vendredi 3 juin 2011

Aucune sanction contre Alex Burrows

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Sports - Hockey
Écrit par RueFrontenac.com   
Jeudi, 02 juin 2011 15:05
Mise à jour le Jeudi, 02 juin 2011 16:10
Finalement, Patrice Bergeron a imaginé toute l’affaire…
<!--[endif]--> La Ligue nationale de hockey a annoncé, jeudi après-midi par voie de communiqué, qu’elle n’imposera aucune sanction à l’endroit d’Alex Burrows, qui aurait supposément mordu l’attaquant des Bruins de Boston lors du premier match de la finale de la coupe Stanley, mercredi soir.
« Après avoir examiné l’incident, et avoir parlé aux officiels sur la glace lors de la rencontre, je ne peux trouver aucune preuve qu’Alex Burrows a intentionnellement mordu Patrice Bergeron au doigt », a indiqué le vice-président aux opérations de la LNH, Mike Murphy.
Le mot clé du communiqué est bien sûr « intentionnellement ». Sans intention, pas de pénalité supplémentaire.
Une chose est claire : les doigts de Patrice Bergeron se sont retrouvés entre les dents d'Alex Burrows. La LNH a statué n'avoir aucune preuve que le joueur des Canucks se soit servi délibérément de sa dentition contre celui des Bruins.
Photo Reuters
Burrows : « Je ne crois pas l'avoir mordu »
Depuis mercredi soir, toutes les tribunes parlent de ce qui semble être une morsure infligée à Patrice Bergeron, des Bruins de Boston, par Alex Burrows, des Canucks, à la fin de la première période du premier match de la finale de la coupe Stanley.
Après la deuxième période, Bergeron a affirmé à la CBC que Burrows l’avait mordu à un doigt.
Mais jeudi, l’attaquant de Vancouver a nié avoir posé ce geste digne de Mike Tyson.
« Nous étions en train de batailler sur le bord de la bande, a indiqué Burrows à l’Associated Press. Nous avons eu un petit échange sur lequel je ne m’étendrai pas. Mais je ne crois pas l’avoir mordu. Il avait effectivement son doigt dans ma bouche, mais je ne pense pas l’avoir mordu. Vous l’avez vu, il a mis ses doigts dans mon visage et son doigt s’est retrouvé dans ma bouche. C’est ce qui s’est produit. »
Bergeron n’était pas du même avis, mercredi soir. Il portait d’ailleurs un bandage sur son index gauche après le match.
« Je n’ai rien contre le jeu rude tant que ça reste du chamaillage, mais se faire mordre ? Voyons donc ! »