samedi 6 août 2011

Erik Cole répond aux questions des partisans

http://www.ckac.com/hockey/nouvelles/erik-cole-repond-aux-questions-des-partisans-90203.html


(CKAC Sports) - Comme d'autres avant lui, le nouveau venu du Canadien s'est prêté au jeu des questions-réponses avec les partisans, dans une vidéo diffusée sur le site officiel du Tricolore.


On a ainsi pu apprendre que Cole était un partisan des Habs durant son enfance, ainsi que la réalité des propos du capitaine Brian Gionta, décisifs dans la prise de décision de l'ancien attaquant des Hurricanes de la Caroline.

Voici quelques-unes des réponses de l'Américain.

Comment penses-tu te sentir au moment de t'asseoir dans le vestiaire de hockey le plus historique de tous les temps ? Est-ce que cela te poussera à jouer intelligemment et à travailler fort à chaque présence ?

« Je suis certainement excité de m'asseoir dans ce vestiaire. Voir tous les visages de tous ces grands joueurs des Canadiens de Montréal me regardant chaque jour. Ça va certainement être une raison d'être excité, de travailler fort et de prouver à l'organisation qu'ils ont raison d'être fiers que je sois ici. »

Est-ce vrai que tu étais un partisan des Habs quand tu étais enfant ?

« Oui, c'est vrai. J'ai grandi à Oswego, dans l'état de New York, juste à côté du lac Ontario. Nous pouvions regarder CBC et Hockey Night in Canada chaque fin de semaine. Je n'étais pas un grand partisan des Sabres. Il y a une petite rivalité entre le Centre et l'Ouest de l'État de New York lorsque tu as grandi à jouer contre ces gars-là. J'étais définitivement un partisan des Canadiens durant mon enfance. Mais je ne vais pas mentir, mon joueur préféré en grandissant était Mario Lemieux et j'aimais donc beaucoup les Penguins.»

Qu'est-ce que Brian Gionta t'a dit pour te convaincre de signer avec les Canadiens ?

« Il m'a dit que si je venais à Montréal, j'allais... jouer avec lui ! Je blague ! Il m'a dit quelle expérience extraordinaire ça a été pour lui et sa famille d'être venus ici au sein d'une organisation de première classe avec un bon groupe de gars, un personnel d'entraîneurs exceptionnel, un beau complexe et d'excellents partisans. À partir de là, la décision a été plutôt facile à prendre.»