Brown, qui a disputé 414 matchs avec les Penguins dans la LNH (150 buts, 342 points) n'apprécie que très modérément l'apport de Matt Cooke dans l'équipe actuelle.
Selon lui, la comparaison avec Sean Avery n'a même pas lieu d'être. « Avery peut faire des coups bas, mais Matt Cook est salaud », a dit Brown à Jim Matheson.
« C'est une chose d'avoir la tête haute autour d'un dur-à-cuire. Moi, je m'assurais toujours de savoir où Bob Probert se trouvait. Mais Cooke ? C'est un gars qui peut terminer des carrières. Il a possiblement terminé celle de Marc Savard. Il aurait aussi pu terminer celle d'Alex Ovechkin en le frappant au genou, l'autre soir. J'ai joué avec des gars qui n'avaient pas de conscience, et Cooke en est un. »
Brown ne s'est pas arrêté là.
« Si ç'avait été moi qui avait frappé Savard et qui l'avait tenu à l'écart du jeu, j'en serais malade. Et pourtant, Cooke continue à jouer de la même façon. Il y en a, des joueurs durs. Regardez Steve Ott. Il est baveux, mais il joue honnêtement. »
