jeudi 9 juin 2011

Journaliste vicieux, Luongo le sensible et Thomas s'en permet trop

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Jeudi, 09 Juin 2011
Par HOCKEY30.com

- Jusqu'où peut aller un journaliste dans ses questions vicieuses?
- Hier, pendant la conférence de presse d'après-match, Roberto Luongo a vu noir lorsqu'un journaliste lui a affirmé que les partisans de Vancouver rassemblés devant un écran géant avaient applaudi à tout rompre lorsque les Bruins l'ont chassé du match.

- Luongo n'a rien répondu, mais on pouvait très bien voir la colère dans ses yeux. Je dirais même qu'on pouvait apercevoir une certaine tristesse.
- Le gardien québécois est reconnu comme l'un des joueurs les plus sensibles dans la LNH.
- On se souvient tous du moment où il a éclaté en sanglots après avoir été éliminé par les Blackhawks.
- Luongo a même dû subir les railleries de ses adversaires par la suite. On le traitait notamment de pleurnichard.

- Cette fois, Luongo n'a pas bronché. Mais selon notre informateur du Vancouver Province, le gardien avait un regard vide après la déclaration du journaliste. Comme si pendant un instant, il avait décroché de la réalité. Comme si pendant une seconde, il pensait au cauchemar qu'il était en train de vivre.
- En fait, on pouvait presque percevoir de la peur dans son regard. La peur de tout perdre. Son honneur, sa réputation... sa Coupe Stanley.

- Nous sommes toutefois persuadés que Luongo rebondira lors du prochain match. Et fera taire ses détracteurs, comme il a réussi à le faire depuis le début des séries.
- En fait, nous l'espérons de tout notre coeur. Roberto est l'un des joueurs les plus aimables avec nous depuis notre entrée sur le web. Toujours accueillant, souriant et gentil, il accepte constamment de nous dire quelques mots lorsque nous le croisons sur un terrain de golf ou ailleurs.

- Ce genre d'athlète est une denrée rare dans le monde sportif professionnel d'aujourd'hui. Voilà pourquoi nous croisons les doigts pour que Roberto aille enfin chercher sa bague de la Coupe Stanley.

- Quoiqu'en dise Tim Thomas, son geste à l'endroit d'Alexandre Burrows était complètement gratuit. Il peut bien affirmer que Burrows lui a donné quelques coups sur son bâton, mais on trouve que Thomas s'en permet un peu trop lors de cette finale. De sa mise en échec à l'endroit d'Henrik Sedin à son "slashing" sur Burrows, on se dit que les "Dieux du Hockey" vont finir par le punir.
- Whats goes around comes around...