la formation dans le prochain match », a indiqué Claude Julien.

Les Red Wings balaient les Coyotes

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110421-021436.html

GLENDALE, Arizona (Sports Network) – Les Red Wings de Detroit ont complété le balayage de la série quart de finale les opposant aux Coyotes de Phoenix grâce à une victoire de 6-3, mercredi soir, à Glendale.
 
Danny Cleary a terminé la rencontre avec une récolte d’un but et deux passes pour les Red Wings, qui sont la première équipe à accéder aux demi-finales d’association.
Thomas Holmstrom, Patrick Eaves (2), Niklas Kronwall et Todd Bertuzzi ont également marqué pour Detroit, tandis que le gardien Jimmy Howard a réalisé 24 arrêts.
 
L’an dernier, les Red Wings avaient éliminé les Coyotes en sept matches au cours de la première ronde des séries.
Taylor Pyatt, Shane Doan et Martin Hanzal ont secoué les cordages pour les Coyotes, qui n’ont jamais remporté de série éliminatoire depuis le transfert qui les a amenés de Winnipeg à Phoenix en 1996.
Ilya Bryzgalov a alloué cinq buts sur 39 lancers.

Canadien c. Bruins - Le Canadien a compris la leçon

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110421-023325.html

 
BROSSARD - Victimes d’un manque de concentration flagrant ou d’un enivrement démesuré causé par la foule survoltée, les joueurs du Canadien ont couru à leur perte en faisant fi du système de jeu pourtant si cher aux yeux de Jacques Martin.
 
« Je ne pense pas que ça ait été une question de nervosité. C’est certain que, pour ceux qui n’avaient jamais participé aux séries, sauter sur la patinoire devant une foule partisane aussi bruyante constitue toute une expérience, a soutenu Brent Sopel, membre de l’équipe gagnante de la dernière coupe Stanley.
 
« Cependant, je ne crois pas que ça ait joué un si grand rôle. C’est plutôt le fait que nous nous soyons éloignés de notre plan de match qui a coûté cher. »
Pour d’autres cependant, particulièrement les pères de famille, le fait d’être de retour à Montréal a peut-être contribué à ce léger manque de concentration.
« On était de retour à nos aises, auprès de nos familles. C’est sûr que ça ne devrait pas nous déranger, mais il reste que ce sont tout de même des distractions », a déclaré Mathieu Darche.
 
Toujours est-il qu’il aura fallu 30 minutes avant que le Tricolore ne revienne sur terre. Le pointage était déjà de 3 à 0 et la côte, déjà bien difficile à remonter.
« Il n’y a aucun doute qu’on s’est fait servir un sérieux avertissement. On a réalisé que si l’on n’applique pas le système de jeu à la perfection durant 60 minutes, ça risque de mal tourner », a ajouté Sopel.
 
À la veille du quatrième affrontement de cette série, les joueurs du Canadien ont assuré qu’ils ne tomberaient pas dans le même piège.
« Nous devrons être prêts dès que la rondelle tombera en jeu. En séries éliminatoires, chaque minute est cruciale. La moindre erreur ou le plus petit manque de concentration peut coûter le match », a rappelé le défenseur acquis en fin de saison.

Attaque massive muette
La rencontre aurait pu prendre une tout autre tangente si le Canadien était parvenu à capitaliser lors de la supériorité numérique obtenue dès la seconde minute du match.
 
D’ailleurs, le Tricolore éprouve toute sorte d’ennuis avec l’avantage d’un homme depuis le début de cette nouvelle saison, n’ayant inscrit qu’un seul but en 12 occasions.
Il se classe au 14e rang à ce chapitre parmi les 16 formations prenant part aux éliminatoires derrière Boston et Pittsburgh.
Une statistique qui confirme qu’au moins le désavantage numérique bleublanc- rouge fonctionne à merveille.
 
« Malgré le bruit et l’ambiance, il est important que ceux qui sont appelés à jouer sur les unités spéciales demeurent concentrés, a expliqué Mike Cammalleri. En supériorité numérique, ce qui est paradoxal, c’est que les gars qui y évoluent doivent être habités d’un certain sentiment d’urgence, tout en faisant preuve de beaucoup de calme. »
D’ailleurs, Jacques Martin et sa troupe ont passé beaucoup de temps au cours de l’entraînement d’hier à peaufiner certains détails de l’attaque massive.
 
Pas à n’importe quel prix
Un gain du Canadien lui donnerait une confortable avance de 3 à 1 dans cette confrontation. À l’inverse, un revers ramènerait les deux équipes à la case départ.
 
« On dit toujours que le prochain match est le plus important. C’est encore plus vrai cette fois », a indiqué P. K. Subban. Si on sort en force et qu’on démontre de l’intensité pendant 60 minutes, je suis persuadé que nous allons quitter la glace avec la victoire. »
Et si la tendance se maintient, l’équipe qui marquera le premier but augmentera de beaucoup ses chances de rentrer à la maison avec la victoire.

Considérant qu’à chacun des trois premiers matchs, le premier but fut marqué dans les premiers instants, vaut-il mieux ouvrir le jeu pour espérer prendre les devants ou demeurer sur ses positions en attendant le moment propice ?
« C’est toujours bien de pouvoir marquer le premier but. Ceci dit, comme tout peut arriver dans un match, l’important est de se conformer au plan de match en tout temps…, peu importe ce qui arrive au cours des cinq ou dix premières minutes », a soutenu P. K. Subban.
Même son de cloche du côté de Sopel, pour qui l’adoption du système de jeu doit primer.
« C'est bien de marquer le premier but, mais pas à n'importe quel prix. L’important est de bien appliquer le système. De cette façon, s'ils marquent les premiers, on pourra ne pas en faire tout un plat. »
« L’important est de savoir s’ajuster à tout ce qui pourrait survenir au cours du match, de poursuivre notre travail et de ne pas céder à la panique », a confirmé l’entraîneur du Canadien.

Canadien c. Bruins - «Carey avait raison» - Mathieu Darche

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110421-023554.html

BROSSARD - Au terme du match de lundi soir, Carey Price a indiqué que ses coéquipiers et lui avaient « obtenu ce qu’ils méritaient ».
Selon le gardien de but, c’est un manque de rigueur lors de l’exercice matinal qui avait causé ce mauvais début de match et, conséquemment, la défaite du Tricolore.
Quarante-huit heures après les événements, ils étaient nombreux à être d’accord avec leur homme masqué.
« Carey avait raison. Il est notre leader. Grâce à lui, nous avons remporté un bon nombre de matchs au cours de la saison et depuis le début des séries éliminatoires, a reconnu Mathieu Darche. On l’avait tous remarqué. Jacques nous en a aussi parlé. On en doit une à Carey. »
Cammalleri n’en est pas si sûr
« C’est une observation juste, a d’ailleurs souligné l’entraîneur du Canadien au terme de l’entraînement d’hier. Le manque d’exécution en début de match en fut une belle preuve. Le niveau de compétition est si intense qu’il faut être à notre meilleur dès le début de la rencontre. »
À l’inverse, certains, tel Mike Cammalleri, ont émis quelques réserves par rapport à cette sortie.
« Je n’ai pas de problème avec le fait que Carey partage son opinion. C’est un athlète très émotif. Cependant, j’ignore jusqu’à quel point cela a réellement eu une incidence sur notre début de rencontre, a-t-il d’abord indiqué.
« J’ai déjà vu notre équipe travailler fort le matin d’un match pour finalement sortir à plat le soir venu. L’inverse est également vrai. »

Bruins -- Après la détente, le travail

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/sports/hockey/archives/2011/04/20110421-023724.html

LAKE PLACID, New York - Le Canadien est mieux d’être prêt ce soir, car les Bruins sont revigorés par leur séjour au pays du Miracle sur glace.
 
Après une première journée axée sur la détente, les Bruins ont repris le boulot hier sur la patinoire d’entraînement du Olympic Center de Lake Placid.
 
Les hommes de Claude Julien se sont entraînés sous les regards attentifs du président de l’équipe, Cam Neely, du directeur général, Peter Chiarelli, et de son adjoint Don Sweeney, signe que l’heure n’était plus à la rigolade et qu’il fallait travailler sérieusement.
« Leur présence ne change rien, a minimisé Patrice Bergeron avec un sourire.
 
« On pratique comme on joue. »
Même son de cloche de la part de Claude Julien qui a fait valoir que les joueurs sont payés pour faire un travail et que Chiarelli est présent dans l’entourage de l’équipe tous les jours.
 
Mais on peut vous dire qu’il n’en est pas toujours ainsi. Comme Julien le disait lui-même mardi, la pression est forte sur les Bruins à Boston.
 
On se rappelle encore qu’ils ont permis aux Flyers de surmonter un déficit de trois matchs au deuxième tour des séries l’an dernier et une défaite aux mains du Tricolore cette année serait perçue comme un fiasco.
Des têtes rouleraient, mais revenons au présent.

Motifs différents

Le Canadien et les Bruins ont des motifs différents de vouloir gagner le quatrième match.
 
Les Bruins veulent retourner à la maison à égalité dans la série, tandis que le Tricolore a tout intérêt à reprendre une avance de deux rencontres avant de reprendre le chemin de Boston.
 
« On a franchi une première étape en remportant le premier match à Montréal, a dit Julien après l’entraînement des siens.
« Notre prochain but est de remporter le deuxième afin de rentrer chez nous avec une égalité. »
 
Entraînement intensif
Les Bruins ont travaillé intensivement durant une heure. La rigueur était de mise.
 
« On n’a pas le temps de chômer, a lancé Julien.
« Les joueurs ont bien apprécié leur séjour ici. Ils étaient très alertes. On avait des choses à travailler, particulièrement notre attaque massive. »
 
Les Bruins n’ont pas marqué en 11 supériorités numériques lors des trois premières rencontres, mais le Canadien a été à peine plus efficace avec un seul but en 12 supériorités.
 
Aussi, les Bruins ont apporté des changements au sein de leur première unité en mutant Bergeron du poste de passeur au point d’appui à l’avant aux côtés de David Krejci et de Milan Lucic.
 
La tâche de Lucic étant de camper devant le filet, on retrouve avec Bergeron et Krejci deux joueurs de centre dans les autres postes d’attaquant.
« On va réagir en voyant ce que le Canadien va nous donner, a dit Bergeron.
« Or, Krejci a une bonne vision du jeu. »

Pas de panique
 
Par ailleurs, Bergeron estime que la direction a pris une bonne décision en amenant l’équipe à Lake Placid.
 
« Lake Placid n’est pas la plus grosse ville aux États-Unis, mais c’est un très bel endroit, a-t-il mentionné.
« Comme on n’y retrouve pas 50 restaurants, on a eu la chance de passer du temps ensemble. »
On a remarqué aussi que Julien était nettement plus détendu.
« Claude est calme depuis le début de la série, a donné à entendre Bergeron.
 
« Il est lui-même. Par son comportement à notre endroit, on s’est rendu compte qu’il ne fallait pas paniquer. »
Les Bruins ne se sont pas présentés à Montréal la tête enfoncée dans les épaules après avoir perdu les deux premiers matchs devant leurs partisans.
 
« On était persuadés d’aller chercher le troisième match, a repris Bergeron.
« On y retourne avec l’intention de gagner encore, mais on sait que le Canadien ne lâche jamais. »