Durant son séjour en Floride, notre collègue Jeremy Filosa, que vous pouvez suivre sur son blogue, a pu identifier deux autres patrons qui se sont rangés derrière Shero dans sa proposition d'éliminer tous les coups à la tête. On parle ici du directeur général des Sabres Darcy Regier et de celui des Hurricanes Jim Rutherford.
Regier a indiqué qu'il était l'un de ceux qui n'étaient pas en accord avec la majorité. Selon lui, la façon de traiter les coups à la tête doit prendre un virage radical. On doit trouver le moyen de protéger les joueurs même sur des mises en échec face à face. Rappelons que les d.g. ont voté hier à 24 contre 6 de ne pas éliminer tous les coups à la tête.
Pour sa part, Rutherford a indiqué que depuis quelques années, certains directeurs généraux ont commencé à voir les choses à sa façon. Selon lui, plus le temps avance, plus les opinions commencent à changer. Toutefois, cela se fait graduellement.
Un de ceux qui n'étaient pas en accord avec l'idée de Shero était le directeur général des Bruins de Boston Peter Chiarelli. Selon lui, le règlement 48 commence déjà à porter fruit.
Aujourd'hui à Boca Raton, il a beaucoup été question du changement de certains règlements. Voici donc certaines suggestions qui ont été proposées.
- Certains d.g. voudraient que l'on ajoute des éléments du match qui peuvent être visionnés par la reprise vidéo, comme, par exemple, un hors-jeu lorsqu'un but est marqué.
- Une autre idée qui a été suggérée est celle de donner aux entraîneurs la possibilité de demander la reprise vidéo comme c'est le cas présentement dans la NFL.
Le directeur général des Maple Leafs Brian Burke reconnait que certains types de jeux devraient pouvoir être revus, mais il invite ses homologues à ne pas se prononcer rapidement. Par ailleurs, il s'oppose à ce que la victime d'un geste dangereux puisse donner sa version de l'histoire lorsque vient le temps de suspendre un joueur fautif.
- Il a aussi été question du « spinorama » qu'utilisent certains joueurs de la Ligue nationale lors des fusillades. Même si certains directeurs généraux estiment que ce genre de jeu devrait être illégal, la majorité s'entendent pour dire que ça doit rester dans le jeu, car les partisans adorent voir ce type de truc.
L'exemple le plus souvent mentionné est celui de Martin St-Louis qui est devenu un expert dans l'art de réinventer le « spinorama ».
Regier a indiqué qu'il était l'un de ceux qui n'étaient pas en accord avec la majorité. Selon lui, la façon de traiter les coups à la tête doit prendre un virage radical. On doit trouver le moyen de protéger les joueurs même sur des mises en échec face à face. Rappelons que les d.g. ont voté hier à 24 contre 6 de ne pas éliminer tous les coups à la tête.
Pour sa part, Rutherford a indiqué que depuis quelques années, certains directeurs généraux ont commencé à voir les choses à sa façon. Selon lui, plus le temps avance, plus les opinions commencent à changer. Toutefois, cela se fait graduellement.
Un de ceux qui n'étaient pas en accord avec l'idée de Shero était le directeur général des Bruins de Boston Peter Chiarelli. Selon lui, le règlement 48 commence déjà à porter fruit.
Aujourd'hui à Boca Raton, il a beaucoup été question du changement de certains règlements. Voici donc certaines suggestions qui ont été proposées.
- Certains d.g. voudraient que l'on ajoute des éléments du match qui peuvent être visionnés par la reprise vidéo, comme, par exemple, un hors-jeu lorsqu'un but est marqué.
- Une autre idée qui a été suggérée est celle de donner aux entraîneurs la possibilité de demander la reprise vidéo comme c'est le cas présentement dans la NFL.
Le directeur général des Maple Leafs Brian Burke reconnait que certains types de jeux devraient pouvoir être revus, mais il invite ses homologues à ne pas se prononcer rapidement. Par ailleurs, il s'oppose à ce que la victime d'un geste dangereux puisse donner sa version de l'histoire lorsque vient le temps de suspendre un joueur fautif.
- Il a aussi été question du « spinorama » qu'utilisent certains joueurs de la Ligue nationale lors des fusillades. Même si certains directeurs généraux estiment que ce genre de jeu devrait être illégal, la majorité s'entendent pour dire que ça doit rester dans le jeu, car les partisans adorent voir ce type de truc.
L'exemple le plus souvent mentionné est celui de Martin St-Louis qui est devenu un expert dans l'art de réinventer le « spinorama ».
Selon le directeur général du Lightning Steve Yzerman, le « spinorama » frôle l'illégalité lorsqu'on se rapporte au règlement du tir de punition comme tel.
- On a effleuré l'idée d'éliminer le trapèze qui empêche le gardien de jouer la rondelle dans les coins de la patinoire, mais il semble que ce ne soit pas une priorité aux yeux des directeurs, du moins, pour le moment.
- On propose aussi d'utiliser la reprise vidéo pour vérifier si un joueur a bel et bien été atteint au visage par un bâton adverse avant de décerner une pénalité mineure double.
- Plus tôt que d'adopter le règlement du dégagement refusé de façon automatique, comme au hockey international, les d.g. préfèreraient adopter un règlement qui permettrait à un arbitre de sévir contre un joueur qui utilise une force excessive pour tenter de blesser un adversaire lors d'un dégagement refusé.
-Un autre patron a proposé d'éliminer l'avantage numérique à 5 contre 3. Ce nouveau règlement permettrait à l'équipe en avantage numérique de profiter de quatre minutes à 5 contre 4, plus tôt que de deux minutes à 5 contre 3.
Malheureusement, Pierre Gauthier n'a pas voulu commenter les nouvelles idées proposées par les nouveaux règlements.
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