En entrevue à La Presse Canadienne, le député de Jonquière-Alma affirme que le gouvernement a déjà donné un premier signal de son ouverture, en exigeant une implication du privé dans le projet et en sollicitant un plan d'affaires bien ficelé.
Rappelant qu'Ottawa n'investit habituellement pas pour subventionner des équipes professionnelles de sport, M. Blackburn répète que le degré d'implication du privé est primordial, si jamais le gouvernement décidait de participer financièrement au projet.
Et si jamais c'était le cas, ajoute le ministre, le gouvernement devrait être équitable et tenir compte des autres demandes similaires, ailleurs au pays.
Jean-Pierre Blackburn se dit par ailleurs certain que les Québécois et les Canadiens ne seraient pas «fâchés» si les gouvernements, fédéral et provinciaux, n'avaient pas à injecter des fonds dans de tels projets.
