Selon les données recueillies par le journaliste financier Vincent Brousseau-Pouliot, les joueurs des Panthers de la Floride, du Lightning de Tampa Bay et des Stars de Dallas bénéficient du meilleur taux d'imposition (35%) alors que ceux de Montréal se retrouvent à l'autre bout du spectre, avec un taux de 48,2 %.
Scott Gomez, avec son salaire de 8 millions de dollars américains cette saison, voit donc pas moins de 3 856 000 $ s'envoler en impôts.
Pas une raison de bouder Montréal
Selon l'article de La Presse, ces données ne font pas fuir les meilleurs joueurs de la LNH et le taux d'imposition ne serait pas de nature à nuire au Canadien quand vient le temps d'attirer des joueurs autonomes à Montréal.
Avant de voir ce que le gouvernement retient sur leurs paies, d'autres éléments viennent en ligne de compte des joueurs selon Vincent Damphousse, qui a évolué pour plusieurs équipes canadiennes et américaines avant de travailler au sein de l'Association des joueurs de la LNH.
«Les joueurs tiennent à être rénumérés selon leur valeur sur le marché et voit aussi aux enjeux familiaux comme le bien-être de leurs épouses et la situation des écoles pour leurs enfants.»
