LAVAL-SUR-LE-LAC – Les joueurs sont de retour en ville. Voici quelques échos à propos du passé et du futur, provenant des joueurs à leur arrivée sur le terrain.
Réunion pour Price – Après avoir connu une saison extraordinaire, le gardien des Canadiens Carey Price paraissait en grande forme lorsqu’il s’est présenté devant les médias mercredi matin.
«J’ai eu un bon été! Ça a été un peu moins stressant », a mentionné Price faisant référence à l’été 2010, alors que Jaroslav Halak avait pris son poste durant les séries. «Je me suis entraîné avec Josh Gorges et quelques autres joueurs de la LNH à Kelowna. Disons que je n’ai pas grand monde avec qui patiner à Anahim Lake!»
Retour des guerriers – Après de nombreux mois sur la touche, Josh Gorges sera de retour sur ses patins pour s’entraîner avec ses coéquipiers dès vendredi pour l’ouverture du camp d’entraînement. Tout comme son coéquipier Max Pacioretty, qui a curieusement hâte… à sa première mise en échec.
«La seule chose qui ne m’est pas encore arrivée, c’est de recevoir une bonne mise en échec. Je crois que certains de mes coéquipiers vont pouvoir m’aider à ce chapitre lors de la première journée du camp», a lancé Pacioretty à la blague. «Si j’étais revenu durant les séries, la situation aurait probablement été différente, mais j’ai eu tellement de temps pour m’en remettre que j’ai juste hâte de revenir au jeu.»
Toujours prêt – C’est bien connu, Michael Cammalleri aime bien s’entraîner, été comme hiver. Après avoir passé la saison morte à prendre les bouchées doubles loin de la glace, le numéro 13 attend avec impatience le premier coup de sifflet.
«C’est aujourd’hui que ça commence. Je suis prêt. Qu’on commence!», a lancé Cammalleri. «Cette année, on se connaît un peu plus et Jacques [Martin] sait ce qu’il peut attendre de nous.»
Tout sourire – Même s’il a connu une bonne saison recrue, P.K. Subban sait que tout n’est pas joué et connaît l’importance du camp d’entraînement.
«Il faut aller au camp et faire sa place. J’ai seulement 22 ans et j’ai encore beaucoup de choses à apprendre», a laissé tomber Subban. «Notre équipe n’a aucune limite. Nous avons un bon groupe de gars et la chimie est excellente.»
L’apport du capitaine – Fidèle à son habitude, le capitaine du Tricolore a pris la parole pour discuter de son implication dans la formation, mais également de la relation entre un entraîneur et ses joueurs.
«Je fais ce que je peux pour aider l’équipe. D’année en année, les rôles changent. J’aime jouer dans toutes les situations, mais je suis prêt à faire ce qu’il faut pour aider l’équipe », a lancé Gionta avant de discuter entraîneur. «L’entraîneur n’a pas besoin d’être ton ami. Je sais de quoi je parle. La relation n’a pas toujours besoin d’être bonne. Pat Burns est le meilleur exemple. Alors qu’il était mon entraîneur, il n’était pas toujours le plus gentil, mais il était un excellent entraîneur. Par la suite, il est devenu un bon ami. »
Fermer les livres – Connaissant aux dires de plusieurs une saison à oublier en 2010-2011, Scott Gomez veut tourner la page et regarder vers le futur.
«L’an dernier, c’est l’an dernier. Je suis ici maintenant et je suis prêt », a dit Gomez, de qui le capitaine Gionta parle avec beaucoup de foi en l’avenir.
«Scott apporte une dimension dont l’équipe a besoin. Personne ne se met autant de pression que Gomez le fait», a tenu à rappeler Gionta au sujet de son bon ami.
Ah, vous êtes là ! – À son premier vrai contact avec les médias montréalais, Erik Cole n’a pas paru impressionné outre mesure par la mer de micros.
« Vous ne le croirez pas, mais même à Raleigh certaines personnes me reconnaissaient parfois. Mais je ne trouve pas que vous êtes si intimidants que ça », a-t-il lancé aux nombreux médias présents. «Ça vient avec un marché de hockey rempli de gens passionnés. Ce n’est pas négatif du tout. »
Lee Anne Vincent O’Connor écrit pour canadiens.com. Traduit par Vincent Cauchy.
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Réunion pour Price – Après avoir connu une saison extraordinaire, le gardien des Canadiens Carey Price paraissait en grande forme lorsqu’il s’est présenté devant les médias mercredi matin.
«J’ai eu un bon été! Ça a été un peu moins stressant », a mentionné Price faisant référence à l’été 2010, alors que Jaroslav Halak avait pris son poste durant les séries. «Je me suis entraîné avec Josh Gorges et quelques autres joueurs de la LNH à Kelowna. Disons que je n’ai pas grand monde avec qui patiner à Anahim Lake!»
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«La seule chose qui ne m’est pas encore arrivée, c’est de recevoir une bonne mise en échec. Je crois que certains de mes coéquipiers vont pouvoir m’aider à ce chapitre lors de la première journée du camp», a lancé Pacioretty à la blague. «Si j’étais revenu durant les séries, la situation aurait probablement été différente, mais j’ai eu tellement de temps pour m’en remettre que j’ai juste hâte de revenir au jeu.»
Toujours prêt – C’est bien connu, Michael Cammalleri aime bien s’entraîner, été comme hiver. Après avoir passé la saison morte à prendre les bouchées doubles loin de la glace, le numéro 13 attend avec impatience le premier coup de sifflet.
«C’est aujourd’hui que ça commence. Je suis prêt. Qu’on commence!», a lancé Cammalleri. «Cette année, on se connaît un peu plus et Jacques [Martin] sait ce qu’il peut attendre de nous.»
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«Il faut aller au camp et faire sa place. J’ai seulement 22 ans et j’ai encore beaucoup de choses à apprendre», a laissé tomber Subban. «Notre équipe n’a aucune limite. Nous avons un bon groupe de gars et la chimie est excellente.»
L’apport du capitaine – Fidèle à son habitude, le capitaine du Tricolore a pris la parole pour discuter de son implication dans la formation, mais également de la relation entre un entraîneur et ses joueurs.
«Je fais ce que je peux pour aider l’équipe. D’année en année, les rôles changent. J’aime jouer dans toutes les situations, mais je suis prêt à faire ce qu’il faut pour aider l’équipe », a lancé Gionta avant de discuter entraîneur. «L’entraîneur n’a pas besoin d’être ton ami. Je sais de quoi je parle. La relation n’a pas toujours besoin d’être bonne. Pat Burns est le meilleur exemple. Alors qu’il était mon entraîneur, il n’était pas toujours le plus gentil, mais il était un excellent entraîneur. Par la suite, il est devenu un bon ami. »
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«L’an dernier, c’est l’an dernier. Je suis ici maintenant et je suis prêt », a dit Gomez, de qui le capitaine Gionta parle avec beaucoup de foi en l’avenir.
«Scott apporte une dimension dont l’équipe a besoin. Personne ne se met autant de pression que Gomez le fait», a tenu à rappeler Gionta au sujet de son bon ami.
Ah, vous êtes là ! – À son premier vrai contact avec les médias montréalais, Erik Cole n’a pas paru impressionné outre mesure par la mer de micros.
« Vous ne le croirez pas, mais même à Raleigh certaines personnes me reconnaissaient parfois. Mais je ne trouve pas que vous êtes si intimidants que ça », a-t-il lancé aux nombreux médias présents. «Ça vient avec un marché de hockey rempli de gens passionnés. Ce n’est pas négatif du tout. »
Lee Anne Vincent O’Connor écrit pour canadiens.com. Traduit par Vincent Cauchy.
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